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Série Mémoire Master d'ingénierie FI3
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Mémoire Master d'ingénierie FI3. Aménagement participatif du bassin versant de Kokossin / Namwinniakarè Marius KPODA
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie FI3 Titre : Aménagement participatif du bassin versant de Kokossin Type de document : texte imprimé Auteurs : Namwinniakarè Marius KPODA Année de publication : 2005 Importance : 112p. Langues : Français (fre) Résumé : Après avoir permis la réhabilitation (surcreusement) d’un point d’eau à but pastoral à Kokossin, l’ONG « Îles de Paix », a envisagé principalement de lutter contre le comblement de la retenue et de mettre en valeur le bassin versant (92ha). C’est dans ce cadre que l’ONG, en collaboration avec l’EIER, a proposé un thème de mémoire de fin d’étude. Ce thème porte sur la participation de la population locale dans le processus de lutte contre l’érosion
Suite à un diagnostic du bassin versant et une exploration des techniques applicables sur les lieux, nous avons porté notre choix sur les techniques suivantes :
- les bandes végétatives dont l’utilisation est très bien connue au Burkina Faso ;
- le zaï et les demi-lunes reconnus aussi dans la région pour leur capacité à régénérer la végétation d’un terrain soumis à un surpâturage et/ou encroûté.
- les seuils en grillage de fer et sacs plastiques qui constituent un choix innovant dans cette étude. Ces deux types d’ouvrages remplacent valablement les seuils en gabions vulgarisés dans tout le pays. Ils ont le double avantage d’être plus durables et quatre fois moins chers que les seuils en gabions.
Ces choix ayant été acceptés par la population, notre interlocuteur principal, nous avons proposé un plan d’aménagement et des directives pour un bon déroulement des travaux et une exploitation durable des ouvrages qu’elle aura elle-même mis en place.
Le coût estimatif des travaux s’élève à 2 227 838 FCFA soit environ 24500 FCFA/haMémoire Master d'ingénierie FI3. Aménagement participatif du bassin versant de Kokossin [texte imprimé] / Namwinniakarè Marius KPODA . - 2005 . - 112p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Après avoir permis la réhabilitation (surcreusement) d’un point d’eau à but pastoral à Kokossin, l’ONG « Îles de Paix », a envisagé principalement de lutter contre le comblement de la retenue et de mettre en valeur le bassin versant (92ha). C’est dans ce cadre que l’ONG, en collaboration avec l’EIER, a proposé un thème de mémoire de fin d’étude. Ce thème porte sur la participation de la population locale dans le processus de lutte contre l’érosion
Suite à un diagnostic du bassin versant et une exploration des techniques applicables sur les lieux, nous avons porté notre choix sur les techniques suivantes :
- les bandes végétatives dont l’utilisation est très bien connue au Burkina Faso ;
- le zaï et les demi-lunes reconnus aussi dans la région pour leur capacité à régénérer la végétation d’un terrain soumis à un surpâturage et/ou encroûté.
- les seuils en grillage de fer et sacs plastiques qui constituent un choix innovant dans cette étude. Ces deux types d’ouvrages remplacent valablement les seuils en gabions vulgarisés dans tout le pays. Ils ont le double avantage d’être plus durables et quatre fois moins chers que les seuils en gabions.
Ces choix ayant été acceptés par la population, notre interlocuteur principal, nous avons proposé un plan d’aménagement et des directives pour un bon déroulement des travaux et une exploitation durable des ouvrages qu’elle aura elle-même mis en place.
Le coût estimatif des travaux s’élève à 2 227 838 FCFA soit environ 24500 FCFA/haRéservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité KPODA Namwinniakarè Marius//0692 M. 0692 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Documents Disponible Documents numériques
KpodaAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie FI3. Etude et caractérisation des cinétiques et du brunissement de la mangue en cours de séchage / Jean Baptiste LENGA
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie FI3 Titre : Etude et caractérisation des cinétiques et du brunissement de la mangue en cours de séchage Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Baptiste LENGA Année de publication : 2005 Importance : 64p. Langues : Français (fre) Résumé : Le sujet qui fait l’objet de ce mémoire de fin d’études est proposé conjointement par le CIRAD et l’EIER dans le cadre de l’Appui à la structuration de la filière mangue au Burkina-Faso.
Le travail a consisté à mener des expérimentations sur la cinétique des mangues au cours du séchage, l’étuvage des mangues, la présentation des profils de température dans les tranches de mangues en cours de séchage et d’aborder le brunissement. On a testé et utilisé un séchoir à gaz à convection forcée. Au Burkina-Faso le séchage des mangues est florissant et quatre variétés s’adaptent bien à cette activité : Amélie, Brooks, Kent et Lippens. La détermination des teneurs en eau s’est faite par des étuves. On a observé que la teneur en eau des mangues est d’environ 80%. La vitesse de séchage en fonction de la teneur en eau est une fonction croissante et asymptotique. La vitesse de l’air de séchage et sa température accélèrent la vitesse de séchage du produit. Au cours du séchage des tranches de mangue, on observe trois phases bien distinctes et cela est plus visible à partir de la courbe des profils des températures dans les tranches de mangue au cours du séchage. Lorsque les tranches de mangue de même longueur, de même largeur et d’épaisseurs différentes sont soumises aux mêmes conditions de séchage, ce sont les tranches de petite épaisseur qui sèchent les plus vite. La caractérisation du brunissement s’est heurtée à l’absence d’instruments simples et adaptés sur le marché.Mémoire Master d'ingénierie FI3. Etude et caractérisation des cinétiques et du brunissement de la mangue en cours de séchage [texte imprimé] / Jean Baptiste LENGA . - 2005 . - 64p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Le sujet qui fait l’objet de ce mémoire de fin d’études est proposé conjointement par le CIRAD et l’EIER dans le cadre de l’Appui à la structuration de la filière mangue au Burkina-Faso.
Le travail a consisté à mener des expérimentations sur la cinétique des mangues au cours du séchage, l’étuvage des mangues, la présentation des profils de température dans les tranches de mangues en cours de séchage et d’aborder le brunissement. On a testé et utilisé un séchoir à gaz à convection forcée. Au Burkina-Faso le séchage des mangues est florissant et quatre variétés s’adaptent bien à cette activité : Amélie, Brooks, Kent et Lippens. La détermination des teneurs en eau s’est faite par des étuves. On a observé que la teneur en eau des mangues est d’environ 80%. La vitesse de séchage en fonction de la teneur en eau est une fonction croissante et asymptotique. La vitesse de l’air de séchage et sa température accélèrent la vitesse de séchage du produit. Au cours du séchage des tranches de mangue, on observe trois phases bien distinctes et cela est plus visible à partir de la courbe des profils des températures dans les tranches de mangue au cours du séchage. Lorsque les tranches de mangue de même longueur, de même largeur et d’épaisseurs différentes sont soumises aux mêmes conditions de séchage, ce sont les tranches de petite épaisseur qui sèchent les plus vite. La caractérisation du brunissement s’est heurtée à l’absence d’instruments simples et adaptés sur le marché.Exemplaires
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LengaAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie FI3. Commerce formel et informel des motopompes pour la petite irrigation / Yvon Régis Lazare MAMELEYEN ADA N’GOZON
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie FI3 Titre : Commerce formel et informel des motopompes pour la petite irrigation : fonctionnement réel, caractéristiques techniques des équipements, réalité du service après-vente proposé Type de document : texte imprimé Auteurs : Yvon Régis Lazare MAMELEYEN ADA N’GOZON Importance : 49 Langues : Français (fre) Résumé : Le développement du commerce des motopompes d’irrigation est considéré comme l’une des principales causes du développement l’agriculture irriguée qui s’est revelée incontournable au Burkina Faso, en vue d’assurer la stabilité de la production agricole.
La demande de plus en plus forte des populations urbaines et rurales en produits maraîchers est l’un des principaux facteurs qui contribuent au succès de l’irrigation motorisée.
La présente étude qui porte sur le marché des motopompes, leur fonctionnement ainsi que leurs caractéristiques techniques, donne un ensemble de réponses et de leçons tirées des enquêtes et observations sur le terrain.
Le diagnostic de fonctionnement réalisé nous a permis de nous rendre à l’évidence de l’état de l’utilisation de ces matériels sur les sites d’étude situés dans les départements de Loumbila, de Mogtedo et autour du lac Bam à Kongoussi. Ensuite il a été question de recenser et d’identifier les différentes marques et modèles des motopompes, leurs caractéristiques ainsi que les coûts d’achat, d’étudier les performances et de proposer des remèdes face aux problèmes posés : les motopompes diffusées de façon formelle et informelle et installées sur les périmètres irrigués sont mal dimensionnées et des difficultés existent en plus au niveau de l’acquisition des pièces de rechange et de la maintenance.
La méthode de dimensionnement proposé permet de choisir de façon technique et économique un matériel adéquat en fonction des superficies et des besoins des cultures.Mémoire Master d'ingénierie FI3. Commerce formel et informel des motopompes pour la petite irrigation : fonctionnement réel, caractéristiques techniques des équipements, réalité du service après-vente proposé [texte imprimé] / Yvon Régis Lazare MAMELEYEN ADA N’GOZON . - [s.d.] . - 49.
