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Série Mémoire Master d’ingénierie Eau
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Mémoire Master d’ingénierie Eau. Le contrôle de la teneur en aluminium dans les eaux de consommation de Ouagadougou proposition en vue d'optimiser le traitement avec le sulfate d'alumine / Edouard BAKARY
Titre de série : Mémoire Master d’ingénierie Eau Titre : Le contrôle de la teneur en aluminium dans les eaux de consommation de Ouagadougou proposition en vue d'optimiser le traitement avec le sulfate d'alumine Type de document : texte imprimé Auteurs : Edouard BAKARY Année de publication : 1994 Importance : 88p. Langues : Français (fre) Résumé : Ce travail a été réalisé dans le domaine du Génie Sanitaire. Il a permis d'une part de déceler au moyen des analyses chimiques, les indices de défaut dans le traitement des eaux de consommation de Ouagadougou, avec le sulfate d'alumine.
D'autre part, il a permis d'optimiser ce traitement à l'aide du Jar-test, suite à la défaillance de technique constatée lors du contrôle de
la qualité de l'eau.
Dans la première partie, les analyses chimiques, et le traitement au moyen du Jar-test ont été situés dans le contexte plus général de la chimie des eaux; en ce qui concerne leur principe de base respectif.
Les essais en laboratoire ont permis de mettre en évidence de façon précise, les principaux résultats escomptés; à savoir: les teneurs élevées en aluminium, qui rendent l'eau de boisson organoleptiquement inacceptable; et la dose optimum de sulfate d'alumine, pour une bonne coagulation-floculation de l'eau destinée à la consommation humaine.
Cependant, il n'est toujours pas aisé de rapporter de manière fidèle les résultats obtenus au terme des essais en laboratoire, dans l'usine de traitement des eaux de consommation.Mémoire Master d’ingénierie Eau. Le contrôle de la teneur en aluminium dans les eaux de consommation de Ouagadougou proposition en vue d'optimiser le traitement avec le sulfate d'alumine [texte imprimé] / Edouard BAKARY . - 1994 . - 88p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Ce travail a été réalisé dans le domaine du Génie Sanitaire. Il a permis d'une part de déceler au moyen des analyses chimiques, les indices de défaut dans le traitement des eaux de consommation de Ouagadougou, avec le sulfate d'alumine.
D'autre part, il a permis d'optimiser ce traitement à l'aide du Jar-test, suite à la défaillance de technique constatée lors du contrôle de
la qualité de l'eau.
Dans la première partie, les analyses chimiques, et le traitement au moyen du Jar-test ont été situés dans le contexte plus général de la chimie des eaux; en ce qui concerne leur principe de base respectif.
Les essais en laboratoire ont permis de mettre en évidence de façon précise, les principaux résultats escomptés; à savoir: les teneurs élevées en aluminium, qui rendent l'eau de boisson organoleptiquement inacceptable; et la dose optimum de sulfate d'alumine, pour une bonne coagulation-floculation de l'eau destinée à la consommation humaine.
Cependant, il n'est toujours pas aisé de rapporter de manière fidèle les résultats obtenus au terme des essais en laboratoire, dans l'usine de traitement des eaux de consommation.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité BAKARY Edouard//0217 M. 0217 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Documents Disponible Documents numériques
BAKARYAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d’ingénierie Eau. Aménagement de la ravine de Sonkorong réhabilitation de la piste Kaymor-Darou Khoudos (département de Nioro du Rip Sénégal) ORSTOM eaux continentales Dakar mai 1994 / Appoline BANCOLE
Titre de série : Mémoire Master d’ingénierie Eau Titre : Aménagement de la ravine de Sonkorong réhabilitation de la piste Kaymor-Darou Khoudos (département de Nioro du Rip Sénégal) ORSTOM eaux continentales Dakar mai 1994 Type de document : texte imprimé Auteurs : Appoline BANCOLE Année de publication : 1994 Importance : 54p. Langues : Français (fre) Résumé : Dans le sud du bassin arachidier du Sénégal, la dégradation des voies de communication par un ravinement intense pose un problème pour le développement de cette région. Une agriculture extensive et une pression démographique de plus en plus forte sont à l'origine d'un ruissellement intense qui se concentre le long des pistes et les détruit.
