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Série Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques
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Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude de la gestion d’une retenue d’eau et optimisation de son fonctionnement / Jeelin Godefroy BASKOUDA ESSOMBA
Titre de série : Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Etude de la gestion d’une retenue d’eau et optimisation de son fonctionnement : site pilote du barrage hydroélectrique de Mekin, région du Sud-Cameroun. Type de document : texte imprimé Auteurs : Jeelin Godefroy BASKOUDA ESSOMBA Année de publication : 2020 Importance : 73 p. Langues : Français (fre) Résumé : Le secteur de l'énergie au Cameroun est caractérisé par une offre insuffisante mais des gisements potentiels importants. Le pays dispose d’une capacité hydroélectrique impressionnante, pourtant seul 4% de ce riche potentiel est actuellement exploité. Avec des besoins qui croissent chaque année de 7,5%, de nombreux projets hydroélectriques pour accroître la production du pays ont vu le jour, notamment la construction de la centrale hydroélectrique de Mekin en vue d’augmenter la fourniture locale de l’énergie électrique, réduire la pression de la demande en électricité, étendre les opportunités d’emploi, dynamiser l’économie, développer l’industrie touristique et améliorer la qualité de vie des populations locales.
Notre étude a porté sur l’analyse des autres possibilités d’exploitation prévues sur le barrage de Mekin hormis sa fonction principale qui est la production hydraulique d’électricité, à travers une gestion rationnelle du réservoir d’eau de la retenue amont. L’approche méthodologique s’est basée principalement sur une revue bibliographique et la collecte des données de terrain. Ces différentes données hydrologiques nous ont permis d’établir un bilan de gestion rationnelle de la retenue en appréhendant d’autres usages qui pourraient naître à partir de cet ouvrage par des estimations prévisionnelles à l’horizon 2035, nous permettant ainsi de faire une simulation d’exploitation et faire des recommandations pour une gestion durable du barrage.
L’étude a montré que le barrage permettra de couvrir les différents besoins en eau pour l’alimentation en eau potable, l’irrigation et la pisciculture que nous avons estimés et projetés sans toutefois faillir à sa fonction principale qui est la production d’électricité. Cependant, une meilleure gestion et exploitation de l’eau disponible dans ce barrage permettra une maîtrise durable de cette ressource et surtout la préservation de la performance énergétique de l’ouvrage à long terme.
Abstract : The energy sector in Cameroon is characterized by insufficient supply but significant potential deposits. The country has an impressive hydropower capacity, yet only 4% of this rich potential is currently being exploited. With needs growing by 7.5% each year, many hydropower projects to increase the country's production have emerged, including the construction of the Mekin hydropower plant in order to increase the local supply of electric power, reduce the pressure of demand for electricity, expand employment opportunities, boost the economy, develop the tourism industry and improve the quality of life of local populations.
Our study focused on analyzing other operating possibilities planned for the Mekin dam apart from its main function, which is the hydraulic production of electricity, through rational management of the water reservoir of the upstream reservoir. The methodological approach was based mainly on a bibliographic review and the collection of field data. These different hydrologic data have enabled us to establish an assessment of the rational management of the reservoir by apprehending other uses that could arise from this work through provisional estimates by 2035, thus allowing us to carry out a simulation of operation and make recommendations for sustainable management of the dam.
The study has shown that the dam will cover the various water needs for drinking water supply, irrigation and fish farming that we have estimated and planned without however failing in its main function which is the production of electricity. However, better management and use of the water available in this dam will allow sustainable control of this resource and especially the preservation of the energy performance of the structure in the long term.Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude de la gestion d’une retenue d’eau et optimisation de son fonctionnement : site pilote du barrage hydroélectrique de Mekin, région du Sud-Cameroun. [texte imprimé] / Jeelin Godefroy BASKOUDA ESSOMBA . - 2020 . - 73 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Le secteur de l'énergie au Cameroun est caractérisé par une offre insuffisante mais des gisements potentiels importants. Le pays dispose d’une capacité hydroélectrique impressionnante, pourtant seul 4% de ce riche potentiel est actuellement exploité. Avec des besoins qui croissent chaque année de 7,5%, de nombreux projets hydroélectriques pour accroître la production du pays ont vu le jour, notamment la construction de la centrale hydroélectrique de Mekin en vue d’augmenter la fourniture locale de l’énergie électrique, réduire la pression de la demande en électricité, étendre les opportunités d’emploi, dynamiser l’économie, développer l’industrie touristique et améliorer la qualité de vie des populations locales.
Notre étude a porté sur l’analyse des autres possibilités d’exploitation prévues sur le barrage de Mekin hormis sa fonction principale qui est la production hydraulique d’électricité, à travers une gestion rationnelle du réservoir d’eau de la retenue amont. L’approche méthodologique s’est basée principalement sur une revue bibliographique et la collecte des données de terrain. Ces différentes données hydrologiques nous ont permis d’établir un bilan de gestion rationnelle de la retenue en appréhendant d’autres usages qui pourraient naître à partir de cet ouvrage par des estimations prévisionnelles à l’horizon 2035, nous permettant ainsi de faire une simulation d’exploitation et faire des recommandations pour une gestion durable du barrage.
L’étude a montré que le barrage permettra de couvrir les différents besoins en eau pour l’alimentation en eau potable, l’irrigation et la pisciculture que nous avons estimés et projetés sans toutefois faillir à sa fonction principale qui est la production d’électricité. Cependant, une meilleure gestion et exploitation de l’eau disponible dans ce barrage permettra une maîtrise durable de cette ressource et surtout la préservation de la performance énergétique de l’ouvrage à long terme.
Abstract : The energy sector in Cameroon is characterized by insufficient supply but significant potential deposits. The country has an impressive hydropower capacity, yet only 4% of this rich potential is currently being exploited. With needs growing by 7.5% each year, many hydropower projects to increase the country's production have emerged, including the construction of the Mekin hydropower plant in order to increase the local supply of electric power, reduce the pressure of demand for electricity, expand employment opportunities, boost the economy, develop the tourism industry and improve the quality of life of local populations.
Our study focused on analyzing other operating possibilities planned for the Mekin dam apart from its main function, which is the hydraulic production of electricity, through rational management of the water reservoir of the upstream reservoir. The methodological approach was based mainly on a bibliographic review and the collection of field data. These different hydrologic data have enabled us to establish an assessment of the rational management of the reservoir by apprehending other uses that could arise from this work through provisional estimates by 2035, thus allowing us to carry out a simulation of operation and make recommendations for sustainable management of the dam.
The study has shown that the dam will cover the various water needs for drinking water supply, irrigation and fish farming that we have estimated and planned without however failing in its main function which is the production of electricity. However, better management and use of the water available in this dam will allow sustainable control of this resource and especially the preservation of the energy performance of the structure in the long term.Exemplaires
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JeelinAdobe Acrobat PDF Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Identification et caractérisation quantitative et qualitative des émergences d’eaux souterraines dans le bassin de la Comoé / Mahougbé August Abdon KINGLO
Titre de série : Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Identification et caractérisation quantitative et qualitative des émergences d’eaux souterraines dans le bassin de la Comoé : bas-fond de Sindou Type de document : texte imprimé Auteurs : Mahougbé August Abdon KINGLO Année de publication : 2020 Importance : 115 p. Langues : Français (fre) Résumé : Les sources d’eau ou émergences souterraines constituent des écosystèmes importants. Malheureusement elles sont aussi les plus menacées, mal étudiées et mal protégées de la planète. La présente étude a concerné les sources d'eau du périmètre irrigué de Sindou, utilisées pour l’irrigation des spéculations agricole et vise à améliorer la connaissance des émergences d’eaux souterraines afin d’assurer leur gestion durable. A cet effet la démarche méthodologique a concerné premièrement l’étude diachronique de l’évolution des superficies agricoles ayant permis de déterminer la superficie du site d’étude, de faire l’inventaire des sources d’eau, et d’apprécier l’évolution des superficies agricoles. Il s’en est ressorti que la superficie du périmètre irrigué de Sindou est de 256,3 ha, abritant 12 sources d’émergences souterraines. De plus l'évolution des superficies cultivées de 1995 à 2020 est marquée par une tendance qui est globalement décroissante. Deuxièmement il s’est agi d’expliquer les conditions d’émergences des sources au travers de l’étude du contexte géologique, tectonique, hydrogéologique, géomorphologique et de l’équilibre calco-carbonique et des âges relatifs des eaux. Il en ressort que l’intrusion du CMA (Complexe Métamorphique Anatectique de Yendéré) s’accompagnerait de phénomènes de fracturation qui conduirait à l’émergence de ces eaux donnant naissance aux zones d’émergence constituée des sources n°1, n°2, n°3, n°7, n°8, n°9 et n°11. Les coupes topographiques réalisées à proximité des sources n°10, n°4, n°5, n°6 montrent un changement de pente brusque suivi de l’affleurement du socle birimien, justifiant l’écoulement des eaux au niveau des grès fracturés en surface. Sur la base de l’étude hydrochimique l’ensemble des eaux de ces sources est adapté à l’agriculture et seraient des eaux récentes qui proviendraient d’une part des eaux de la pluie, de la nappe superficielle et des eaux souterraines (Kawara-Sindou). Deuxièmement l’étude quantitative réalisé révèle que les sources d'eau constituent une ressource en eau pouvant fournir un débit égal à 65,55m3/h avec un volume d’eau mobilisable de 235980 m3 pour la campagne sèche (150j). La détermination des paramètres hydrodynamiques a montré une transmissivité moyenne de 2,4.10-4m2/s et un coefficient d’emmagasinement moyen de SA=1.10-3 et SB=7,4.10-2. Les besoins en eau évalués pour la saison sèche s’élèvent à 2391270 m3 pour une superficie de 202 ha de riz et une efficience théorique de 70 %. La ressource en eau constituée par les sources ne permet pas de satisfaire ce besoin, un recours à la nappe superficielle a donc été trouvé nécessaire.
Abstract : Underground water sources or emergencies are important ecosystems. Unfortunately, they are also the most threatened, poorly studied and poorly protected on the planet. The present study concerned the water sources of the irrigated perimeter of Sindou, used for the irrigation of agricultural speculations and aims at improving the knowledge of groundwater emergences in order to ensure their sustainable management. To this end, the methodological approach concerned firstly the diachronic study of the evolution of the agricultural surfaces which made it possible to determine the surface area of the study site, to make an inventory of the water sources, and to assess the evolution of the agricultural surfaces. It emerged that the surface area of the irrigated perimeter of Sindou is 256.3 ha, sheltering 12 underground springs. Moreover, the evolution of cultivated areas from 1995 to 2020 is marked by a trend that is globally decreasing. Secondly, it was a question of explaining the conditions of emergence of the springs through the study of the geological, tectonic, hydrogeological, geomorphological context, the calco-carbonic balance and the relative ages of the waters. It emerges that the intrusion of the CMA (Yendéré Anatectic Metamorphic Complex) would be accompanied by fracturing phenomena that would lead to the emergence of these waters giving rise to the emergence zones consisting of springs n°1, n°2, n°3, n°7, n°8, n°9 and n°11. The topographic sections carried out near springs n°10, n°4, n°5, n°6 show a sudden change in slope followed by the outcrop of the Birimian base, justifying the flow of water at the level of the fractured sandstones on the surface. On the basis of the hydrochemical study, all the water from these springs is suitable for agriculture and would be recent water coming from rainwater, surface water and groundwater (Kawara-Sindou). Secondly, the quantitative study carried out reveals that the water sources constitute a water resource that can provide a flow rate equal to 65.55m3/h with a volume of water that can be mobilised of 235980 m3 for the dry season (150 days). The determination of the hydrodynamic parameters showed an average transmissivity of 2.4.10-4m2/s and an average storage coefficient of SA=1.10-3 and SB=7.4.10-2. The estimated water needs for the dry season amount to 2391270 m3 for an area of 202 ha of rice and a theoretical efficiency of 70%. The water resource constituted by the springs does not allow to satisfy this need, a recourse to the surface water table was thus found necessary.Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Identification et caractérisation quantitative et qualitative des émergences d’eaux souterraines dans le bassin de la Comoé : bas-fond de Sindou [texte imprimé] / Mahougbé August Abdon KINGLO . - 2020 . - 115 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Les sources d’eau ou émergences souterraines constituent des écosystèmes importants. Malheureusement elles sont aussi les plus menacées, mal étudiées et mal protégées de la planète. La présente étude a concerné les sources d'eau du périmètre irrigué de Sindou, utilisées pour l’irrigation des spéculations agricole et vise à améliorer la connaissance des émergences d’eaux souterraines afin d’assurer leur gestion durable. A cet effet la démarche méthodologique a concerné premièrement l’étude diachronique de l’évolution des superficies agricoles ayant permis de déterminer la superficie du site d’étude, de faire l’inventaire des sources d’eau, et d’apprécier l’évolution des superficies agricoles. Il s’en est ressorti que la superficie du périmètre irrigué de Sindou est de 256,3 ha, abritant 12 sources d’émergences souterraines. De plus l'évolution des superficies cultivées de 1995 à 2020 est marquée par une tendance qui est globalement décroissante. Deuxièmement il s’est agi d’expliquer les conditions d’émergences des sources au travers de l’étude du contexte géologique, tectonique, hydrogéologique, géomorphologique et de l’équilibre calco-carbonique et des âges relatifs des eaux. Il en ressort que l’intrusion du CMA (Complexe Métamorphique Anatectique de Yendéré) s’accompagnerait de phénomènes de fracturation qui conduirait à l’émergence de ces eaux donnant naissance aux zones d’émergence constituée des sources n°1, n°2, n°3, n°7, n°8, n°9 et n°11. Les coupes topographiques réalisées à proximité des sources n°10, n°4, n°5, n°6 montrent un changement de pente brusque suivi de l’affleurement du socle birimien, justifiant l’écoulement des eaux au niveau des grès fracturés en surface. Sur la base de l’étude hydrochimique l’ensemble des eaux de ces sources est adapté à l’agriculture et seraient des eaux récentes qui proviendraient d’une part des eaux de la pluie, de la nappe superficielle et des eaux souterraines (Kawara-Sindou). Deuxièmement l’étude quantitative réalisé révèle que les sources d'eau constituent une ressource en eau pouvant fournir un débit égal à 65,55m3/h avec un volume d’eau mobilisable de 235980 m3 pour la campagne sèche (150j). La détermination des paramètres hydrodynamiques a montré une transmissivité moyenne de 2,4.10-4m2/s et un coefficient d’emmagasinement moyen de SA=1.10-3 et SB=7,4.10-2. Les besoins en eau évalués pour la saison sèche s’élèvent à 2391270 m3 pour une superficie de 202 ha de riz et une efficience théorique de 70 %. La ressource en eau constituée par les sources ne permet pas de satisfaire ce besoin, un recours à la nappe superficielle a donc été trouvé nécessaire.
