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Série Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques
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Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Contribution à l’élaboration du schéma directeur du nouveau réseau d’assainissement pluvial de la ville d’Agadez au Niger / Sayfoullah ABDOU DAOURA ALOU
Titre de série : Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Contribution à l’élaboration du schéma directeur du nouveau réseau d’assainissement pluvial de la ville d’Agadez au Niger Type de document : texte imprimé Auteurs : Sayfoullah ABDOU DAOURA ALOU Année de publication : 2020 Importance : 111 p. Langues : Français (fre) Résumé : Les grandes villes ouest africaines sont dépourvues, pour la plupart, de schémas directeurs d’évacuations des eaux pluviales ou sont encore au stade embryonnaire. Ajouter à cela les changements climatiques qui ont de graves conséquences sur l’environnement dont les écosystèmes se trouvent fortement bouleversées, l’élaboration du schéma directeur demeure un impératif. La ville d’Agadez, située dans la zone saharienne ne déroge pas à la règle avec les inondations récurrentes qu’elle rencontre, d’où le sujet de notre étude : « Contribution à l’élaboration du schéma directeur du nouveau réseau d’assainissement pluvial de la ville d’Agadez au Niger ».
Le seul réseau existant vise à désengorger l’ancienne ville classée patrimoine mondial de l’UNESCO et les principales voies de circulation. La ville d’Agadez connait un réseau existant qui n’arrive pas à prévenir les risques d’inondations sur l’ensemble de sa superficie et concentrée autour de l’ancienne ville. Ce réseau est constitué de caniveaux rectangulaires et trapézoïdaux mais également de rues drainantes en pavé. Les caniveaux présentent une longueur totale d’un peu plus de 5 850 mètres contre 14 900 mètres pour les rues drainantes.
Le nouveau réseau sera essentiellement constitué de rues drainantes mais également de quelques caniveaux dont les exutoires seront les cours d’eau des kory Teloua et Aghazarmadaran. Nous aurons ainsi des rues drainantes en pavé d’une longueur totale de 44 814 mètres linéaires pour un coût de 6 682 166 334 francs CFA et des caniveaux rectangulaires d’une longueur totale de 9 743,04 mètres linéaires pour un coût de 2 419 907 481 francs CFA. Le schéma directeur du projet s’élève à coût total de 9 177 128 371 francs CFA.
Abstract : Most large West African cities have no master plans for rainwater drainage or are still in the embryonic stage. Add to this climate change, which has serious consequences for the environment, whose ecosystems are severely disrupted, and the development of the master plan remains an imperative. The city of Agadez, located in the Saharan zone, is no exception to the rule with the recurrent floods it encounters, hence the subject of our study: "elaboration of the master plan for the new rainwater drainage network in the city of Agadez in Niger".
The only existing network aims to relieve congestion in the former UNESCO World Heritage city and main traffic routes. The city of Agadez has an existing network that is almost non-existent over its entire surface area and concentrated around the old city. This network consists of rectangular and trapezoidal gutters but also of draining paved streets. The total length of the gutters is just over 5,850 meters, compared to 14,900 meters for the draining streets.
This new network will essentially consist of draining streets but also of a few gutters whose outlets will be the rivers of the kory Teloua and Aghazarmadaran. We will have paved drainage streets with a total length of 44,814.18 linear meters at a cost of 6 682 166 334 CFA francs and rectangular gutters with a total length of 9,743.04 linear meters at a cost of 2 419 907 481 CFA francs. The project's master plan is for a total cost of 9 177 128 371CFA francs.Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Contribution à l’élaboration du schéma directeur du nouveau réseau d’assainissement pluvial de la ville d’Agadez au Niger [texte imprimé] / Sayfoullah ABDOU DAOURA ALOU . - 2020 . - 111 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Les grandes villes ouest africaines sont dépourvues, pour la plupart, de schémas directeurs d’évacuations des eaux pluviales ou sont encore au stade embryonnaire. Ajouter à cela les changements climatiques qui ont de graves conséquences sur l’environnement dont les écosystèmes se trouvent fortement bouleversées, l’élaboration du schéma directeur demeure un impératif. La ville d’Agadez, située dans la zone saharienne ne déroge pas à la règle avec les inondations récurrentes qu’elle rencontre, d’où le sujet de notre étude : « Contribution à l’élaboration du schéma directeur du nouveau réseau d’assainissement pluvial de la ville d’Agadez au Niger ».
Le seul réseau existant vise à désengorger l’ancienne ville classée patrimoine mondial de l’UNESCO et les principales voies de circulation. La ville d’Agadez connait un réseau existant qui n’arrive pas à prévenir les risques d’inondations sur l’ensemble de sa superficie et concentrée autour de l’ancienne ville. Ce réseau est constitué de caniveaux rectangulaires et trapézoïdaux mais également de rues drainantes en pavé. Les caniveaux présentent une longueur totale d’un peu plus de 5 850 mètres contre 14 900 mètres pour les rues drainantes.
Le nouveau réseau sera essentiellement constitué de rues drainantes mais également de quelques caniveaux dont les exutoires seront les cours d’eau des kory Teloua et Aghazarmadaran. Nous aurons ainsi des rues drainantes en pavé d’une longueur totale de 44 814 mètres linéaires pour un coût de 6 682 166 334 francs CFA et des caniveaux rectangulaires d’une longueur totale de 9 743,04 mètres linéaires pour un coût de 2 419 907 481 francs CFA. Le schéma directeur du projet s’élève à coût total de 9 177 128 371 francs CFA.
Abstract : Most large West African cities have no master plans for rainwater drainage or are still in the embryonic stage. Add to this climate change, which has serious consequences for the environment, whose ecosystems are severely disrupted, and the development of the master plan remains an imperative. The city of Agadez, located in the Saharan zone, is no exception to the rule with the recurrent floods it encounters, hence the subject of our study: "elaboration of the master plan for the new rainwater drainage network in the city of Agadez in Niger".
The only existing network aims to relieve congestion in the former UNESCO World Heritage city and main traffic routes. The city of Agadez has an existing network that is almost non-existent over its entire surface area and concentrated around the old city. This network consists of rectangular and trapezoidal gutters but also of draining paved streets. The total length of the gutters is just over 5,850 meters, compared to 14,900 meters for the draining streets.
This new network will essentially consist of draining streets but also of a few gutters whose outlets will be the rivers of the kory Teloua and Aghazarmadaran. We will have paved drainage streets with a total length of 44,814.18 linear meters at a cost of 6 682 166 334 CFA francs and rectangular gutters with a total length of 9,743.04 linear meters at a cost of 2 419 907 481 CFA francs. The project's master plan is for a total cost of 9 177 128 371CFA francs.Exemplaires
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AlouAdobe Acrobat PDF Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Conception et dimensionnement du réseau d’alimentation en eau potable de la cite des forces vives de Tenkodogo, dans la région du centre-est, Burkina Faso / Abderahim ABDOULAYE
Titre de série : Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Conception et dimensionnement du réseau d’alimentation en eau potable de la cite des forces vives de Tenkodogo, dans la région du centre-est, Burkina Faso Type de document : texte imprimé Auteurs : Abderahim ABDOULAYE Année de publication : 2020 Importance : 79 p. Langues : Français (fre) Résumé : La commune de Tenkodogo est située dans la partie Centre-Est du Burkina Faso. Elle a bénéficié dans le cadre de l’organisation de la fête nationale du 11 décembre 2019, de la réalisation d’un système AEP qui fait l’objet de notre étude.
Cette étude porte sur la : « conception et dimensionnement du réseau d’alimentation en eau potable de la cité des forces vives de Tenkodogo ». La cité a une superficie de 104 hectares et abritera une population estimée à 5862 habitants à l’horizon de la saturation des parcelles. Le réseau a été dimensionné manuellement à l’aide de l’outil Excel par la méthode de Hardy-Cross et ensuite simulé sur l’outil EPANET. Le résultat de notre étude fait ressortir un besoin journalier de 436 m3 qui sera couvert par cinq (5) forages d’un débit moyen estimé à 5 m3/h chacun. La distribution se fera à partir d’un réservoir métallique cylindrique d’une capacité de 150 m3 et d’une hauteur sous radier de 15 m. Le réseau est constitué de conduites en PVC PN 10 sur une longueur totale de 14 908 m dont 11899 m de distribution et 3009 m d’adduction avec des diamètres allant de 63 à 200 mm. La desserte est entièrement assurée par des branchements privés à partir d’un réseau mixte (18 mailles et 1 réseau ramifié). La pression de service préconisée pour les branchements privés est de 10 mCE. La vitesse d’écoulement dans les conduites est comprise entre 0,04 m/s et 0,91 m/s. Les installations du système AEP seront alimentées par le réseau électrique national fournit par la Société Nationale Burkinabé d’Electricité (SONABEL). Un plan de gestion environnemental a été proposé pour atténuer les impacts du projet sur l’environnement.
Le coût global du projet s’élève à cent quatre-vingt-onze millions six cent soixante-douze mille six cent quatre-vingt-quatre (191 672 684 FCFA TTC).
Abstract : The municipality of Tenkodogo is located in the central-eastern part of Burkina Faso. As part of the organisation of the national holiday on 11 December 2019, it benefited from the creation of an AEP system, which is the subject of our study.
This study focuses on the: «design and dimensioning of the drinking water supply network for the city of Tenkodogo». The city has a surface area of 104 hectares and will have an estimated population of 5862 inhabitants by the time the plots are saturated. The network was manually dimensioned using the Excel tool by the Hardy-Cross method and then simulated on the EPANET tool. The result of our study shows a daily requirement of 436 m3 which will be covered by five (5) boreholes with an estimated average flow rate of 5 m3/h. The distribution will be made from a cylindrical metal tank with a capacity of 150 m3 and an underfloor height of 18 m. The network consists of PVC PN 10 pipes with a total length of 14,908 m, including 11,899 m of distribution and 3009 m of supply with diameters ranging from 63 to 200 mm. The service is entirely provided by private connections from a mixed network (18 meshes and 1 branched network). The recommended operating pressure for private connections is 10 mWg. The flow velocity in the pipes is between 0.02 m/s and 0.91 m/s. The AEP system installations will be supplied by the national electricity grid provided by the Burkinabe National Electricity Company (SONABEL). An environmental management plan has been proposed to mitigate the project's environmental impacts.
The total cost of the project amounts to one hundred and ninety-three million three hundred and twenty-three thousand eight hundred and ninety-four (193,323,884 CFA francs including tax).Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Conception et dimensionnement du réseau d’alimentation en eau potable de la cite des forces vives de Tenkodogo, dans la région du centre-est, Burkina Faso [texte imprimé] / Abderahim ABDOULAYE . - 2020 . - 79 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : La commune de Tenkodogo est située dans la partie Centre-Est du Burkina Faso. Elle a bénéficié dans le cadre de l’organisation de la fête nationale du 11 décembre 2019, de la réalisation d’un système AEP qui fait l’objet de notre étude.
Cette étude porte sur la : « conception et dimensionnement du réseau d’alimentation en eau potable de la cité des forces vives de Tenkodogo ». La cité a une superficie de 104 hectares et abritera une population estimée à 5862 habitants à l’horizon de la saturation des parcelles. Le réseau a été dimensionné manuellement à l’aide de l’outil Excel par la méthode de Hardy-Cross et ensuite simulé sur l’outil EPANET. Le résultat de notre étude fait ressortir un besoin journalier de 436 m3 qui sera couvert par cinq (5) forages d’un débit moyen estimé à 5 m3/h chacun. La distribution se fera à partir d’un réservoir métallique cylindrique d’une capacité de 150 m3 et d’une hauteur sous radier de 15 m. Le réseau est constitué de conduites en PVC PN 10 sur une longueur totale de 14 908 m dont 11899 m de distribution et 3009 m d’adduction avec des diamètres allant de 63 à 200 mm. La desserte est entièrement assurée par des branchements privés à partir d’un réseau mixte (18 mailles et 1 réseau ramifié). La pression de service préconisée pour les branchements privés est de 10 mCE. La vitesse d’écoulement dans les conduites est comprise entre 0,04 m/s et 0,91 m/s. Les installations du système AEP seront alimentées par le réseau électrique national fournit par la Société Nationale Burkinabé d’Electricité (SONABEL). Un plan de gestion environnemental a été proposé pour atténuer les impacts du projet sur l’environnement.
Le coût global du projet s’élève à cent quatre-vingt-onze millions six cent soixante-douze mille six cent quatre-vingt-quatre (191 672 684 FCFA TTC).
Abstract : The municipality of Tenkodogo is located in the central-eastern part of Burkina Faso. As part of the organisation of the national holiday on 11 December 2019, it benefited from the creation of an AEP system, which is the subject of our study.
This study focuses on the: «design and dimensioning of the drinking water supply network for the city of Tenkodogo». The city has a surface area of 104 hectares and will have an estimated population of 5862 inhabitants by the time the plots are saturated. The network was manually dimensioned using the Excel tool by the Hardy-Cross method and then simulated on the EPANET tool. The result of our study shows a daily requirement of 436 m3 which will be covered by five (5) boreholes with an estimated average flow rate of 5 m3/h. The distribution will be made from a cylindrical metal tank with a capacity of 150 m3 and an underfloor height of 18 m. The network consists of PVC PN 10 pipes with a total length of 14,908 m, including 11,899 m of distribution and 3009 m of supply with diameters ranging from 63 to 200 mm. The service is entirely provided by private connections from a mixed network (18 meshes and 1 branched network). The recommended operating pressure for private connections is 10 mWg. The flow velocity in the pipes is between 0.02 m/s and 0.91 m/s. The AEP system installations will be supplied by the national electricity grid provided by the Burkinabe National Electricity Company (SONABEL). An environmental management plan has been proposed to mitigate the project's environmental impacts.