Appartenant à ce vaste ensemble, le bassin versant de Sonkorong est situé dans la communauté rurale de Kaymor à 30 Km à l'est de Nioro du Rip. Avec une superficie de 7,71 Km2 et un périmètre de 13 Km, ce bassin versant a pour exutoire une ravine dont l'érosion régressive a endommagé la piste Kaymor-Darou Khoudos et menace les habitations et parcelles de cultures riveraines.
Le projet d'aménagement de la ravine de Sonkorong vise la stabilisation de cette ravine et la réhabilitation de la piste à travers une approche participative des paysans.
Intégrant les facteurs socio-économiques et techniques, nos études, faites sur la base des résultats de la campagne hydrologique menée sur le bassin en 1993 et l'analyse de la progression de la ravine, ont conduit aux solutions suivantes:
- mise en place d'un radier surélevé en gabions au droit du franchissement de la piste servant également de seuil pour la ravine et dont le dimensionnment a été fait pour les crues décennale et vicennale.
- retalutage des berges de la ravine à la pente 1/2 et leur protection par végétalisation ;
- aménagement des parcelles alentours de la ravine par des cordons pierreux et une strate ligneuse formant une haie vive.
Ce projet conçu pour les populations de Sonkorong sera entièrement exécuté par les bénéficiaires sous la conduite d'un chef de chantier. Les travaux auront une durée de 4 mois à raison de 2 0 actifs-jour pour un radier dimensionné avec la crue décennale et 25 actifs-jour pour celui dimensionné avec la vicennale.
Le projet a coût global de 11,1 millions de FCFA dont 3,5 d'investissement humain pour la protection décennale. . Pour la protection vicennale il représente un investissement global de 16,1 millions de FCFA dont 4,1 d'investissement humain. Parallèlement à l'aménagement de la ravine, il a été proposé un traitement de l'ensemble de la toposéquence visant à assurer la pérennité des ouvrages mis en place.Mémoire Master d’ingénierie Eau. Aménagement de la ravine de Sonkorong réhabilitation de la piste Kaymor-Darou Khoudos (département de Nioro du Rip Sénégal) ORSTOM eaux continentales Dakar mai 1994 [texte imprimé] / Appoline BANCOLE . - 1994 . - 54p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Dans le sud du bassin arachidier du Sénégal, la dégradation des voies de communication par un ravinement intense pose un problème pour le développement de cette région. Une agriculture extensive et une pression démographique de plus en plus forte sont à l'origine d'un ruissellement intense qui se concentre le long des pistes et les détruit.
Appartenant à ce vaste ensemble, le bassin versant de Sonkorong est situé dans la communauté rurale de Kaymor à 30 Km à l'est de Nioro du Rip. Avec une superficie de 7,71 Km2 et un périmètre de 13 Km, ce bassin versant a pour exutoire une ravine dont l'érosion régressive a endommagé la piste Kaymor-Darou Khoudos et menace les habitations et parcelles de cultures riveraines.
Le projet d'aménagement de la ravine de Sonkorong vise la stabilisation de cette ravine et la réhabilitation de la piste à travers une approche participative des paysans.
Intégrant les facteurs socio-économiques et techniques, nos études, faites sur la base des résultats de la campagne hydrologique menée sur le bassin en 1993 et l'analyse de la progression de la ravine, ont conduit aux solutions suivantes:
- mise en place d'un radier surélevé en gabions au droit du franchissement de la piste servant également de seuil pour la ravine et dont le dimensionnment a été fait pour les crues décennale et vicennale.
- retalutage des berges de la ravine à la pente 1/2 et leur protection par végétalisation ;
- aménagement des parcelles alentours de la ravine par des cordons pierreux et une strate ligneuse formant une haie vive.