Abstract : Underground water sources or emergencies are important ecosystems. Unfortunately, they are also the most threatened, poorly studied and poorly protected on the planet. The present study concerned the water sources of the irrigated perimeter of Sindou, used for the irrigation of agricultural speculations and aims at improving the knowledge of groundwater emergences in order to ensure their sustainable management. To this end, the methodological approach concerned firstly the diachronic study of the evolution of the agricultural surfaces which made it possible to determine the surface area of the study site, to make an inventory of the water sources, and to assess the evolution of the agricultural surfaces. It emerged that the surface area of the irrigated perimeter of Sindou is 256.3 ha, sheltering 12 underground springs. Moreover, the evolution of cultivated areas from 1995 to 2020 is marked by a trend that is globally decreasing. Secondly, it was a question of explaining the conditions of emergence of the springs through the study of the geological, tectonic, hydrogeological, geomorphological context, the calco-carbonic balance and the relative ages of the waters. It emerges that the intrusion of the CMA (Yendéré Anatectic Metamorphic Complex) would be accompanied by fracturing phenomena that would lead to the emergence of these waters giving rise to the emergence zones consisting of springs n°1, n°2, n°3, n°7, n°8, n°9 and n°11. The topographic sections carried out near springs n°10, n°4, n°5, n°6 show a sudden change in slope followed by the outcrop of the Birimian base, justifying the flow of water at the level of the fractured sandstones on the surface. On the basis of the hydrochemical study, all the water from these springs is suitable for agriculture and would be recent water coming from rainwater, surface water and groundwater (Kawara-Sindou). Secondly, the quantitative study carried out reveals that the water sources constitute a water resource that can provide a flow rate equal to 65.55m3/h with a volume of water that can be mobilised of 235980 m3 for the dry season (150 days). The determination of the hydrodynamic parameters showed an average transmissivity of 2.4.10-4m2/s and an average storage coefficient of SA=1.10-3 and SB=7.4.10-2. The estimated water needs for the dry season amount to 2391270 m3 for an area of 202 ha of rice and a theoretical efficiency of 70%. The water resource constituted by the springs does not allow to satisfy this need, a recourse to the surface water table was thus found necessary.Exemplaires
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KingloAdobe Acrobat PDF Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Impact de la riziculture péri-urbaine sur la pollution des eaux / Maanou Rosella Axiane MANTORO
Titre de série : Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Impact de la riziculture péri-urbaine sur la pollution des eaux : cas de Boulbi dans la province du Kadiogo au Burkina Faso Type de document : texte imprimé Auteurs : Maanou Rosella Axiane MANTORO Année de publication : 2020 Importance : 91 p. Langues : Français (fre) Résumé : La présente étude a été menée sur la plaine rizicole de Boulbi dans la province du Kadiogo au Burkina Faso. Notre travail a pour objectif principal, l’évaluation de l’impact des activités culturales sur la qualité des eaux de la plaine. Pour y arriver, il a d’abord fallu, caractériser la perméabilité du sol et estimer la recharge annuelle de l’aquifère par le bilan de Thornthwaite. Ensuite des investigations ont été menées sur les pratiques d’utilisation des produits phytosanitaires et des engrais. Suivis d’une analyse chimique des eaux de la plaine. Au total Six paramètres physico-chimiques (pH, conductivité électrique, Phosphore, Nitrate, Sulfates et Potassium) ont été mesurées. En fin, grâce à l’outil SIG (ARCGIS), la vulnérabilité de la nappe superficielle à la pollution agricole a été cartographiée par les méthodes DRASTIC, GOD et SI. Les essais d’infiltrométrie montrent une conductivité hydraulique moyenne à saturation du sol d’environ 3.05 mm/h traduisant un sol argilo-limoneux. La recharge annuelle est évaluée à environ 68.48 mm soit 7% de la pluie. Les résultats des enquêtes ont mis en évidence l’application d’une vingtaine de produits phytosanitaires (herbicides et insecticides) et engrais chimiques de type NPK et Urée, pour le traitement des champs. L’analyse des 32 échantillons ont permis d’avoir des résultats montrant des niveaux de contamination faible : pH (8,7 - 6,9), Conductivité électrique (271 - 136 µs/cm), Phosphore (0,18 - 0,02 mg/L), Nitrate (34,8 - 1,3 mg/L), Sulfate (3 - 0 mg/L), Potassium (8,88 - 1,66 mg/L). Cependant des fortes corrélations ont été trouvées : 0.92 entre la conductivité et le nitrate dans les eaux souterraines, et 0.79 entre le sulfate et le potassium. L’utilisation des méthodes de cartographie ont révélées des classes de vulnérabilité faible sur toute l’étendue de la plaine, du fait de la nature argileuse du sol et de la topographie plane (0-4%), mais toutefois les risques de contamination dus aux pesticides restent possibles.
Abstract : This study was conducted on the Boulbi rice plain in The Province of Kadiogo in Burkina Faso. Our main objective is to assess the impact of cultural activities on the water quality of the plain. To achieve this, it was first necessary to characterize the permeability of the soil and estimate the annual recharge of the aquifer by the Thornthwaite balance sheet. Subsequently, investigations were carried out into the practices of the use of plant protection products and fertilizers. Followed by a chemical analysis of the waters of the plain. Altogether Six physical-chemical parameters (pH, electrical conductivity, phosphorus, nitrate, sulphates and potassium) were measured. In the end, thanks to the GIS tool (ARCGIS), the vulnerability of the surface table to agricultural pollution was mapped by the drastic, GOD and SI methods. Infiltrometry tests show an average soil saturation hydraulic conductivity of about 3.05 mm/h reflecting clay-limestone soil. The annual recharge is estimated at about 68.48 mm or 7% of the rain. The results of the surveys revealed the application of about 20 phytosanitary products (herbicides and insecticides) and chemical fertilizers such as NPK and Urea, for the treatment of fields. Analysis of the 32 samples resulted in results showing low levels of contamination: pH (8.7 - 6.9), Conductivity (271 - 136 's/cm), Phosphorus (0.18 - 0.02 mg/L), Nitrate (34.8 - 1.3 mg/L), Sulphate (3 - 0 mg/L), Potassium (8.88 - 1.66 mg/L). However strong correlations were found: 0.92 between conductivity and nitrate in groundwater, and 0.79 between sulphate and potassium. The use of mapping methods revealed low-vulnerability classes throughout the plain, due to the clay nature of the soil and flat topography (0-4%), but the risks of pesticide contamination remain possible.Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Impact de la riziculture péri-urbaine sur la pollution des eaux : cas de Boulbi dans la province du Kadiogo au Burkina Faso [texte imprimé] / Maanou Rosella Axiane MANTORO . - 2020 . - 91 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : La présente étude a été menée sur la plaine rizicole de Boulbi dans la province du Kadiogo au Burkina Faso. Notre travail a pour objectif principal, l’évaluation de l’impact des activités culturales sur la qualité des eaux de la plaine. Pour y arriver, il a d’abord fallu, caractériser la perméabilité du sol et estimer la recharge annuelle de l’aquifère par le bilan de Thornthwaite. Ensuite des investigations ont été menées sur les pratiques d’utilisation des produits phytosanitaires et des engrais. Suivis d’une analyse chimique des eaux de la plaine. Au total Six paramètres physico-chimiques (pH, conductivité électrique, Phosphore, Nitrate, Sulfates et Potassium) ont été mesurées. En fin, grâce à l’outil SIG (ARCGIS), la vulnérabilité de la nappe superficielle à la pollution agricole a été cartographiée par les méthodes DRASTIC, GOD et SI. Les essais d’infiltrométrie montrent une conductivité hydraulique moyenne à saturation du sol d’environ 3.05 mm/h traduisant un sol argilo-limoneux. La recharge annuelle est évaluée à environ 68.48 mm soit 7% de la pluie. Les résultats des enquêtes ont mis en évidence l’application d’une vingtaine de produits phytosanitaires (herbicides et insecticides) et engrais chimiques de type NPK et Urée, pour le traitement des champs. L’analyse des 32 échantillons ont permis d’avoir des résultats montrant des niveaux de contamination faible : pH (8,7 - 6,9), Conductivité électrique (271 - 136 µs/cm), Phosphore (0,18 - 0,02 mg/L), Nitrate (34,8 - 1,3 mg/L), Sulfate (3 - 0 mg/L), Potassium (8,88 - 1,66 mg/L). Cependant des fortes corrélations ont été trouvées : 0.92 entre la conductivité et le nitrate dans les eaux souterraines, et 0.79 entre le sulfate et le potassium. L’utilisation des méthodes de cartographie ont révélées des classes de vulnérabilité faible sur toute l’étendue de la plaine, du fait de la nature argileuse du sol et de la topographie plane (0-4%), mais toutefois les risques de contamination dus aux pesticides restent possibles.
Abstract : This study was conducted on the Boulbi rice plain in The Province of Kadiogo in Burkina Faso. Our main objective is to assess the impact of cultural activities on the water quality of the plain. To achieve this, it was first necessary to characterize the permeability of the soil and estimate the annual recharge of the aquifer by the Thornthwaite balance sheet. Subsequently, investigations were carried out into the practices of the use of plant protection products and fertilizers. Followed by a chemical analysis of the waters of the plain. Altogether Six physical-chemical parameters (pH, electrical conductivity, phosphorus, nitrate, sulphates and potassium) were measured. In the end, thanks to the GIS tool (ARCGIS), the vulnerability of the surface table to agricultural pollution was mapped by the drastic, GOD and SI methods. Infiltrometry tests show an average soil saturation hydraulic conductivity of about 3.05 mm/h reflecting clay-limestone soil. The annual recharge is estimated at about 68.48 mm or 7% of the rain. The results of the surveys revealed the application of about 20 phytosanitary products (herbicides and insecticides) and chemical fertilizers such as NPK and Urea, for the treatment of fields. Analysis of the 32 samples resulted in results showing low levels of contamination: pH (8.7 - 6.9), Conductivity (271 - 136 's/cm), Phosphorus (0.18 - 0.02 mg/L), Nitrate (34.8 - 1.3 mg/L), Sulphate (3 - 0 mg/L), Potassium (8.88 - 1.66 mg/L). However strong correlations were found: 0.92 between conductivity and nitrate in groundwater, and 0.79 between sulphate and potassium. The use of mapping methods revealed low-vulnerability classes throughout the plain, due to the clay nature of the soil and flat topography (0-4%), but the risks of pesticide contamination remain possible.Exemplaires
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MantoroAdobe Acrobat PDF Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude de la résilience des ménages agricoles de la province du Bam face aux effets de la variabilité climatique (Burkina Faso) / Rachel Dorcas NOMBRE
Titre de série : Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Etude de la résilience des ménages agricoles de la province du Bam face aux effets de la variabilité climatique (Burkina Faso) Type de document : texte imprimé Auteurs : Rachel Dorcas NOMBRE Année de publication : 2020 Importance : 84 p. Langues : Français (fre) Résumé : Malgré une croissance économique vigoureuse ces dernières années, le spectre de l’insécurité alimentaire plane au Burkina Faso. Les ménages agricoles sahéliens dont l’essentiel des revenus est tiré d’une agriculture pluviale font de plus en plus face à une variabilité climatique impactant négativement le rendement agricole. Cependant il est important de reconnaitre que le degré de vulnérabilité varie d’un ménage à l’autre car ils perçoivent et s’adaptent différemment au risque climatique. Au sahel, l’indice de vulnérabilité alimentaire développé par le CILSS permet de calculer la vulnérabilité des ménages et les classifier comme suit : les Très vulnérables qui ne couvrent que 90% de leurs besoins, les Vulnérables entre 90 et 110% et les Peu vulnérables qui couvrent plus de 110% de leurs besoins. Pour élaborer une typologie de ces ménages en ce qui concerne leur résilience, les techniques d’analyse multidimensionnelle ont été utilisées sur un échantillon stratifié de 100 ménages dans la commune de Kongoussi. Cette analyse montre que le premier axe qui fait la différence fait référence à la capacité nutritionnelle des ménages d’une année à l’autre tandis-que le deuxième axe se rapporte à leur degré de vulnérabilité. Il en résulte donc quatre groupes homogènes de ménages nommés selon les activités ou les aspects qui les caractérisent le mieux. Ce sont : les Familles élargies (Très vulnérables), les Pluriactifs (Très vulnérables), les Agro-pasteurs (Vulnérables) et les Autosuffisants (Peu vulnérables). Cependant, ces groupes ont opté pour des voies d’adaptation contrastées qui influent sur leur vulnérabilité. Il se dégage alors que ces ménages sont peu résilients à la variabilité climatique et que cette situation pourrait se dégrader à l’avenir suite à l’occupation actuelle des terres arables par des déplacés. Par ailleurs, la simulation de la dynamique de vulnérabilité de ces ménages sous l’effet du climat, faite à partir d’un modèle compartimentale a montré qu’une amélioration de la résilience des ménages agricoles est envisageable à l’avenir. En effet le taux des Peu vulnérables variera entre 58% et 70% de 2020-2051, puis 69,75% et 74% jusqu’en 2065 avant de tourner autour de 80% au-delà de 2065. Tandis-que le taux des Très vulnérables variera entre 33,22% et 23,45% de 2020-2051, puis 20% et 24,4% jusqu’en 2065 avant d’avoisiner les 15% au-delà de 2065. Quant au taux des Vulnérables, il variera relativement entre 10% et 5% jusqu’en 2065 puis tendra à s’annuler au-delà.