Langues : Français (fre)
Résumé : Le développement du commerce des motopompes d’irrigation est considéré comme l’une des principales causes du développement l’agriculture irriguée qui s’est revelée incontournable au Burkina Faso, en vue d’assurer la stabilité de la production agricole.
La demande de plus en plus forte des populations urbaines et rurales en produits maraîchers est l’un des principaux facteurs qui contribuent au succès de l’irrigation motorisée.
La présente étude qui porte sur le marché des motopompes, leur fonctionnement ainsi que leurs caractéristiques techniques, donne un ensemble de réponses et de leçons tirées des enquêtes et observations sur le terrain.
Le diagnostic de fonctionnement réalisé nous a permis de nous rendre à l’évidence de l’état de l’utilisation de ces matériels sur les sites d’étude situés dans les départements de Loumbila, de Mogtedo et autour du lac Bam à Kongoussi. Ensuite il a été question de recenser et d’identifier les différentes marques et modèles des motopompes, leurs caractéristiques ainsi que les coûts d’achat, d’étudier les performances et de proposer des remèdes face aux problèmes posés : les motopompes diffusées de façon formelle et informelle et installées sur les périmètres irrigués sont mal dimensionnées et des difficultés existent en plus au niveau de l’acquisition des pièces de rechange et de la maintenance.
La méthode de dimensionnement proposé permet de choisir de façon technique et économique un matériel adéquat en fonction des superficies et des besoins des cultures.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité MAMELEYEN ADA N’GOZON Yvon Régis Lazare.//0635 M. 0635 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Documents Disponible Documents numériques
YvonAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie FI3. Etude des Infrastructures d’assainissement des eaux usées et déchets solides de la Zone d’activités commerciales et administratives (ZACA) de Ouagadougou / Alphonse MOUANDA
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie FI3 Titre : Etude des Infrastructures d’assainissement des eaux usées et déchets solides de la Zone d’activités commerciales et administratives (ZACA) de Ouagadougou Type de document : texte imprimé Auteurs : Alphonse MOUANDA Année de publication : 2005 Importance : 97p. Langues : Français (fre) Résumé : Le présent rapport rédigé dans le cadre de notre mémoire de fin d’étude concerne l’étude de faisabilité du projet d’aménagement urbain initié par le Gouvernement du Burkina Faso. Cette étude a pour objectif l’étude d’un réseau d’égouts de collecte des eaux usées et d’un système de gestion des déchets solides de la Zone d’Activités Commerciales et Administratives de Ouagadougou. Cette perspective vise la transformation d’une zone d’habitat spontané en une zone de service et de commerce.
Pour atteindre cet objectif, une démarche méthodologique basée essentiellement sur l’analyse de l’assainissement actuel de la ville et des différents documents qui régissent le domaine de l’assainissement de Ouagadougou. Pour aboutir aux résultats escomptés par le maître d’ouvrage, nous avons effectué des enquêtes socio- économiques sur le terrain, réalisé des études techniques pour la collecte des données dont le traitement a conduit a des résultats dont on peut retenir :
La conception et le dimensionnement du système d’assainissement des eaux usées ;
L’étude d’un système de gestion des déchets solides ;
L’évaluation financière du projet.
Cette étude présente une approche de gestion adaptée au contexte socio économique, urbanistique et environnemental de la zone.
Enfin, nous pensons que la concrétisation de ce projet donnera une image plus propre et hygiénique à la ZACA en particulier et la ville de Ouagadougou en général.Mémoire Master d'ingénierie FI3. Etude des Infrastructures d’assainissement des eaux usées et déchets solides de la Zone d’activités commerciales et administratives (ZACA) de Ouagadougou [texte imprimé] / Alphonse MOUANDA . - 2005 . - 97p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Le présent rapport rédigé dans le cadre de notre mémoire de fin d’étude concerne l’étude de faisabilité du projet d’aménagement urbain initié par le Gouvernement du Burkina Faso. Cette étude a pour objectif l’étude d’un réseau d’égouts de collecte des eaux usées et d’un système de gestion des déchets solides de la Zone d’Activités Commerciales et Administratives de Ouagadougou. Cette perspective vise la transformation d’une zone d’habitat spontané en une zone de service et de commerce.
Pour atteindre cet objectif, une démarche méthodologique basée essentiellement sur l’analyse de l’assainissement actuel de la ville et des différents documents qui régissent le domaine de l’assainissement de Ouagadougou. Pour aboutir aux résultats escomptés par le maître d’ouvrage, nous avons effectué des enquêtes socio- économiques sur le terrain, réalisé des études techniques pour la collecte des données dont le traitement a conduit a des résultats dont on peut retenir :
La conception et le dimensionnement du système d’assainissement des eaux usées ;
L’étude d’un système de gestion des déchets solides ;
L’évaluation financière du projet.
Cette étude présente une approche de gestion adaptée au contexte socio économique, urbanistique et environnemental de la zone.
Enfin, nous pensons que la concrétisation de ce projet donnera une image plus propre et hygiénique à la ZACA en particulier et la ville de Ouagadougou en général.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité MOUANDA Alphonse.//0636 M. 0636 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Documents Disponible Documents numériques
MoundaAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie FI3. Etude diagnostique et impact des aménagements PAFR / Dawuroyé Achille SANOU
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie FI3 Titre : Etude diagnostique et impact des aménagements PAFR : cas des bas-fonds de Popioho, de Founzan et de Nahi dans la province du TUY Type de document : texte imprimé Auteurs : Dawuroyé Achille SANOU Année de publication : 2005 Importance : 105p. Langues : Français (fre) Résumé : L’autosuffisance alimentaire au Burkina Faso étant un leitmotiv permanent et persistant, nous pensons que l’aménagement des bas-fonds et des périmètres irrigués pour la culture rizicole peut relever le défi de la faim. C’est ce à quoi s’attèle le PAFR en aménageant les bas-fonds quand ces derniers possèdent les potentialités. Il permettra de plus aux producteurs (hommes et femmes) de maîtriser certaines techniques culturales dans le domaine de la riziculture.
Ces aménagements utilisent de nouvelles techniques et méthodes développées par le PAFR dans le but est d’accroître la productivité du riz.
Aussi les producteurs doivent en même temps être responsabilisés au niveau du groupement. Pour ce faire, ils seront formés dans leur langue locale.
Le PAFR intervient suivant l’approche participative dans le but de favoriser l’appropriation des ouvrages par les bénéficiaires.
Dans le soucis de l’amélioration des conditions de vie des producteurs et pour un meilleur rendement nous avons fait quelques propositions et recommandations qui, appliquées concrètement sur le terrain pourraient renforcer la production rizicole.Mémoire Master d'ingénierie FI3. Etude diagnostique et impact des aménagements PAFR : cas des bas-fonds de Popioho, de Founzan et de Nahi dans la province du TUY [texte imprimé] / Dawuroyé Achille SANOU . - 2005 . - 105p.
Langues : Français (fre)
Résumé : L’autosuffisance alimentaire au Burkina Faso étant un leitmotiv permanent et persistant, nous pensons que l’aménagement des bas-fonds et des périmètres irrigués pour la culture rizicole peut relever le défi de la faim. C’est ce à quoi s’attèle le PAFR en aménageant les bas-fonds quand ces derniers possèdent les potentialités. Il permettra de plus aux producteurs (hommes et femmes) de maîtriser certaines techniques culturales dans le domaine de la riziculture.
Ces aménagements utilisent de nouvelles techniques et méthodes développées par le PAFR dans le but est d’accroître la productivité du riz.
Aussi les producteurs doivent en même temps être responsabilisés au niveau du groupement. Pour ce faire, ils seront formés dans leur langue locale.
Le PAFR intervient suivant l’approche participative dans le but de favoriser l’appropriation des ouvrages par les bénéficiaires.
Dans le soucis de l’amélioration des conditions de vie des producteurs et pour un meilleur rendement nous avons fait quelques propositions et recommandations qui, appliquées concrètement sur le terrain pourraient renforcer la production rizicole.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité SANOU D. Achille//0629 m. 0629 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Documents Disponible Documents numériques
SanouAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie FI3. Mécanismes d’élimination de l’azote et du phosphore dans les eaux usées domestiques traitées par lagunage sous climat sahélien - Possibilités et limites de leur réutilisation comme fertilisants en agriculture urbaine à Ouagadougou / Awa SARR
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie FI3 Titre : Mécanismes d’élimination de l’azote et du phosphore dans les eaux usées domestiques traitées par lagunage sous climat sahélien - Possibilités et limites de leur réutilisation comme fertilisants en agriculture urbaine à Ouagadougou Type de document : texte imprimé Auteurs : Awa SARR Année de publication : 2005 Importance : 106p. Langues : Français (fre) Résumé : L’épuration des eaux constitue une question cruciale dans les pays en développement, caractérisés par une forte urbanisation. La plupart des systèmes de traitement des eaux usées installés dans les grands centres urbains des pays africains se sont soldés par un échec du fait de la non adaptation au contexte socio-économique et climatique de ces pays.