Ce projet conçu pour les populations de Sonkorong sera entièrement exécuté par les bénéficiaires sous la conduite d'un chef de chantier. Les travaux auront une durée de 4 mois à raison de 2 0 actifs-jour pour un radier dimensionné avec la crue décennale et 25 actifs-jour pour celui dimensionné avec la vicennale.
Le projet a coût global de 11,1 millions de FCFA dont 3,5 d'investissement humain pour la protection décennale. . Pour la protection vicennale il représente un investissement global de 16,1 millions de FCFA dont 4,1 d'investissement humain. Parallèlement à l'aménagement de la ravine, il a été proposé un traitement de l'ensemble de la toposéquence visant à assurer la pérennité des ouvrages mis en place.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité BANCOLE Appoline//0217 M. 0217 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Documents Disponible Documents numériques
BANCOLEAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d’ingénierie Eau. Caractérisation des eaux du canal central de Ouagadougou (charges polluantes, provenances, débits). / Mathieu KABORE
Titre de série : Mémoire Master d’ingénierie Eau Titre : Caractérisation des eaux du canal central de Ouagadougou (charges polluantes, provenances, débits). Type de document : texte imprimé Auteurs : Mathieu KABORE Année de publication : 1994 Importance : 94p. Langues : Français (fre) Résumé : Le canal central de Ouagadougou est l'un des premiers réseaux d'assainissement des eaux pluviales de ladite ville. Ce canal véhicule actuellement des eaux résiduaires qui dégagent des odeurs nauséabondes impliquant un problème de pollution.
Notre étude a porté sur les types de pollution engendrés par les eaux du canal, et présente les dangers par rapport à la santé de la population.
La caractérisation des eaux usées à travers la détermination des paramètres de pollution organique, physico-chimique et bactériologique a révélé que le canal est un agent de pollution d'origine organique, chimique et bactériologique.
En outre, les résultats obtenus montrent que le canal joue faiblement un rôle autoépurateur (abattement de 77,88% en DBO5, 79,70% en DCO) et de la pollution bactérienne de 94,37% (en coliformes fécaux d'amont en aval).
Le contact des populations riveraines par leurs activités (pêche et maraîchage) engendrerait nécessairement des maladies d'origine hydrique (diarrhées, salmonelloses) soit pour les consommateurs des produits (maraîchers et de pêche), soit directement sur les utilisateurs de ces eaux.
L'assainissement du canal central ou d'une manière générale de la ville de Ouagadougou éliminerait les risques d'impact de ces eaux sur la santé de la population.Mémoire Master d’ingénierie Eau. Caractérisation des eaux du canal central de Ouagadougou (charges polluantes, provenances, débits). [texte imprimé] / Mathieu KABORE . - 1994 . - 94p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Le canal central de Ouagadougou est l'un des premiers réseaux d'assainissement des eaux pluviales de ladite ville. Ce canal véhicule actuellement des eaux résiduaires qui dégagent des odeurs nauséabondes impliquant un problème de pollution.
Notre étude a porté sur les types de pollution engendrés par les eaux du canal, et présente les dangers par rapport à la santé de la population.
La caractérisation des eaux usées à travers la détermination des paramètres de pollution organique, physico-chimique et bactériologique a révélé que le canal est un agent de pollution d'origine organique, chimique et bactériologique.
En outre, les résultats obtenus montrent que le canal joue faiblement un rôle autoépurateur (abattement de 77,88% en DBO5, 79,70% en DCO) et de la pollution bactérienne de 94,37% (en coliformes fécaux d'amont en aval).
Le contact des populations riveraines par leurs activités (pêche et maraîchage) engendrerait nécessairement des maladies d'origine hydrique (diarrhées, salmonelloses) soit pour les consommateurs des produits (maraîchers et de pêche), soit directement sur les utilisateurs de ces eaux.