Abstract : Despite vigorous economic growth in recent years, the spectrum of food insecurity looms over the land of Burkina Faso. Sahelian farm households whose income is derived mainly from rain-fed agriculture are increasingly facing climate variability that negatively impacts agricultural yields. However, it is important to recognize that the degree of vulnerability varies from one household to another because they perceive and adapt to climate risk differently. In the Sahel, the food vulnerability index developed by the CILSS makes it possible to calculate the vulnerability of households and to classify them as follows: the More Vulnerable who cover only 90% of their needs, the Vulnerable between 90 and 110%, and the Less Vulnerable who cover more than 110% of their needs. To develop a typology of these households with regard to their degrees of vulnerability, their adaptation strategies and preferred policies, multidimensional analysis techniques were used on a stratified sample of 100 households in the commune of Kongoussi. This analysis shows that the first axis that makes the difference is defined by the nutritional capacity of households from one year to the next, while the second axis relates to the degree of vulnerability of these households. These results made it possible to divide the households into four homogeneous groups named according to the activities or aspects that best characterize them. These are: Extended Families (More Vulnerable), Pluri-active (More Vulnerable), Agro-pastoralists (Vulnerable) and Self-sufficient (Less Vulnerable). However, these groups have opted for contrasting adaptation pathways that affect their vulnerability. It emerges that these households are not very resilient to climate variability and that this situation could deteriorate in the future as a result of the current occupation of arable land by displaced people. Furthermore, the simulation of the vulnerability dynamics of these households under the effect of the climate, made from a compartmental model, has shown that an improvement in the resilience of farm households is conceivable in the future. In fact, the rate of Less Vulnerable will vary between 58% and 70% from 2020-2051, then 69.75% and 74% up to 2065 before turning around 80% after 2065. While the rate of the More Vulnerable will vary between 33.22% and 23.45% from 2020-2051, then 20% and 24.4% until 2065, and then around 15% after 2065. As for the rate of Vulnerable, it will vary relatively between 10% and 5% until 2065 and then tend to cancel out beyond 2065.Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude de la résilience des ménages agricoles de la province du Bam face aux effets de la variabilité climatique (Burkina Faso) [texte imprimé] / Rachel Dorcas NOMBRE . - 2020 . - 84 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Malgré une croissance économique vigoureuse ces dernières années, le spectre de l’insécurité alimentaire plane au Burkina Faso. Les ménages agricoles sahéliens dont l’essentiel des revenus est tiré d’une agriculture pluviale font de plus en plus face à une variabilité climatique impactant négativement le rendement agricole. Cependant il est important de reconnaitre que le degré de vulnérabilité varie d’un ménage à l’autre car ils perçoivent et s’adaptent différemment au risque climatique. Au sahel, l’indice de vulnérabilité alimentaire développé par le CILSS permet de calculer la vulnérabilité des ménages et les classifier comme suit : les Très vulnérables qui ne couvrent que 90% de leurs besoins, les Vulnérables entre 90 et 110% et les Peu vulnérables qui couvrent plus de 110% de leurs besoins. Pour élaborer une typologie de ces ménages en ce qui concerne leur résilience, les techniques d’analyse multidimensionnelle ont été utilisées sur un échantillon stratifié de 100 ménages dans la commune de Kongoussi. Cette analyse montre que le premier axe qui fait la différence fait référence à la capacité nutritionnelle des ménages d’une année à l’autre tandis-que le deuxième axe se rapporte à leur degré de vulnérabilité. Il en résulte donc quatre groupes homogènes de ménages nommés selon les activités ou les aspects qui les caractérisent le mieux. Ce sont : les Familles élargies (Très vulnérables), les Pluriactifs (Très vulnérables), les Agro-pasteurs (Vulnérables) et les Autosuffisants (Peu vulnérables). Cependant, ces groupes ont opté pour des voies d’adaptation contrastées qui influent sur leur vulnérabilité. Il se dégage alors que ces ménages sont peu résilients à la variabilité climatique et que cette situation pourrait se dégrader à l’avenir suite à l’occupation actuelle des terres arables par des déplacés. Par ailleurs, la simulation de la dynamique de vulnérabilité de ces ménages sous l’effet du climat, faite à partir d’un modèle compartimentale a montré qu’une amélioration de la résilience des ménages agricoles est envisageable à l’avenir. En effet le taux des Peu vulnérables variera entre 58% et 70% de 2020-2051, puis 69,75% et 74% jusqu’en 2065 avant de tourner autour de 80% au-delà de 2065. Tandis-que le taux des Très vulnérables variera entre 33,22% et 23,45% de 2020-2051, puis 20% et 24,4% jusqu’en 2065 avant d’avoisiner les 15% au-delà de 2065. Quant au taux des Vulnérables, il variera relativement entre 10% et 5% jusqu’en 2065 puis tendra à s’annuler au-delà.
Abstract : Despite vigorous economic growth in recent years, the spectrum of food insecurity looms over the land of Burkina Faso. Sahelian farm households whose income is derived mainly from rain-fed agriculture are increasingly facing climate variability that negatively impacts agricultural yields. However, it is important to recognize that the degree of vulnerability varies from one household to another because they perceive and adapt to climate risk differently. In the Sahel, the food vulnerability index developed by the CILSS makes it possible to calculate the vulnerability of households and to classify them as follows: the More Vulnerable who cover only 90% of their needs, the Vulnerable between 90 and 110%, and the Less Vulnerable who cover more than 110% of their needs. To develop a typology of these households with regard to their degrees of vulnerability, their adaptation strategies and preferred policies, multidimensional analysis techniques were used on a stratified sample of 100 households in the commune of Kongoussi. This analysis shows that the first axis that makes the difference is defined by the nutritional capacity of households from one year to the next, while the second axis relates to the degree of vulnerability of these households. These results made it possible to divide the households into four homogeneous groups named according to the activities or aspects that best characterize them. These are: Extended Families (More Vulnerable), Pluri-active (More Vulnerable), Agro-pastoralists (Vulnerable) and Self-sufficient (Less Vulnerable). However, these groups have opted for contrasting adaptation pathways that affect their vulnerability. It emerges that these households are not very resilient to climate variability and that this situation could deteriorate in the future as a result of the current occupation of arable land by displaced people. Furthermore, the simulation of the vulnerability dynamics of these households under the effect of the climate, made from a compartmental model, has shown that an improvement in the resilience of farm households is conceivable in the future. In fact, the rate of Less Vulnerable will vary between 58% and 70% from 2020-2051, then 69.75% and 74% up to 2065 before turning around 80% after 2065. While the rate of the More Vulnerable will vary between 33.22% and 23.45% from 2020-2051, then 20% and 24.4% until 2065, and then around 15% after 2065. As for the rate of Vulnerable, it will vary relatively between 10% and 5% until 2065 and then tend to cancel out beyond 2065.Exemplaires
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DorcasAdobe Acrobat PDF Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude technique d’avant-projet détaillé de la construction du barrage de Doumbala, province de la Kossi, Burkina Faso / Yoann Renaud OUATTARA
Titre de série : Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Etude technique d’avant-projet détaillé de la construction du barrage de Doumbala, province de la Kossi, Burkina Faso Type de document : texte imprimé Auteurs : Yoann Renaud OUATTARA Année de publication : 2020 Importance : 133 p. Langues : Français (fre) Résumé : Ce mémoire présente les études techniques d’avant-projet détaillé de la conception du barrage de Doumbala, situé dans la province de la Kossi, région de la boucle du Mouhoun, au Burkina Faso.
Ce petit barrage est constitué d’une digue en terre homogène longue de 690 m, avec une hauteur de maximale 5,10 m, calée à la côte 304,85 m et une largeur en crête de 3,50 m. Il est composé également un déversoir poids centrale, long de 155 m et évacuant un débit de 218,90 m3/s. Sa capacité de stockage au Plan d’Eau Normal (PEN) est de 525 942 m3 d’eau.
La tranchée d’ancrage variant de 0,5 m à 3 m de profondeur le long de la digue.
A l’aval, son bassin de dissipation à ressaut du type II est situé au seuil du déversoir avec une profondeur de 1 m et d’une longueur de 2,5 m ; ce qui permet de dissiper l’énergie cinétique de l’eau avant de la restituer dans le lit du marigot par deux diguettes de protection.
Les besoins en eau domestique et pastoraux pourront être satisfaits sur seize ans. En outre, le barrage permettra d’irriguer 5 ha d’oignon et abreuver les animaux. La spéculation retenue est l’oignon. À cet effet, un ouvrage de prise situé en rive droite et long de 20 m avec comme diamètre 355 mm sera réalisé.
Le cout global de l’ouvrage est estimé à 481 987 170 CFA.
Abstract : This dissertation presents the detailed engineering design studies of the design of the Doumbala Dam, located in the Kossi Province, Mouhoun Loop Region, Burkina Faso.
This small dam consists of a homogeneous earth dam 690 m long, with a maximum height of 5.10 m, wedged to the coast 304.85 m and a crest width of 3.50 m. It is also composed of a center weight weir, 155 m long and discharging a flow of 214.53 m3 / s. Its storage capacity in the Normal Water Plan (PEN) is 525 942 m3 of water.
The anchor trench varies from 0.5 m to 3 m deep along the dike.
Downstream, its Type II surge tank is located at the weir's threshold with a depth of 1 m and a length of 2.5 m; This allows the kinetic energy of the water to be dissipated before returning it to the backwater bed by means of two protective bunds.
Domestic and pastoral water needs can be met over sixteen years. In addition, the dam will irrigate 5 ha of onion and water the animals. The speculation retained is green beans. For this purpose, a catch structure located on the left bank and 20 m long with 355 mm diameter will be realized.
The overall cost of the structure is estimated at 481 987 170 CFA.Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude technique d’avant-projet détaillé de la construction du barrage de Doumbala, province de la Kossi, Burkina Faso [texte imprimé] / Yoann Renaud OUATTARA . - 2020 . - 133 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Ce mémoire présente les études techniques d’avant-projet détaillé de la conception du barrage de Doumbala, situé dans la province de la Kossi, région de la boucle du Mouhoun, au Burkina Faso.
Ce petit barrage est constitué d’une digue en terre homogène longue de 690 m, avec une hauteur de maximale 5,10 m, calée à la côte 304,85 m et une largeur en crête de 3,50 m. Il est composé également un déversoir poids centrale, long de 155 m et évacuant un débit de 218,90 m3/s. Sa capacité de stockage au Plan d’Eau Normal (PEN) est de 525 942 m3 d’eau.
La tranchée d’ancrage variant de 0,5 m à 3 m de profondeur le long de la digue.
A l’aval, son bassin de dissipation à ressaut du type II est situé au seuil du déversoir avec une profondeur de 1 m et d’une longueur de 2,5 m ; ce qui permet de dissiper l’énergie cinétique de l’eau avant de la restituer dans le lit du marigot par deux diguettes de protection.
Les besoins en eau domestique et pastoraux pourront être satisfaits sur seize ans. En outre, le barrage permettra d’irriguer 5 ha d’oignon et abreuver les animaux. La spéculation retenue est l’oignon. À cet effet, un ouvrage de prise situé en rive droite et long de 20 m avec comme diamètre 355 mm sera réalisé.
Le cout global de l’ouvrage est estimé à 481 987 170 CFA.
Abstract : This dissertation presents the detailed engineering design studies of the design of the Doumbala Dam, located in the Kossi Province, Mouhoun Loop Region, Burkina Faso.
This small dam consists of a homogeneous earth dam 690 m long, with a maximum height of 5.10 m, wedged to the coast 304.85 m and a crest width of 3.50 m. It is also composed of a center weight weir, 155 m long and discharging a flow of 214.53 m3 / s. Its storage capacity in the Normal Water Plan (PEN) is 525 942 m3 of water.
The anchor trench varies from 0.5 m to 3 m deep along the dike.
Downstream, its Type II surge tank is located at the weir's threshold with a depth of 1 m and a length of 2.5 m; This allows the kinetic energy of the water to be dissipated before returning it to the backwater bed by means of two protective bunds.
Domestic and pastoral water needs can be met over sixteen years. In addition, the dam will irrigate 5 ha of onion and water the animals. The speculation retained is green beans. For this purpose, a catch structure located on the left bank and 20 m long with 355 mm diameter will be realized.
The overall cost of the structure is estimated at 481 987 170 CFA.Exemplaires
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YoannAdobe Acrobat PDF Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude de conception d’un périmètre irrigue de 50 ha de type semi-californien aux abords du fleuve Sourou dans la boucle du Mouhoun au Burkina Faso / Théodore COMPAORE
Titre de série : Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Etude de conception d’un périmètre irrigue de 50 ha de type semi-californien aux abords du fleuve Sourou dans la boucle du Mouhoun au Burkina Faso : site de SONO Type de document : texte imprimé Auteurs : Théodore COMPAORE Année de publication : 2018 Importance : 90 p. Langues : Français (fre) Résumé : L’aménagement du site de Sono aura pour objectif de favoriser l’introduction de culture maraichère et de soutenir le développement des activités socio-économiques.