Le lagunage naturel, technique rustique d’épuration des eaux usées reste une alternative convenable en Afrique d’une part, par la souplesse qu’offre son exploitation nécessitant peu de technicité et d’autre part, par les avantages socio économiques et environnementaux associés. Cependant la qualité de l’effluent traité dépend de la maîtrise des processus biologiques responsables de l’épuration de la pollution des eaux dont les plus connus, facteurs limitants de l’eutrophisation des milieux aquatiques sont l’azote et le phosphore. Par ailleurs, ces processus dépendent à leur tour des paramètres physico chimiques du milieu (Température, pH, potentiel redox, oxygène dissous) et de la qualité de l’effluent brut (charge organique et hydraulique).
C’est dans ce cadre que s’inscrit la présente étude dont l’objectif est d’analyser les principaux mécanismes intervenant dans l’élimination de l’azote et du phosphore dans les eaux usées domestiques en vue d’optimiser leur réutilisation en agriculture urbaine.
Les résultats des tests de laboratoire ont montré pour la décantation un rendement moyen d’élimination de 15% pour l’azote ammoniacal et 12,7% pour le phosphore total, l’effet de la nitrification-dénitrification est plus significatif dans l’eau à la sortie du bassin anaérobie que dans l’eau brute, alors que la déphosphatation chimique réalisée parallèlement avec 120mg de fer et 200mg de chaux toutes conditions étant égales montre une plus grande efficacité de la précipitation du phosphore avec le fer par rapport à la chaux . Les rendements moyens obtenus sont : 90 et 96% contre 41,4 et 54,3% pour l’effluent traité et l’eau brute respectivement.
Pour une charge organique estimée à 129 gDBO5/m3/j au mois d’avril et 90 gDBO5/m3/j au mois de mai soit 207EH, les résultats de l’étude ont montré que le rendement global du système est de 39,83% et 33,03% pour l’azote ammoniacal pour le mois d’avril et de mai respectivement contre –18,1% et –61,54 pour l’azote nitrique, Le rendement des orthophosphates est de 23,25% et 10,43% pour le mois d’avril et mai respectivement contre 12,56% et 24,66% pour le phosphore total.
L’étude sur les possibilités de la réutilisation de l’effluent traité en agriculture a montré son intérêt pour les éléments fertilisants (azote et phosphore) apportés aux plantes. En effet les valeurs trouvées ici allant au-delà des besoins des cultures considérées pourront toute fois être confirmées par une étude prenant en compte la charge nominale de la filière dont dépendent les concentrations d’azote et de phosphore dans l’eau traitée.Mémoire Master d'ingénierie FI3. Mécanismes d’élimination de l’azote et du phosphore dans les eaux usées domestiques traitées par lagunage sous climat sahélien - Possibilités et limites de leur réutilisation comme fertilisants en agriculture urbaine à Ouagadougou [texte imprimé] / Awa SARR . - 2005 . - 106p.
Langues : Français (fre)
Résumé : L’épuration des eaux constitue une question cruciale dans les pays en développement, caractérisés par une forte urbanisation. La plupart des systèmes de traitement des eaux usées installés dans les grands centres urbains des pays africains se sont soldés par un échec du fait de la non adaptation au contexte socio-économique et climatique de ces pays.
Le lagunage naturel, technique rustique d’épuration des eaux usées reste une alternative convenable en Afrique d’une part, par la souplesse qu’offre son exploitation nécessitant peu de technicité et d’autre part, par les avantages socio économiques et environnementaux associés. Cependant la qualité de l’effluent traité dépend de la maîtrise des processus biologiques responsables de l’épuration de la pollution des eaux dont les plus connus, facteurs limitants de l’eutrophisation des milieux aquatiques sont l’azote et le phosphore. Par ailleurs, ces processus dépendent à leur tour des paramètres physico chimiques du milieu (Température, pH, potentiel redox, oxygène dissous) et de la qualité de l’effluent brut (charge organique et hydraulique).
C’est dans ce cadre que s’inscrit la présente étude dont l’objectif est d’analyser les principaux mécanismes intervenant dans l’élimination de l’azote et du phosphore dans les eaux usées domestiques en vue d’optimiser leur réutilisation en agriculture urbaine.
Les résultats des tests de laboratoire ont montré pour la décantation un rendement moyen d’élimination de 15% pour l’azote ammoniacal et 12,7% pour le phosphore total, l’effet de la nitrification-dénitrification est plus significatif dans l’eau à la sortie du bassin anaérobie que dans l’eau brute, alors que la déphosphatation chimique réalisée parallèlement avec 120mg de fer et 200mg de chaux toutes conditions étant égales montre une plus grande efficacité de la précipitation du phosphore avec le fer par rapport à la chaux . Les rendements moyens obtenus sont : 90 et 96% contre 41,4 et 54,3% pour l’effluent traité et l’eau brute respectivement.
Pour une charge organique estimée à 129 gDBO5/m3/j au mois d’avril et 90 gDBO5/m3/j au mois de mai soit 207EH, les résultats de l’étude ont montré que le rendement global du système est de 39,83% et 33,03% pour l’azote ammoniacal pour le mois d’avril et de mai respectivement contre –18,1% et –61,54 pour l’azote nitrique, Le rendement des orthophosphates est de 23,25% et 10,43% pour le mois d’avril et mai respectivement contre 12,56% et 24,66% pour le phosphore total.
L’étude sur les possibilités de la réutilisation de l’effluent traité en agriculture a montré son intérêt pour les éléments fertilisants (azote et phosphore) apportés aux plantes. En effet les valeurs trouvées ici allant au-delà des besoins des cultures considérées pourront toute fois être confirmées par une étude prenant en compte la charge nominale de la filière dont dépendent les concentrations d’azote et de phosphore dans l’eau traitée.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité SARR Awa//0630 M. 0630 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Documents Disponible Documents numériques
SarrAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie FI3. Contribution à l’élaboration du plan stratégique de gestion des déchets solides et eaux usées de la ville de Fada N’Gourma. / Abou SYLLA
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie FI3 Titre : Contribution à l’élaboration du plan stratégique de gestion des déchets solides et eaux usées de la ville de Fada N’Gourma. Type de document : texte imprimé Auteurs : Abou SYLLA Année de publication : 2005 Importance : 101p. Langues : Français (fre) Résumé : Le processus de décentralisation en cours au Burkina Faso depuis 1996 a pour objectif, un développement à la base en fonction des spécificités propres à chaque collectivité. Les villes secondaires sont donc appelées à s’autogérer.
La Mairie de Fada N’Gourma comme dans la plupart des villes secondaires du Burkina Faso n’a pas des documents cadres régissant la gestion rigoureuse et efficace de gestion des déchets solides et eaux usées.
Ce présent rapport vise ainsi à l’élaboration d’un plan stratégique d’assainissement, en mettant à la disposition de la mairie de Fada N’Gourma, des outils d’aide de décisions pour la gestion des services d’assainissement des eaux usées et déchets solides.
Pour atteindre cet objectif, nous avons adopté une méthodologie basée essentiellement sur l’analyse de la situation actuelle de gestion des eaux usées et déchets solides, des observations sur le terrain, les enquêtes auprès des ménages et des entretiens avec les acteurs impliqués dans le secteur de l’assainissement.
Des résultats obtenus, il en ressort que la mairie de Fada N’Gourma n’a pas un budget alloué à la gestion des déchets urbains. Nous notons le manque de concertation entre les acteurs impliqués dans le secteur de l’assainissement.
Les propositions qui ont été faites comprennent la mise en place d’une filière de gestion de collecte des déchets solides (précollecte, collecte et transport, traitement et élimination dans une décharge contrôlée) et la mise en place d’un projet visant à faciliter l’acquisition des ouvrages d’assainissement autonomes aux ménages d’une part. Et la mise en place d’un comité d’assainissement de la ville devant servir de plate forme de concertation pour les acteurs impliqués dans la gestion urbaine et la création d’un service technique qui s’occupera de l’assainissement, des VRD et de l’aménagement urbain d’autre part.Mémoire Master d'ingénierie FI3. Contribution à l’élaboration du plan stratégique de gestion des déchets solides et eaux usées de la ville de Fada N’Gourma. [texte imprimé] / Abou SYLLA . - 2005 . - 101p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Le processus de décentralisation en cours au Burkina Faso depuis 1996 a pour objectif, un développement à la base en fonction des spécificités propres à chaque collectivité. Les villes secondaires sont donc appelées à s’autogérer.
La Mairie de Fada N’Gourma comme dans la plupart des villes secondaires du Burkina Faso n’a pas des documents cadres régissant la gestion rigoureuse et efficace de gestion des déchets solides et eaux usées.
Ce présent rapport vise ainsi à l’élaboration d’un plan stratégique d’assainissement, en mettant à la disposition de la mairie de Fada N’Gourma, des outils d’aide de décisions pour la gestion des services d’assainissement des eaux usées et déchets solides.
Pour atteindre cet objectif, nous avons adopté une méthodologie basée essentiellement sur l’analyse de la situation actuelle de gestion des eaux usées et déchets solides, des observations sur le terrain, les enquêtes auprès des ménages et des entretiens avec les acteurs impliqués dans le secteur de l’assainissement.