L'assainissement du canal central ou d'une manière générale de la ville de Ouagadougou éliminerait les risques d'impact de ces eaux sur la santé de la population.Exemplaires
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MatheuAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d’ingénierie Eau. Les critères de choix d'un groupe de pompage pour les périmètres d'irrigation maraichers. Etude de marche / Tiamangou LOMPO
Titre de série : Mémoire Master d’ingénierie Eau Titre : Les critères de choix d'un groupe de pompage pour les périmètres d'irrigation maraichers. Etude de marche Type de document : texte imprimé Auteurs : Tiamangou LOMPO Année de publication : 1994 Importance : 57p. Langues : Français (fre) Résumé : Les groupes de pompage installés sur les périmètres irrigués maraîchers sont souvent mal dimensionnés et mal entretenus. Des difficultés existent en plus au niveau de l'acquisition des pièces de rechange et de la maintenance de ces équipements.
Comme solutions aux problèmes ci-dessus énumérés, nous avons proposé une méthode de dimensionnement qui permet de choisir une motopompe en fonction des besoins en eau des cultures. Elle consiste à établir à partir des données climatologiques et topographiques les grandeurs suivantes :
- le débit à pomper,
- la hauteur manométrique totale d'élévation,
- la puissance du moteur à installer.
Il est ensuite conseillé :
- d'assurer un bon entretien du matériel pour lui permettre de mieux fonctionner et de façon durable. Il y a des entretiens quotidiens qui doivent se faire avant chaque démarrage du moteur et des entretiens périodiques qui doivent être effectués régulièrement à toutes les 25, 250 et 500 heures de fonctionnement ;
- de mettre en place un service après-vente. Ce service consistera à faciliter l'acquisition des pièces de rechange et de disposer des mécaniciens capables d'intervenir de manière efficace et rapide sur les sites en cas de pannes des motopompes.
La conclusion est que la COBODIM en initiant un tel travail rend ainsi un meilleur service à sa clientèle, ce qui peut accroître ses ventes.Mémoire Master d’ingénierie Eau. Les critères de choix d'un groupe de pompage pour les périmètres d'irrigation maraichers. Etude de marche [texte imprimé] / Tiamangou LOMPO . - 1994 . - 57p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Les groupes de pompage installés sur les périmètres irrigués maraîchers sont souvent mal dimensionnés et mal entretenus. Des difficultés existent en plus au niveau de l'acquisition des pièces de rechange et de la maintenance de ces équipements.
Comme solutions aux problèmes ci-dessus énumérés, nous avons proposé une méthode de dimensionnement qui permet de choisir une motopompe en fonction des besoins en eau des cultures. Elle consiste à établir à partir des données climatologiques et topographiques les grandeurs suivantes :
- le débit à pomper,
- la hauteur manométrique totale d'élévation,
- la puissance du moteur à installer.
Il est ensuite conseillé :
- d'assurer un bon entretien du matériel pour lui permettre de mieux fonctionner et de façon durable. Il y a des entretiens quotidiens qui doivent se faire avant chaque démarrage du moteur et des entretiens périodiques qui doivent être effectués régulièrement à toutes les 25, 250 et 500 heures de fonctionnement ;
- de mettre en place un service après-vente. Ce service consistera à faciliter l'acquisition des pièces de rechange et de disposer des mécaniciens capables d'intervenir de manière efficace et rapide sur les sites en cas de pannes des motopompes.
La conclusion est que la COBODIM en initiant un tel travail rend ainsi un meilleur service à sa clientèle, ce qui peut accroître ses ventes.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité LOMPO Tiamangou//0227 M. 0227 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Documents Disponible Documents numériques
TiamangouAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d’ingénierie Eau. Evaluation du systeme d'alimentation en eau potable d'une ville du Burkina Faso / Adamou MOUSSA ABDOU
Titre de série : Mémoire Master d’ingénierie Eau Titre : Evaluation du systeme d'alimentation en eau potable d'une ville du Burkina Faso : cas de Kaya Type de document : texte imprimé Auteurs : Adamou MOUSSA ABDOU Année de publication : 1994 Importance : 95p. Langues : Français (fre) Résumé : Cette étude qui a été sollicitée par l'Office National de l'Eau et de l'Assainissement (ONEA) du Burkina Faso repose sur la définition des critères et méthodes d'évaluation du système d'alimentation en eau potable d'une ville du Burkina Faso avec comme ville d'étude Kaya.