Après avoir présenté la zone d’étude et situer le contexte de ce présent aménagement, nous avons fait l’étude socio-économique dans laquelle les spéculations retenues sont la tomate et l’oignon en contre saison et le maïs en hivernage. En effet le système d’aménagement proposé est de type semi-californien et est composé :
D’un réseau d’irrigation dans lequel on a une conduite de refoulement de diamètre nominale 200 mm, Deux (02) conduites primaires de diamètre 130 mm et quatre (4) conduites secondaires de longueur 150m par bassin et de diamètre nominale 125 mm, tous en PVC et des canaux arroseurs en terre ; cinq (5) bassins partiteurs calés respectivement à la cote 255.26m, 255.32m, 255.40m, 255.42m, 255.80m du radier et des prises doubles à la tête des parcelles ;
D’un réseau de drainage comportant 16 drains secondaires, un drain principal, et une colature de ceinture pour évacuer les eaux excédentaires du périmètre. Les parcelles d’une superficie de 0.25 ha chacune sont réparties sur cinq blocs du périmètre avec une superficie de 10ha par bloc. Il est prévu aussi 2000m de pistes principales et 250m de pistes secondaires et des ouvrages annexes comme le magasin de stockage et des latrines pour les exploitants du périmètre. Le débit d’équipement du réseau est de 3.52 l/s/ha et la pompe débite 72 m3/h. Le cout global de l’aménagement s’élève à un montant total de 440 679 024 FCFA soit 8 813 580 FCFA à l’hectare.
Abstract : The planning of the Sono site will aim to promote the introduction of market gardening and support the development of socio-economic activities.
After presenting the study area and setting the context of this development, we made the socio-economoic study in which the speculations retained are tomato nd onion in off-season and maize in winter. Indeed, the proposed management system is of the semi-californien type and is composed of :
An irrigation network in which there is a discharge pipe of DN 200 mm, two (02) primary pipes of DN 130 mm and four (4) secondary pipes of length 150m, all made in PVC and sprinklers canals in the ground; five (5) pools diverter respectively propped up to 255.26m, 255.32m, 255.40m, 255.42m, 255.80m from the apron and double water intake at the head of the plots;
A drainage network consisting of 16 drains secondary, one (1) primarie, a straining belt and a barrier to drain away the excess water from the perimeter. There are aslo tracks and ancillary works such as the storage depot and latrines for perimeter operators, and 0.25 ha of plots across five (5) blocks of the perimeter with a area 10 ha. The flow of network equipment is 3.52 l / s / ha and the pump delivers a flow of 72 m3 / h. The total cost of the work amounts to a total of 440 679 024 FCFA and 8 813 580 FCFA per hectare.Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude de conception d’un périmètre irrigue de 50 ha de type semi-californien aux abords du fleuve Sourou dans la boucle du Mouhoun au Burkina Faso : site de SONO [texte imprimé] / Théodore COMPAORE . - 2018 . - 90 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : L’aménagement du site de Sono aura pour objectif de favoriser l’introduction de culture maraichère et de soutenir le développement des activités socio-économiques.
Après avoir présenté la zone d’étude et situer le contexte de ce présent aménagement, nous avons fait l’étude socio-économique dans laquelle les spéculations retenues sont la tomate et l’oignon en contre saison et le maïs en hivernage. En effet le système d’aménagement proposé est de type semi-californien et est composé :
D’un réseau d’irrigation dans lequel on a une conduite de refoulement de diamètre nominale 200 mm, Deux (02) conduites primaires de diamètre 130 mm et quatre (4) conduites secondaires de longueur 150m par bassin et de diamètre nominale 125 mm, tous en PVC et des canaux arroseurs en terre ; cinq (5) bassins partiteurs calés respectivement à la cote 255.26m, 255.32m, 255.40m, 255.42m, 255.80m du radier et des prises doubles à la tête des parcelles ;
D’un réseau de drainage comportant 16 drains secondaires, un drain principal, et une colature de ceinture pour évacuer les eaux excédentaires du périmètre. Les parcelles d’une superficie de 0.25 ha chacune sont réparties sur cinq blocs du périmètre avec une superficie de 10ha par bloc. Il est prévu aussi 2000m de pistes principales et 250m de pistes secondaires et des ouvrages annexes comme le magasin de stockage et des latrines pour les exploitants du périmètre. Le débit d’équipement du réseau est de 3.52 l/s/ha et la pompe débite 72 m3/h. Le cout global de l’aménagement s’élève à un montant total de 440 679 024 FCFA soit 8 813 580 FCFA à l’hectare.
Abstract : The planning of the Sono site will aim to promote the introduction of market gardening and support the development of socio-economic activities.
After presenting the study area and setting the context of this development, we made the socio-economoic study in which the speculations retained are tomato nd onion in off-season and maize in winter. Indeed, the proposed management system is of the semi-californien type and is composed of :
An irrigation network in which there is a discharge pipe of DN 200 mm, two (02) primary pipes of DN 130 mm and four (4) secondary pipes of length 150m, all made in PVC and sprinklers canals in the ground; five (5) pools diverter respectively propped up to 255.26m, 255.32m, 255.40m, 255.42m, 255.80m from the apron and double water intake at the head of the plots;
A drainage network consisting of 16 drains secondary, one (1) primarie, a straining belt and a barrier to drain away the excess water from the perimeter. There are aslo tracks and ancillary works such as the storage depot and latrines for perimeter operators, and 0.25 ha of plots across five (5) blocks of the perimeter with a area 10 ha. The flow of network equipment is 3.52 l / s / ha and the pump delivers a flow of 72 m3 / h. The total cost of the work amounts to a total of 440 679 024 FCFA and 8 813 580 FCFA per hectare.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
TheoAdobe Acrobat PDF Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etudes techniques pour la réhabilitation d’un barrage et d’un périmètre de 20ha situe à l’avale avec possibilité d’extension dans le village de Bilanga Yanga, Burkina Faso / Sary Serge Moïse DABOU
Titre de série : Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Etudes techniques pour la réhabilitation d’un barrage et d’un périmètre de 20ha situe à l’avale avec possibilité d’extension dans le village de Bilanga Yanga, Burkina Faso Type de document : texte imprimé Auteurs : Sary Serge Moïse DABOU Année de publication : 2018 Importance : 174 p. Langues : Français (fre) Résumé : Le barrage et le périmètre irrigué de Bilanga Yanga ont été réhabilités en 2010 par le Projet d’Appui au Développement Rural Décentralisé dans les Provinces de la Gnagna et du Kouritenga. Seulement cette réhabilitation n’assure toujours pas la couverture des besoins en eau. Ce qui constitue un frein à l’extension du périmètre comme le veut les producteurs. A cet effet, des études techniques ont été commanditées par le Projet d’Amélioration de la Productivité Agricole en vue d’apporter des solutions durables aux préoccupations actuelles et de proposer des solutions pour l’extension du périmètre. L’objectif de ce travail vise à l’étude d’avant-projet détaillé pour la réhabilitation du barrage et du périmètre irrigué de 20 ha situé à l’aval et à mener l’étude de faisabilité de l’extension de ce dernier.
A travers les composantes de la méthode du diagnostic participatif rapide et de la planification (DPRP), les différents dysfonctionnements sur le site de Bilanga Yanga ont été recensés. Une vérification du calage et du dimensionnement des canaux d’irrigation a été réalisé respectivement à l’aide du plan topographique du site et de la formule de Manning Strickler en utilisant la méthode de la débitance. La courbe d’exploitation a été réalisée en tenant compte du calendrier cultural du site. Les besoins en eau agricoles et animal ainsi que les pertes par évaporation et par infiltration ont été évaluées. Pour l’extension du périmètre une irrigation par aspersion a été proposée pour palier le souci de la disponibilité en eau à travers deux forages a réalisés.
Il ressort du diagnostic que les aménagements sont en bon état de manière générale avec quelques dégradations observées sur le terrain. Néanmoins, des mesures de protection contre l’envasement, la reconstruction des ouvrages endommagés et l’entretien régulier de tout le système ont été proposées. Après vérification du calage et du dimensionnement des canaux d’irrigation il ressort que l’insuffisance de l’eau n’est pas dû à la conception du barrage. Ce problème pourrait s’expliqué par l’envasement au cours des années. Pour résoudre se problème un curage de 50 cm est nécessaire pour la satisfaction des besoins en eau. Aussi, des déblais d’une profondeur de 120 cm au maximum doivent être réalisés en 03 points du périmètre irrigué pour garantir la circulation de l’eau vers l’aval de ces points. Différentes solutions tels que le changement du calendrier cultural associé à la suppression des besoins en eau des animaux et le rehaussement du déversoir pourraient être envisagées. Seule la première solution apparait être la plus réaliste. Pour l’extension du périmètre, la réalisation de deux forages équipés de pompes identiques permettrons d’irrigué 1,23 ha. Les spéculations telles que la tomate, l’oignon et le choux y seront cultivés. Le débit d’équipement est de 2.48 l/s/ha. Douze panneaux solaires de 300wc, 10 batteries de 200 ampères et 2 convertisseurs 200Watt permettrons le fonctionnement des stations de pompage.
Le coût global du projet s’élève à 51 440 657 FCFA HT soit 23 701 603 FCFA HT pour la rehabilitation et 23 356 513 FCFA HT pour le nouvel aménagement. Dans les 23 356 513 FCFA HT, 19 964 490 FCFA HTT représente le coût de la Station de pompage et de la centrale Photovoltaïque. Le coût à l’hectare s’élève alors à 18 989 034 FCFA HT. Le retour sur investissement sera atteint au bout de 2 ans.
Abstract : The dam and irrigated perimeter of Bilanga Yanga were rehabilitated in 2010 by the Decentralized Rural Development Support Project in the provinces of Gnagna and Kouritenga. However, this rehabilitation still does not ensure that water needs are met. This constitutes a barrier to the extension of the scope as producers want it. To this end, technical studies have been commissioned by the Agricultural Productivity Improvement Project to provide sustainable solutions to current concerns and propose solutions for extending the scope. The objective of this work is to carry out a detailed preliminary design study for the rehabilitation of the dam and the 20 ha irrigated perimeter downstream and to conduct a feasibility study for its extension.
Through the components of the rapid participatory diagnosis and planning method (DPRP), the various dysfunctions at the Bilanga Yanga site were identified. A check of the calibration and sizing of the irrigation channels was carried out using the site topographical plan and the Manning Strickler formula respectively using the flow method. The operating curve was developed taking into account the site's cultural calendar. Agricultural and animal water requirements as well as evaporation and infiltration losses were assessed. For the extension of the perimeter, sprinkler irrigation was proposed to compensate for the concern for water availability through two boreholes drilled.
The diagnosis shows that the facilities are in good condition in general with some deterioration observed in the field. Nevertheless, measures to protect against siltation, the reconstruction of damaged structures and regular maintenance of the entire system have been proposed. After checking the calibration and sizing of the irrigation channels, it appears that the lack of water is not due to the design of the dam. This problem could be explained by siltation over the years. To solve this problem, a 50 cm cleaning is necessary to satisfy the water needs. Also, excavated soil with a maximum depth of 120 cm must be excavated at 03 points on the irrigated perimeter to ensure water circulation downstream of these points. Different solutions such as changing the cropping schedule associated with the elimination of animal water needs and raising the weir could be considered. Only the first solution appears to be the most realistic. For the extension of the perimeter, the construction of two boreholes equipped with identical pumps will allow 1.23 ha to be irrigated. Speculations such as tomatoes, onions and cabbages will be grown there. The equipment flow rate is 2.48 l/s/ha. Twelve 300wp solar panels, 10 200 amp batteries and 2 200Watt converters will allow the pumping stations to operate.
The total cost of the project amounts to 51 440 657 FCFA HT, i.e. 23 701 603 FCFA HT for the rehabilitation and 23 356 513 FCFA HT for the new development. Of the 23 356 513 FCFA, 19 964 490 FCFA HT represents the cost of the Pumping Station and the Photovoltaic Power Plant. The cost per hectare then amounts to 18 989 034 FCFA HT. The return on investment will be achieved after 2 years.Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etudes techniques pour la réhabilitation d’un barrage et d’un périmètre de 20ha situe à l’avale avec possibilité d’extension dans le village de Bilanga Yanga, Burkina Faso [texte imprimé] / Sary Serge Moïse DABOU . - 2018 . - 174 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Le barrage et le périmètre irrigué de Bilanga Yanga ont été réhabilités en 2010 par le Projet d’Appui au Développement Rural Décentralisé dans les Provinces de la Gnagna et du Kouritenga. Seulement cette réhabilitation n’assure toujours pas la couverture des besoins en eau. Ce qui constitue un frein à l’extension du périmètre comme le veut les producteurs. A cet effet, des études techniques ont été commanditées par le Projet d’Amélioration de la Productivité Agricole en vue d’apporter des solutions durables aux préoccupations actuelles et de proposer des solutions pour l’extension du périmètre. L’objectif de ce travail vise à l’étude d’avant-projet détaillé pour la réhabilitation du barrage et du périmètre irrigué de 20 ha situé à l’aval et à mener l’étude de faisabilité de l’extension de ce dernier.
A travers les composantes de la méthode du diagnostic participatif rapide et de la planification (DPRP), les différents dysfonctionnements sur le site de Bilanga Yanga ont été recensés. Une vérification du calage et du dimensionnement des canaux d’irrigation a été réalisé respectivement à l’aide du plan topographique du site et de la formule de Manning Strickler en utilisant la méthode de la débitance. La courbe d’exploitation a été réalisée en tenant compte du calendrier cultural du site. Les besoins en eau agricoles et animal ainsi que les pertes par évaporation et par infiltration ont été évaluées. Pour l’extension du périmètre une irrigation par aspersion a été proposée pour palier le souci de la disponibilité en eau à travers deux forages a réalisés.