Des résultats obtenus, il en ressort que la mairie de Fada N’Gourma n’a pas un budget alloué à la gestion des déchets urbains. Nous notons le manque de concertation entre les acteurs impliqués dans le secteur de l’assainissement.
Les propositions qui ont été faites comprennent la mise en place d’une filière de gestion de collecte des déchets solides (précollecte, collecte et transport, traitement et élimination dans une décharge contrôlée) et la mise en place d’un projet visant à faciliter l’acquisition des ouvrages d’assainissement autonomes aux ménages d’une part. Et la mise en place d’un comité d’assainissement de la ville devant servir de plate forme de concertation pour les acteurs impliqués dans la gestion urbaine et la création d’un service technique qui s’occupera de l’assainissement, des VRD et de l’aménagement urbain d’autre part.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité SYLLA Abou//0632 M. 0632 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Documents Disponible Documents numériques
SyllaAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie FI3. Etude d’impact environnemental du projet d’aménagement de la deuxième tranche de la Zone d’Activités Diverses (ZAD II) de Ouagadougou au Burkina Faso / Salomé Alida ZONGO
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie FI3 Titre : Etude d’impact environnemental du projet d’aménagement de la deuxième tranche de la Zone d’Activités Diverses (ZAD II) de Ouagadougou au Burkina Faso Type de document : texte imprimé Auteurs : Salomé Alida ZONGO Année de publication : 2005 Importance : 94p. Langues : Français (fre) Résumé : L’organisation actuelle du centre ville de Ouagadougou présente des contraintes sérieuses au développement harmonieux des activités commerciales artisanales et d’entrepôts. La création de la deuxième tranche de la Zone d’Activités Diverses (ZAD II) résulte de la nécessité de trouver un cadre adéquat pour recevoir toutes les activités consommatrices d’espace, posant des problèmes de nuisance ou n’ayant pas une implantation adéquate au centre ville. Elle est l’initiative de la chambre de commerce de l’industrie et de l’artisanat de Ouagadougou (CCIA-BF). Cette Zone est située au secteur 30 de la ville de Ouagadougou entre le Salon International de l’Artisanat de Ouagadougou (S.I.A .O), la première tranche de la ZAD et les habitations du secteur 30.
L’objectif de notre étude est d’analyser la faisabilité environnementale du projet d’aménagement de la ZAD II. Pour atteindre cet objectif, nous avons d’abord décrit le contexte d’accueil du projet afin de mieux percevoir sa raison d’être et les différents problèmes qu’il entraîne. Ensuite, nous avons à l’aide des études faites sur le terrain, identifier et évaluer les impacts de ce projet depuis sa conception jusqu’à sa phase d’exploitation à l’aide des différents récepteurs et sources d’impact. Ces récepteurs et sources d’impact ont été identifiés à la suite de la description de l’état de référence du site d’accueil qui a, au préalable, subi des changements suite à l’aménagement de la première tranche de ce projet et à la description des différents travaux qui seront effectués. Il est ressorti que le projet de la ZAD II comporte des impacts aussi bien positifs que négatifs. Nous avons ainsi proposé des mesures visant à réduire les impacts négatifs ou à optimiser les impacts positifs afin de permettre la réalisation du projet.
Pour que ces mesures soient effectivement réalisées par les différents acteurs du projet, nous avons proposé un programme de surveillance et de suivi environnemental qui permettra de vérifier le respect des recommandations faites et de vérifier la pertinence des impacts préalablement prévus ainsi que ceux non prévus.
Pendant la phase de préparation et de construction, le projet de la ZAD II va engendrer des impacts négatifs sur les milieux physique et biologique et pendant la phase d’exploitation, il engendrera beaucoup plus d’impacts positifs surtout sur le milieu humain. Les acteurs du projet atteindront leurs objectifs si les mesures préconisées à toutes les étapes de l’aménagement sont bien respectées.
Abstract : The current organization of the centre town of Ouagadougou presents serious constraints at the harmonious development of the artisanal, commercial activities and warehouses. The creation of the second section of the Zone of Various Activities results from the need for finding a framework adequate to receive all the activities consuming space, posing problems of harmful effect or not having an adequate establishment in the centre town. It is the initiative of the Chamber of Commerce of the industry and the craft industry of Ouagadougou. This Zone is located at sector 30 of the town of Ouagadougou between the International Show of the Craft industry of Ouagadougou, the first section of the zone and the dwellings of sector 30.
The objective of our study is to analyze the environmental feasibility of the project of installation of this zone. To achieve this goal, we initially described the context of reception of the project in order to better perceive its reason to be and the various problems which it involves. Then, we have using the studies made on the ground, to identify and evaluate the impacts of this project from its design to its production run using the various receivers and sources of impact. These receivers and sources of impact were identified following the description of the state of reference of the site of reception which has, to the precondition, undergone changes following the installation of the first section of this project and to the description of various works which will be carried out. It is arisen that the project of the ZAD II comprises positive impacts as well as negative. We thus put forward measures aiming reducing the negative impacts or at optimizing the positive impacts in order to allow the realization of the project. So that these measurements are actually carried out by the various actors of the project, we proposed a program of monitoring and environmental follow-up which will make it possible to check the respect of the made recommendations and to check the relevance of the impacts beforehand envisaged thus that those not envisaged.
During the phase of preparation and construction, the project will generate negative impacts on the physical environments and biological and during the production run; it will especially generate much more positive impacts on the human environment. The actors of the project will achieve their goals if the measurements recommended with all the stages of installation are respected strictly.Mémoire Master d'ingénierie FI3. Etude d’impact environnemental du projet d’aménagement de la deuxième tranche de la Zone d’Activités Diverses (ZAD II) de Ouagadougou au Burkina Faso [texte imprimé] / Salomé Alida ZONGO . - 2005 . - 94p.
Langues : Français (fre)
Résumé : L’organisation actuelle du centre ville de Ouagadougou présente des contraintes sérieuses au développement harmonieux des activités commerciales artisanales et d’entrepôts. La création de la deuxième tranche de la Zone d’Activités Diverses (ZAD II) résulte de la nécessité de trouver un cadre adéquat pour recevoir toutes les activités consommatrices d’espace, posant des problèmes de nuisance ou n’ayant pas une implantation adéquate au centre ville. Elle est l’initiative de la chambre de commerce de l’industrie et de l’artisanat de Ouagadougou (CCIA-BF). Cette Zone est située au secteur 30 de la ville de Ouagadougou entre le Salon International de l’Artisanat de Ouagadougou (S.I.A .O), la première tranche de la ZAD et les habitations du secteur 30.
L’objectif de notre étude est d’analyser la faisabilité environnementale du projet d’aménagement de la ZAD II. Pour atteindre cet objectif, nous avons d’abord décrit le contexte d’accueil du projet afin de mieux percevoir sa raison d’être et les différents problèmes qu’il entraîne. Ensuite, nous avons à l’aide des études faites sur le terrain, identifier et évaluer les impacts de ce projet depuis sa conception jusqu’à sa phase d’exploitation à l’aide des différents récepteurs et sources d’impact. Ces récepteurs et sources d’impact ont été identifiés à la suite de la description de l’état de référence du site d’accueil qui a, au préalable, subi des changements suite à l’aménagement de la première tranche de ce projet et à la description des différents travaux qui seront effectués. Il est ressorti que le projet de la ZAD II comporte des impacts aussi bien positifs que négatifs. Nous avons ainsi proposé des mesures visant à réduire les impacts négatifs ou à optimiser les impacts positifs afin de permettre la réalisation du projet.
Pour que ces mesures soient effectivement réalisées par les différents acteurs du projet, nous avons proposé un programme de surveillance et de suivi environnemental qui permettra de vérifier le respect des recommandations faites et de vérifier la pertinence des impacts préalablement prévus ainsi que ceux non prévus.
Pendant la phase de préparation et de construction, le projet de la ZAD II va engendrer des impacts négatifs sur les milieux physique et biologique et pendant la phase d’exploitation, il engendrera beaucoup plus d’impacts positifs surtout sur le milieu humain. Les acteurs du projet atteindront leurs objectifs si les mesures préconisées à toutes les étapes de l’aménagement sont bien respectées.
Abstract : The current organization of the centre town of Ouagadougou presents serious constraints at the harmonious development of the artisanal, commercial activities and warehouses. The creation of the second section of the Zone of Various Activities results from the need for finding a framework adequate to receive all the activities consuming space, posing problems of harmful effect or not having an adequate establishment in the centre town. It is the initiative of the Chamber of Commerce of the industry and the craft industry of Ouagadougou. This Zone is located at sector 30 of the town of Ouagadougou between the International Show of the Craft industry of Ouagadougou, the first section of the zone and the dwellings of sector 30.