Les points suivants peuvent être retenus comme critères d'évaluation du système d'AEP d'une ville donnée du Burkina Faso :
- Etude de la situation de la ville au moment du projet d'AEP
- Etude de la conception du projet
- Etude du système d'AEP réalisé
- Etude de la situation actuelle de la ville
- Etude de la qualité du service de l'eau
- Le coût du service de l'eau pour la consommation
- Viabilité du système en place
* Efficacité du système en place
- L'impact du projet sur la société et l'environnement
- Pronostics sur l'avenir
- Propositions de solutions.
Tous ces critères ci-dessus énumérés peuvent être déterminés par consultation des documents relatifs à la conception et à la réalisation du système d'AEP en place ou par les cahiers de charge d'exploitation du centre.
Eventuellement par des enquêtes ou des mesures sur le terrain.
Pour le cas spécifique du système d'AEP de Kaya, il en est ressorti que :
- le système en place a vu le jour en 1964 et comporte au mois d'avril 1994:
* au niveau de l'adduction
. neuf (9) forages et deux (2) puits
. une bâche d'eau surélevée de capacité de 45 m3, elle récolte les eaux uniquement provenant des forages qui sont d'ailleurs sur-exploités entraînant un fonctionnement discontinu du système de pompage.
L'eau de la bâche est traitée par désinfection avec l'hypochlorite de calcium d'une manière gravitaire.
- le refoulement se passe de deux (2) façons
. un refoulement distributif à partir des puits du barrage Dimassa et un refoulement pur à partir de la bâche vers le château d'eau de capacité de 200 m3
- la production d'eau actuelle s'élève à 800 m3 d'eau
* au niveau de la distribution
- le réseau est du type maillé avec une longueur totale de 28,13 km, il
comporte 29 BF.
- la population de Kaya est estimée à 33.548 habitants en 1994 avec un taux d'accroissement annuel de 2,95 %.
- l'étude de l'évolution des consommations mensuelles des années 1992 et 1993 a donné comme coefficient de pointe mensuel 1,24 en 1992 et 1,17 en 1993.
Pour l'étude de la consommation spécifique, des enquêtes ont été menées au niveau d'un certain nombre de foyers, il en est ressorti une consommation spécifique de 29 l/p/j au niveau des B.P et 24 l/p/j au niveau des B.F.
Des résultats de l'étude de l'évaluation du système d'AEP de Kaya, une étude d'un avant projet sommaire de renforcement du système d'alimentation en eau potable de la ville a été faite avec comme source d'exploitation le Lac de DEM situé à environ 15 km à l'ouest de Kaya.
La particularité de cet avant projet qui comporte deux phases, une première phase de 10 ans (1995-2005) et une seconde phase de 5 ans (2005-2010) est que le système d'adduction adopté est un système gravitaire d'eau brute du lac à la station de traitement située à l'entrée de la ville où l'eau brute va subir un traitement complet qui comprend l'étape de la coagulation-floculation à celle de la décantation-filtration.
- Un château d'eau de 160 m3 est prévu pour ce renforcement.
- Un nouveau réseau de longueur total 8,02 km sera réalisé dans la partie sud de la ville plus précisément à Kougrin Louda.
- Les investissements de la première phase de ce projet sont estimés à moins de 501 millions de francs CFA non dévalués.Mémoire Master d’ingénierie Eau. Evaluation du systeme d'alimentation en eau potable d'une ville du Burkina Faso : cas de Kaya [texte imprimé] / Adamou MOUSSA ABDOU . - 1994 . - 95p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Cette étude qui a été sollicitée par l'Office National de l'Eau et de l'Assainissement (ONEA) du Burkina Faso repose sur la définition des critères et méthodes d'évaluation du système d'alimentation en eau potable d'une ville du Burkina Faso avec comme ville d'étude Kaya.