Il ressort du diagnostic que les aménagements sont en bon état de manière générale avec quelques dégradations observées sur le terrain. Néanmoins, des mesures de protection contre l’envasement, la reconstruction des ouvrages endommagés et l’entretien régulier de tout le système ont été proposées. Après vérification du calage et du dimensionnement des canaux d’irrigation il ressort que l’insuffisance de l’eau n’est pas dû à la conception du barrage. Ce problème pourrait s’expliqué par l’envasement au cours des années. Pour résoudre se problème un curage de 50 cm est nécessaire pour la satisfaction des besoins en eau. Aussi, des déblais d’une profondeur de 120 cm au maximum doivent être réalisés en 03 points du périmètre irrigué pour garantir la circulation de l’eau vers l’aval de ces points. Différentes solutions tels que le changement du calendrier cultural associé à la suppression des besoins en eau des animaux et le rehaussement du déversoir pourraient être envisagées. Seule la première solution apparait être la plus réaliste. Pour l’extension du périmètre, la réalisation de deux forages équipés de pompes identiques permettrons d’irrigué 1,23 ha. Les spéculations telles que la tomate, l’oignon et le choux y seront cultivés. Le débit d’équipement est de 2.48 l/s/ha. Douze panneaux solaires de 300wc, 10 batteries de 200 ampères et 2 convertisseurs 200Watt permettrons le fonctionnement des stations de pompage.
Le coût global du projet s’élève à 51 440 657 FCFA HT soit 23 701 603 FCFA HT pour la rehabilitation et 23 356 513 FCFA HT pour le nouvel aménagement. Dans les 23 356 513 FCFA HT, 19 964 490 FCFA HTT représente le coût de la Station de pompage et de la centrale Photovoltaïque. Le coût à l’hectare s’élève alors à 18 989 034 FCFA HT. Le retour sur investissement sera atteint au bout de 2 ans.
Abstract : The dam and irrigated perimeter of Bilanga Yanga were rehabilitated in 2010 by the Decentralized Rural Development Support Project in the provinces of Gnagna and Kouritenga. However, this rehabilitation still does not ensure that water needs are met. This constitutes a barrier to the extension of the scope as producers want it. To this end, technical studies have been commissioned by the Agricultural Productivity Improvement Project to provide sustainable solutions to current concerns and propose solutions for extending the scope. The objective of this work is to carry out a detailed preliminary design study for the rehabilitation of the dam and the 20 ha irrigated perimeter downstream and to conduct a feasibility study for its extension.
Through the components of the rapid participatory diagnosis and planning method (DPRP), the various dysfunctions at the Bilanga Yanga site were identified. A check of the calibration and sizing of the irrigation channels was carried out using the site topographical plan and the Manning Strickler formula respectively using the flow method. The operating curve was developed taking into account the site's cultural calendar. Agricultural and animal water requirements as well as evaporation and infiltration losses were assessed. For the extension of the perimeter, sprinkler irrigation was proposed to compensate for the concern for water availability through two boreholes drilled.
The diagnosis shows that the facilities are in good condition in general with some deterioration observed in the field. Nevertheless, measures to protect against siltation, the reconstruction of damaged structures and regular maintenance of the entire system have been proposed. After checking the calibration and sizing of the irrigation channels, it appears that the lack of water is not due to the design of the dam. This problem could be explained by siltation over the years. To solve this problem, a 50 cm cleaning is necessary to satisfy the water needs. Also, excavated soil with a maximum depth of 120 cm must be excavated at 03 points on the irrigated perimeter to ensure water circulation downstream of these points. Different solutions such as changing the cropping schedule associated with the elimination of animal water needs and raising the weir could be considered. Only the first solution appears to be the most realistic. For the extension of the perimeter, the construction of two boreholes equipped with identical pumps will allow 1.23 ha to be irrigated. Speculations such as tomatoes, onions and cabbages will be grown there. The equipment flow rate is 2.48 l/s/ha. Twelve 300wp solar panels, 10 200 amp batteries and 2 200Watt converters will allow the pumping stations to operate.
The total cost of the project amounts to 51 440 657 FCFA HT, i.e. 23 701 603 FCFA HT for the rehabilitation and 23 356 513 FCFA HT for the new development. Of the 23 356 513 FCFA, 19 964 490 FCFA HT represents the cost of the Pumping Station and the Photovoltaic Power Plant. The cost per hectare then amounts to 18 989 034 FCFA HT. The return on investment will be achieved after 2 years.Exemplaires
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SaryAdobe Acrobat PDF Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etudes techniques pour l’aménagement hydro-agricole de 285ha a Ndiayene Pendao dans la commune de Podor, région de Saint-Louis / Mariame Ginette DIALLO
Titre de série : Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Etudes techniques pour l’aménagement hydro-agricole de 285ha a Ndiayene Pendao dans la commune de Podor, région de Saint-Louis Type de document : texte imprimé Auteurs : Mariame Ginette DIALLO Année de publication : 2018 Importance : 147 p. Langues : Français (fre) Résumé : Le projet de développement de la chaine de valeur durable et exclusif sur le riz est un vaste projet d’aménagement hydro-agricole qui vise le nord du Sénégal, plus précisément le département de Podor. Ce projet est donc proposé pour assurer une sécurité alimentaire et une réduction de la pauvreté dans la zone du projet en procurant aux populations des moyens pour produire et commercialiser le riz produit. Ce projet s’étend sur une superficie d’environ 600 ha répartis sur 3 villages, Thiangaye, Taredji et Ndiayene Pendao, dernier village sur lequel portera l’étude dans ce document. Sur les 285ha du site de Ndiayene Pendao, il est prévu la culture du riz pluvial en système gravitaire avec un débit de 3,4l/s/ha en saison hivernale et 3,3l/s/ha en saison sèche alimenté par un bras du fleuve Sénégal, le Ngalenka. Dans la zone du projet, le climat est de type désertique et marqué par deux grandes saisons, une saison sèche, d’octobre à mai et une saison des pluies allant de juin à septembre. Pour la gestion du périmètre, certaines mesures d’entretien telles que l’organisation des exploitants en hiérarchie et un système de pompage électrique seront mis en vigueur. Pour la gestion de l’eau il serait mis en place des unités journalières d’irrigations. Des ouvrages de prises seront prévus au niveau de chaque canal et également des ouvrages de franchissements au niveau des canaux et des drains. Le coût total de projet s’étend à 2 528 037 985 FCFA à raison de 8 870 309 FCFA à l’hectare.
Abstract : The project to develop the sustainable and exclusive value chain on rice is a vast hydro-agricultural development project targeting northern Senegal, specifically the department of Podor. This project is therefore proposed to ensure food security and poverty reduction in the project area by providing people with the means to produce and market the rice produced. This project covers an area of approximately 600 ha divided in three villages, Thiangaye, Taredji and Ndiayene Pendao, the last village in going to be studied in this document. On 285ha of the Ndiayene Pendao site, rainfed rice is planned in a gravity system with a flow rate of 3.4 l/s/ha in the winter season and 3.3 l/s/ha in the dry season fed by an arm of the Senegal River called the Ngalenka. In this area, the climate is desertic and characterized by two major seasons, a dry one from October to May and a rainy from June to September. For the management of the perimeter, certain maintenance measures such as the organization of hierarchical operators and an electric pumping system will be put into effect. For water management, daily irrigations units would be set up. Tapping structures will be provided for each canal and also crossings at the level of the canals and drains. The total project cost is XOF 2,528,037,985 at the rate of XOF 8,870,309 per hectare.Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etudes techniques pour l’aménagement hydro-agricole de 285ha a Ndiayene Pendao dans la commune de Podor, région de Saint-Louis [texte imprimé] / Mariame Ginette DIALLO . - 2018 . - 147 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Le projet de développement de la chaine de valeur durable et exclusif sur le riz est un vaste projet d’aménagement hydro-agricole qui vise le nord du Sénégal, plus précisément le département de Podor. Ce projet est donc proposé pour assurer une sécurité alimentaire et une réduction de la pauvreté dans la zone du projet en procurant aux populations des moyens pour produire et commercialiser le riz produit. Ce projet s’étend sur une superficie d’environ 600 ha répartis sur 3 villages, Thiangaye, Taredji et Ndiayene Pendao, dernier village sur lequel portera l’étude dans ce document. Sur les 285ha du site de Ndiayene Pendao, il est prévu la culture du riz pluvial en système gravitaire avec un débit de 3,4l/s/ha en saison hivernale et 3,3l/s/ha en saison sèche alimenté par un bras du fleuve Sénégal, le Ngalenka. Dans la zone du projet, le climat est de type désertique et marqué par deux grandes saisons, une saison sèche, d’octobre à mai et une saison des pluies allant de juin à septembre. Pour la gestion du périmètre, certaines mesures d’entretien telles que l’organisation des exploitants en hiérarchie et un système de pompage électrique seront mis en vigueur. Pour la gestion de l’eau il serait mis en place des unités journalières d’irrigations. Des ouvrages de prises seront prévus au niveau de chaque canal et également des ouvrages de franchissements au niveau des canaux et des drains. Le coût total de projet s’étend à 2 528 037 985 FCFA à raison de 8 870 309 FCFA à l’hectare.
Abstract : The project to develop the sustainable and exclusive value chain on rice is a vast hydro-agricultural development project targeting northern Senegal, specifically the department of Podor. This project is therefore proposed to ensure food security and poverty reduction in the project area by providing people with the means to produce and market the rice produced. This project covers an area of approximately 600 ha divided in three villages, Thiangaye, Taredji and Ndiayene Pendao, the last village in going to be studied in this document. On 285ha of the Ndiayene Pendao site, rainfed rice is planned in a gravity system with a flow rate of 3.4 l/s/ha in the winter season and 3.3 l/s/ha in the dry season fed by an arm of the Senegal River called the Ngalenka. In this area, the climate is desertic and characterized by two major seasons, a dry one from October to May and a rainy from June to September. For the management of the perimeter, certain maintenance measures such as the organization of hierarchical operators and an electric pumping system will be put into effect. For water management, daily irrigations units would be set up. Tapping structures will be provided for each canal and also crossings at the level of the canals and drains. The total project cost is XOF 2,528,037,985 at the rate of XOF 8,870,309 per hectare.Exemplaires
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GinetteAdobe Acrobat PDF Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etudes des aspects génies civils et chimiques des bassins piscicoles / Abdoul Ouahabo Kevin DIPAMA
Titre de série : Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Etudes des aspects génies civils et chimiques des bassins piscicoles Type de document : texte imprimé Auteurs : Abdoul Ouahabo Kevin DIPAMA Année de publication : 2018 Importance : 65 p. Langues : Français (fre) Résumé : Le poisson, très riche en protéine, est l’un des aliments par excellence pour lutter contre l’insécurité nutritionnelle. Au Burkina Faso, malgré la production de 10 000 tonnes de poissons, une importation de 10 000 tonnes poissons auprès de pays voisins, est nécessaire pour satisfaire la demande(département des pêches 2015). Pourtant d’après la FAO le pays regorge de nombreuses potentialités pour l’élevage des poissons. Si la pisciculture n’est pas développée, c’est parce qu’elle est exploitée de façon traditionnelle. Dans le but de lutter contre l’insécurité alimentaire et de favoriser le développement de l’économie locale, l’institut 2iE a initié le projet Solar AgroFish For Africa (SAgFA). La présente étude s’inscrit dans ce projet notamment dans son volet exploratoire de la partie pisciculture. Elle a été réalisée dans le site expérimental de 2iE à Kamboinsin sous forme d’un projet de 946 750 FCFA comportant trois bassins piscicoles dont un bassin témoin et deux bassins munis d’un système d’envoi d’oxygène.
Le PH-mètre, l’oxymètre et le disque de Secchi ont permis de mesurer respectivement le PH, l’oxygène dissout et la transparence afin d’apprécier les conditions hydrauliques impactées par le nouveau système. Un bassin de dimension 9 m x 3 m x 1.5 m coute 150 000 FCFA sans le système d’envoi d’air et 260 000 FCFA s’il doit être muni d’un système d’envoi d’air.
Tout d’abord le bassin 3 présente la plus faible perméabilité grâce à l’application d’une méthode de construction améliorée. Ensuite le système d’envoi d’air augment la quantité d’oxygène dissout dans les bassins piscicole muni du système. Enfin les conditions hydrauliques sont favorables à l’élevage du tilapia
Abstract : Fish very rich in protein is the food par excellence to fight against nutritional insecurity. In Burkina Faso, despite the export of fish from neighboring countries, a shortage of fish persists. Yet according to FAO, the country is full of many potential for fish farming. If the fish farming is not developed, it is because it is exploited in a traditional way. With the aim of fighting against food insecurity and promoting the development of the local economy, the 2iE foundation has initiated the Solar AgroFish For Africa project (SAgFA). This internship is an exploratory study of the fish farming part. An FCFA 946,750 project with three fishponds was carried out in the experimental site 2iE in Kamboinsin. A control basin and two basins equipped with a system of sending oxygen.
The objective of this study is to propose the construction of a suitable basin and to appreciate the impact of the addition of dissolved oxygen in the fish water.
To achieve these objectives, determined infiltration of the three basins proposed were determined by measuring the amount of water entering through the flow meters and evaporation using the evaporation pan. The pH-meter, the oximeter and the Secchi disk were used to measure pH, dissolved oxygen and transparency respectively in order to assess the hydraulic conditions impacted by the new system. A pool measuring 9m x 3m x 1.5 m costs 150,000 FCFA without the air-supply system and 260,000 CFA if it is to be equipped with an air-supply system.