The objective of our study is to analyze the environmental feasibility of the project of installation of this zone. To achieve this goal, we initially described the context of reception of the project in order to better perceive its reason to be and the various problems which it involves. Then, we have using the studies made on the ground, to identify and evaluate the impacts of this project from its design to its production run using the various receivers and sources of impact. These receivers and sources of impact were identified following the description of the state of reference of the site of reception which has, to the precondition, undergone changes following the installation of the first section of this project and to the description of various works which will be carried out. It is arisen that the project of the ZAD II comprises positive impacts as well as negative. We thus put forward measures aiming reducing the negative impacts or at optimizing the positive impacts in order to allow the realization of the project. So that these measurements are actually carried out by the various actors of the project, we proposed a program of monitoring and environmental follow-up which will make it possible to check the respect of the made recommendations and to check the relevance of the impacts beforehand envisaged thus that those not envisaged.
During the phase of preparation and construction, the project will generate negative impacts on the physical environments and biological and during the production run; it will especially generate much more positive impacts on the human environment. The actors of the project will achieve their goals if the measurements recommended with all the stages of installation are respected strictly.Réservation
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SaloméAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie FI3. Elaboration d'un système d'information aux fins d'analyse et de planification du transport en commun de la ville de Ouagadougou / Kodjovi HOUHADJI
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie FI3 Titre : Elaboration d'un système d'information aux fins d'analyse et de planification du transport en commun de la ville de Ouagadougou Type de document : texte imprimé Auteurs : Kodjovi HOUHADJI Année de publication : 2005 Importance : 86p. Langues : Français (fre) Résumé : Le transport urbain dans les pays en voie de développement est une préoccupation pour les autorités en charge du transport dans ces pays. Le Burkina-Faso n'échappe pas à cette règle. Même si la société en charge du transport en commun de Ouagadougou, la SOTRACO, dispose d'une base de données de gestion orientée comptable du transport en commun, le réseau des lignes de transport en commun ne fait pas l'objet d'une exploitation informatisée.
L'informatisation du réseau augmente les capacités d'analyse et de planification du transport. Nous avons élaboré une base de données et un Système d'Information Géographique, SIG, pour y parvenir. La base de données a été conçue en suivant la méthode MERISE et réalisée sous le logiciel ACCESS 2000 tandis que le système d'information Géographique a été réalisé sous le logiciel Arcview GIS 3.2a. Avec la base de données il peut se faire des saisies des différentes données entrant dans la gestion du transport en commun, des requêtes suivant les besoins de l'exploitant de la base de données qui seront intégrés dans cette base au fur et à mesure de l'évolution du temps. On peut à l'aide du SIG visualiser des points d'arrêt sur la carte géoréférencée établie et y faire des applications géographiques précises.
Une interconnexion est faite entre les deux logiciels permettant d'actualiser les données du SIG qui auraient subi des modifications dans la base de données. Nous avons ainsi une possibilité d'analyse un peu plus étendue en utilisant la base de données et le SIG qu'en se servant uniquement de la base de données. Une rubrique est consacrée à une petite navigation au sein de l'application.
L'application ainsi réalisée n'est qu'un début pour la gestion alternée "base de données" et "SIG" du transport en commun et peut faire l'objet d'amélioration en fonction des requêtes de l'entreprise ayant en charge l'exploitation de cette puissante machine qu'est le réseau du transport en commun.Mémoire Master d'ingénierie FI3. Elaboration d'un système d'information aux fins d'analyse et de planification du transport en commun de la ville de Ouagadougou [texte imprimé] / Kodjovi HOUHADJI . - 2005 . - 86p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Le transport urbain dans les pays en voie de développement est une préoccupation pour les autorités en charge du transport dans ces pays. Le Burkina-Faso n'échappe pas à cette règle. Même si la société en charge du transport en commun de Ouagadougou, la SOTRACO, dispose d'une base de données de gestion orientée comptable du transport en commun, le réseau des lignes de transport en commun ne fait pas l'objet d'une exploitation informatisée.
L'informatisation du réseau augmente les capacités d'analyse et de planification du transport. Nous avons élaboré une base de données et un Système d'Information Géographique, SIG, pour y parvenir. La base de données a été conçue en suivant la méthode MERISE et réalisée sous le logiciel ACCESS 2000 tandis que le système d'information Géographique a été réalisé sous le logiciel Arcview GIS 3.2a. Avec la base de données il peut se faire des saisies des différentes données entrant dans la gestion du transport en commun, des requêtes suivant les besoins de l'exploitant de la base de données qui seront intégrés dans cette base au fur et à mesure de l'évolution du temps. On peut à l'aide du SIG visualiser des points d'arrêt sur la carte géoréférencée établie et y faire des applications géographiques précises.
Une interconnexion est faite entre les deux logiciels permettant d'actualiser les données du SIG qui auraient subi des modifications dans la base de données. Nous avons ainsi une possibilité d'analyse un peu plus étendue en utilisant la base de données et le SIG qu'en se servant uniquement de la base de données. Une rubrique est consacrée à une petite navigation au sein de l'application.
L'application ainsi réalisée n'est qu'un début pour la gestion alternée "base de données" et "SIG" du transport en commun et peut faire l'objet d'amélioration en fonction des requêtes de l'entreprise ayant en charge l'exploitation de cette puissante machine qu'est le réseau du transport en commun.Réservation
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HouhadjiAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie FI3. Impact des coopératives d'utilisation du matériel agricole sur la conduite des exploitations en zone cotonnière / Idrissou MAMA
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie FI3 Titre : Impact des coopératives d'utilisation du matériel agricole sur la conduite des exploitations en zone cotonnière Type de document : texte imprimé Auteurs : Idrissou MAMA Année de publication : 2001 Importance : 101p. Langues : Français (fre) Résumé : Les agriculteurs de l'Afrique au Sud du Sahara sont généralement appelés « les agriculteurs a la houe » pour stigmatiser le déficit de puissance énergétique pour les travaux agricoles de cette région du monde. Certes le Bénin ne fait pas exception à cette situation. Cependant, dans le Borgou (Nord-Bénin) la mécanisation motorisée s'est sensiblement développée durant ces dernières années. En effet, des coopératives y sont nées grâce à la conjugaison de plusieurs efforts et elles regroupent des producteurs, principalement de coton, qui gèrent un tracteur et une charrue pour exécuter leurs travaux culturaux ensemble avec le soucis de ne pas détériorer leurs parcelles.
C'est dans ce contexte que l'étude « Impact des Coopératives d'Utilisation du matériel Agricole sur la conduite des exploitations en zone cotonnière » a été demandée dans le but de mettre en lumière l'influence de ces CUMA en ce qui concerne les aspects sociologiques, environnementaux, organisationnels, techniques et financiers.
A l’issue de cette étude, réalisée suite à un échantillonnage rigoureux non sujet à de fortes influences extérieures, nous sommes parvenue à des conclusions qui permettent de dire que :
• Les CUMA ont des impacts essentiellement positifs sur l'identité sociologique du milieu d'accueil tels que l'amélioration des relations humaines et la scolarisation des enfants.
• L'existence des CUMA développe la capacité d'auto-prise en charge organisationnelle des agriculteurs. La plupart de ceux-ci pensent que cette existence des CUMA favorise le renforcement des organisations faîtières paysannes. Cependant un pourcentage non négligeable d'entre eux s'attendent à la disparition des Organisations faîtières car ils perdent confiance en celles-ci.
• La motorisation de l'agriculture sous la formule des CUMA ne détruit pas davantage le milieu naturel par rapport à la situation existante. Bien au contraire, des efforts y sont consentis pour la défense du milieu naturel. Malheureusement, ces efforts ne sont pas optimisés.
• La CUMA constitue un creuset où les agriculteurs adhérents du Borgou apprennent à améliorer leurs itinéraires techniques. Ils y ont recours à la main d'œuvre - qu'ils ne contrôlent pas - plus que de par le passé.
• Les performances agricoles qu’autorisent l'adhésion à la CUMA prédisposent les paysans à l'obtention de meilleures rentabilités financières. Mais leurs ignorances sur le plan de la gestion hypothèque cet avantage. C'est pourquoi ils sont demandeurs de formation en Conseil en Gestion (CeG).
Des recommandations émanant de ces différentes conclusions sont faites à tous les acteurs qui peuvent avoir une influence sur le processus de mécanisation en cours au Nord-Bénin pour une amélioration du système.Mémoire Master d'ingénierie FI3. Impact des coopératives d'utilisation du matériel agricole sur la conduite des exploitations en zone cotonnière [texte imprimé] / Idrissou MAMA . - 2001 . - 101p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Les agriculteurs de l'Afrique au Sud du Sahara sont généralement appelés « les agriculteurs a la houe » pour stigmatiser le déficit de puissance énergétique pour les travaux agricoles de cette région du monde. Certes le Bénin ne fait pas exception à cette situation. Cependant, dans le Borgou (Nord-Bénin) la mécanisation motorisée s'est sensiblement développée durant ces dernières années. En effet, des coopératives y sont nées grâce à la conjugaison de plusieurs efforts et elles regroupent des producteurs, principalement de coton, qui gèrent un tracteur et une charrue pour exécuter leurs travaux culturaux ensemble avec le soucis de ne pas détériorer leurs parcelles.