The total cost of the project amounts to one hundred and ninety-three million three hundred and twenty-three thousand eight hundred and ninety-four (193,323,884 CFA francs including tax).Exemplaires
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AbderahimAdobe Acrobat PDF Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Hydrogeological investigations for the drilling of ten boreholes at Obuasi in Ashanti region in Ghana / Younaise Sounkanmi Olouwachéyi ADEOTAN
Titre de série : Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Hydrogeological investigations for the drilling of ten boreholes at Obuasi in Ashanti region in Ghana Type de document : texte imprimé Auteurs : Younaise Sounkanmi Olouwachéyi ADEOTAN Année de publication : 2020 Importance : 92 p. Langues : Français (fre) Résumé : Des études hydrogéologiques ont été entreprises à OBUASI sur le projet d’Obuasi, une initiative d’Authentix Inc. dans le cadre de ses responsabilités sociales. L’objectif principal du projet était de renforcer l’approvisionnement en eau portable. Pour atteindre l'objectif susmentionné, nous avons dans un premier temps mené des études hydro géophysiques afin d’identifier des zones à fort potentiel pour la réalisation des forages. Neuf sondages électriques verticaux ont été réalisés selon la configuration dipôle-dipôle avec un ABEM Terrameter LS. Les données obtenues ont été interprétées à l’aide de la méthode des résistivités cumulées et du logiciel ZONDIP1.Ensuite nous avons fournir des services garantissant des performances optimales des forages en faisant des essais de pompage a débit constant de six (6) heures sur les dix (10) forages. La méthode de réduction temporelle de Cooper-Jacob et la méthode de Theis ont étés adoptées pour interpréter les données des essais de pompage afin de déterminer la productivité de l'aquifère. Enfin une étude de qualité d’eau a été faite pour savoir si l’eau des forages est potable ou non. Les résultats d’investigations géophysiques ont montré la présence de deux couches géo électriques comprenant des roches consolidées (argile rougeâtre) ayant une résistivité vraie variant entre 99,6ohm.m et 267,7ohm.m et la partie fracturée (la phyllite) ayant une résistivité vraie variant entre 236,31ohm.m et 854,33ohm.m.Des forages ont été exécuté avec un taux de réussite de 100% et ont une profondeur variant entre 30 et 60 m. Les débits en fin de foration varient de 18 à 297 l / min. La capacité spécifique des aquifères variait entre 0,0008m2 / min et 0,065m2 / min, avec des valeurs de transmissivités comprises entre 5,5610-5 m2 / min et 6,9.10-2 m2 / min. En règle générale, la qualité de l’eau de tous les forages est satisfaisante et respecte les normes ghanéennes acceptables sauf dans certains cas ou le pH est faible.
Abstract : Hydrogeological investigations have been undertaken under the obuasi project, an initiative of Authentix Incorporation as part of its corporate social responsibilities (CSR). The primary objective of the project was to boost the supply of potable water. To achieve the above mentioned objective, we firstly carried out geophysical investigations to delineate zones of high potentials for drilling of boreholes. Nine vertical electrical soundings of the dipole-dipole configuration were performed with an ABEM Terrameter LS. The data obtained from the geophysical investigations were interpreted using cumulative resistivity method and ZONDIP1 software. Secondly we provided services to guarantee optimal performances of the boreholes by pump-tested each borehole for 6 hours at constant discharge and recovery measurement taken for a period of one to two hours to ascertain the safe sustainable yield. The cooper-Jacob time drawdown method and recovery analysis with Theis method were adopted to analyze the pumping test data to determine the aquifer productivity (transmissivity). Lastly the water quality was evaluated in order to know if the water is potable or not. Results of geophysical investigations showed the presence of two geoelectrical layers comprising reddish clay with resistivity varies from 99,6ohm.m to 267,7ohm.m and a weathered rock (phyllite) with resistivity varies from 236,31ohm.m to 854,33ohm.m. Boreholes depth ranged between 30 and 60 m, with yields varying from 18 to 297 l/min. Generally, the success rate for drilling was 100%. The transmissivity obtained ranged between 5,56.10-5 m2/min and 6,9.10-2m2/min and specific capacity of the aquifers ranged between 0.0008m2/min and 0.065m2/min. In terms of groundwater potential, all ten boreholes could be described as good. The measured water parameters of all boreholes are good and are within the acceptable Ghana standard except some locations where the pH is low.Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Hydrogeological investigations for the drilling of ten boreholes at Obuasi in Ashanti region in Ghana [texte imprimé] / Younaise Sounkanmi Olouwachéyi ADEOTAN . - 2020 . - 92 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Des études hydrogéologiques ont été entreprises à OBUASI sur le projet d’Obuasi, une initiative d’Authentix Inc. dans le cadre de ses responsabilités sociales. L’objectif principal du projet était de renforcer l’approvisionnement en eau portable. Pour atteindre l'objectif susmentionné, nous avons dans un premier temps mené des études hydro géophysiques afin d’identifier des zones à fort potentiel pour la réalisation des forages. Neuf sondages électriques verticaux ont été réalisés selon la configuration dipôle-dipôle avec un ABEM Terrameter LS. Les données obtenues ont été interprétées à l’aide de la méthode des résistivités cumulées et du logiciel ZONDIP1.Ensuite nous avons fournir des services garantissant des performances optimales des forages en faisant des essais de pompage a débit constant de six (6) heures sur les dix (10) forages. La méthode de réduction temporelle de Cooper-Jacob et la méthode de Theis ont étés adoptées pour interpréter les données des essais de pompage afin de déterminer la productivité de l'aquifère. Enfin une étude de qualité d’eau a été faite pour savoir si l’eau des forages est potable ou non. Les résultats d’investigations géophysiques ont montré la présence de deux couches géo électriques comprenant des roches consolidées (argile rougeâtre) ayant une résistivité vraie variant entre 99,6ohm.m et 267,7ohm.m et la partie fracturée (la phyllite) ayant une résistivité vraie variant entre 236,31ohm.m et 854,33ohm.m.Des forages ont été exécuté avec un taux de réussite de 100% et ont une profondeur variant entre 30 et 60 m. Les débits en fin de foration varient de 18 à 297 l / min. La capacité spécifique des aquifères variait entre 0,0008m2 / min et 0,065m2 / min, avec des valeurs de transmissivités comprises entre 5,5610-5 m2 / min et 6,9.10-2 m2 / min. En règle générale, la qualité de l’eau de tous les forages est satisfaisante et respecte les normes ghanéennes acceptables sauf dans certains cas ou le pH est faible.
Abstract : Hydrogeological investigations have been undertaken under the obuasi project, an initiative of Authentix Incorporation as part of its corporate social responsibilities (CSR). The primary objective of the project was to boost the supply of potable water. To achieve the above mentioned objective, we firstly carried out geophysical investigations to delineate zones of high potentials for drilling of boreholes. Nine vertical electrical soundings of the dipole-dipole configuration were performed with an ABEM Terrameter LS. The data obtained from the geophysical investigations were interpreted using cumulative resistivity method and ZONDIP1 software. Secondly we provided services to guarantee optimal performances of the boreholes by pump-tested each borehole for 6 hours at constant discharge and recovery measurement taken for a period of one to two hours to ascertain the safe sustainable yield. The cooper-Jacob time drawdown method and recovery analysis with Theis method were adopted to analyze the pumping test data to determine the aquifer productivity (transmissivity). Lastly the water quality was evaluated in order to know if the water is potable or not. Results of geophysical investigations showed the presence of two geoelectrical layers comprising reddish clay with resistivity varies from 99,6ohm.m to 267,7ohm.m and a weathered rock (phyllite) with resistivity varies from 236,31ohm.m to 854,33ohm.m. Boreholes depth ranged between 30 and 60 m, with yields varying from 18 to 297 l/min. Generally, the success rate for drilling was 100%. The transmissivity obtained ranged between 5,56.10-5 m2/min and 6,9.10-2m2/min and specific capacity of the aquifers ranged between 0.0008m2/min and 0.065m2/min. In terms of groundwater potential, all ten boreholes could be described as good. The measured water parameters of all boreholes are good and are within the acceptable Ghana standard except some locations where the pH is low.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude de renforcement et d’optimisation des réseaux d’adduction d’eau potable des villes de Koupèla et de Pouytenga au Burkina-Faso / Gbèdowi Adéchinan Luc Franklin AÏZAN
Titre de série : Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Etude de renforcement et d’optimisation des réseaux d’adduction d’eau potable des villes de Koupèla et de Pouytenga au Burkina-Faso Type de document : texte imprimé Auteurs : Gbèdowi Adéchinan Luc Franklin AÏZAN Année de publication : 2020 Importance : 108 p. Langues : Français (fre) Résumé : Les centres ONEA des villes de Koupèla et de Pouytenga devront faire face à un besoin en eau journalier de 18 355 m3 d’ici 2030. Compte tenu de la production actuelle évaluée à 2 624 m3/j, il se dégage un déficit de 15 731 m3/j. Cette étude de renforcement qui vise à améliorer le service d’eau potable dans ces centres urbains a nécessité : un état des lieux du réseau de production en place et une analyse des données sur les ressources potentiellement exploitables qui a abouti au dimensionnement d’un centre de production d’eau (CPE). Ce CPE d’une capacité de 24 226 m3/j exploitera le barrage de la Sirba dans la commune de la Gnagna et intégrera aussi les besoins des populations des villes de Bogandé et de Boulsa ainsi que quinze villages traversés par le nouveau réseau d’adduction. Ce dernier sera composé d’une prise constituée d’un canal de dérivation et d’un puisard d’aspiration près de la berge Sud de la retenue. L’acheminement de l’eau traitée jusqu’aux quatre villes ciblées se fera au moyen de deux stations de pompage intermédiaires : l’une dans la ville de Piéla (SP1) avec une bâche cylindrique et semi-enterrée de 600 m3 et l’autre dans la ville de Pouytenga (SP2) avec une bâche cylindrique et semi-enterrée de 1 500 m3. Pour assurer la distribution de l’eau traitée, il sera réalisé un réservoir surélevé de 1 500 m3 à Koupèla et deux réservoirs surélevés de la même capacité à Pouytenga. Le coût global des réalisations proposées a été estimé à environ 24 milliards de franc CFA TTC et il sera envisagé un diagnostic approfondi sur les réseaux de distribution.
Abstract : The ONEA centers located in the towns of Koupèla and Pouytenga are expected to need 18,355 m3 of water a day by 2030. Compared to the current daily production of 2,624 m3, these facilities would require an additional 15,731 m3/d. This strengthening study which aims to improve clean water supply services in the centers was conducted in two phases. First, an inventory of the existing production system was carried out, followed by an analysis of data on potentially exploitable resources, which made it possible to design a Water Production Center (WPC). The 24,226 m3/d facility will operate the Sirba dam in the commune of Gnagna, and will also supply water for people living in the cities of Bogandé and Boulsa as well as fifteen villages crossed by the new supply network. Network will be made of an outlet consisting of a diversion channel and a sump pump near the south bank of the reservoir. The treated water will be transported to the four targeted cities via two intermediate pump stations: one with a 600 m3 cylindrical and semi-underground tank in the city of Piéla (PS1) and the other in the city of Pouytenga (PS2) with a cylindrical and semi-underground tank of 1,500 m3. To ensure the distribution of water, three 1,500 m3 elevated reservoirs will be built: one in Koupèla and the two others in Pouytenga. Work will require an estimated overall investment of 24 billion CFA Francs and a detailed diagnosis of the distribution networks will also be considered to explore expansion possibilities.Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude de renforcement et d’optimisation des réseaux d’adduction d’eau potable des villes de Koupèla et de Pouytenga au Burkina-Faso [texte imprimé] / Gbèdowi Adéchinan Luc Franklin AÏZAN . - 2020 . - 108 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Les centres ONEA des villes de Koupèla et de Pouytenga devront faire face à un besoin en eau journalier de 18 355 m3 d’ici 2030. Compte tenu de la production actuelle évaluée à 2 624 m3/j, il se dégage un déficit de 15 731 m3/j. Cette étude de renforcement qui vise à améliorer le service d’eau potable dans ces centres urbains a nécessité : un état des lieux du réseau de production en place et une analyse des données sur les ressources potentiellement exploitables qui a abouti au dimensionnement d’un centre de production d’eau (CPE). Ce CPE d’une capacité de 24 226 m3/j exploitera le barrage de la Sirba dans la commune de la Gnagna et intégrera aussi les besoins des populations des villes de Bogandé et de Boulsa ainsi que quinze villages traversés par le nouveau réseau d’adduction. Ce dernier sera composé d’une prise constituée d’un canal de dérivation et d’un puisard d’aspiration près de la berge Sud de la retenue. L’acheminement de l’eau traitée jusqu’aux quatre villes ciblées se fera au moyen de deux stations de pompage intermédiaires : l’une dans la ville de Piéla (SP1) avec une bâche cylindrique et semi-enterrée de 600 m3 et l’autre dans la ville de Pouytenga (SP2) avec une bâche cylindrique et semi-enterrée de 1 500 m3. Pour assurer la distribution de l’eau traitée, il sera réalisé un réservoir surélevé de 1 500 m3 à Koupèla et deux réservoirs surélevés de la même capacité à Pouytenga. Le coût global des réalisations proposées a été estimé à environ 24 milliards de franc CFA TTC et il sera envisagé un diagnostic approfondi sur les réseaux de distribution.