First, pond 3 has the lowest permeability thanks to the application of an improved construction method. Then the air delivery system increases the amount of dissolved oxygen in the fish tanks equipped with the system. Finally the hydraulic conditions are favorable to the breeding of tilapia.Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etudes des aspects génies civils et chimiques des bassins piscicoles [texte imprimé] / Abdoul Ouahabo Kevin DIPAMA . - 2018 . - 65 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Le poisson, très riche en protéine, est l’un des aliments par excellence pour lutter contre l’insécurité nutritionnelle. Au Burkina Faso, malgré la production de 10 000 tonnes de poissons, une importation de 10 000 tonnes poissons auprès de pays voisins, est nécessaire pour satisfaire la demande(département des pêches 2015). Pourtant d’après la FAO le pays regorge de nombreuses potentialités pour l’élevage des poissons. Si la pisciculture n’est pas développée, c’est parce qu’elle est exploitée de façon traditionnelle. Dans le but de lutter contre l’insécurité alimentaire et de favoriser le développement de l’économie locale, l’institut 2iE a initié le projet Solar AgroFish For Africa (SAgFA). La présente étude s’inscrit dans ce projet notamment dans son volet exploratoire de la partie pisciculture. Elle a été réalisée dans le site expérimental de 2iE à Kamboinsin sous forme d’un projet de 946 750 FCFA comportant trois bassins piscicoles dont un bassin témoin et deux bassins munis d’un système d’envoi d’oxygène.
Le PH-mètre, l’oxymètre et le disque de Secchi ont permis de mesurer respectivement le PH, l’oxygène dissout et la transparence afin d’apprécier les conditions hydrauliques impactées par le nouveau système. Un bassin de dimension 9 m x 3 m x 1.5 m coute 150 000 FCFA sans le système d’envoi d’air et 260 000 FCFA s’il doit être muni d’un système d’envoi d’air.
Tout d’abord le bassin 3 présente la plus faible perméabilité grâce à l’application d’une méthode de construction améliorée. Ensuite le système d’envoi d’air augment la quantité d’oxygène dissout dans les bassins piscicole muni du système. Enfin les conditions hydrauliques sont favorables à l’élevage du tilapia
Abstract : Fish very rich in protein is the food par excellence to fight against nutritional insecurity. In Burkina Faso, despite the export of fish from neighboring countries, a shortage of fish persists. Yet according to FAO, the country is full of many potential for fish farming. If the fish farming is not developed, it is because it is exploited in a traditional way. With the aim of fighting against food insecurity and promoting the development of the local economy, the 2iE foundation has initiated the Solar AgroFish For Africa project (SAgFA). This internship is an exploratory study of the fish farming part. An FCFA 946,750 project with three fishponds was carried out in the experimental site 2iE in Kamboinsin. A control basin and two basins equipped with a system of sending oxygen.
The objective of this study is to propose the construction of a suitable basin and to appreciate the impact of the addition of dissolved oxygen in the fish water.
To achieve these objectives, determined infiltration of the three basins proposed were determined by measuring the amount of water entering through the flow meters and evaporation using the evaporation pan. The pH-meter, the oximeter and the Secchi disk were used to measure pH, dissolved oxygen and transparency respectively in order to assess the hydraulic conditions impacted by the new system. A pool measuring 9m x 3m x 1.5 m costs 150,000 FCFA without the air-supply system and 260,000 CFA if it is to be equipped with an air-supply system.
First, pond 3 has the lowest permeability thanks to the application of an improved construction method. Then the air delivery system increases the amount of dissolved oxygen in the fish tanks equipped with the system. Finally the hydraulic conditions are favorable to the breeding of tilapia.Exemplaires
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KevinAdobe Acrobat PDF Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Analyse de la dynamique d’occupation du sol à travers une classification d’images Landsat (1990-2007-2017) du bassin Mouhoun Supérieur au BURKINA FASO. / Soumahila SANKANDE
Titre de série : Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Analyse de la dynamique d’occupation du sol à travers une classification d’images Landsat (1990-2007-2017) du bassin Mouhoun Supérieur au BURKINA FASO. Type de document : texte imprimé Auteurs : Soumahila SANKANDE Année de publication : 2018 Importance : 60 p. Langues : Français (fre) Résumé : La structure spatiale de l'utilisation des terres du Burkina Faso a été fortement impactée par l’accroissement de la population, le changement climatique et la « mondialisation » au cours des
dernières décennies. Cela se traduit par de profonds changements dans l’occupation des terres et une modification notable de la végétation naturelle. Cette étude menée sur le bassin Mouhoun supérieur situé au Burkina Faso entre les latitudes 10°43’N et 14°23’N et les longitudes 02°10’W et 05°27’W vise à évaluer la dynamique d’occupation du sol à partir d’une analyse diachronique des types d’occupation du sol. Elle se base sur l’exploitation des données d’images de Landsat d’octobre 1990 (capteur TM) ; octobre 2007 (capteur ETM+) et octobre 2017 (capteur OLI). Une approche méthodologique basée sur la classification supervisée maximum de vraisemblance a conduit à l’identification des différentes classes d’occupation des sols. Les résultats obtenus indiquent que les classes d’occupation du sol en 1990 se compose comme suit : forets (77%), savanes (9%), cultures (3%), sols nus (8%) et eau (4%). En 2007, l’occupation du sol se compose de forêts (30%), savanes (51%), cultures (9%), sols nus (5%) et eau (4%). En 2017, les types d’occupation du sol se répartissent en forets (18.20), savanes (36%) cultures (40%) sols nus (7%) et eau (1%). De l’analyse de ses différentes valeurs, cette situation indique que la structure forestière est profondément et durablement affectée.
Abstract : The spatial pattern of land use in Burkina Faso has been strongly impacted by population growth, climate change and "globalization" in recent decades. This induces into profound changes in land use and a noticeable change in natural vegetation. This study conducted in the Upper Mouhoun Basin located in Burkina Faso between latitudes 10 ° 43'N and 14 ° 23'N and longitudes 02 ° 10'W and 05 ° 27'W aims to evaluate the dynamics of land use. from a diachronic analysis of the types of land occupation. It is based on the exploitation of Landsat image data from October 1990 (TM sensor); October 2007 (ETM + sensor) and October 2017 (OLI sensor). A methodology approach based on maximum likelihood supervised classification led to the identification of the different classes of land use. The distribution of land use classes in 1990 is divided into forests (77%), savannas (9%), crops (3%), bare soil (8%) and water (4%). In 2007, the land cover consists of forests (30%), savannas (51%), crops (9%), bare soil (5%) and water (4%). In 2017 the types of land cover are divided into forests (18), savannas (36%) crops (40%) bare soil (7%) and water (1%). From the analysis of its different values, this situation indicates that the forest structure is deeply and permanently affected
Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Analyse de la dynamique d’occupation du sol à travers une classification d’images Landsat (1990-2007-2017) du bassin Mouhoun Supérieur au BURKINA FASO. [texte imprimé] / Soumahila SANKANDE . - 2018 . - 60 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : La structure spatiale de l'utilisation des terres du Burkina Faso a été fortement impactée par l’accroissement de la population, le changement climatique et la « mondialisation » au cours des
dernières décennies. Cela se traduit par de profonds changements dans l’occupation des terres et une modification notable de la végétation naturelle. Cette étude menée sur le bassin Mouhoun supérieur situé au Burkina Faso entre les latitudes 10°43’N et 14°23’N et les longitudes 02°10’W et 05°27’W vise à évaluer la dynamique d’occupation du sol à partir d’une analyse diachronique des types d’occupation du sol. Elle se base sur l’exploitation des données d’images de Landsat d’octobre 1990 (capteur TM) ; octobre 2007 (capteur ETM+) et octobre 2017 (capteur OLI). Une approche méthodologique basée sur la classification supervisée maximum de vraisemblance a conduit à l’identification des différentes classes d’occupation des sols. Les résultats obtenus indiquent que les classes d’occupation du sol en 1990 se compose comme suit : forets (77%), savanes (9%), cultures (3%), sols nus (8%) et eau (4%). En 2007, l’occupation du sol se compose de forêts (30%), savanes (51%), cultures (9%), sols nus (5%) et eau (4%). En 2017, les types d’occupation du sol se répartissent en forets (18.20), savanes (36%) cultures (40%) sols nus (7%) et eau (1%). De l’analyse de ses différentes valeurs, cette situation indique que la structure forestière est profondément et durablement affectée.
Abstract : The spatial pattern of land use in Burkina Faso has been strongly impacted by population growth, climate change and "globalization" in recent decades. This induces into profound changes in land use and a noticeable change in natural vegetation. This study conducted in the Upper Mouhoun Basin located in Burkina Faso between latitudes 10 ° 43'N and 14 ° 23'N and longitudes 02 ° 10'W and 05 ° 27'W aims to evaluate the dynamics of land use. from a diachronic analysis of the types of land occupation. It is based on the exploitation of Landsat image data from October 1990 (TM sensor); October 2007 (ETM + sensor) and October 2017 (OLI sensor). A methodology approach based on maximum likelihood supervised classification led to the identification of the different classes of land use. The distribution of land use classes in 1990 is divided into forests (77%), savannas (9%), crops (3%), bare soil (8%) and water (4%). In 2007, the land cover consists of forests (30%), savannas (51%), crops (9%), bare soil (5%) and water (4%). In 2017 the types of land cover are divided into forests (18), savannas (36%) crops (40%) bare soil (7%) and water (1%). From the analysis of its different values, this situation indicates that the forest structure is deeply and permanently affected
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SankandeAdobe Acrobat PDF Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Diagnostic et études techniques détaillées pour la reconstruction du barrage de Tinguitenga, dans la commune de Guiba, province du Zoundwéogo, région du centre sud, au Burkina Faso / Hassami SAWADOGO
Titre de série : Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Diagnostic et études techniques détaillées pour la reconstruction du barrage de Tinguitenga, dans la commune de Guiba, province du Zoundwéogo, région du centre sud, au Burkina Faso Type de document : texte imprimé Auteurs : Hassami SAWADOGO Année de publication : 2018 Importance : 133 p. Langues : Français (fre) Résumé : Le présent mémoire porte sur le diagnostic et de l’étude technique détaillée pour la reconstruction du barrage de Tinguitenga (Zoundwéogo) en vue de satisfaire les besoins en eau de la commune de Guiba. En effet, suite au diagnostic des différents ouvrages existants du barrage, nous avons constaté qu’ils étaient dans un état de dégradations avancées. A cela s’ajoute, le manque de document technique justifiant sa réalisation. C’est ainsi que nous proposons, dans le cadre de la réhabilitation du barrage, de faire l’étude technique détaillée en vue de disposer d’un dossier d’Avant-Projet Détaillé.
Le barrage de Tinguitenga est situé à l’exutoire d’un bassin versant de 26,49 km2 pouvant apporter en année moyenne un volume de 2 564 696 m3. Il inondera une superficie de 170,7 ha avec un volume stockable de 426 758 m3 au Plan d’Eau Normal (P.E.N). La conception et le dimensionnement du barrage, à l’issu de notre étude, se présente comme suit :
La digue, calée à la côte 100,5 m, est en remblai homogène argileux avec un couronnement latéritique. Elle a une longueur de 735,40 m y compris le déversoir et une largeur en crête de 3,2 m. Elle a une hauteur maximale de 4,5 m avec des talus amont et aval de pente 1V/2 H.
Le déversoir de 70 m de long occupe une position semi latérale vers la rive droite, il est de type poids et conçu pour évacuer un débit centennal de 120,86 m3/s. Il est calé à la cote 99,2 m et à l’aval se trouve un bassin de dissipation à ressaut de type II.
Une conduite de prise - vidange de diamètre 350 mm calé à la côte 97, 13 m permettra d’irriguer un périmètre situé en aval d’une superficie à aménager de 4 ha.
Le coût de la réalisation du barrage est estimé à cinq cent quatre-vingt-cinq millions neuf cent vingt-huit mille cinq cent -dix (585 928 510) Francs CFA.
Abstract : This paper deals with the diagnosis and the detailed technical study for the reconstruction of the Tinguitenga dam (Zoundwéogo) in order to satisfy the water needs of the municipality of Guiba. Indeed, following the diagnosis of the various existing structures of the dam, we found that they were in a state of advanced degradation. Added to this, the lack of technical document justifying its realization. Thus we propose, as part of the rehabilitation / reconstruction of the dam, to make the detailed technical study to increase the capacity of the reservoir.
The Tinguitenga dam is located at the outlet of a catchment area of 26.49 km2 which can bring in an average year a volume of 2 564 696 m3. It will flood an area of 170,7 ha with a storable volume of 426 758 m3 at the Normal Water Plan (P.E.N). The design and dimensioning of the dam, at the end of our study, is as follows:
The dike, wedged at the coast 100,5 m, is in homogeneous clay fill with a lateritic crown. It has a length of 735,40 m including the spillway and a crest width of 3,2 m. It has a maximum height of 4.5 m with slopes upstream and down slope 1V / 2 H.
The 70 m long spillway occupies a semi lateral position towards the right bank, it is of weight type and designed to evacuate a centennial flow of 120,86 m3 / s. It is set at 99,2 m and downstream is a Type II breakwater.
A catch - and - discharge pipe with a diameter of 350 mm set at the 97, 13 m shore will irrigate a perimeter located downstream of an area to be developed by 4 ha.
The cost of constructing the dam is estimated at five hundred and eighty-five million nine hundred and twenty-eight thousand five hundred and six (585 928 510) CFA Francs.Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Diagnostic et études techniques détaillées pour la reconstruction du barrage de Tinguitenga, dans la commune de Guiba, province du Zoundwéogo, région du centre sud, au Burkina Faso [texte imprimé] / Hassami SAWADOGO . - 2018 . - 133 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Le présent mémoire porte sur le diagnostic et de l’étude technique détaillée pour la reconstruction du barrage de Tinguitenga (Zoundwéogo) en vue de satisfaire les besoins en eau de la commune de Guiba. En effet, suite au diagnostic des différents ouvrages existants du barrage, nous avons constaté qu’ils étaient dans un état de dégradations avancées. A cela s’ajoute, le manque de document technique justifiant sa réalisation. C’est ainsi que nous proposons, dans le cadre de la réhabilitation du barrage, de faire l’étude technique détaillée en vue de disposer d’un dossier d’Avant-Projet Détaillé.