C'est dans ce contexte que l'étude « Impact des Coopératives d'Utilisation du matériel Agricole sur la conduite des exploitations en zone cotonnière » a été demandée dans le but de mettre en lumière l'influence de ces CUMA en ce qui concerne les aspects sociologiques, environnementaux, organisationnels, techniques et financiers.
A l’issue de cette étude, réalisée suite à un échantillonnage rigoureux non sujet à de fortes influences extérieures, nous sommes parvenue à des conclusions qui permettent de dire que :
• Les CUMA ont des impacts essentiellement positifs sur l'identité sociologique du milieu d'accueil tels que l'amélioration des relations humaines et la scolarisation des enfants.
• L'existence des CUMA développe la capacité d'auto-prise en charge organisationnelle des agriculteurs. La plupart de ceux-ci pensent que cette existence des CUMA favorise le renforcement des organisations faîtières paysannes. Cependant un pourcentage non négligeable d'entre eux s'attendent à la disparition des Organisations faîtières car ils perdent confiance en celles-ci.
• La motorisation de l'agriculture sous la formule des CUMA ne détruit pas davantage le milieu naturel par rapport à la situation existante. Bien au contraire, des efforts y sont consentis pour la défense du milieu naturel. Malheureusement, ces efforts ne sont pas optimisés.
• La CUMA constitue un creuset où les agriculteurs adhérents du Borgou apprennent à améliorer leurs itinéraires techniques. Ils y ont recours à la main d'œuvre - qu'ils ne contrôlent pas - plus que de par le passé.
• Les performances agricoles qu’autorisent l'adhésion à la CUMA prédisposent les paysans à l'obtention de meilleures rentabilités financières. Mais leurs ignorances sur le plan de la gestion hypothèque cet avantage. C'est pourquoi ils sont demandeurs de formation en Conseil en Gestion (CeG).
Des recommandations émanant de ces différentes conclusions sont faites à tous les acteurs qui peuvent avoir une influence sur le processus de mécanisation en cours au Nord-Bénin pour une amélioration du système.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité MAWA Idrissou//0438 M. 0438 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Documents Disponible Documents numériques
MamaAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie FI3. Etude de mise en valeur post-aménagement de la plaine de Kossi et propositions / Fallou NDAO
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie FI3 Titre : Etude de mise en valeur post-aménagement de la plaine de Kossi et propositions Type de document : texte imprimé Auteurs : Fallou NDAO Année de publication : 2001 Importance : 89p. Langues : Français (fre) Résumé : Dans le but d'assurer la sécurité alimentaire de sa population et de garantir un revenu à la plupart des agriculteurs du pays, l'Etat burkinabé a multiplié ces dernières années les programmes d'aménagement et de mise en valeur des plaines et des bas-fonds.
L'aménagement de la plaine de la Kossi rentre dans ce cadre. Il consiste à réaliser deux biefs sur le cours de la rivière Kossi pour retenir de l'eau, à mettre en place des digues et des canaux sur la partie centrale de la plaine pour le suivi de la lame d'eau et enfin à construire une digue agricole sur la partie aval de la plaine pour une meilleure maîtrise de la lame d'eau sur cette partie.
La présente étude porte sur les propositions de mise en valeur post-aménagement. En effet la plaine renferme des potentialités agricoles et socio-économiques favorables à une valorisation efficiente de l'aménagement.
Les propositions ont été faites suivant les activités agricoles, notamment pour la riziculture, piscicoles et d'élevage ainsi que sur les aspects organisationnels et financiers. Au niveau agricole, l'accent a été surtout mis sur le choix des cultures et des variétés et sur les techniques culturales. Concernant la pêche et l'élevage, les propositions faites visent une optimisation de la production. Sur le plan organisationnel et financier, des formules d'organisation et des modes de gestion ont été proposées, le but étant une meilleure valorisation de l'aménagement.
La combinaison de toutes ces propositions avec les mesures d'accompagnement prévues par le projet, devrait permettre d'amorcer un véritable processus de développement de la zone.Mémoire Master d'ingénierie FI3. Etude de mise en valeur post-aménagement de la plaine de Kossi et propositions [texte imprimé] / Fallou NDAO . - 2001 . - 89p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Dans le but d'assurer la sécurité alimentaire de sa population et de garantir un revenu à la plupart des agriculteurs du pays, l'Etat burkinabé a multiplié ces dernières années les programmes d'aménagement et de mise en valeur des plaines et des bas-fonds.
L'aménagement de la plaine de la Kossi rentre dans ce cadre. Il consiste à réaliser deux biefs sur le cours de la rivière Kossi pour retenir de l'eau, à mettre en place des digues et des canaux sur la partie centrale de la plaine pour le suivi de la lame d'eau et enfin à construire une digue agricole sur la partie aval de la plaine pour une meilleure maîtrise de la lame d'eau sur cette partie.
La présente étude porte sur les propositions de mise en valeur post-aménagement. En effet la plaine renferme des potentialités agricoles et socio-économiques favorables à une valorisation efficiente de l'aménagement.
Les propositions ont été faites suivant les activités agricoles, notamment pour la riziculture, piscicoles et d'élevage ainsi que sur les aspects organisationnels et financiers. Au niveau agricole, l'accent a été surtout mis sur le choix des cultures et des variétés et sur les techniques culturales. Concernant la pêche et l'élevage, les propositions faites visent une optimisation de la production. Sur le plan organisationnel et financier, des formules d'organisation et des modes de gestion ont été proposées, le but étant une meilleure valorisation de l'aménagement.
La combinaison de toutes ces propositions avec les mesures d'accompagnement prévues par le projet, devrait permettre d'amorcer un véritable processus de développement de la zone.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité NDAO Fallou//0440 M. 0440 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Documents Disponible Documents numériques
NdaoAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie FI3. Conseil en gestion des exploitations agricoles du Sud Benin / Mathieu DADJO
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie FI3 Titre : Conseil en gestion des exploitations agricoles du Sud Benin : situation de référence et perspectives Type de document : texte imprimé Auteurs : Mathieu DADJO Année de publication : 2000 Importance : 81p. Langues : Français (fre) Résumé : La Cellule d'Appui à la Gestion des Exploitations Agricoles (CAGEA) est la continuité du projet Centre de gestion des Exploitations Agricoles (CGEA) ficelé sans étude sociologique ni de faisabilité. De plus ce projet initial a été monté sans l'implication des acteurs principaux (les producteurs alphabétisés français qui en sont les bénéficiaires) et s'est par conséquent confronté à la réticence de ceux-ci.
Pour corriger le tir, le CGEA a vu changer son ancrage institutionnel, sa finalité et ses objectifs.
En 1999, l'équipe de conduite du projet CAGEA a mis en place un dispositif qui a en son sein une unité de mis en exécution de ses activités.
Dans cette unité, le choix des bénéficiaires a été laissé à des opérateurs privés qui leur assurent les formations et suivi individuel.
C'est ainsi que dans sa position de structure d'appui financier et méthodologique, la CAGEA a cherché à mieux connaître le public cible pour lequel elle appuie les formations. Ce qui devrait lui permettre de bien définir les stratégies à adopter pour une intégration complète des producteurs dans le processus.
C'est ce rôle que nous avons joué à travers le thème : « Conseil en Gestion au sud Bénin :
Situations de référence et Perspectives ».
Après une rapide prise de connaissance du dispositif et des actions en cours, des enquêtes ont été menées dans les zones d'intervention de la CAGEA auprès de deux (02) catégories de producteurs : ceux déjà en formation (appelés anciens en Conseil en Gestion) et ceux en attente.
Les résultats obtenus ont permis :
De caractériser au mieux les producteurs interrogés ; d'où il ressort qu'ils sont pour la plupart de jeunes adultes (âges compris entre 25 et 45 ans) mariés, de niveau d'études secondaires qui ont d'autres activités rémunératrices parallèles aux trois (03) hectares minimums qu'ils ont emblavés. De plus, ils font systématiquement tous recours à une main d'œuvre extérieure chère, aux engrais chimiques et aux insecticides dont ils ne maîtrisent pas la gestion du stock.
De savoir les principales attentes de ces agriculteurs par rapport au Conseil en Gestion (CeG) et à la CAGEA, où l'on s'aperçoit qu'ils tiennent à l'exécution réelle des niveaux II et III prévus par le projet, à ce que la CAGEA les aide à trouver des sources de financement adapté (condition d'accès et les taux d'intérêts) à l'agriculture.
D'apprécier l'engagement des producteurs dans le processus ; ce qui a été essentiellement, leur participation à la diffusion des informations sur le CeG, leur motivation réelle, leur participation financière promise pour les éventuelles phases du projet, leur appropriation et leurs maîtrises des outils de gestion mis à leur disposition.
D'analyser la cohérence du dispositif; il est bien structuré avec une bonne définition des tâches de chacune de ses composantes. Cependant le rôle des Organisations. Professionnelles (OP), puisqu'ils font actuellement écran entre les opérateurs prestataires de services et les producteurs (ce qui est à éviter si on veut faire la collecte de données fiable), doit être revu. Le dispositif doit également être complété par une unité de réflexion et une unité d'appui financier aux producteurs si le projet se veut plus efficace qu'il l'est actuellement.