Abstract : The ONEA centers located in the towns of Koupèla and Pouytenga are expected to need 18,355 m3 of water a day by 2030. Compared to the current daily production of 2,624 m3, these facilities would require an additional 15,731 m3/d. This strengthening study which aims to improve clean water supply services in the centers was conducted in two phases. First, an inventory of the existing production system was carried out, followed by an analysis of data on potentially exploitable resources, which made it possible to design a Water Production Center (WPC). The 24,226 m3/d facility will operate the Sirba dam in the commune of Gnagna, and will also supply water for people living in the cities of Bogandé and Boulsa as well as fifteen villages crossed by the new supply network. Network will be made of an outlet consisting of a diversion channel and a sump pump near the south bank of the reservoir. The treated water will be transported to the four targeted cities via two intermediate pump stations: one with a 600 m3 cylindrical and semi-underground tank in the city of Piéla (PS1) and the other in the city of Pouytenga (PS2) with a cylindrical and semi-underground tank of 1,500 m3. To ensure the distribution of water, three 1,500 m3 elevated reservoirs will be built: one in Koupèla and the two others in Pouytenga. Work will require an estimated overall investment of 24 billion CFA Francs and a detailed diagnosis of the distribution networks will also be considered to explore expansion possibilities.Exemplaires
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AizanAdobe Acrobat PDF Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude de réhabilitation du barrage de tanga dans la commune de Andemtenga, province du Kouritenga (région du centre-est au Burkina Faso) / Ibrahim AKA
Titre de série : Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Etude de réhabilitation du barrage de tanga dans la commune de Andemtenga, province du Kouritenga (région du centre-est au Burkina Faso) Type de document : texte imprimé Auteurs : Ibrahim AKA Année de publication : 2020 Importance : 110 p. Langues : Français (fre) Résumé : Ce présent mémoire présente les résultats de l’étude de réhabilitation du barrage de Tanga dans la commune de Andemtenga, province du Kouritenga dans région du Centre-Est du Burkina Faso. En effet le barrage de Tanga a été construit depuis1987 par la population sans une étude scientifique préalable. Au fil des années d’utilisation, il a subi des dégradations jusqu’à sa réhabilitation en 1998. En 2018, le barrage a cédé laissant les villageois dans le désespoir. Le gouvernement Burkinabè à travers le Projet de Valorisation Agricole des petits Barrages (ProValAB) a voulu donc réhabiliter ce barrage. La présente étude, a été menée dans ce cadre afin de disposer d’informations pour la réhabilitation.
A l’issue de l’étude, une reconstruction s’est avérée nécessaire. Il ressort que le barrage de Tanga a un bassin versant pouvant apporter en année décennale sèche un volume d’eau de 5 080 320 m3 avec une capacité de stockage de 1 496 000 m3 au Plan d’Eau Normal (P.E.N). Sa digue est calée à la côte 288,60 m et est en remblai homogène argileux avec un couronnement latéritique. Elle a une longueur de 1100 m y compris le déversoir et une largeur en crête de 3,5 m. Elle a une hauteur maximale de 5 m avec des talus amont et aval de pentes 1V/2H. Le déversoir de 95 m de long occupe une position latérale en rive gauche, il est de type radier et a été conçu pour évacuer un débit d’une période de retour de 100 ans soit 162 m3/s. Il est calée à la cote 287,00 m et à l’aval est prévu un bassin de dissipation à ressaut de type II. Une conduite de prise de diamètre de 250 mm, placé à la côte 285,25 m permettra d’irriguer un périmètre d’une superficie de 15 ha. Le coût de réalisation du projet est estimé à 518 977 687 HT.
Abstract : This thesis presents the results of the Tanga dam rehabilitation study in the commune of Andemtenga, Kouritenga province in the Center-East region of Burkina Faso. Indeed the Tanga dam was built in 1987 by the population. It suffered damage until it was rehabilitated in 1998. Finally in 2018, the dam collapsed leaving the villagers in despair. The Burkinabè government, through the Agricultural Development Project for Small Dams (ProValAB) wanted to rehabilitate the dam, a study was therefore essential.
At the end of the study, reconstruction was necessary. It appears that the Tanga dam has a catchment area of 120.96 km2 which can provide a volume of water of 5,080,320 m3 in a ten-year dry period with a storage capacity of 1,496,000 m3 at the Normal Water Plan (P.E.N). Its breakwater is wedged at the coast 288.60 m and is in homogeneous clay embankment with a lateritic crowning. It has a length of 1100 m including the weir and a crest width of 3.5 m. It has a maximum height of 5 m with upstream and downstream slopes of 1V / 2H slopes. The 95 m long weir occupies a lateral position on the left bank; it is of the raft type and was designed to evacuate a flow of a return period of 100 years, ie 162 m3 / s. It is rigged at a height of 287.00 m and downstream is planned a type II jump dissipation basin. A 250 mm diameter intake pipe, placed at the 285.25 m coast will irrigate a perimeter with an area of 15 ha. The cost of carrying out the project is estimated at 518 977 687 HT.Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude de réhabilitation du barrage de tanga dans la commune de Andemtenga, province du Kouritenga (région du centre-est au Burkina Faso) [texte imprimé] / Ibrahim AKA . - 2020 . - 110 p.
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Résumé : Ce présent mémoire présente les résultats de l’étude de réhabilitation du barrage de Tanga dans la commune de Andemtenga, province du Kouritenga dans région du Centre-Est du Burkina Faso. En effet le barrage de Tanga a été construit depuis1987 par la population sans une étude scientifique préalable. Au fil des années d’utilisation, il a subi des dégradations jusqu’à sa réhabilitation en 1998. En 2018, le barrage a cédé laissant les villageois dans le désespoir. Le gouvernement Burkinabè à travers le Projet de Valorisation Agricole des petits Barrages (ProValAB) a voulu donc réhabiliter ce barrage. La présente étude, a été menée dans ce cadre afin de disposer d’informations pour la réhabilitation.
A l’issue de l’étude, une reconstruction s’est avérée nécessaire. Il ressort que le barrage de Tanga a un bassin versant pouvant apporter en année décennale sèche un volume d’eau de 5 080 320 m3 avec une capacité de stockage de 1 496 000 m3 au Plan d’Eau Normal (P.E.N). Sa digue est calée à la côte 288,60 m et est en remblai homogène argileux avec un couronnement latéritique. Elle a une longueur de 1100 m y compris le déversoir et une largeur en crête de 3,5 m. Elle a une hauteur maximale de 5 m avec des talus amont et aval de pentes 1V/2H. Le déversoir de 95 m de long occupe une position latérale en rive gauche, il est de type radier et a été conçu pour évacuer un débit d’une période de retour de 100 ans soit 162 m3/s. Il est calée à la cote 287,00 m et à l’aval est prévu un bassin de dissipation à ressaut de type II. Une conduite de prise de diamètre de 250 mm, placé à la côte 285,25 m permettra d’irriguer un périmètre d’une superficie de 15 ha. Le coût de réalisation du projet est estimé à 518 977 687 HT.
Abstract : This thesis presents the results of the Tanga dam rehabilitation study in the commune of Andemtenga, Kouritenga province in the Center-East region of Burkina Faso. Indeed the Tanga dam was built in 1987 by the population. It suffered damage until it was rehabilitated in 1998. Finally in 2018, the dam collapsed leaving the villagers in despair. The Burkinabè government, through the Agricultural Development Project for Small Dams (ProValAB) wanted to rehabilitate the dam, a study was therefore essential.
At the end of the study, reconstruction was necessary. It appears that the Tanga dam has a catchment area of 120.96 km2 which can provide a volume of water of 5,080,320 m3 in a ten-year dry period with a storage capacity of 1,496,000 m3 at the Normal Water Plan (P.E.N). Its breakwater is wedged at the coast 288.60 m and is in homogeneous clay embankment with a lateritic crowning. It has a length of 1100 m including the weir and a crest width of 3.5 m. It has a maximum height of 5 m with upstream and downstream slopes of 1V / 2H slopes. The 95 m long weir occupies a lateral position on the left bank; it is of the raft type and was designed to evacuate a flow of a return period of 100 years, ie 162 m3 / s. It is rigged at a height of 287.00 m and downstream is planned a type II jump dissipation basin. A 250 mm diameter intake pipe, placed at the 285.25 m coast will irrigate a perimeter with an area of 15 ha. The cost of carrying out the project is estimated at 518 977 687 HT.Exemplaires
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AkaAdobe Acrobat PDF Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude d’exécution des travaux d’assainissement dans le cadre des travaux de rénovation de l’aéroport international Diori Hamani de Niamey / Aïchatou AMADOU ABDOU
Titre de série : Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Etude d’exécution des travaux d’assainissement dans le cadre des travaux de rénovation de l’aéroport international Diori Hamani de Niamey Type de document : texte imprimé Auteurs : Aïchatou AMADOU ABDOU Année de publication : 2020 Importance : 107 p. Langues : Français (fre) Résumé : Dans le cadre du programme de renaissance acte 2, les autorités de la septième (7ème) république du Niger ont initié un ensemble de projets sur plusieurs axes prioritaires afin de contribuer à l’amélioration des conditions de vie des populations. C’est dans ce contexte qu’un de volet a été consacré à la réhabilitation des infrastructures existantes et à la construction de nouvelles infrastructures. Le gouvernement par le biais de la Coopération Allemande a attribué à l’entreprise SOGEA-SATOM la réhabilitation de la piste de décollage et d’atterrissage 09l/27R et la construction d’un taxiway à l’aéroport International Diori Hamani pour le compte du Ministère de la Défense Nationale. Pour une meilleure fonctionnalité de cette piste d’atterrissage et de décollage, il serait primordial de mettre sur place un réseau de drainage des eaux de pluies efficient. C’est dans ce cadre que s’inscrit notre étude.
Le présent mémoire dont la thématique porte sur l’étude technique des travaux d’assainissement des travaux de réalisation d’un taxiway à l’aéroport International Diori Hamani de Niamey a pour objectif prise la mise en place d’un réseau d’évacuation des eaux pluviales.
Les résultats ont permis d’obtenir un réseau composé :
d’un fossé trapézoïdal d’une longueur de 2200 ml positionné entre les deux pistes ;
d’un dalot sous taxiway de 2*2.5m*2m avec une longueur de 49.2 ml;
d’un collecteur de 2*3m*2m avec une longueur de 2625 ml.
Le coût global du projet s’élève à environ 17 166 187 638 FCFA.
Abstract : As part of the Act 2 revival program, the authorities of the seventh (7th) Republic of Niger have initiated a series of projects on several priority axes in order to contribute to improving the living conditions of the populations. It is in this context that one section was devoted to the rehabilitation of existing infrastructure and the construction of new infrastructure. The government through German Cooperation has awarded SOGEA-SATOM the rehabilitation of the take-off and landing runway 09l / 27R and the construction of a taxiway at Diori Hamani International Airport on behalf of the Ministry of National Defence. For better functionality of this landing and take-off runway, it would be essential to set up an efficient rainwater drainage network. This is the context for our study. The purpose of this thesis, which deals with the technical study of the remediation works for the construction of a taxiway at the Diori Hamani International Airport in Niamey, is to establish a network for the evacuation of rainy waters. The results made it possible to obtain a network composed:
a trapezoidal ditch with a length of 2200 meters positioned between the two tracks;
a culvert under 2 * 2.5m * 2m taxiway with a length of 49.2 meters;
a collector of 2 * 3m * 2m with a length of 2625 meters.
The overall cost of the project is approximately 17,166,187,638 FCFA.Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude d’exécution des travaux d’assainissement dans le cadre des travaux de rénovation de l’aéroport international Diori Hamani de Niamey [texte imprimé] / Aïchatou AMADOU ABDOU . - 2020 . - 107 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Dans le cadre du programme de renaissance acte 2, les autorités de la septième (7ème) république du Niger ont initié un ensemble de projets sur plusieurs axes prioritaires afin de contribuer à l’amélioration des conditions de vie des populations. C’est dans ce contexte qu’un de volet a été consacré à la réhabilitation des infrastructures existantes et à la construction de nouvelles infrastructures. Le gouvernement par le biais de la Coopération Allemande a attribué à l’entreprise SOGEA-SATOM la réhabilitation de la piste de décollage et d’atterrissage 09l/27R et la construction d’un taxiway à l’aéroport International Diori Hamani pour le compte du Ministère de la Défense Nationale. Pour une meilleure fonctionnalité de cette piste d’atterrissage et de décollage, il serait primordial de mettre sur place un réseau de drainage des eaux de pluies efficient. C’est dans ce cadre que s’inscrit notre étude.
Le présent mémoire dont la thématique porte sur l’étude technique des travaux d’assainissement des travaux de réalisation d’un taxiway à l’aéroport International Diori Hamani de Niamey a pour objectif prise la mise en place d’un réseau d’évacuation des eaux pluviales.
Les résultats ont permis d’obtenir un réseau composé :
d’un fossé trapézoïdal d’une longueur de 2200 ml positionné entre les deux pistes ;
d’un dalot sous taxiway de 2*2.5m*2m avec une longueur de 49.2 ml;
d’un collecteur de 2*3m*2m avec une longueur de 2625 ml.
Le coût global du projet s’élève à environ 17 166 187 638 FCFA.
Abstract : As part of the Act 2 revival program, the authorities of the seventh (7th) Republic of Niger have initiated a series of projects on several priority axes in order to contribute to improving the living conditions of the populations. It is in this context that one section was devoted to the rehabilitation of existing infrastructure and the construction of new infrastructure. The government through German Cooperation has awarded SOGEA-SATOM the rehabilitation of the take-off and landing runway 09l / 27R and the construction of a taxiway at Diori Hamani International Airport on behalf of the Ministry of National Defence. For better functionality of this landing and take-off runway, it would be essential to set up an efficient rainwater drainage network. This is the context for our study. The purpose of this thesis, which deals with the technical study of the remediation works for the construction of a taxiway at the Diori Hamani International Airport in Niamey, is to establish a network for the evacuation of rainy waters. The results made it possible to obtain a network composed:
a trapezoidal ditch with a length of 2200 meters positioned between the two tracks;
a culvert under 2 * 2.5m * 2m taxiway with a length of 49.2 meters;
a collector of 2 * 3m * 2m with a length of 2625 meters.