Les points suivants peuvent être retenus comme critères d'évaluation du système d'AEP d'une ville donnée du Burkina Faso :
- Etude de la situation de la ville au moment du projet d'AEP
- Etude de la conception du projet
- Etude du système d'AEP réalisé
- Etude de la situation actuelle de la ville
- Etude de la qualité du service de l'eau
- Le coût du service de l'eau pour la consommation
- Viabilité du système en place
* Efficacité du système en place
- L'impact du projet sur la société et l'environnement
- Pronostics sur l'avenir
- Propositions de solutions.
Tous ces critères ci-dessus énumérés peuvent être déterminés par consultation des documents relatifs à la conception et à la réalisation du système d'AEP en place ou par les cahiers de charge d'exploitation du centre.
Eventuellement par des enquêtes ou des mesures sur le terrain.
Pour le cas spécifique du système d'AEP de Kaya, il en est ressorti que :
- le système en place a vu le jour en 1964 et comporte au mois d'avril 1994:
* au niveau de l'adduction
. neuf (9) forages et deux (2) puits
. une bâche d'eau surélevée de capacité de 45 m3, elle récolte les eaux uniquement provenant des forages qui sont d'ailleurs sur-exploités entraînant un fonctionnement discontinu du système de pompage.
L'eau de la bâche est traitée par désinfection avec l'hypochlorite de calcium d'une manière gravitaire.
- le refoulement se passe de deux (2) façons
. un refoulement distributif à partir des puits du barrage Dimassa et un refoulement pur à partir de la bâche vers le château d'eau de capacité de 200 m3
- la production d'eau actuelle s'élève à 800 m3 d'eau
* au niveau de la distribution
- le réseau est du type maillé avec une longueur totale de 28,13 km, il
comporte 29 BF.
- la population de Kaya est estimée à 33.548 habitants en 1994 avec un taux d'accroissement annuel de 2,95 %.
- l'étude de l'évolution des consommations mensuelles des années 1992 et 1993 a donné comme coefficient de pointe mensuel 1,24 en 1992 et 1,17 en 1993.
Pour l'étude de la consommation spécifique, des enquêtes ont été menées au niveau d'un certain nombre de foyers, il en est ressorti une consommation spécifique de 29 l/p/j au niveau des B.P et 24 l/p/j au niveau des B.F.
Des résultats de l'étude de l'évaluation du système d'AEP de Kaya, une étude d'un avant projet sommaire de renforcement du système d'alimentation en eau potable de la ville a été faite avec comme source d'exploitation le Lac de DEM situé à environ 15 km à l'ouest de Kaya.
La particularité de cet avant projet qui comporte deux phases, une première phase de 10 ans (1995-2005) et une seconde phase de 5 ans (2005-2010) est que le système d'adduction adopté est un système gravitaire d'eau brute du lac à la station de traitement située à l'entrée de la ville où l'eau brute va subir un traitement complet qui comprend l'étape de la coagulation-floculation à celle de la décantation-filtration.
- Un château d'eau de 160 m3 est prévu pour ce renforcement.
- Un nouveau réseau de longueur total 8,02 km sera réalisé dans la partie sud de la ville plus précisément à Kougrin Louda.
- Les investissements de la première phase de ce projet sont estimés à moins de 501 millions de francs CFA non dévalués.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité MOUSSA ABDOU Adamou//0229 M. 0229 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Documents Disponible Documents numériques
AdamouAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d’ingénierie Eau. Caractéristiques hydrauliques du système d'adduction d'eau de Ouagadougou choix des pompes régulation du pompage / Yembi COMPAORE
Titre de série : Mémoire Master d’ingénierie Eau Titre : Caractéristiques hydrauliques du système d'adduction d'eau de Ouagadougou choix des pompes régulation du pompage Type de document : texte imprimé Auteurs : Yembi COMPAORE Année de publication : 1992 Importance : 71p. Langues : Français (fre) Résumé : La présente étude a été effectuée sur l'ensemble du système d'adduction d'eau de Ouagadougou. Elle s'est portée sur 1'exhaure de l'eau brute jusqu'au refoulement de l'eau potable dans les châteaux d'eau.