De faire des propositions et recommandations pour lesquelles la CAGEA devra veiller à leurs applications afin de faire connaître au CeG le succès que l'on attend de lui au sud Bénin.Mémoire Master d'ingénierie FI3. Conseil en gestion des exploitations agricoles du Sud Benin : situation de référence et perspectives [texte imprimé] / Mathieu DADJO . - 2000 . - 81p.
Langues : Français (fre)
Résumé : La Cellule d'Appui à la Gestion des Exploitations Agricoles (CAGEA) est la continuité du projet Centre de gestion des Exploitations Agricoles (CGEA) ficelé sans étude sociologique ni de faisabilité. De plus ce projet initial a été monté sans l'implication des acteurs principaux (les producteurs alphabétisés français qui en sont les bénéficiaires) et s'est par conséquent confronté à la réticence de ceux-ci.
Pour corriger le tir, le CGEA a vu changer son ancrage institutionnel, sa finalité et ses objectifs.
En 1999, l'équipe de conduite du projet CAGEA a mis en place un dispositif qui a en son sein une unité de mis en exécution de ses activités.
Dans cette unité, le choix des bénéficiaires a été laissé à des opérateurs privés qui leur assurent les formations et suivi individuel.
C'est ainsi que dans sa position de structure d'appui financier et méthodologique, la CAGEA a cherché à mieux connaître le public cible pour lequel elle appuie les formations. Ce qui devrait lui permettre de bien définir les stratégies à adopter pour une intégration complète des producteurs dans le processus.
C'est ce rôle que nous avons joué à travers le thème : « Conseil en Gestion au sud Bénin :
Situations de référence et Perspectives ».
Après une rapide prise de connaissance du dispositif et des actions en cours, des enquêtes ont été menées dans les zones d'intervention de la CAGEA auprès de deux (02) catégories de producteurs : ceux déjà en formation (appelés anciens en Conseil en Gestion) et ceux en attente.
Les résultats obtenus ont permis :
De caractériser au mieux les producteurs interrogés ; d'où il ressort qu'ils sont pour la plupart de jeunes adultes (âges compris entre 25 et 45 ans) mariés, de niveau d'études secondaires qui ont d'autres activités rémunératrices parallèles aux trois (03) hectares minimums qu'ils ont emblavés. De plus, ils font systématiquement tous recours à une main d'œuvre extérieure chère, aux engrais chimiques et aux insecticides dont ils ne maîtrisent pas la gestion du stock.
De savoir les principales attentes de ces agriculteurs par rapport au Conseil en Gestion (CeG) et à la CAGEA, où l'on s'aperçoit qu'ils tiennent à l'exécution réelle des niveaux II et III prévus par le projet, à ce que la CAGEA les aide à trouver des sources de financement adapté (condition d'accès et les taux d'intérêts) à l'agriculture.
D'apprécier l'engagement des producteurs dans le processus ; ce qui a été essentiellement, leur participation à la diffusion des informations sur le CeG, leur motivation réelle, leur participation financière promise pour les éventuelles phases du projet, leur appropriation et leurs maîtrises des outils de gestion mis à leur disposition.
D'analyser la cohérence du dispositif; il est bien structuré avec une bonne définition des tâches de chacune de ses composantes. Cependant le rôle des Organisations. Professionnelles (OP), puisqu'ils font actuellement écran entre les opérateurs prestataires de services et les producteurs (ce qui est à éviter si on veut faire la collecte de données fiable), doit être revu. Le dispositif doit également être complété par une unité de réflexion et une unité d'appui financier aux producteurs si le projet se veut plus efficace qu'il l'est actuellement.
De faire des propositions et recommandations pour lesquelles la CAGEA devra veiller à leurs applications afin de faire connaître au CeG le succès que l'on attend de lui au sud Bénin.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité DADJO Mathieu//0399 M. 0399 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Documents Disponible Documents numériques
DadjoAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie FI3. Systèmes d'information et représentation cartographique pour le suivi des indicateurs du programme de coopération UNICEF/Burkina Faso / Mamadou Billo KANTE
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie FI3 Titre : Systèmes d'information et représentation cartographique pour le suivi des indicateurs du programme de coopération UNICEF/Burkina Faso Type de document : texte imprimé Auteurs : Mamadou Billo KANTE Année de publication : 1999 Importance : 115p. Langues : Français (fre) Résumé : Le système d'information géographique utilisé par l'UNICEF dans le cade du suivi des indicateurs de son programme de coopération avec le Burkina Faso est constitué de deux logiciels différents : un logiciel cartographique et un système de gestion de base de données. Mais la communication entre ces deux logiciels reste encore le point faible de ce système.
Le présent mémoire s'inscrit dans le cadre de l'amélioration des performances de cette application. Cette amélioration vise particulièrement l'automatisation du fonctionnement du système disponible à travers la réalisation des liens dynamiques entre les noyaux logiciels qui le composent et la mise en place des commandes permettant de passer directement d'un logiciel à l'autre.
Pour atteindre cet objectif, nous avons cherché, dans une première phase, à reconstituer les modèles du système qui est géré par l'application. Cette phase a été précédée d'une étude sommaire du programme de coopération et d'une analyse approfondie de l'existant. Cette étude préliminaire a permis non seulement d'avoir une représentation plus fidèle de la réalité mais aussi d'évaluer les atouts et les insuffisances de l'existant.
La nouvelle modélisation du système nous a conduit à modifier la structure de la base de données du système d'information afin de mieux l'adapter à l'automatisation. Cette réadaptation a consisté :
♦ à mettre en place toutes les relations nécessaires entre les différentes tables ;
♦ en un regroupement de certaines tables élémentaires ;
♦ en un ajout des "requêtes création", des "requêtes suppression" et des "requêtes ajout" ;
♦ à mettre en place des fichiers de liaison entre les logiciels ;
♦ à mettre en place des commandes permettant l'exécution des logiciels externes à partir de la base de données.
C'est à la suite de cette modification que nous avons établi la liaison entre la base de données et le logiciel cartographique par la mise en place des fichiers communs (dbase) qui sont rattachés à la fois aux deux logiciels.
La nouvelle application ainsi obtenue permet non seulement l'échange automatique des données entre les deux logiciels, mais aussi de lancer directement le logiciel de cartographie à partir de l'interface utilisateur de la base de données. En plus, elle garantit une grande rapidité et une grande fiabilité aussi bien pour les traitements des données que pour leur consultation multicritère.
Pour la prise en main de l'application, un manuel d'utilisateur a été proposé à la fin de ce document.
Mémoire Master d'ingénierie FI3. Systèmes d'information et représentation cartographique pour le suivi des indicateurs du programme de coopération UNICEF/Burkina Faso [texte imprimé] / Mamadou Billo KANTE . - 1999 . - 115p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Le système d'information géographique utilisé par l'UNICEF dans le cade du suivi des indicateurs de son programme de coopération avec le Burkina Faso est constitué de deux logiciels différents : un logiciel cartographique et un système de gestion de base de données. Mais la communication entre ces deux logiciels reste encore le point faible de ce système.
Le présent mémoire s'inscrit dans le cadre de l'amélioration des performances de cette application. Cette amélioration vise particulièrement l'automatisation du fonctionnement du système disponible à travers la réalisation des liens dynamiques entre les noyaux logiciels qui le composent et la mise en place des commandes permettant de passer directement d'un logiciel à l'autre.
Pour atteindre cet objectif, nous avons cherché, dans une première phase, à reconstituer les modèles du système qui est géré par l'application. Cette phase a été précédée d'une étude sommaire du programme de coopération et d'une analyse approfondie de l'existant. Cette étude préliminaire a permis non seulement d'avoir une représentation plus fidèle de la réalité mais aussi d'évaluer les atouts et les insuffisances de l'existant.
La nouvelle modélisation du système nous a conduit à modifier la structure de la base de données du système d'information afin de mieux l'adapter à l'automatisation. Cette réadaptation a consisté :
♦ à mettre en place toutes les relations nécessaires entre les différentes tables ;
♦ en un regroupement de certaines tables élémentaires ;
♦ en un ajout des "requêtes création", des "requêtes suppression" et des "requêtes ajout" ;
♦ à mettre en place des fichiers de liaison entre les logiciels ;
♦ à mettre en place des commandes permettant l'exécution des logiciels externes à partir de la base de données.
C'est à la suite de cette modification que nous avons établi la liaison entre la base de données et le logiciel cartographique par la mise en place des fichiers communs (dbase) qui sont rattachés à la fois aux deux logiciels.
La nouvelle application ainsi obtenue permet non seulement l'échange automatique des données entre les deux logiciels, mais aussi de lancer directement le logiciel de cartographie à partir de l'interface utilisateur de la base de données. En plus, elle garantit une grande rapidité et une grande fiabilité aussi bien pour les traitements des données que pour leur consultation multicritère.
Pour la prise en main de l'application, un manuel d'utilisateur a été proposé à la fin de ce document.