The overall cost of the project is approximately 17,166,187,638 FCFA.Exemplaires
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Abdou3Adobe Acrobat PDF Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Evaluation de la recharge naturelle d’un aquifère dans la commune de Zogbodomey / Carole Claudia Houéfa ASSOGBA
Titre de série : Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Evaluation de la recharge naturelle d’un aquifère dans la commune de Zogbodomey Type de document : texte imprimé Auteurs : Carole Claudia Houéfa ASSOGBA Année de publication : 2020 Importance : 68 p. Langues : Français (fre) Résumé : Cette étude vise à améliorer les connaissances en hydraulique souterraine sur la quantification de la recharge naturelle de l’aquifère continu de crétacé de la commune de ZOGBODOMEY ainsi qu’une évaluation de sa vulnérabilité à la pollution.
Un bilan hydrique du milieu nous a permis de faire ressortir les valeurs des différents paramètres (recharge, ETR, vitesse d’infiltration), que nous avons utilisé pour faire l’analyse de sensibilité des autres paramètres sur la recharge et l’analyse prévisionnelle. La quantification de la recharge s’est faite par la méthode du bilan hydrique en suivant l’algorithme de Thornthwaite. Les variables considérées pour l’analyse de sensibilité sont la pluviométrie, la température, l’ETR, la recharge (infiltration) et la vitesse d’infiltration. Les individus sont les mois de l’année sur une période de six (06) ans (2011-2016) et à l’horizon du projet (2030), la recharge est estimée à 296,27 mm.
Par ailleurs, l’étude de la qualité de l’eau de la nappe de l’aquifère de ZOGBODOMEY nous a permis de conclure que cette eau est de qualité acceptable même s’il reste nécessaire d’y apporter quelques traitements pour la rendre potable.
Abstract : This study aims to improve underground hydraulic knowledge on the quantification of the natural recharge of the continuous cretaceous aquifer of the municipality of ZOGBODOMEY as well as an assessment of its vulnerability to pollution.
A water balance of the environment allowed us to highlight the values of the various parameters (recharge, ETR, infiltration rate), which we used to make the sensitivity analysis, and the forecast analysis. Quantification of the recharge was done by the Water table budget method following the Thornthwaite algorithm. The variables considered for the sensitivity analysis are rainfall, temperature, ETR, recharge (infiltration) and infiltration rate. Individuals are the months of the year over a period of six (06) years (2011-2016) and on the project horizon, recharge is estimated at 296,27 mm.
Moreover, the study of the water quality of ZOGBODOMEY aquifer allowed us to conclude that this water is of acceptable quality, even if it remains necessary to provide some treatment to make it potable.Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Evaluation de la recharge naturelle d’un aquifère dans la commune de Zogbodomey [texte imprimé] / Carole Claudia Houéfa ASSOGBA . - 2020 . - 68 p.
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Résumé : Cette étude vise à améliorer les connaissances en hydraulique souterraine sur la quantification de la recharge naturelle de l’aquifère continu de crétacé de la commune de ZOGBODOMEY ainsi qu’une évaluation de sa vulnérabilité à la pollution.
Un bilan hydrique du milieu nous a permis de faire ressortir les valeurs des différents paramètres (recharge, ETR, vitesse d’infiltration), que nous avons utilisé pour faire l’analyse de sensibilité des autres paramètres sur la recharge et l’analyse prévisionnelle. La quantification de la recharge s’est faite par la méthode du bilan hydrique en suivant l’algorithme de Thornthwaite. Les variables considérées pour l’analyse de sensibilité sont la pluviométrie, la température, l’ETR, la recharge (infiltration) et la vitesse d’infiltration. Les individus sont les mois de l’année sur une période de six (06) ans (2011-2016) et à l’horizon du projet (2030), la recharge est estimée à 296,27 mm.
Par ailleurs, l’étude de la qualité de l’eau de la nappe de l’aquifère de ZOGBODOMEY nous a permis de conclure que cette eau est de qualité acceptable même s’il reste nécessaire d’y apporter quelques traitements pour la rendre potable.
Abstract : This study aims to improve underground hydraulic knowledge on the quantification of the natural recharge of the continuous cretaceous aquifer of the municipality of ZOGBODOMEY as well as an assessment of its vulnerability to pollution.
A water balance of the environment allowed us to highlight the values of the various parameters (recharge, ETR, infiltration rate), which we used to make the sensitivity analysis, and the forecast analysis. Quantification of the recharge was done by the Water table budget method following the Thornthwaite algorithm. The variables considered for the sensitivity analysis are rainfall, temperature, ETR, recharge (infiltration) and infiltration rate. Individuals are the months of the year over a period of six (06) years (2011-2016) and on the project horizon, recharge is estimated at 296,27 mm.
Moreover, the study of the water quality of ZOGBODOMEY aquifer allowed us to conclude that this water is of acceptable quality, even if it remains necessary to provide some treatment to make it potable.Exemplaires
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CaroleAdobe Acrobat PDF Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Evaluation de la disponibilité de la ressource en eau souterraine pour un aménagement hydroagricole / Habiba BARKE GUIDA
Titre de série : Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Evaluation de la disponibilité de la ressource en eau souterraine pour un aménagement hydroagricole : cas du périmètre irrigue du pic de Sindou au Burkina Faso Type de document : texte imprimé Auteurs : Habiba BARKE GUIDA Année de publication : 2020 Importance : 86 p. Langues : Français (fre) Résumé : Le présent travail vise à améliorer les connaissances sur la disponibilité de la ressource en eau souterraine pour l’irrigation de contre-saison du périmètre irrigué du pic de Sindou. Situé dans le sous bassin versant de la Léraba, dans l’Ouest du Burkina Faso, le périmètre a une superficie emblavée d’environ 260 ha et est approvisionné en eau à partir de quatre (4) sources d’eau souterraine.
Pour ce faire, l’approche méthodologique adoptée a d’abord consisté, à évaluer les besoins en eau du riz de contre-saison en passant par la caractérisation des paramètres hydrodynamiques du sol et la quantification du volume d’eau prélevé. Ensuite, la ressource en eau disponible a été évaluée à savoir le volume d’eau fourni par les sources pendant la contre-saison par la méthode volumétrique. La recharge annuelle de l’aquifère est évaluée en utilisant la méthode du bilan de Thornthwaite et la variation du stock d’eau souterraine a été évaluée à l’aide de la méthode de la fluctuation de la surface piézométrique. En fin, la vulnérabilité de l’aquifère à la pollution agricole a été cartographiée avec la méthode DRASTIC.
Les essais d’infiltrométrie montrent une conductivité hydraulique à saturation du sol d’environ 4,77 mm/h ce qui traduit un sol argilo limoneux avec une réserve utile de l’ordre de 149 mm/m. Quant au niveau piézométrique, il varie considérablement au cours de l’année avec une amplitude de 1 à 18,4 m et de 1,5 à 5 m respectivement pour les piézomètres SE2 et SE3. La variation spatiale de la charge piézométrique montre que l’écoulement souterrain se fait à partir d’un gradient Nord-Ouest, du périmètre vers les sources. Les sources fournissent un volume d’eau de 175 993 m3 et la recharge annuelle est évaluée à environ 136,91 mm. Quant à la variation moyenne du stock d’eau souterraine, elle est évaluée à environ 8,60 mm et équivaut à un volume d’eau renouvelable de 9 747 616 m3. Les prélèvements sont estimés à 149 184 m3 et les besoins bruts à 1 807 363 m3. La réserve d’eau renouvelée sur le bassin versant montre qu’un prélèvement direct dans la nappe à travers les ouvrages de captage est possible pour satisfaire les besoins en eau. La vulnérabilité à la pollution agricole de l’aquifère reste faible mais toutefois les risques de contamination dus aux pesticides restent possibles.
Abstract : This present work aims to improve knowledge about the availability of groundwater resources for off-season irrigation of the Sindou peak irrigated perimeter. Located in the sub-watershed of Léraba, in western Burkina Faso, the perimeter has a planted area of approximately 260 ha and is supplied with water from four (4) springs. To achieve the objective, the methodological approach adopted, initially consisted in the evaluation of the water requirements of the rice off-season, passing through the characterization of the hydrodynamic parameters of the soil and the quantification of the volume of water withdrawal. Then, the available water resource was evaluated, namely the volume of water supplied by the springs during the off-season by the volumetric method. The annual recharge of the aquifer is evaluated using the Thornthwaite balance method and the variation of the groundwater stock has been evaluated using the water level fluctuation method. Finally, the vulnerability of the aquifer to agricultural pollution has been mapped the DRASTIC method.
The infiltrometry tests show a hydraulic conductivity at saturation of the soil of around 4.77 mm / h, which translates into a loamy clay soil with a useful reserve of the order of 149 mm / m. As for the water level, it varies considerably over the year with an amplitude of 1 to 18.4 m and 1.5 to 5 m respectively for the piezometers SE2 and SE3. The spatial variation of the water level shows that the ground flow is from a north-west gradient, to the perimeter towards the springs. The springs provide a volume of 175,993 m3 of water and the annual recharge is evaluated at around 136.91 mm. As for the average variation in the stock of groundwater, it is around 8.60 mm and is equivalent to a water renewable volume of 9,747,616 m3. The withdrawal is estimated at 149,184 m3 and the gross needs at 1,807,363 m3. The renewed water reserve in the watershed shows that a direct withdrawal from the aquifer through the catchment works is possible to meet the water needs. The vulnerability to agricultural pollution of the aquifer remains low, but the risk of contamination from pesticides remains possible.Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Evaluation de la disponibilité de la ressource en eau souterraine pour un aménagement hydroagricole : cas du périmètre irrigue du pic de Sindou au Burkina Faso [texte imprimé] / Habiba BARKE GUIDA . - 2020 . - 86 p.
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Résumé : Le présent travail vise à améliorer les connaissances sur la disponibilité de la ressource en eau souterraine pour l’irrigation de contre-saison du périmètre irrigué du pic de Sindou. Situé dans le sous bassin versant de la Léraba, dans l’Ouest du Burkina Faso, le périmètre a une superficie emblavée d’environ 260 ha et est approvisionné en eau à partir de quatre (4) sources d’eau souterraine.
Pour ce faire, l’approche méthodologique adoptée a d’abord consisté, à évaluer les besoins en eau du riz de contre-saison en passant par la caractérisation des paramètres hydrodynamiques du sol et la quantification du volume d’eau prélevé. Ensuite, la ressource en eau disponible a été évaluée à savoir le volume d’eau fourni par les sources pendant la contre-saison par la méthode volumétrique. La recharge annuelle de l’aquifère est évaluée en utilisant la méthode du bilan de Thornthwaite et la variation du stock d’eau souterraine a été évaluée à l’aide de la méthode de la fluctuation de la surface piézométrique. En fin, la vulnérabilité de l’aquifère à la pollution agricole a été cartographiée avec la méthode DRASTIC.
Les essais d’infiltrométrie montrent une conductivité hydraulique à saturation du sol d’environ 4,77 mm/h ce qui traduit un sol argilo limoneux avec une réserve utile de l’ordre de 149 mm/m. Quant au niveau piézométrique, il varie considérablement au cours de l’année avec une amplitude de 1 à 18,4 m et de 1,5 à 5 m respectivement pour les piézomètres SE2 et SE3. La variation spatiale de la charge piézométrique montre que l’écoulement souterrain se fait à partir d’un gradient Nord-Ouest, du périmètre vers les sources. Les sources fournissent un volume d’eau de 175 993 m3 et la recharge annuelle est évaluée à environ 136,91 mm. Quant à la variation moyenne du stock d’eau souterraine, elle est évaluée à environ 8,60 mm et équivaut à un volume d’eau renouvelable de 9 747 616 m3. Les prélèvements sont estimés à 149 184 m3 et les besoins bruts à 1 807 363 m3. La réserve d’eau renouvelée sur le bassin versant montre qu’un prélèvement direct dans la nappe à travers les ouvrages de captage est possible pour satisfaire les besoins en eau. La vulnérabilité à la pollution agricole de l’aquifère reste faible mais toutefois les risques de contamination dus aux pesticides restent possibles.
Abstract : This present work aims to improve knowledge about the availability of groundwater resources for off-season irrigation of the Sindou peak irrigated perimeter. Located in the sub-watershed of Léraba, in western Burkina Faso, the perimeter has a planted area of approximately 260 ha and is supplied with water from four (4) springs. To achieve the objective, the methodological approach adopted, initially consisted in the evaluation of the water requirements of the rice off-season, passing through the characterization of the hydrodynamic parameters of the soil and the quantification of the volume of water withdrawal. Then, the available water resource was evaluated, namely the volume of water supplied by the springs during the off-season by the volumetric method. The annual recharge of the aquifer is evaluated using the Thornthwaite balance method and the variation of the groundwater stock has been evaluated using the water level fluctuation method. Finally, the vulnerability of the aquifer to agricultural pollution has been mapped the DRASTIC method.