Le premier point est consacré à l'adduction pure (refoulement direct dans les réservoirs). Elle a été déjà partiellement étudiée et exécutée par un bureau d'étude allemand. Ainsi nous avions procédé à une vérification du système d'adduction tout entier suivie de quelques dimensionnements, de quelques propositions et descriptions.
Le second point concerne la vérification des caractéristiques des pompes d'exhaure et de refoulement et de leur redimensionnement.
Enfin la troisième partie de ce rapport traite de la régulation du pompage.
En effet le réseau d'adduction d'eau de Ouagadougou est confronté à plusieurs problèmes qui sont entre autres :
- le non remplissage de ses réservoirs la baisse des pressions du réseau de distribution les défaillances du système de régulation des châteaux d'eau
- le désordre dans la commande des groupes.
L'étude du réseau a montré que pour remédier à certaines de ces difficultés, la distribution gravitaire et le redimensionnement des pompes dans le but d'augmenter les débits refoulés pourront assurer la hausse des pressions et le remplissage des réservoirs. Ainsi nous avions dimensionné un réservoir d'appoint en lieu et place du refoulement distributif des secteurs 23 et 24.
Concernant la régulation du pompage» nous avons proposé un nouveau système de régulation au niveau des châteaux d'eau et procédé à la recommandation de l'utilisation des pompes à courbes caracreristiques plates qui rendent plus souple la régulation du pompage.
Quant au désordre qui sévit dans la commande des groupes» elle ne trouvera pas de solution que par la recherche de nouvelles ressources en eau brute.
Pour terminer nous avions fait des remarques et propositions sur les problèmes liés au bon fonctionnement et à une meilleure exploitation du réseau.Mémoire Master d’ingénierie Eau. Caractéristiques hydrauliques du système d'adduction d'eau de Ouagadougou choix des pompes régulation du pompage [texte imprimé] / Yembi COMPAORE . - 1992 . - 71p.
Langues : Français (fre)
Résumé : La présente étude a été effectuée sur l'ensemble du système d'adduction d'eau de Ouagadougou. Elle s'est portée sur 1'exhaure de l'eau brute jusqu'au refoulement de l'eau potable dans les châteaux d'eau.
Le premier point est consacré à l'adduction pure (refoulement direct dans les réservoirs). Elle a été déjà partiellement étudiée et exécutée par un bureau d'étude allemand. Ainsi nous avions procédé à une vérification du système d'adduction tout entier suivie de quelques dimensionnements, de quelques propositions et descriptions.
Le second point concerne la vérification des caractéristiques des pompes d'exhaure et de refoulement et de leur redimensionnement.
Enfin la troisième partie de ce rapport traite de la régulation du pompage.
En effet le réseau d'adduction d'eau de Ouagadougou est confronté à plusieurs problèmes qui sont entre autres :
- le non remplissage de ses réservoirs la baisse des pressions du réseau de distribution les défaillances du système de régulation des châteaux d'eau
- le désordre dans la commande des groupes.
L'étude du réseau a montré que pour remédier à certaines de ces difficultés, la distribution gravitaire et le redimensionnement des pompes dans le but d'augmenter les débits refoulés pourront assurer la hausse des pressions et le remplissage des réservoirs. Ainsi nous avions dimensionné un réservoir d'appoint en lieu et place du refoulement distributif des secteurs 23 et 24.
Concernant la régulation du pompage» nous avons proposé un nouveau système de régulation au niveau des châteaux d'eau et procédé à la recommandation de l'utilisation des pompes à courbes caracreristiques plates qui rendent plus souple la régulation du pompage.