Le barrage de Tinguitenga est situé à l’exutoire d’un bassin versant de 26,49 km2 pouvant apporter en année moyenne un volume de 2 564 696 m3. Il inondera une superficie de 170,7 ha avec un volume stockable de 426 758 m3 au Plan d’Eau Normal (P.E.N). La conception et le dimensionnement du barrage, à l’issu de notre étude, se présente comme suit :
La digue, calée à la côte 100,5 m, est en remblai homogène argileux avec un couronnement latéritique. Elle a une longueur de 735,40 m y compris le déversoir et une largeur en crête de 3,2 m. Elle a une hauteur maximale de 4,5 m avec des talus amont et aval de pente 1V/2 H.
Le déversoir de 70 m de long occupe une position semi latérale vers la rive droite, il est de type poids et conçu pour évacuer un débit centennal de 120,86 m3/s. Il est calé à la cote 99,2 m et à l’aval se trouve un bassin de dissipation à ressaut de type II.
Une conduite de prise - vidange de diamètre 350 mm calé à la côte 97, 13 m permettra d’irriguer un périmètre situé en aval d’une superficie à aménager de 4 ha.
Le coût de la réalisation du barrage est estimé à cinq cent quatre-vingt-cinq millions neuf cent vingt-huit mille cinq cent -dix (585 928 510) Francs CFA.
Abstract : This paper deals with the diagnosis and the detailed technical study for the reconstruction of the Tinguitenga dam (Zoundwéogo) in order to satisfy the water needs of the municipality of Guiba. Indeed, following the diagnosis of the various existing structures of the dam, we found that they were in a state of advanced degradation. Added to this, the lack of technical document justifying its realization. Thus we propose, as part of the rehabilitation / reconstruction of the dam, to make the detailed technical study to increase the capacity of the reservoir.
The Tinguitenga dam is located at the outlet of a catchment area of 26.49 km2 which can bring in an average year a volume of 2 564 696 m3. It will flood an area of 170,7 ha with a storable volume of 426 758 m3 at the Normal Water Plan (P.E.N). The design and dimensioning of the dam, at the end of our study, is as follows:
The dike, wedged at the coast 100,5 m, is in homogeneous clay fill with a lateritic crown. It has a length of 735,40 m including the spillway and a crest width of 3,2 m. It has a maximum height of 4.5 m with slopes upstream and down slope 1V / 2 H.
The 70 m long spillway occupies a semi lateral position towards the right bank, it is of weight type and designed to evacuate a centennial flow of 120,86 m3 / s. It is set at 99,2 m and downstream is a Type II breakwater.
A catch - and - discharge pipe with a diameter of 350 mm set at the 97, 13 m shore will irrigate a perimeter located downstream of an area to be developed by 4 ha.
The cost of constructing the dam is estimated at five hundred and eighty-five million nine hundred and twenty-eight thousand five hundred and six (585 928 510) CFA Francs.Exemplaires
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HassamiAdobe Acrobat PDF Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude de faisabilité technique d’un système d’adduction d’eau potable simplifie / Cheikh GUEYE
Titre de série : Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Etude de faisabilité technique d’un système d’adduction d’eau potable simplifie : : cas du village de Gao dans la région du centre-ouest au Burkina Faso Type de document : texte imprimé Auteurs : Cheikh GUEYE Année de publication : 2021 Importance : 77 p. Langues : Français (fre) Résumé : Ce projet rentre dans le cadre de la lutte contre la pauvreté que l’Etat du Burkina Faso a initié avec l’appui des partenaires au développement à travers le Programme National de l’Alimentation en Eau Potable et l’Assainissement (PN-AEPA) dont le but est d’atteindre , d’ici 2015, les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) et en particulier la réduction de moitié du taux de personne n’ayant pas accès à l’eau de consommation.
Ce projet est subdivisé en deux phases, une première phase qui va de 2015 à 2025 et une deuxième phase qui va de 2025 à 2034 et notre étude va porter sur la première phase.
Les résultats des enquêtes socioéconomiques ont montré que la réalisation d’une Alimentation en Eau Potable Simplifiée (AEPS) dans le village de Gao est un projet viable ainsi ce thème de mémoire a pour but de proposer une meilleur option technique et économique afin d’alimenter la population de Gao en eau potable de qualité et en quantité suffisante mais surtout à un coup raisonnable.
Contenu de l’étude :
Evaluation des paramètres de base de dimensionnement ;
Conception et dimensionnement des différents ouvrages, équipements et réseau d’AEPS
Proposition d’un système de gestion durable de l’AEPS ;
Réalisation d’une analyse financière.
A l’issue de l’étude technique, nous proposons pour cette première phase que la source d’eau utilisée soit l’eau souterraine et elle sera exploitée au travers d’un forage équipé d’un groupe électrogène de puissance 16 KVA, d’une pompe immergée de puissance 2,2 KW et pour optimiser le dimensionnement nous proposons de calculer la consommation du jour de pointe avec une consommation spécifique de 20l/j/hbt.
Ensuite le dimensionnement du réseau a donné une conduite de refoulement en PVC de diamètre 63 mm, un château d’eau métallique de capacité 31 m3, un réseau de distribution de longueur 1925 m dont les diamètres varient de 90mm à 50 mm et quatre bornes fontaine de débit 1l/s chacune.
Enfin l’analyse financière a conduità un prix de revient de 432,25 FCFA le mètre cube mais le prix de vente sera fixé à 500 FCFA, ce qui semble être un prix raisonnable caril permettra d’assurer l’approvisionnement en eau de la population, couvrira les charges d’exploitation et d’entretien des installations, mais aussi le renouvellement et l’extension du réseau.
Abstract : This project falls within the framework of the fight against poverty than the state of Burkina Faso has initiated with the support of development partners through the National Program for Water Supply and Sanitation (PN-AEPA) which the goal is to achieve, by 2015, the Millennium Development Goals.
This project is divided into two phases, the first phase running from 2015 to 2025 and a second phase running from 2025 to 2034 and our study will focus on the first phase.
The results of the socio-economic surveys have shown that the achievement of AEPS in the village of Gao is a viable project and offer a better technical and economic option to the theme of memory is to supply the population with drinking water Gao of sufficient quality and quatity but especially at a reasonable shot.
Content of the study:
Evaluation of the basic parameters of design
Design and simulation of various books, equipment and network AEPS
Design and simulation of various books, equipment and network AEPS
At the end of the technical study, we propose in this first phase as the source of water is groundwater and it will be collected from a drill equipped with a high flow pump immersed power 2,2KW.
Then network dimensioning gave a PVC pressure pipe diameter 63 mm, a metal water castle of 31 m3 capacity, a distributionnetwork with diameters ranging from 90 mm to 50 mm and four hydrants debit 1l/s.
Finally financial analysis has to price the water cube 432,25 FCFA meters, which seems a reasonable price as it will ensure the water supply of the population, will cover operating costs and maintenance of facilities, but also the renewal and extension of the network.Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude de faisabilité technique d’un système d’adduction d’eau potable simplifie : : cas du village de Gao dans la région du centre-ouest au Burkina Faso [texte imprimé] / Cheikh GUEYE . - 2021 . - 77 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Ce projet rentre dans le cadre de la lutte contre la pauvreté que l’Etat du Burkina Faso a initié avec l’appui des partenaires au développement à travers le Programme National de l’Alimentation en Eau Potable et l’Assainissement (PN-AEPA) dont le but est d’atteindre , d’ici 2015, les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) et en particulier la réduction de moitié du taux de personne n’ayant pas accès à l’eau de consommation.
Ce projet est subdivisé en deux phases, une première phase qui va de 2015 à 2025 et une deuxième phase qui va de 2025 à 2034 et notre étude va porter sur la première phase.
Les résultats des enquêtes socioéconomiques ont montré que la réalisation d’une Alimentation en Eau Potable Simplifiée (AEPS) dans le village de Gao est un projet viable ainsi ce thème de mémoire a pour but de proposer une meilleur option technique et économique afin d’alimenter la population de Gao en eau potable de qualité et en quantité suffisante mais surtout à un coup raisonnable.
Contenu de l’étude :
Evaluation des paramètres de base de dimensionnement ;
Conception et dimensionnement des différents ouvrages, équipements et réseau d’AEPS
Proposition d’un système de gestion durable de l’AEPS ;
Réalisation d’une analyse financière.
A l’issue de l’étude technique, nous proposons pour cette première phase que la source d’eau utilisée soit l’eau souterraine et elle sera exploitée au travers d’un forage équipé d’un groupe électrogène de puissance 16 KVA, d’une pompe immergée de puissance 2,2 KW et pour optimiser le dimensionnement nous proposons de calculer la consommation du jour de pointe avec une consommation spécifique de 20l/j/hbt.
Ensuite le dimensionnement du réseau a donné une conduite de refoulement en PVC de diamètre 63 mm, un château d’eau métallique de capacité 31 m3, un réseau de distribution de longueur 1925 m dont les diamètres varient de 90mm à 50 mm et quatre bornes fontaine de débit 1l/s chacune.
Enfin l’analyse financière a conduità un prix de revient de 432,25 FCFA le mètre cube mais le prix de vente sera fixé à 500 FCFA, ce qui semble être un prix raisonnable caril permettra d’assurer l’approvisionnement en eau de la population, couvrira les charges d’exploitation et d’entretien des installations, mais aussi le renouvellement et l’extension du réseau.
Abstract : This project falls within the framework of the fight against poverty than the state of Burkina Faso has initiated with the support of development partners through the National Program for Water Supply and Sanitation (PN-AEPA) which the goal is to achieve, by 2015, the Millennium Development Goals.
This project is divided into two phases, the first phase running from 2015 to 2025 and a second phase running from 2025 to 2034 and our study will focus on the first phase.
The results of the socio-economic surveys have shown that the achievement of AEPS in the village of Gao is a viable project and offer a better technical and economic option to the theme of memory is to supply the population with drinking water Gao of sufficient quality and quatity but especially at a reasonable shot.
Content of the study:
Evaluation of the basic parameters of design
Design and simulation of various books, equipment and network AEPS
Design and simulation of various books, equipment and network AEPS
At the end of the technical study, we propose in this first phase as the source of water is groundwater and it will be collected from a drill equipped with a high flow pump immersed power 2,2KW.
Then network dimensioning gave a PVC pressure pipe diameter 63 mm, a metal water castle of 31 m3 capacity, a distributionnetwork with diameters ranging from 90 mm to 50 mm and four hydrants debit 1l/s.
Finally financial analysis has to price the water cube 432,25 FCFA meters, which seems a reasonable price as it will ensure the water supply of the population, will cover operating costs and maintenance of facilities, but also the renewal and extension of the network.Exemplaires
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CheikhAdobe Acrobat PDF Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Caractérisation des interactions entre les eaux de surface et la nappe superficielle / Yaya KONE
Titre de série : Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Caractérisation des interactions entre les eaux de surface et la nappe superficielle : cas de la retenue de Boura au Burkina Faso Type de document : texte imprimé Auteurs : Yaya KONE Année de publication : 2014 Importance : 78 p. Langues : Français (fre) Résumé : L’étude a porté sur le bassin versant de la retenue de Boura situé au Sud du Burkina Faso. La caractérisation des interactions entre la nappe phréatique et la retenue a été étudiée en procédant par plusieurs étapes. Tout d’abord, l’analyse des données géologiques, hydrogéologiques et climatiques a montré que le bassin reposait sur un socle granitique et que le niveau statique dans les ouvrages autour de la retenue variait entre 6 m et 8 m. En outre, la pluviométrie moyenne annuelle était de 914 mm pour la dernière décennie. Ensuite grâce aux différents traitements appliqués sur les images Landsat, des fractures pouvant être des lieux préférentiels d'écoulement d'eau souterraine, ont été identifiées. Enfin, les campagnes piézométriques ont montré que la cote du plan d’eau, à 279 m, était supérieure à celle des forages et puits ; donc la nappe serait alimentée par le lac.
L’application des méthodes géophysiques notamment la tomographie de résistivité électrique a été pratique et très efficace dans la validation de la carte des linéaments et la caractérisation du front d’humidité autour de la retenue. En effet, l’analyse des résultats de la géophysique a confirmé certaines fractures et en a relevé d’autre. Elle a également relevé des zones très conductrices en aval de la digue et autour de la retenue, et a permis d’établir une carte d’évolution de l’humidité. En outre la succession lithologique observée pourrait conduire à des fuites latérales a travers les formations géologiques. Enfin, la simulation numérique a été réalisée en régime permanent, à partir du modèle conceptuel tri-couche, en se basant sur les données climatiques et piézométriques d’avril 2014. Le modèle d’écoulement souterrain a été calé, en jouant sur les valeurs de recharge et de conductivité hydraulique ainsi que sur les conditions limites. Le bilan du modèle souterrain indique volume global de 14170 m3/jour qui sort de la retenue.
Abstract : The present study focused on the catchment area of the Boura impoundment, located in the South of Burkina Faso. The characterization of the interactions between the water table and the impoundment has been studied proceeding in stages. First the analyse of geological, hydrogeological and climatic data showed that the area stood on a granitic bedrock and that the water table in the hydraulic works varied from 6 m to 8 m. Furthermore, the mean annual rainfall was 914 mm for the last decade. Then, thanks to the different treatments applied to Landsat images, some fractures that are likely to be preferential areas for ground water flows were identified. Eventually piezometric campaign highlighted that the height of the water site, at 279 m, was above these of the boreholes and wells.