The infiltrometry tests show a hydraulic conductivity at saturation of the soil of around 4.77 mm / h, which translates into a loamy clay soil with a useful reserve of the order of 149 mm / m. As for the water level, it varies considerably over the year with an amplitude of 1 to 18.4 m and 1.5 to 5 m respectively for the piezometers SE2 and SE3. The spatial variation of the water level shows that the ground flow is from a north-west gradient, to the perimeter towards the springs. The springs provide a volume of 175,993 m3 of water and the annual recharge is evaluated at around 136.91 mm. As for the average variation in the stock of groundwater, it is around 8.60 mm and is equivalent to a water renewable volume of 9,747,616 m3. The withdrawal is estimated at 149,184 m3 and the gross needs at 1,807,363 m3. The renewed water reserve in the watershed shows that a direct withdrawal from the aquifer through the catchment works is possible to meet the water needs. The vulnerability to agricultural pollution of the aquifer remains low, but the risk of contamination from pesticides remains possible.Exemplaires
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BarkeAdobe Acrobat PDF Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude technique détaillée de l’aménagement en aval du barrage de Toémighin, province du Zoundwéogo, Burkina-Faso / Prisque Félicité BOUDOUG
Titre de série : Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Etude technique détaillée de l’aménagement en aval du barrage de Toémighin, province du Zoundwéogo, Burkina-Faso Type de document : texte imprimé Auteurs : Prisque Félicité BOUDOUG Année de publication : 2020 Importance : 128 p. Langues : Français (fre) Résumé : Le Burkina Faso est un pays essentiellement agricole. Le secteur agricole occupe plus de 90 % de la population active et constitue la principale source de revenu des populations en milieu rural (l'alimentation-France, 2020). L’agriculture apparaît donc comme l’un des leviers les plus puissants sur lequel agir pour aller vers la sécurité alimentaire. C’est dans cette optique que des initiatives, projets et programmes, appuyés par l’Etat du Burkina-Faso, s’orientent vers la réalisation de périmètres irrigués, en aval de retenues d’eau. Dans le village de Toemighin (dans la province du Zoundwéogo), il existe une retenue d’environ 440 000 m3 dont la construction est restée inachevée depuis 2004 et pour lequel des travaux de réhabilitation sont en cours. Le présent document porte sur l’aménagement d’un périmètre irrigué en aval de ce barrage. Dans le cadre de ce travail, des échanges menés avec les populations locales ont permis d’identifier des spéculations envisagées, notamment l’arboriculture (papaye) et le maraîchage. L’analyse des besoins en eau du cycle a dégagé les chiffres suivants : 12 441,4 m3 pour l’arboriculture et 30 540,5 m3 pour le maraîchage (oignon). En comparaison avec la capacité prévisionnelle de la retenue réhabilitée, une superficie aménageable de 5 ha a été circonscrite, à raison de 1,5 ha pour l’arboriculture et 3,5 ha pour le maraîchage. Pour le choix du système d’irrigation plusieurs critères ont été pris en compte : la qualité de l’eau, les habitudes culturelles et culturales des populations, le coût de l’aménagement, la disponibilité locale du matériel et la préservation de l’environnement. Deux variantes ont été proposées : en association 1 : aspersion + localisé et en association 2 : semi Californien + localisé. Les émetteurs seront respectivement des barboteurs (localisé) et des asperseurs (aspersion), le tour d’eau est identique pour les deux variantes (3 jours) et les débits d’équipement sont, pour la Variante 1, 2 l/s/ha en aspersion et 1,24 l/s/ha en localisé pour la variante 2, 2,14 l/s/ha en Semi-californien et 1,24 l/s/ha en localisé. Une étude a aussi été menée sur les possibilités de source d’énergie et a dégagée deux modes : le pompage solaire associé à des batteries (PSB) et l’utilisation d’un groupe motopompe (GMP). En ce qui concerne les coûts, l’évaluation de la variante 1 est de 61 633 299 FCFA et de 53 014 858 FCFA (HT), respectivement PSB et GMP ; tandis que la variante 2 est évaluée à 38 377 639 FCFA et 29 759 198 FCFA (HT), respectivement PSB et GMP. Sur la base des enjeux environnementaux, du coût du projet, des pressions satisfaisantes et de la maitrise du système par les agriculteurs, la variante 2 alimentée en GMP est recommandée.
Abstract : Burkina Faso is a predominantly agricultural country. The agricultural sector accounts for more than 90% of the labour force and is the main source of income for rural populations. Agriculture thus appears to be one of the most powerful levers on which to act in order to move towards food security. It is with this in mind that initiatives, projects and programmes, supported by the State of Burkina Faso, are moving towards the construction of irrigated perimeters downstream of water reservoirs. In the village of Toemighin (in Zoundwéogo province) there is a dam of about 440 000 m3 whose construction has remained unfinished since 2004 and for which rehabilitation work is under way. This thesis deals with the development of an irrigated perimeter downstream of this dam. As part of this work, exchanges with local populations have identified possible speculations, including arboriculture (papaya) and market gardening. The analysis of the water requirements of the cycle showed the following figures: 12441,4 m3 for arboriculture and 30540,5 m3 for market gardening (onion). Compared to the forecast capacity of the rehabilitated deduction, an area of 5 ha has been defined, at a rate of 1.5 ha for arboriculture and 3.5 ha for market gardening. Several criteria for choosing the irrigation system were taken into account: water quality, cultural and cultural habits of populations, the cost of development, local availability of equipment and environmental preservation. Two variants have been proposed: in combination 1: sprinkling - localized and in combination 2: semi-California - localized. The transmitters will be bubblers (localized) and sprinklers (sprinklers), the watering frequency is the same for both variants (3 days) and the equipment flows are, for Variant 1: 2 l/s/ha in sprinkling and 1,24 l/s/ha localized ; for variant 2: 2,14 l/s/ha in Semi-California and 1,24 l/s/ha in localized. A study was also conducted on the possibilities of energy source and identified two modes: solar pumping associated with batteries (PSB) and the use of a motor pump group (GMP). In terms of costs, the evaluation of variant 1 is 61 633 299 CFA F and 53 014 858 CFA F (HT), PSB and GMP respectively; while variant 2 is valued at 38 377 639 CFA F and 29 759 198 CFA F (HT), respectively PSB and GMP. Based on environmental issues, project costs, satisfactory pressures and farmer’s Knowledge of the system, variant 2, powered by GMP is recommended.Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude technique détaillée de l’aménagement en aval du barrage de Toémighin, province du Zoundwéogo, Burkina-Faso [texte imprimé] / Prisque Félicité BOUDOUG . - 2020 . - 128 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Le Burkina Faso est un pays essentiellement agricole. Le secteur agricole occupe plus de 90 % de la population active et constitue la principale source de revenu des populations en milieu rural (l'alimentation-France, 2020). L’agriculture apparaît donc comme l’un des leviers les plus puissants sur lequel agir pour aller vers la sécurité alimentaire. C’est dans cette optique que des initiatives, projets et programmes, appuyés par l’Etat du Burkina-Faso, s’orientent vers la réalisation de périmètres irrigués, en aval de retenues d’eau. Dans le village de Toemighin (dans la province du Zoundwéogo), il existe une retenue d’environ 440 000 m3 dont la construction est restée inachevée depuis 2004 et pour lequel des travaux de réhabilitation sont en cours. Le présent document porte sur l’aménagement d’un périmètre irrigué en aval de ce barrage. Dans le cadre de ce travail, des échanges menés avec les populations locales ont permis d’identifier des spéculations envisagées, notamment l’arboriculture (papaye) et le maraîchage. L’analyse des besoins en eau du cycle a dégagé les chiffres suivants : 12 441,4 m3 pour l’arboriculture et 30 540,5 m3 pour le maraîchage (oignon). En comparaison avec la capacité prévisionnelle de la retenue réhabilitée, une superficie aménageable de 5 ha a été circonscrite, à raison de 1,5 ha pour l’arboriculture et 3,5 ha pour le maraîchage. Pour le choix du système d’irrigation plusieurs critères ont été pris en compte : la qualité de l’eau, les habitudes culturelles et culturales des populations, le coût de l’aménagement, la disponibilité locale du matériel et la préservation de l’environnement. Deux variantes ont été proposées : en association 1 : aspersion + localisé et en association 2 : semi Californien + localisé. Les émetteurs seront respectivement des barboteurs (localisé) et des asperseurs (aspersion), le tour d’eau est identique pour les deux variantes (3 jours) et les débits d’équipement sont, pour la Variante 1, 2 l/s/ha en aspersion et 1,24 l/s/ha en localisé pour la variante 2, 2,14 l/s/ha en Semi-californien et 1,24 l/s/ha en localisé. Une étude a aussi été menée sur les possibilités de source d’énergie et a dégagée deux modes : le pompage solaire associé à des batteries (PSB) et l’utilisation d’un groupe motopompe (GMP). En ce qui concerne les coûts, l’évaluation de la variante 1 est de 61 633 299 FCFA et de 53 014 858 FCFA (HT), respectivement PSB et GMP ; tandis que la variante 2 est évaluée à 38 377 639 FCFA et 29 759 198 FCFA (HT), respectivement PSB et GMP. Sur la base des enjeux environnementaux, du coût du projet, des pressions satisfaisantes et de la maitrise du système par les agriculteurs, la variante 2 alimentée en GMP est recommandée.
Abstract : Burkina Faso is a predominantly agricultural country. The agricultural sector accounts for more than 90% of the labour force and is the main source of income for rural populations. Agriculture thus appears to be one of the most powerful levers on which to act in order to move towards food security. It is with this in mind that initiatives, projects and programmes, supported by the State of Burkina Faso, are moving towards the construction of irrigated perimeters downstream of water reservoirs. In the village of Toemighin (in Zoundwéogo province) there is a dam of about 440 000 m3 whose construction has remained unfinished since 2004 and for which rehabilitation work is under way. This thesis deals with the development of an irrigated perimeter downstream of this dam. As part of this work, exchanges with local populations have identified possible speculations, including arboriculture (papaya) and market gardening. The analysis of the water requirements of the cycle showed the following figures: 12441,4 m3 for arboriculture and 30540,5 m3 for market gardening (onion). Compared to the forecast capacity of the rehabilitated deduction, an area of 5 ha has been defined, at a rate of 1.5 ha for arboriculture and 3.5 ha for market gardening. Several criteria for choosing the irrigation system were taken into account: water quality, cultural and cultural habits of populations, the cost of development, local availability of equipment and environmental preservation. Two variants have been proposed: in combination 1: sprinkling - localized and in combination 2: semi-California - localized. The transmitters will be bubblers (localized) and sprinklers (sprinklers), the watering frequency is the same for both variants (3 days) and the equipment flows are, for Variant 1: 2 l/s/ha in sprinkling and 1,24 l/s/ha localized ; for variant 2: 2,14 l/s/ha in Semi-California and 1,24 l/s/ha in localized. A study was also conducted on the possibilities of energy source and identified two modes: solar pumping associated with batteries (PSB) and the use of a motor pump group (GMP). In terms of costs, the evaluation of variant 1 is 61 633 299 CFA F and 53 014 858 CFA F (HT), PSB and GMP respectively; while variant 2 is valued at 38 377 639 CFA F and 29 759 198 CFA F (HT), respectively PSB and GMP. Based on environmental issues, project costs, satisfactory pressures and farmer’s Knowledge of the system, variant 2, powered by GMP is recommended.Exemplaires
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PrisqueAdobe Acrobat PDF Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Analyse de l’impact du changement climatique et de l’aménagement d’un bas-fond sur le régime hydrologique du bassin versant / Vignon Romaris DAKPEDE
Titre de série : Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Analyse de l’impact du changement climatique et de l’aménagement d’un bas-fond sur le régime hydrologique du bassin versant : cas du bassin versant de bankandi-lofing a Dano (Burkina Faso) Type de document : texte imprimé Auteurs : Vignon Romaris DAKPEDE Année de publication : 2020 Importance : 88 p. Langues : Français (fre) Résumé : La présente étude évalue l’impact du changement climatique et des aménagements du bas-fond de Bankandi sur le régime hydrologique du bassin versant de Bankandi-Loffing en combinant simulation hydrologique, application de scénarios de changement climatique à travers des modèles climatiques régionaux HadGEM2-ES/RegCM4 et MPI-ESM-MR/RegCM4 et des analyses statistiques. Le signal de changement climatique projeté sur le bassin versant a été analysé en comparant les simulations d’une période future (2031-2060) aux observations historiques (1981-2010). Les données simulées par les modèles climatiques régionaux ont été corrigées avec la méthode du quantile mapping. L’impact du changement climatique sur l’eau de surface a été analysé en simulant les débits historiques et futurs à l’aide des modèles hydrologiques GR4J et HBV qui ont été préalablement calés et validés sur le bassin avec des performances évaluées par des critères (NSE, KGE et R2).
Les résultats de la modélisation indiquent que GR4J et HBV reproduisent de manière satisfaisante les comportements hydrologiques de la zone d’étude. Le modèle HadGEM projette une augmentation de la température de 1,2 à 4,4°C contre 0,1 à 2,9°C pour MPI. Quant à la pluie, le modèle HadGEM projette une diminution annuelle de 4% tandis que MPI prévoit une augmentation moyenne d’environ 30%. Le sens de variation des débits projetés correspondent aux sens de variation des précipitations. Les débits simulés varient entre les modèles hydrologiques pour le même modèle climatique. Le modèle HadGEM projette une diminution du débit moyen annuel. Cette diminution est estimée à 25% par le GR4J et à 9% par HBV. Le modèle MPI projette une augmentation qui est estimée à 27% par GR4J et 16% par HBV.
Les analyses effectuées sur les données d’avant et d’après aménagement du bas-fond de Bankandi ont révélé que les débits observés en 2018 ne sont pas uniquement dû à l’amélioration de la capacité de drainage du périmètre mais aussi à la pluie décennale tombée cette année.