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KantéAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie FI3. Schéma directeur d'aménagement hydro-agricole de la commune de Nouna / Boniface MIAGOTO
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie FI3 Titre : Schéma directeur d'aménagement hydro-agricole de la commune de Nouna Type de document : texte imprimé Auteurs : Boniface MIAGOTO Année de publication : 1997 Importance : 96 p. Langues : Français (fre) Résumé : L'étude concerne le schéma directeur d'aménagement hydro-agricole de la commune de NOUNA, mais s'est étendue sur la province de la KOSSI. Après une brève monographie de la commune de NOUNA, il a été fait l'inventaire des ressources naturelles, notamment les ressources en eau, les ressources agricoles, forestières et fourragères.
Dans cette province, les eaux de surface ne sont presque pas encore mises en valeur, les besoins humains et pastoraux sont satisfaits par les eaux souterraines. L'utilisation de cette ressource est encore très limitée par rapport à sa potentialité. Les besoins actuels représentent 3.8% de la recharge de la nappe pour la province et 13.8% de la recharge pour la commune. Ils atteindront respectivement 5.7% et 21% de la recharge en l'an 2012.
La zone est considérée comme le grenier du pays, les potentialités des terres irrigables sont de 16 100 ha, soit 4.1% de la superficie cultivable qui est de 392 500 ha. La province est excédentaire en ressources fourragères, et possède d'importantes ressources forestières de la partie Nord-Ouest du BURKINA, mais qui sont menacées par l'extension des surfaces cultivées, des feux de brousse et des coupes de bois de chauffe.
Cet inventaire nous a éclairés sur la disponibilité des ressources naturelles, ce qui nous a permis de faire des propositions de mise en valeur des ressources en eau, aussi bien pour l'agriculture que pour l'élevage, étant donné la vocation agro-pastorale de la province.Mémoire Master d'ingénierie FI3. Schéma directeur d'aménagement hydro-agricole de la commune de Nouna [texte imprimé] / Boniface MIAGOTO . - 1997 . - 96 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : L'étude concerne le schéma directeur d'aménagement hydro-agricole de la commune de NOUNA, mais s'est étendue sur la province de la KOSSI. Après une brève monographie de la commune de NOUNA, il a été fait l'inventaire des ressources naturelles, notamment les ressources en eau, les ressources agricoles, forestières et fourragères.
Dans cette province, les eaux de surface ne sont presque pas encore mises en valeur, les besoins humains et pastoraux sont satisfaits par les eaux souterraines. L'utilisation de cette ressource est encore très limitée par rapport à sa potentialité. Les besoins actuels représentent 3.8% de la recharge de la nappe pour la province et 13.8% de la recharge pour la commune. Ils atteindront respectivement 5.7% et 21% de la recharge en l'an 2012.
La zone est considérée comme le grenier du pays, les potentialités des terres irrigables sont de 16 100 ha, soit 4.1% de la superficie cultivable qui est de 392 500 ha. La province est excédentaire en ressources fourragères, et possède d'importantes ressources forestières de la partie Nord-Ouest du BURKINA, mais qui sont menacées par l'extension des surfaces cultivées, des feux de brousse et des coupes de bois de chauffe.
Cet inventaire nous a éclairés sur la disponibilité des ressources naturelles, ce qui nous a permis de faire des propositions de mise en valeur des ressources en eau, aussi bien pour l'agriculture que pour l'élevage, étant donné la vocation agro-pastorale de la province.Réservation
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MIAGOTOAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie FI3. Production, conditionnement et commercialisation des fruits et légumes au Burkina Faso / Pierre Alfred LEBARAMO
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie FI3 Titre : Production, conditionnement et commercialisation des fruits et légumes au Burkina Faso : cas de FLEX FASO Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Alfred LEBARAMO Année de publication : 1997 Importance : 102 p. Langues : Français (fre) Résumé : La présente étude, réalisée dans le cadre du mémoire de fin d'études d'ingénieur de l'équipement rural, a pour objectifs :
- de faire un état des lieux et un diagnostic de la filière fruits et légumes au Burkina Faso et de l'entreprise Flex Faso
- de fournir un document de synthèse utile pour se faire une idée de cette filière au Burkina Faso.
L'ampleur du sujet n'a pas permis de faire un travail exhaustif dans le temps imparti, mais les aspects essentiels ont été abordés. En ce qui concerne Flex Faso , l'entreprise (étant en difficulté financière) n'a pas souhaité que les données comptables soient utilisées. Aussi l'étude de Flex Faso s'est portée sur la stratégie de gestion et d'organisation concernant la production, le conditionnement et la commercialisation. Par ailleurs un accent particulier a été mis sur l'étude des équipements techniques car cela relève de la compétence de l'ingénieur de l'équipement rural.
Il ressort de ce travail que la filière fruits et légumes est d'un apport important à l'économie agricole du Burkina Faso. La filière est confrontée à de sérieux problèmes :
- au niveau de la production : il y a des contraintes agro-pédologiques, climatiques, d'approvisionnement en matériel et intrants agricoles, et le manque de formation des producteurs
- au niveau du conditionnement: la chaîne du froid n'est pas respectée (le transport des fruits et légumes se fait sans camion frigorifique)
- la commercialisation sur le marché national est entièrement assurée par le secteur informel (seul Flex Faso intervient sur ce marché); il faudra organiser ce marché pour que sa participation à l'économie nationale soit canalisée (fourniture de données statistiques). En ce qui concerne le marché international les exportations se font essentiellement vers l'Europe. Les problèmes à l'exportation sont dues au fret aérien (coût élevé, volumes insuffisants...) et il faut chercher d'autres possibilités de transport. Les perspectives sont peu favorables car la concurrence va s'accroître sur le marché européen. Les pays de la sous-région offrent une alternative (ou une nouvelle possibilité) qu'il faudra prospecter car la dévaluation du F CFA favorise ces échanges.
Il apparaît aussi nécessaire d'améliorer le cadre de concertation entre les différents opérateurs de la filière.
En ce qui concerne Flex Faso, cette entreprise a des problèmes de gestion et de stratégie de développement. Il faudra qu'elle s'adapte à une stratégie d'entreprise privée et se rende plus compétitive. Pour cela les véhicules et tous les équipements amortis devront être renouvelés. La société Flex Faso devra souscrire également un nouveau contrat avec la SONABEL pour optimiser sa facture d'électricité. Une restructuration est même envisageable.Mémoire Master d'ingénierie FI3. Production, conditionnement et commercialisation des fruits et légumes au Burkina Faso : cas de FLEX FASO [texte imprimé] / Pierre Alfred LEBARAMO . - 1997 . - 102 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : La présente étude, réalisée dans le cadre du mémoire de fin d'études d'ingénieur de l'équipement rural, a pour objectifs :
- de faire un état des lieux et un diagnostic de la filière fruits et légumes au Burkina Faso et de l'entreprise Flex Faso
- de fournir un document de synthèse utile pour se faire une idée de cette filière au Burkina Faso.
L'ampleur du sujet n'a pas permis de faire un travail exhaustif dans le temps imparti, mais les aspects essentiels ont été abordés. En ce qui concerne Flex Faso , l'entreprise (étant en difficulté financière) n'a pas souhaité que les données comptables soient utilisées. Aussi l'étude de Flex Faso s'est portée sur la stratégie de gestion et d'organisation concernant la production, le conditionnement et la commercialisation. Par ailleurs un accent particulier a été mis sur l'étude des équipements techniques car cela relève de la compétence de l'ingénieur de l'équipement rural.
Il ressort de ce travail que la filière fruits et légumes est d'un apport important à l'économie agricole du Burkina Faso. La filière est confrontée à de sérieux problèmes :
- au niveau de la production : il y a des contraintes agro-pédologiques, climatiques, d'approvisionnement en matériel et intrants agricoles, et le manque de formation des producteurs
- au niveau du conditionnement: la chaîne du froid n'est pas respectée (le transport des fruits et légumes se fait sans camion frigorifique)
- la commercialisation sur le marché national est entièrement assurée par le secteur informel (seul Flex Faso intervient sur ce marché); il faudra organiser ce marché pour que sa participation à l'économie nationale soit canalisée (fourniture de données statistiques). En ce qui concerne le marché international les exportations se font essentiellement vers l'Europe. Les problèmes à l'exportation sont dues au fret aérien (coût élevé, volumes insuffisants...) et il faut chercher d'autres possibilités de transport. Les perspectives sont peu favorables car la concurrence va s'accroître sur le marché européen. Les pays de la sous-région offrent une alternative (ou une nouvelle possibilité) qu'il faudra prospecter car la dévaluation du F CFA favorise ces échanges.
Il apparaît aussi nécessaire d'améliorer le cadre de concertation entre les différents opérateurs de la filière.
En ce qui concerne Flex Faso, cette entreprise a des problèmes de gestion et de stratégie de développement. Il faudra qu'elle s'adapte à une stratégie d'entreprise privée et se rende plus compétitive. Pour cela les véhicules et tous les équipements amortis devront être renouvelés. La société Flex Faso devra souscrire également un nouveau contrat avec la SONABEL pour optimiser sa facture d'électricité. Une restructuration est même envisageable.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité LABARAMO Pierre-Alfred//0310 M. 0310 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Documents Disponible Documents numériques
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