The implementation of a geophysical campaign has been useful and efficient for the validation of the lineaments map and the characterization of the humidity front. Indeed the results of geophysical analysis confirmed some fractures and revealed some new ones. It also revealed very conductive areas downstream the dam and on the banks, and allowed to generate a map of humidity evolution. Moreover the lithological structure that has been observed could result in lateral leakages trough the geological formations. The daily numerical simulation has been done in steady state, from the three-layers conceptual model, using the climatic and piezometric data collected in April 2014. The ground-water model has been implemented, adjusting recharge rates, hydraulic conductivities and border conditions. The daily water losses through the Boura reservoir are estimated about 14170 m3 from the water balance.Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Caractérisation des interactions entre les eaux de surface et la nappe superficielle : cas de la retenue de Boura au Burkina Faso [texte imprimé] / Yaya KONE . - 2014 . - 78 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : L’étude a porté sur le bassin versant de la retenue de Boura situé au Sud du Burkina Faso. La caractérisation des interactions entre la nappe phréatique et la retenue a été étudiée en procédant par plusieurs étapes. Tout d’abord, l’analyse des données géologiques, hydrogéologiques et climatiques a montré que le bassin reposait sur un socle granitique et que le niveau statique dans les ouvrages autour de la retenue variait entre 6 m et 8 m. En outre, la pluviométrie moyenne annuelle était de 914 mm pour la dernière décennie. Ensuite grâce aux différents traitements appliqués sur les images Landsat, des fractures pouvant être des lieux préférentiels d'écoulement d'eau souterraine, ont été identifiées. Enfin, les campagnes piézométriques ont montré que la cote du plan d’eau, à 279 m, était supérieure à celle des forages et puits ; donc la nappe serait alimentée par le lac.
L’application des méthodes géophysiques notamment la tomographie de résistivité électrique a été pratique et très efficace dans la validation de la carte des linéaments et la caractérisation du front d’humidité autour de la retenue. En effet, l’analyse des résultats de la géophysique a confirmé certaines fractures et en a relevé d’autre. Elle a également relevé des zones très conductrices en aval de la digue et autour de la retenue, et a permis d’établir une carte d’évolution de l’humidité. En outre la succession lithologique observée pourrait conduire à des fuites latérales a travers les formations géologiques. Enfin, la simulation numérique a été réalisée en régime permanent, à partir du modèle conceptuel tri-couche, en se basant sur les données climatiques et piézométriques d’avril 2014. Le modèle d’écoulement souterrain a été calé, en jouant sur les valeurs de recharge et de conductivité hydraulique ainsi que sur les conditions limites. Le bilan du modèle souterrain indique volume global de 14170 m3/jour qui sort de la retenue.
Abstract : The present study focused on the catchment area of the Boura impoundment, located in the South of Burkina Faso. The characterization of the interactions between the water table and the impoundment has been studied proceeding in stages. First the analyse of geological, hydrogeological and climatic data showed that the area stood on a granitic bedrock and that the water table in the hydraulic works varied from 6 m to 8 m. Furthermore, the mean annual rainfall was 914 mm for the last decade. Then, thanks to the different treatments applied to Landsat images, some fractures that are likely to be preferential areas for ground water flows were identified. Eventually piezometric campaign highlighted that the height of the water site, at 279 m, was above these of the boreholes and wells.
The implementation of a geophysical campaign has been useful and efficient for the validation of the lineaments map and the characterization of the humidity front. Indeed the results of geophysical analysis confirmed some fractures and revealed some new ones. It also revealed very conductive areas downstream the dam and on the banks, and allowed to generate a map of humidity evolution. Moreover the lithological structure that has been observed could result in lateral leakages trough the geological formations. The daily numerical simulation has been done in steady state, from the three-layers conceptual model, using the climatic and piezometric data collected in April 2014. The ground-water model has been implemented, adjusting recharge rates, hydraulic conductivities and border conditions. The daily water losses through the Boura reservoir are estimated about 14170 m3 from the water balance.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
YayaAdobe Acrobat PDF Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etudes techniques et suivi des travaux d’exécution de la digue 4 en remblai renforce à solution gabion de la nouvelle route du littoral de l’île de la réunion (France) / Nouho BAMBA
Titre de série : Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Etudes techniques et suivi des travaux d’exécution de la digue 4 en remblai renforce à solution gabion de la nouvelle route du littoral de l’île de la réunion (France) Type de document : texte imprimé Auteurs : Nouho BAMBA Année de publication : 2021 Importance : 109 p. Langues : Français (fre) Résumé : Le présent travail s’inscrit dans le cadre du projet de la construction de la NRL, un axe essentiel pour la vie économique de l’île de la Réunion fortement perturbé par les risques naturels. La NRL comme on l’appelle à la Réunion est construite pour remplacer l’actuelle route côtière, qui va de la préfecture de Saint -Denis au Port, par une route à deux fois trois voies. Le maître d’ouvrage étant la Région de la Réunion, ce projet a un coût de 1,66 milliards d’euros pour 13 kilomètres, soit 138 millions le kilomètre. Elle sera composée d’un ensemble de 5 digues sur 7,3 km et le reste est réalisé en plusieurs viaducs.
L’objet principal de notre étude est de reprendre la conception et l’étude technique pour vérifier la stabilité générale et de faire le suivi des travaux d’exécution de la digue numéro 4 qui se trouve à la possession.
Pour la vérification de la stabilité générale nous avons procéder par deux manières. Une vérification de la stabilité du mur (stabilité externe et interne) a été faite sur Excel et une vérification de la stabilité des pentes a été faite par une modélisation du massif sur le logiciel Geostab en utilisant la méthode de bishop modifiée.
La justification au non-glissement, au non-renversement et au non-cisaillement a été vérifiée avec notre coupe type étudiée.
Abstract : The present work is part of the project of the construction of the NRL, an essential axis for the economic life of the island of Reunion strongly disturbed by natural risks. The NRL as it is called in Reunion Island is built to replace the current coastal road, which goes from the prefecture of Saint -Denis to the Port, by a road with two times three lanes. The project owner being the Region of Reunion, this project has an exorbitant cost of 1.66 billion euros for 13 kilometers, or 138 million per kilometer. It will be composed of a set of 5 dikes over 7.3 km and the rest is made of several viaducts.
The main object of our study is to make the technical study to verify the general stability and the follow-up of the execution works of the dike number 4 which is in the possession.
For the verification of the general stability, we proceeded in two ways. A verification of the stability of the wall (external and internal stability) was done in Excel and a verification of the stability of the slopes was done by a modelling the massif on the Geostab software using the modified bishop method.
The justification for non-slip, non-overturning and non-shearing was verified with our typical section studied.Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etudes techniques et suivi des travaux d’exécution de la digue 4 en remblai renforce à solution gabion de la nouvelle route du littoral de l’île de la réunion (France) [texte imprimé] / Nouho BAMBA . - 2021 . - 109 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Le présent travail s’inscrit dans le cadre du projet de la construction de la NRL, un axe essentiel pour la vie économique de l’île de la Réunion fortement perturbé par les risques naturels. La NRL comme on l’appelle à la Réunion est construite pour remplacer l’actuelle route côtière, qui va de la préfecture de Saint -Denis au Port, par une route à deux fois trois voies. Le maître d’ouvrage étant la Région de la Réunion, ce projet a un coût de 1,66 milliards d’euros pour 13 kilomètres, soit 138 millions le kilomètre. Elle sera composée d’un ensemble de 5 digues sur 7,3 km et le reste est réalisé en plusieurs viaducs.
L’objet principal de notre étude est de reprendre la conception et l’étude technique pour vérifier la stabilité générale et de faire le suivi des travaux d’exécution de la digue numéro 4 qui se trouve à la possession.
Pour la vérification de la stabilité générale nous avons procéder par deux manières. Une vérification de la stabilité du mur (stabilité externe et interne) a été faite sur Excel et une vérification de la stabilité des pentes a été faite par une modélisation du massif sur le logiciel Geostab en utilisant la méthode de bishop modifiée.
La justification au non-glissement, au non-renversement et au non-cisaillement a été vérifiée avec notre coupe type étudiée.
Abstract : The present work is part of the project of the construction of the NRL, an essential axis for the economic life of the island of Reunion strongly disturbed by natural risks. The NRL as it is called in Reunion Island is built to replace the current coastal road, which goes from the prefecture of Saint -Denis to the Port, by a road with two times three lanes. The project owner being the Region of Reunion, this project has an exorbitant cost of 1.66 billion euros for 13 kilometers, or 138 million per kilometer. It will be composed of a set of 5 dikes over 7.3 km and the rest is made of several viaducts.
The main object of our study is to make the technical study to verify the general stability and the follow-up of the execution works of the dike number 4 which is in the possession.
For the verification of the general stability, we proceeded in two ways. A verification of the stability of the wall (external and internal stability) was done in Excel and a verification of the stability of the slopes was done by a modelling the massif on the Geostab software using the modified bishop method.
The justification for non-slip, non-overturning and non-shearing was verified with our typical section studied.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etudes techniques et suivi des travaux d’exécution de la digue 4 en remblai renforce à solution gabion de la nouvelle route du littoral de l’île de la réunion (France) / Nouho BAMBA
Titre de série : Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Etudes techniques et suivi des travaux d’exécution de la digue 4 en remblai renforce à solution gabion de la nouvelle route du littoral de l’île de la réunion (France) Type de document : texte imprimé Auteurs : Nouho BAMBA Année de publication : 2021 Importance : 109 p. Langues : Français (fre) Résumé : Le présent travail s’inscrit dans le cadre du projet de la construction de la NRL, un axe essentiel pour la vie économique de l’île de la Réunion fortement perturbé par les risques naturels. La NRL comme on l’appelle à la Réunion est construite pour remplacer l’actuelle route côtière, qui va de la préfecture de Saint -Denis au Port, par une route à deux fois trois voies. Le maître d’ouvrage étant la Région de la Réunion, ce projet a un coût de 1,66 milliards d’euros pour 13 kilomètres, soit 138 millions le kilomètre. Elle sera composée d’un ensemble de 5 digues sur 7,3 km et le reste est réalisé en plusieurs viaducs.
L’objet principal de notre étude est de reprendre la conception et l’étude technique pour vérifier la stabilité générale et de faire le suivi des travaux d’exécution de la digue numéro 4 qui se trouve à la possession.
Pour la vérification de la stabilité générale nous avons procéder par deux manières. Une vérification de la stabilité du mur (stabilité externe et interne) a été faite sur Excel et une vérification de la stabilité des pentes a été faite par une modélisation du massif sur le logiciel Geostab en utilisant la méthode de bishop modifiée.
La justification au non-glissement, au non-renversement et au non-cisaillement a été vérifiée avec notre coupe type étudiée.
Abstract : The present work is part of the project of the construction of the NRL, an essential axis for the economic life of the island of Reunion strongly disturbed by natural risks. The NRL as it is called in Reunion Island is built to replace the current coastal road, which goes from the prefecture of Saint -Denis to the Port, by a road with two times three lanes. The project owner being the Region of Reunion, this project has an exorbitant cost of 1.66 billion euros for 13 kilometers, or 138 million per kilometer. It will be composed of a set of 5 dikes over 7.3 km and the rest is made of several viaducts.
The main object of our study is to make the technical study to verify the general stability and the follow-up of the execution works of the dike number 4 which is in the possession.
For the verification of the general stability, we proceeded in two ways. A verification of the stability of the wall (external and internal stability) was done in Excel and a verification of the stability of the slopes was done by a modelling the massif on the Geostab software using the modified bishop method.
The justification for non-slip, non-overturning and non-shearing was verified with our typical section studied.Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etudes techniques et suivi des travaux d’exécution de la digue 4 en remblai renforce à solution gabion de la nouvelle route du littoral de l’île de la réunion (France) [texte imprimé] / Nouho BAMBA . - 2021 . - 109 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Le présent travail s’inscrit dans le cadre du projet de la construction de la NRL, un axe essentiel pour la vie économique de l’île de la Réunion fortement perturbé par les risques naturels. La NRL comme on l’appelle à la Réunion est construite pour remplacer l’actuelle route côtière, qui va de la préfecture de Saint -Denis au Port, par une route à deux fois trois voies. Le maître d’ouvrage étant la Région de la Réunion, ce projet a un coût de 1,66 milliards d’euros pour 13 kilomètres, soit 138 millions le kilomètre. Elle sera composée d’un ensemble de 5 digues sur 7,3 km et le reste est réalisé en plusieurs viaducs.
L’objet principal de notre étude est de reprendre la conception et l’étude technique pour vérifier la stabilité générale et de faire le suivi des travaux d’exécution de la digue numéro 4 qui se trouve à la possession.
Pour la vérification de la stabilité générale nous avons procéder par deux manières. Une vérification de la stabilité du mur (stabilité externe et interne) a été faite sur Excel et une vérification de la stabilité des pentes a été faite par une modélisation du massif sur le logiciel Geostab en utilisant la méthode de bishop modifiée.
La justification au non-glissement, au non-renversement et au non-cisaillement a été vérifiée avec notre coupe type étudiée.
Abstract : The present work is part of the project of the construction of the NRL, an essential axis for the economic life of the island of Reunion strongly disturbed by natural risks. The NRL as it is called in Reunion Island is built to replace the current coastal road, which goes from the prefecture of Saint -Denis to the Port, by a road with two times three lanes. The project owner being the Region of Reunion, this project has an exorbitant cost of 1.66 billion euros for 13 kilometers, or 138 million per kilometer. It will be composed of a set of 5 dikes over 7.3 km and the rest is made of several viaducts.
The main object of our study is to make the technical study to verify the general stability and the follow-up of the execution works of the dike number 4 which is in the possession.
For the verification of the general stability, we proceeded in two ways. A verification of the stability of the wall (external and internal stability) was done in Excel and a verification of the stability of the slopes was done by a modelling the massif on the Geostab software using the modified bishop method.
The justification for non-slip, non-overturning and non-shearing was verified with our typical section studied.Exemplaires
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