Abstract : This study assesses the impact of climate change and the Bankandi lowland developments on the hydrological regime of the Bankandi-Loffing watershed by combining hydrological simulation, application of climate change scenarios through HadGEM2-ES and MPI-ESM-MR regional climate models and statistical analyses. The projected climate change signal over the watershed was analysed by comparing simulations of a future period (2031-2060) with historical observations (1981-2010). The data simulated by the regional climate models were corrected using the quantile mapping method. The impact of climate change on surface water was analysed by simulating historical and future flows using the GR4J and HBV hydrological models which were previously calibrated and validated on the basin with performances evaluated by criteria (NSE, KGE and R2).
The results of the modelling indicate that GR4J and HBV reproduce the hydrological behaviour of the study area in a satisfactory manner. The HadGEM model projects a temperature increase of 1.2 to 4.4°C compared to 0.1 to 2.9°C for MPI. As for rainfall, the HadGEM model projects an annual decrease of 4% while MPI forecasts an average increase of around 30%. The direction of variation of the projected flows corresponds to the direction of variation of rainfall. Simulated flows vary between hydrological models for the same climate model. The HadGEM model projects a decrease in the mean annual flow. This decrease is estimated at 25% by the GR4J and 9% by HBV. The MPI model projects an increase which is estimated at 27% by GR4J and 16% by HBV.
Analyses carried out on pre- and post-development data for the Bankandi lowland revealed that the flows observed in 2018 are not only due to the improved drainage capacity of the perimeter but also to the decadal rainfall this year.Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Analyse de l’impact du changement climatique et de l’aménagement d’un bas-fond sur le régime hydrologique du bassin versant : cas du bassin versant de bankandi-lofing a Dano (Burkina Faso) [texte imprimé] / Vignon Romaris DAKPEDE . - 2020 . - 88 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : La présente étude évalue l’impact du changement climatique et des aménagements du bas-fond de Bankandi sur le régime hydrologique du bassin versant de Bankandi-Loffing en combinant simulation hydrologique, application de scénarios de changement climatique à travers des modèles climatiques régionaux HadGEM2-ES/RegCM4 et MPI-ESM-MR/RegCM4 et des analyses statistiques. Le signal de changement climatique projeté sur le bassin versant a été analysé en comparant les simulations d’une période future (2031-2060) aux observations historiques (1981-2010). Les données simulées par les modèles climatiques régionaux ont été corrigées avec la méthode du quantile mapping. L’impact du changement climatique sur l’eau de surface a été analysé en simulant les débits historiques et futurs à l’aide des modèles hydrologiques GR4J et HBV qui ont été préalablement calés et validés sur le bassin avec des performances évaluées par des critères (NSE, KGE et R2).
Les résultats de la modélisation indiquent que GR4J et HBV reproduisent de manière satisfaisante les comportements hydrologiques de la zone d’étude. Le modèle HadGEM projette une augmentation de la température de 1,2 à 4,4°C contre 0,1 à 2,9°C pour MPI. Quant à la pluie, le modèle HadGEM projette une diminution annuelle de 4% tandis que MPI prévoit une augmentation moyenne d’environ 30%. Le sens de variation des débits projetés correspondent aux sens de variation des précipitations. Les débits simulés varient entre les modèles hydrologiques pour le même modèle climatique. Le modèle HadGEM projette une diminution du débit moyen annuel. Cette diminution est estimée à 25% par le GR4J et à 9% par HBV. Le modèle MPI projette une augmentation qui est estimée à 27% par GR4J et 16% par HBV.
Les analyses effectuées sur les données d’avant et d’après aménagement du bas-fond de Bankandi ont révélé que les débits observés en 2018 ne sont pas uniquement dû à l’amélioration de la capacité de drainage du périmètre mais aussi à la pluie décennale tombée cette année.
Abstract : This study assesses the impact of climate change and the Bankandi lowland developments on the hydrological regime of the Bankandi-Loffing watershed by combining hydrological simulation, application of climate change scenarios through HadGEM2-ES and MPI-ESM-MR regional climate models and statistical analyses. The projected climate change signal over the watershed was analysed by comparing simulations of a future period (2031-2060) with historical observations (1981-2010). The data simulated by the regional climate models were corrected using the quantile mapping method. The impact of climate change on surface water was analysed by simulating historical and future flows using the GR4J and HBV hydrological models which were previously calibrated and validated on the basin with performances evaluated by criteria (NSE, KGE and R2).
The results of the modelling indicate that GR4J and HBV reproduce the hydrological behaviour of the study area in a satisfactory manner. The HadGEM model projects a temperature increase of 1.2 to 4.4°C compared to 0.1 to 2.9°C for MPI. As for rainfall, the HadGEM model projects an annual decrease of 4% while MPI forecasts an average increase of around 30%. The direction of variation of the projected flows corresponds to the direction of variation of rainfall. Simulated flows vary between hydrological models for the same climate model. The HadGEM model projects a decrease in the mean annual flow. This decrease is estimated at 25% by the GR4J and 9% by HBV. The MPI model projects an increase which is estimated at 27% by GR4J and 16% by HBV.
Analyses carried out on pre- and post-development data for the Bankandi lowland revealed that the flows observed in 2018 are not only due to the improved drainage capacity of the perimeter but also to the decadal rainfall this year.Exemplaires
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VignonAdobe Acrobat PDF Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude technique de la construction d’une digue de retenue et de l’aménagement en aval dans la commune de M’bengue (Sangola) / Youssouf DIOMANDE
Titre de série : Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Etude technique de la construction d’une digue de retenue et de l’aménagement en aval dans la commune de M’bengue (Sangola) Type de document : texte imprimé Auteurs : Youssouf DIOMANDE Année de publication : 2020 Importance : 139 p. Langues : Français (fre) Résumé : Le Projet de Production et de Traitement des Semences Certifiées de riz couvre plusieurs départements dont le département de Korhogo au Nord de la côte d’ivoire. Ce projet permettra le renforcement des capacités nationales de production de semences certifiées de riz en vue d’atteindre l’autosuffisance alimentaire. Afin d’atteindre ses objectifs l’ETAT de côte d’ivoire a décidé de doter son secteur rizicole d’infrastructures hydro-agricoles. Le présent mémoire qui traite de l’étude technique de la construction d’une digue de retenu et de l’aménagement en aval dans la commune de MBENGUE (SANGOLA) s’inscrit dans ce contexte.
La caractérisation du bassin versant à travers les systèmes d’information géographique (ARCGIS) nous a permis de calculer le débit de projet à travers les méthodes déterministes de l’ORSTOM et du CIEH. Les conceptions et dimensionnement du barrage, de ces ouvrages annexes et des périmètres en avale ont été réalisés grâce aux outils de conceptions assisté par ordinateur et des hypothèses en raison du manque de données réel. Le bassin versant délimité a une superficie de 71 Km2 pour un contour de 44 Km et le débit de crue calculé est de 63 m3/s. la digue de retenu prévu pour être construite en terre homogène argileuse présente une hauteur de 10 m à partir du terrain naturel pour une longueur de 727 m avec des talus 2,5H/1V en amont et en aval. Le déversoir évacuant un débit de 24 m3/s se comporte comme un radier submersible en rive droite et est calé à la cote 339,5 m permet la mobilisation de la ressource en eau à hauteur de 5 076 780.57 m3. La prise d’eau placé en rive gauche et en acier a un diamètre de 800 mm, assurent le rôle de vidange et d’irrigation de 100 ha en aval du barrage. Sur l’ensemble de la superficie aménagé les spéculations envisagées sont le riz en hivernage comme en contre saison et le maraicher seulement en contre saison. En plus de ces spéculations la pisciculture est aussi pratiquée. Le périmètre comprend un réseau d’irrigation et de drainage afin d’évacuer les eaux excédentaires, un réseau de piste, un ouvrage de répartition de débit et des prises au fil de l’eau pour permette la mobilisation de la ressource pour alimenter les canaux.
Le coût global du projet de réalisation du projet s’élève à un montant de 909.453.238 FCFA
Abstract : The Project for the Production and Processing of Certified Rice Seeds covers several departments, including the department of Korhogo in the north of the Ivory Coast. This project will strengthen national capacity to produce certified rice seeds in order to achieve food self-sufficiency. In order to achieve its objectives, the Ivory Coast STATE has decided to equip its rice sector with hydro-agricultural infrastructure. This thesis, which deals with the technical study of the construction of a dam and the downstream development in the town of MBENGUE (SANGOLA), fits into this context.
The characterization of the watershed through geographic information systems (ARCGIS) allowed us to calculate the project flow through the deterministic methods of ORSTOM and CIEH. The designs and sizing of the dam, these ancillary works and downstream perimeters were carried out using computer-assisted design Tools and assumptions due to the lack of real data. The delimited catchment area has an area of 71 Km2 for a contour of 44 km and the calculated vintage flow is 63 m3 / s. the dyke designed to be built in homogeneous clay soil has a height of 10m from the natural terrain for a length of 727m with 2.5H / 1V slopes upstream and downstream. The weir discharging a flow of 24 m3 / s behaves like a submersible raft on the right bank and is set at level 339.5 m allows the mobilization of water resources up to 5,076,780.57 m3. The water intake located on the left bank and made of steel has a diameter of 800 mm, ensuring the role of emptying and irrigation of 100 ha downstream of the dam. Over the whole of the developed area, the speculations envisaged are rice in wintering as in off season and market gardening only in off season. In addition to these speculations fish farming is also practiced. The perimeter includes an irrigation and drainage network to evacuate excess water, a track network, a flow distribution structure and run-off intakes to mobilize the resource to supply the canals.
The overall cost of the project to carry out the project amounts to FCFA 909 453 237.17.Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude technique de la construction d’une digue de retenue et de l’aménagement en aval dans la commune de M’bengue (Sangola) [texte imprimé] / Youssouf DIOMANDE . - 2020 . - 139 p.
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Résumé : Le Projet de Production et de Traitement des Semences Certifiées de riz couvre plusieurs départements dont le département de Korhogo au Nord de la côte d’ivoire. Ce projet permettra le renforcement des capacités nationales de production de semences certifiées de riz en vue d’atteindre l’autosuffisance alimentaire. Afin d’atteindre ses objectifs l’ETAT de côte d’ivoire a décidé de doter son secteur rizicole d’infrastructures hydro-agricoles. Le présent mémoire qui traite de l’étude technique de la construction d’une digue de retenu et de l’aménagement en aval dans la commune de MBENGUE (SANGOLA) s’inscrit dans ce contexte.
La caractérisation du bassin versant à travers les systèmes d’information géographique (ARCGIS) nous a permis de calculer le débit de projet à travers les méthodes déterministes de l’ORSTOM et du CIEH. Les conceptions et dimensionnement du barrage, de ces ouvrages annexes et des périmètres en avale ont été réalisés grâce aux outils de conceptions assisté par ordinateur et des hypothèses en raison du manque de données réel. Le bassin versant délimité a une superficie de 71 Km2 pour un contour de 44 Km et le débit de crue calculé est de 63 m3/s. la digue de retenu prévu pour être construite en terre homogène argileuse présente une hauteur de 10 m à partir du terrain naturel pour une longueur de 727 m avec des talus 2,5H/1V en amont et en aval. Le déversoir évacuant un débit de 24 m3/s se comporte comme un radier submersible en rive droite et est calé à la cote 339,5 m permet la mobilisation de la ressource en eau à hauteur de 5 076 780.57 m3. La prise d’eau placé en rive gauche et en acier a un diamètre de 800 mm, assurent le rôle de vidange et d’irrigation de 100 ha en aval du barrage. Sur l’ensemble de la superficie aménagé les spéculations envisagées sont le riz en hivernage comme en contre saison et le maraicher seulement en contre saison. En plus de ces spéculations la pisciculture est aussi pratiquée. Le périmètre comprend un réseau d’irrigation et de drainage afin d’évacuer les eaux excédentaires, un réseau de piste, un ouvrage de répartition de débit et des prises au fil de l’eau pour permette la mobilisation de la ressource pour alimenter les canaux.
Le coût global du projet de réalisation du projet s’élève à un montant de 909.453.238 FCFA
Abstract : The Project for the Production and Processing of Certified Rice Seeds covers several departments, including the department of Korhogo in the north of the Ivory Coast. This project will strengthen national capacity to produce certified rice seeds in order to achieve food self-sufficiency. In order to achieve its objectives, the Ivory Coast STATE has decided to equip its rice sector with hydro-agricultural infrastructure. This thesis, which deals with the technical study of the construction of a dam and the downstream development in the town of MBENGUE (SANGOLA), fits into this context.
The characterization of the watershed through geographic information systems (ARCGIS) allowed us to calculate the project flow through the deterministic methods of ORSTOM and CIEH. The designs and sizing of the dam, these ancillary works and downstream perimeters were carried out using computer-assisted design Tools and assumptions due to the lack of real data. The delimited catchment area has an area of 71 Km2 for a contour of 44 km and the calculated vintage flow is 63 m3 / s. the dyke designed to be built in homogeneous clay soil has a height of 10m from the natural terrain for a length of 727m with 2.5H / 1V slopes upstream and downstream. The weir discharging a flow of 24 m3 / s behaves like a submersible raft on the right bank and is set at level 339.5 m allows the mobilization of water resources up to 5,076,780.57 m3. The water intake located on the left bank and made of steel has a diameter of 800 mm, ensuring the role of emptying and irrigation of 100 ha downstream of the dam. Over the whole of the developed area, the speculations envisaged are rice in wintering as in off season and market gardening only in off season. In addition to these speculations fish farming is also practiced. The perimeter includes an irrigation and drainage network to evacuate excess water, a track network, a flow distribution structure and run-off intakes to mobilize the resource to supply the canals.