Quant au désordre qui sévit dans la commande des groupes» elle ne trouvera pas de solution que par la recherche de nouvelles ressources en eau brute.
Pour terminer nous avions fait des remarques et propositions sur les problèmes liés au bon fonctionnement et à une meilleure exploitation du réseau.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité COMPAORE Yembi//0149 M. 0149 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Documents Disponible Documents numériques
YembiAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d’ingénierie Eau. Réhabilitation du réseau de distribution d’eau potable des quartiers Ouezzin-Ville et Bindougousso de la ville de Bobo-Dioulasso + pièces dessinées en annexes / Rimpanzandé SOULGA
Titre de série : Mémoire Master d’ingénierie Eau Titre : Réhabilitation du réseau de distribution d’eau potable des quartiers Ouezzin-Ville et Bindougousso de la ville de Bobo-Dioulasso + pièces dessinées en annexes Type de document : texte imprimé Auteurs : Rimpanzandé SOULGA Année de publication : 1995 Importance : 69 p. Langues : Français (fre) Résumé : Ce rapport résulte d'une étude portant sur le diagnostic du sous-réseau de distribution d'eau des quartiers Ouezzin-Ville et Bindougousso de la ville de BOBO-DIOULASSO et les propositions de solutions pour sa réhabilitation.
L'étude nous a été confiée par l'ONEA dans le cadre de notre mémoire de fin d'études.
Dans un premier temps, la comparaison de la capacité de production actuelle de la station de pompage avec les besoins en eau de la population de la ville nous a permis d'écarter la thèse de non disponibilité en eau.
Dans un deuxième temps, la simulation de fonctionnement du sous-réseau concerné par l'étude nous a permis d'identifier les problèmes qui empêchent son bon fonctionnement. Ces problèmes résultent d'une part du mauvais dimensionnement de certaines conduites et d'autre part, de la topographie de la zone.
Trois solutions ont été proposées avec cependant une orientation sur l'une d'entre elles que nous pensons efficace, adaptée et peu coûteuse. La variante retenue consiste à scinder le réseau d'étude en trois sous-réseaux isolés les uns des autres. La simulation des sous-réseaux a donné des résultats acceptables. Son coût de réalisation s'élève à 80 millions de F CFA soit 13.500 FCFA le mètre linéaire de conduite posée.Mémoire Master d’ingénierie Eau. Réhabilitation du réseau de distribution d’eau potable des quartiers Ouezzin-Ville et Bindougousso de la ville de Bobo-Dioulasso + pièces dessinées en annexes [texte imprimé] / Rimpanzandé SOULGA . - 1995 . - 69 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Ce rapport résulte d'une étude portant sur le diagnostic du sous-réseau de distribution d'eau des quartiers Ouezzin-Ville et Bindougousso de la ville de BOBO-DIOULASSO et les propositions de solutions pour sa réhabilitation.
L'étude nous a été confiée par l'ONEA dans le cadre de notre mémoire de fin d'études.
Dans un premier temps, la comparaison de la capacité de production actuelle de la station de pompage avec les besoins en eau de la population de la ville nous a permis d'écarter la thèse de non disponibilité en eau.
Dans un deuxième temps, la simulation de fonctionnement du sous-réseau concerné par l'étude nous a permis d'identifier les problèmes qui empêchent son bon fonctionnement. Ces problèmes résultent d'une part du mauvais dimensionnement de certaines conduites et d'autre part, de la topographie de la zone.
Trois solutions ont été proposées avec cependant une orientation sur l'une d'entre elles que nous pensons efficace, adaptée et peu coûteuse. La variante retenue consiste à scinder le réseau d'étude en trois sous-réseaux isolés les uns des autres. La simulation des sous-réseaux a donné des résultats acceptables. Son coût de réalisation s'élève à 80 millions de F CFA soit 13.500 FCFA le mètre linéaire de conduite posée.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité SOULGA, Rimpanzandé//0270 M. 0270 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Documents Disponible