The overall cost of the project to carry out the project amounts to FCFA 909 453 237.17.Exemplaires
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DiomandeAdobe Acrobat PDF Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Renforcement du système de production d’eau potable du centre de Yacouta au Burkina Faso / Clara DONGMO NGUEMATIO
Titre de série : Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Renforcement du système de production d’eau potable du centre de Yacouta au Burkina Faso Type de document : texte imprimé Auteurs : Clara DONGMO NGUEMATIO Année de publication : 2020 Importance : 117 p. Langues : Français (fre) Résumé : La ville de Dori, située dans la région du Sahel au Burkina Faso connaît un déficit dans sa production en eau potable, actuellement assurée par la station de traitement de Dori et à partir de l’eau du barrage de Yacouta situé à 15 km. L’objectif de la présente étude est de proposer des solutions de renforcement de la capacité de production. L’analyse diagnostique a permis de retenir la capacité insuffisante des pompes, la technologie de traitement et la vétusté du système comme facteurs déterminants contribuant au déficit constaté. L’évaluation des besoins en eau à l’horizon 2030 a permis de déterminer un besoin de 3595 m3/jr pour une population de 84 092 habitants. Pour pallier les défaillances relevées, la construction d’une nouvelle station de traitement plus performante a été préconisée. L’étude technique de deux variantes de projet a permis de déterminer une nouvelle capacité de production de 200 m3/h et une technologie de traitement performante qui comprendra un bac de coagulation à mélange rapide de 3.3 m3, un décanteur Pulsatube® de 50 m2 de surface horizontale et 2 filtres à sable ouverts de 10 m2 chacun. Une nouvelle station de pompage d’eau traitée sera également construite tout en conservant celles qui existent déjà. Cette nouvelle conception est également assortie d’un plan de gestion des boues et eaux de traitement qui permettra de préserver l’environnement. L’étude financière a permis de déterminer le coût global du projet qui s’élève à 2 585 856 444 FCFA.
Abstract : The city of Dori, located in the northern Sahel region of Burkina Faso is experiencing a deficit in its production of drinking water, actually produced at the Dori treatment plant from waters taken from Yacouta Dam, located 15 km nearby. The objective of this study is to propose solutions for the improvement of the production capacity. A diagnosis carried on the actual system unveiled that insufficient pump capacity, treatment technology and the system age were the main factors contributing to this deficit. The water needs assessment led to an estimate of a daily demand of 3595 m3/day for a population of 84,092 inhabitants by 2030 timeline. To overcome the deficiencies identified, the construction of a new and efficient treatment plant was recommended. The technical sizing of two project variants was then carried and resulted in a new production capacity of 200 m3/h and a higher-performance processing technology that will include a quick-mix coagulation tank of 3,3 m2, a Pulsatube® clarifier of 50 m2 horizontal surface and 2 open sand filters of 10 m2 each. A new water pumping station will also be built in addition to the existing ones. This new design proposal also includes a sludge and treatment water management plan that will help preserving the environment. The financial study made it possible to determine the overall cost of the project which amounts to 2,585,856,444 CFA.Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Renforcement du système de production d’eau potable du centre de Yacouta au Burkina Faso [texte imprimé] / Clara DONGMO NGUEMATIO . - 2020 . - 117 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : La ville de Dori, située dans la région du Sahel au Burkina Faso connaît un déficit dans sa production en eau potable, actuellement assurée par la station de traitement de Dori et à partir de l’eau du barrage de Yacouta situé à 15 km. L’objectif de la présente étude est de proposer des solutions de renforcement de la capacité de production. L’analyse diagnostique a permis de retenir la capacité insuffisante des pompes, la technologie de traitement et la vétusté du système comme facteurs déterminants contribuant au déficit constaté. L’évaluation des besoins en eau à l’horizon 2030 a permis de déterminer un besoin de 3595 m3/jr pour une population de 84 092 habitants. Pour pallier les défaillances relevées, la construction d’une nouvelle station de traitement plus performante a été préconisée. L’étude technique de deux variantes de projet a permis de déterminer une nouvelle capacité de production de 200 m3/h et une technologie de traitement performante qui comprendra un bac de coagulation à mélange rapide de 3.3 m3, un décanteur Pulsatube® de 50 m2 de surface horizontale et 2 filtres à sable ouverts de 10 m2 chacun. Une nouvelle station de pompage d’eau traitée sera également construite tout en conservant celles qui existent déjà. Cette nouvelle conception est également assortie d’un plan de gestion des boues et eaux de traitement qui permettra de préserver l’environnement. L’étude financière a permis de déterminer le coût global du projet qui s’élève à 2 585 856 444 FCFA.
Abstract : The city of Dori, located in the northern Sahel region of Burkina Faso is experiencing a deficit in its production of drinking water, actually produced at the Dori treatment plant from waters taken from Yacouta Dam, located 15 km nearby. The objective of this study is to propose solutions for the improvement of the production capacity. A diagnosis carried on the actual system unveiled that insufficient pump capacity, treatment technology and the system age were the main factors contributing to this deficit. The water needs assessment led to an estimate of a daily demand of 3595 m3/day for a population of 84,092 inhabitants by 2030 timeline. To overcome the deficiencies identified, the construction of a new and efficient treatment plant was recommended. The technical sizing of two project variants was then carried and resulted in a new production capacity of 200 m3/h and a higher-performance processing technology that will include a quick-mix coagulation tank of 3,3 m2, a Pulsatube® clarifier of 50 m2 horizontal surface and 2 open sand filters of 10 m2 each. A new water pumping station will also be built in addition to the existing ones. This new design proposal also includes a sludge and treatment water management plan that will help preserving the environment. The financial study made it possible to determine the overall cost of the project which amounts to 2,585,856,444 CFA.Exemplaires
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ClaraAdobe Acrobat PDF Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etudes techniques pour la création de nouveaux centres de l’ONEA / Messanh Jérôme EBOE
Titre de série : Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Etudes techniques pour la création de nouveaux centres de l’ONEA : cas du centre de Zam, Commune de Zam, Province du Ganzourgou, Région du plateau central, Burkina-Faso Type de document : texte imprimé Auteurs : Messanh Jérôme EBOE Année de publication : 2020 Importance : 94 p. Langues : Français (fre) Résumé : L’accès à l’eau potable reste une préoccupation majeure pour les pays sahéliens. C’est le cas du Burkina Faso, où le taux d’accès de certaines populations à l’eau potable demeure faible. Afin d’inverser cette tendance, le pays a élaboré le Programme National d’Approvisionnement en Eau Potable 2016-2030 ( PN-AEP ) dont la mise en œuvre vise à atteindre les Objectifs de Développement Durable c’est-à-dire garantir l’accès universel à l’eau potable et à l’assainissement à l’horizon 2030.Dans cette optique, l’ONEA structure chargée de la mise en œuvre de la politique de l’eau potable en milieu urbain et semi urbain a bénéficié de la Banque Mondiale dans le cadre du Programme pour Résultats (PfoR), des fonds pour la création de nouveaux centres dont celui de Zam ,centre semi urbain situé dans la province du Ganzourgou et à environ 75 km de la ville de Ouagadougou.
Pour une population estimée à 6888 habitants à l’horizon 2040, la satisfaction des besoins devrait mobiliser un débit horaire de 12 l/s d’eau pendant une durée maximale de pompage de 16 heures par jour. Cette quantité d’eau mobilisée sera refoulé dans un réservoir de capacité de 150 m3 surélevé de 12 m par rapport au sol. Par ailleurs, une étude permettant l’utilisation de deux châteaux d’eau existant totalisant un volume de 30 m3 a été faite. Pour couvrir totalement la demande en eau, il faudra réaliser des forages supplémentaires (15,5 m3/h). Les conduites de refoulement seront en PEHD PN16. De type maillé, le réseau de distribution est long de 22089ml de conduites en PVC PN10 et dessert 05 bornes fontaines à 03 robinets de 0,25 l/s et 788 branchements particuliers. Le taux de desserte à l’horizon 2040 aux niveaux des BF et BP sont respectivement 20% et 80%. La source d’énergie dans le présent projet est hybride, composé du réseau de la SONABEL comme source principale et d’un groupe électrogène secours.
L’ONEA assurera la gestion du futur centre et l’eau sera vendue selon les tarifs normaux fixés par cette dernière. Le coût du présent projet s’élève à 597 344 643 FCFA.
Abstract : Access to drinking water remains a major concern for Sahelian countries. It is the case of Burkina Faso, where the rate of access to drinking water is still low for some people. In order to reverse this tendency, the country elaborated the 2016-2030 National Program of Potable Water Supply whose implementation aims at reaching the objectives of Sustainable Development - in other words, universal access to water and sanitation by 2030. In this perspective, the ONEA departments in charge of the implementation of water and sanitation policies in urban and semi-urban areas received funding from the World Bank within the framework of the Program-for-Results (PfoR), for the creation of new facilities among which the Zam facility, which is a semi-urban one located in the province of Ganzourgou, about 75 km from the city of Ouagadougou.
For an estimated population of 6888 inhabitants by 2040, the satisfaction of the needs should mobilize an hourly debit of 12 l/s of water for a maximal length of pumping of 16 hours a day. This quantity of water will be pent up in a reservoir of 150 m3 elevated to 12m above the ground. Besides, a survey enabling to use two existing water towers totaling a volume of 30m3 has been made. To satisfy the demand in potable water, a supplementary fountain system (15,5 m3/h) will have to be drilled. The discharge pipes will be in PEHD PN16. The distribution network is meshed; it is in 22089ml-long pipes in PVC PN10 and it serves 05 fountain standposts of 03 faucets (0,25 l/s) each with 788 particular connections. The rate of service by 2040 at the BF and BP levels are 20% and 80% respectively. The energy source in this project is hybrid, consisting of the SONABEL network as the main source and a backup generator.
The ONEA will insure the management of the future facility and the water thereof will be sold according to the normal rates set by the latter. The present project costs 597 344 643 FCFA.Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etudes techniques pour la création de nouveaux centres de l’ONEA : cas du centre de Zam, Commune de Zam, Province du Ganzourgou, Région du plateau central, Burkina-Faso [texte imprimé] / Messanh Jérôme EBOE . - 2020 . - 94 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : L’accès à l’eau potable reste une préoccupation majeure pour les pays sahéliens. C’est le cas du Burkina Faso, où le taux d’accès de certaines populations à l’eau potable demeure faible. Afin d’inverser cette tendance, le pays a élaboré le Programme National d’Approvisionnement en Eau Potable 2016-2030 ( PN-AEP ) dont la mise en œuvre vise à atteindre les Objectifs de Développement Durable c’est-à-dire garantir l’accès universel à l’eau potable et à l’assainissement à l’horizon 2030.Dans cette optique, l’ONEA structure chargée de la mise en œuvre de la politique de l’eau potable en milieu urbain et semi urbain a bénéficié de la Banque Mondiale dans le cadre du Programme pour Résultats (PfoR), des fonds pour la création de nouveaux centres dont celui de Zam ,centre semi urbain situé dans la province du Ganzourgou et à environ 75 km de la ville de Ouagadougou.
Pour une population estimée à 6888 habitants à l’horizon 2040, la satisfaction des besoins devrait mobiliser un débit horaire de 12 l/s d’eau pendant une durée maximale de pompage de 16 heures par jour. Cette quantité d’eau mobilisée sera refoulé dans un réservoir de capacité de 150 m3 surélevé de 12 m par rapport au sol. Par ailleurs, une étude permettant l’utilisation de deux châteaux d’eau existant totalisant un volume de 30 m3 a été faite. Pour couvrir totalement la demande en eau, il faudra réaliser des forages supplémentaires (15,5 m3/h). Les conduites de refoulement seront en PEHD PN16. De type maillé, le réseau de distribution est long de 22089ml de conduites en PVC PN10 et dessert 05 bornes fontaines à 03 robinets de 0,25 l/s et 788 branchements particuliers. Le taux de desserte à l’horizon 2040 aux niveaux des BF et BP sont respectivement 20% et 80%. La source d’énergie dans le présent projet est hybride, composé du réseau de la SONABEL comme source principale et d’un groupe électrogène secours.
L’ONEA assurera la gestion du futur centre et l’eau sera vendue selon les tarifs normaux fixés par cette dernière. Le coût du présent projet s’élève à 597 344 643 FCFA.
Abstract : Access to drinking water remains a major concern for Sahelian countries. It is the case of Burkina Faso, where the rate of access to drinking water is still low for some people. In order to reverse this tendency, the country elaborated the 2016-2030 National Program of Potable Water Supply whose implementation aims at reaching the objectives of Sustainable Development - in other words, universal access to water and sanitation by 2030. In this perspective, the ONEA departments in charge of the implementation of water and sanitation policies in urban and semi-urban areas received funding from the World Bank within the framework of the Program-for-Results (PfoR), for the creation of new facilities among which the Zam facility, which is a semi-urban one located in the province of Ganzourgou, about 75 km from the city of Ouagadougou.
For an estimated population of 6888 inhabitants by 2040, the satisfaction of the needs should mobilize an hourly debit of 12 l/s of water for a maximal length of pumping of 16 hours a day. This quantity of water will be pent up in a reservoir of 150 m3 elevated to 12m above the ground. Besides, a survey enabling to use two existing water towers totaling a volume of 30m3 has been made. To satisfy the demand in potable water, a supplementary fountain system (15,5 m3/h) will have to be drilled. The discharge pipes will be in PEHD PN16. The distribution network is meshed; it is in 22089ml-long pipes in PVC PN10 and it serves 05 fountain standposts of 03 faucets (0,25 l/s) each with 788 particular connections. The rate of service by 2040 at the BF and BP levels are 20% and 80% respectively. The energy source in this project is hybrid, consisting of the SONABEL network as the main source and a backup generator.
The ONEA will insure the management of the future facility and the water thereof will be sold according to the normal rates set by the latter. The present project costs 597 344 643 FCFA.Exemplaires
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EboeAdobe Acrobat PDF Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Détermination des humidités caractéristiques et calcul des rendements sur parcelles expérimentales de la province du Bam au Burkina Faso / Ahou Marie Noelle FOUFOUET
Titre de série : Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Détermination des humidités caractéristiques et calcul des rendements sur parcelles expérimentales de la province du Bam au Burkina Faso Type de document : texte imprimé Auteurs : Ahou Marie Noelle FOUFOUET Année de publication : 2020 Importance : 70 p. Langues : Français (fre) Résumé : La région Centre Nord du Burkina Faso étant une zone se trouvant dans la partie sahélienne du pays, cette zone est particulièrement sensible comme la plupart des pays sahélien africain. Le changement climatique amplifie le phénomène de sècheresse et de désertification, avec une saison de pluie de courte durée (3 à 4 mois) qui est marqué par de longue séquence sèche allant jusqu’à 21 jours pouvant mettre en péril le cycle végétatif des cultures. Afin de réduire les dégâts causés par le changement climatique à l’endroit de l’agriculture plusieurs approches ont été expérimentées. Les Bassins de Collecte des Eaux de Ruissellement sont les dispositifs utilisés dans notre zone d’étude pour faire face aux longues poches de sécheresse.
Cette étude a concerné six sites expérimentaux dans la province du BAM. Pour atteindre nos objectifs, des échantillons de sols prélevés sur les différentes parcelles expérimentales ont été analysés au laboratoire grâce à la marmite de Richards a des pressions respectives de 15 bars et 1 bar afin de déterminer les humidités au point de flétrissement permanent et les humidités à la capacité au champ. Ces valeurs nous ont donc permis de calculer la valeur de la réserve utile sur chaque parcelle.
Les résultats obtenus révèlent une différence de la réserve utile sur les cinquante (50) premiers centimètres avec des valeurs se situant entre 75 et 131 mm dont la valeur la plus importante se situe au niveau de la localité de Sakou. Quant aux rendements, seuls les sites de Sakou et Sangho 1 ont pu être étudiés avec respectivement des valeurs de 1.1 t/ha et de 0.02 t/ha. Ces rendements en dessous de la moyenne annuelle (2 à 3t/ha) résultent de la faible capacité de rétention de ces sols cultivés mais aussi de la très faible pluviosité de l’année 2019 caractérisées par de très longues séquences sèches.
Abstract : The North Central region of Burkina Faso being an area located in the Sahelian part of the country, this area is particularly sensitive like most African Sahelian countries. Climate change amplifies drought and desertification, with a short rainy season (3 to 4 months) marked by a long dry sequence of up to 21 days that can endanger the vegetative cycle of crops. In order to reduce damages caused by climate change on agriculture, several approaches have been tried. The Run off Collection Ponds are the devices used in our study area to deal with long pockets of drought.
This research aims to show the impact of complementary irrigation from BCERs on crop yields. The purpose of our study which is part of this project under the theme of "moisture characteristics and yield calculations on experimental plots" is to demonstrate if complementary irrigation from BCER promotes soil water storage on the one hand and to show if the complementary irrigation from BCER promotes a better yield on the other hand.
This study covered six experimental sites in the province of BAM, specifically in the city of Kongoussi. To reach our objectives, soil samples taken from the various experimental plots were analyzed in the laboratory using Richards pot at pressures of 15 bars and 1 bar respectively to determine the moisture at the permanent wilting point and the moisture at field capacity. These values therefore enabled us to calculate the value of the available water capacity on each plot. We also did a comparative study for performance.
The achieved results reveal a difference in the available water capacity depending on the soil texture, the Sakou plot with deep clay soil has the highest values. It should be underlined that this is the only site that has been able to practice complementary irrigation from BCERs, and also the one which have the best yields. We also assessed BCERs impacts on agriculture in our study area and the social and environmental impacts of BCERs.Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Détermination des humidités caractéristiques et calcul des rendements sur parcelles expérimentales de la province du Bam au Burkina Faso [texte imprimé] / Ahou Marie Noelle FOUFOUET . - 2020 . - 70 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : La région Centre Nord du Burkina Faso étant une zone se trouvant dans la partie sahélienne du pays, cette zone est particulièrement sensible comme la plupart des pays sahélien africain. Le changement climatique amplifie le phénomène de sècheresse et de désertification, avec une saison de pluie de courte durée (3 à 4 mois) qui est marqué par de longue séquence sèche allant jusqu’à 21 jours pouvant mettre en péril le cycle végétatif des cultures. Afin de réduire les dégâts causés par le changement climatique à l’endroit de l’agriculture plusieurs approches ont été expérimentées. Les Bassins de Collecte des Eaux de Ruissellement sont les dispositifs utilisés dans notre zone d’étude pour faire face aux longues poches de sécheresse.
Cette étude a concerné six sites expérimentaux dans la province du BAM. Pour atteindre nos objectifs, des échantillons de sols prélevés sur les différentes parcelles expérimentales ont été analysés au laboratoire grâce à la marmite de Richards a des pressions respectives de 15 bars et 1 bar afin de déterminer les humidités au point de flétrissement permanent et les humidités à la capacité au champ. Ces valeurs nous ont donc permis de calculer la valeur de la réserve utile sur chaque parcelle.
Les résultats obtenus révèlent une différence de la réserve utile sur les cinquante (50) premiers centimètres avec des valeurs se situant entre 75 et 131 mm dont la valeur la plus importante se situe au niveau de la localité de Sakou. Quant aux rendements, seuls les sites de Sakou et Sangho 1 ont pu être étudiés avec respectivement des valeurs de 1.1 t/ha et de 0.02 t/ha. Ces rendements en dessous de la moyenne annuelle (2 à 3t/ha) résultent de la faible capacité de rétention de ces sols cultivés mais aussi de la très faible pluviosité de l’année 2019 caractérisées par de très longues séquences sèches.
Abstract : The North Central region of Burkina Faso being an area located in the Sahelian part of the country, this area is particularly sensitive like most African Sahelian countries. Climate change amplifies drought and desertification, with a short rainy season (3 to 4 months) marked by a long dry sequence of up to 21 days that can endanger the vegetative cycle of crops. In order to reduce damages caused by climate change on agriculture, several approaches have been tried. The Run off Collection Ponds are the devices used in our study area to deal with long pockets of drought.
This research aims to show the impact of complementary irrigation from BCERs on crop yields. The purpose of our study which is part of this project under the theme of "moisture characteristics and yield calculations on experimental plots" is to demonstrate if complementary irrigation from BCER promotes soil water storage on the one hand and to show if the complementary irrigation from BCER promotes a better yield on the other hand.
This study covered six experimental sites in the province of BAM, specifically in the city of Kongoussi. To reach our objectives, soil samples taken from the various experimental plots were analyzed in the laboratory using Richards pot at pressures of 15 bars and 1 bar respectively to determine the moisture at the permanent wilting point and the moisture at field capacity. These values therefore enabled us to calculate the value of the available water capacity on each plot. We also did a comparative study for performance.
The achieved results reveal a difference in the available water capacity depending on the soil texture, the Sakou plot with deep clay soil has the highest values. It should be underlined that this is the only site that has been able to practice complementary irrigation from BCERs, and also the one which have the best yields. We also assessed BCERs impacts on agriculture in our study area and the social and environmental impacts of BCERs.Exemplaires
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NoelleAdobe Acrobat PDF Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Conception d’un système d’adduction d’eau potable dans la localité de Boro, commune de Pâ, province des Balé (Burkina Faso) / Corneille Candide GBOYOU
Titre de série : Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Conception d’un système d’adduction d’eau potable dans la localité de Boro, commune de Pâ, province des Balé (Burkina Faso) Type de document : texte imprimé Auteurs : Corneille Candide GBOYOU Année de publication : 2020 Importance : 97 p. Langues : Français (fre) Résumé : L’accès à l’eau potable continue d’être une préoccupation majeure des pays sahéliens. C’est le cas du Burkina Faso, où les populations de zones déficitaires s’approvisionnent à des sources d’eau non potable.
Le Programme d’Approvisionnement en Eau et d’Assainissement (PAEA) est un programme de l’Etat visant à doter les populations burkinabè de 90 systèmes d’AEP dont 40 dans la région de la Boucle du Mouhoun. La présente étude arbore synthétiquement la conception d’un système d’adduction d’eau potable dans la localité de Boro, commune de Pâ, province des Balé.
Boro est un village dont la population à l’horizon 2040 du projet est estimée à 7 508 habitants. Evalués à 237,85 [m3/jr], les besoins en eau du jour de pointe de la population seront couverts par deux forages de 5 [m3/h] chacun refoulant l’eau souterraine au travers de conduites en PVC PN 10 vers un réservoir d’eau métallique de 75 [m3] surélevé de 10 [m] par rapport au sol. L’alimentation des deux pompes GRUNDFOS SP 5A-17N choisies, se fera par un système photovoltaïque et un stockage sur batteries. De type maillé, le réseau de distribution est long de 6543,3 [ml] de conduites en PVC PN6 et dessert 06 bornes fontaines à 03 robinets et 43 branchements particuliers.
Confié à un opérateur par un contrat d’affermage, l’ouvrage s’élève à 192 124 213 [FCFA] TTC. Le coût de revient de l’eau 260 [FCFA/m3] et l’eau sera vendue à 500 [FCFA/m3] afin de faire face aux charges d’entretien et à l’amortissement des équipements.
Abstract : Access to tap water continues to be a major concern of Sahelian countries. Burkina Faso is one of those countries, where populations of deficit areas consumed non-potable water.
One of the government’s programs is the Water Supply and Sanitation Program (PAEA). The project will provide the Burkinabè populations with 90 tap water supply systems, including 40 in the Boucle du Mouhoun region. The present study summarizes the design of a tap water supply system in the locality of Boro, town of Pâ, Balé province.
Boro will be a village of 7,508 persons by 2040. Evaluated at 237.85 [m3/day], the population’s peak day water needs will be covered by two boreholes of five [m3/hour] pumping groundwater through PVC PN 10 pipes to a 75 [m3] metallic water tower raised by 10 [m] above the ground. A photovoltaic system and some batteries will supply the two GRUNDFOS SP 5A-17N pumps chosen. The distribution network has 6,543.3 [ml] of PVC PN6 pipes and serves 06 tap faucets with 03 taps and 43 special connections.
A private operator will manage the system by a delegation by leasing contract. The project amounts to 192 124 213 [FCFA] including tax. In order to support maintenance costs and depreciation of the equipment, the operator will sell one cubic meter’s container of water at 500 [FCFA] whereas the cost of one cubic meter’s container is 260 [FCFA].Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Conception d’un système d’adduction d’eau potable dans la localité de Boro, commune de Pâ, province des Balé (Burkina Faso) [texte imprimé] / Corneille Candide GBOYOU . - 2020 . - 97 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : L’accès à l’eau potable continue d’être une préoccupation majeure des pays sahéliens. C’est le cas du Burkina Faso, où les populations de zones déficitaires s’approvisionnent à des sources d’eau non potable.
Le Programme d’Approvisionnement en Eau et d’Assainissement (PAEA) est un programme de l’Etat visant à doter les populations burkinabè de 90 systèmes d’AEP dont 40 dans la région de la Boucle du Mouhoun. La présente étude arbore synthétiquement la conception d’un système d’adduction d’eau potable dans la localité de Boro, commune de Pâ, province des Balé.
Boro est un village dont la population à l’horizon 2040 du projet est estimée à 7 508 habitants. Evalués à 237,85 [m3/jr], les besoins en eau du jour de pointe de la population seront couverts par deux forages de 5 [m3/h] chacun refoulant l’eau souterraine au travers de conduites en PVC PN 10 vers un réservoir d’eau métallique de 75 [m3] surélevé de 10 [m] par rapport au sol. L’alimentation des deux pompes GRUNDFOS SP 5A-17N choisies, se fera par un système photovoltaïque et un stockage sur batteries. De type maillé, le réseau de distribution est long de 6543,3 [ml] de conduites en PVC PN6 et dessert 06 bornes fontaines à 03 robinets et 43 branchements particuliers.
Confié à un opérateur par un contrat d’affermage, l’ouvrage s’élève à 192 124 213 [FCFA] TTC. Le coût de revient de l’eau 260 [FCFA/m3] et l’eau sera vendue à 500 [FCFA/m3] afin de faire face aux charges d’entretien et à l’amortissement des équipements.
Abstract : Access to tap water continues to be a major concern of Sahelian countries. Burkina Faso is one of those countries, where populations of deficit areas consumed non-potable water.
One of the government’s programs is the Water Supply and Sanitation Program (PAEA). The project will provide the Burkinabè populations with 90 tap water supply systems, including 40 in the Boucle du Mouhoun region. The present study summarizes the design of a tap water supply system in the locality of Boro, town of Pâ, Balé province.
Boro will be a village of 7,508 persons by 2040. Evaluated at 237.85 [m3/day], the population’s peak day water needs will be covered by two boreholes of five [m3/hour] pumping groundwater through PVC PN 10 pipes to a 75 [m3] metallic water tower raised by 10 [m] above the ground. A photovoltaic system and some batteries will supply the two GRUNDFOS SP 5A-17N pumps chosen. The distribution network has 6,543.3 [ml] of PVC PN6 pipes and serves 06 tap faucets with 03 taps and 43 special connections.
A private operator will manage the system by a delegation by leasing contract. The project amounts to 192 124 213 [FCFA] including tax. In order to support maintenance costs and depreciation of the equipment, the operator will sell one cubic meter’s container of water at 500 [FCFA] whereas the cost of one cubic meter’s container is 260 [FCFA].Exemplaires
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