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Série Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques
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Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Actualisation de l’avant-projet détaillé en vue de la réalisation d’un système d’alimentation en eau potable des sites d’accueil de l’aéroport de Donsin à partir de la station de Loumbila – région du plateau central – Burkina Faso / Diane Astrid Moyala LOUARI
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Actualisation de l’avant-projet détaillé en vue de la réalisation d’un système d’alimentation en eau potable des sites d’accueil de l’aéroport de Donsin à partir de la station de Loumbila – région du plateau central – Burkina Faso Type de document : texte imprimé Auteurs : Diane Astrid Moyala LOUARI Année de publication : 2019 Importance : 121 p. Langues : Français (fre) Résumé : Il s’agit d’alimenter en eau potable les populations des sites d’accueil de l’aéroport de Donsin et environs situés à cheval sur trois (03) communes qui sont Loumbila, Ziniaré et Dapélogo tous situées dans la province de l’Oubritenga. Pour l’alimentation en eau potable de ces sites, plusieurs options ont été envisagées à l’origine du projet. L’analyse des différentes options a permis de se rendre compte que celle du réseau d’eau potable existant de Loumbila est la plus avantageuse. Alors le schéma retenu comprend une adduction à partir de la station de pompage (existante) de Loumbila vers un château d’eau situé à Voaga puis une distribution gravitaire sur les neuf sites d’installation des populations déplacées. L’adduction est distributive pour les villages desservis le long de la conduite. Les points de desserte sont constitués essentiellement de bornes fontaines avec la possibilité de branchements particuliers. Ce sont au total quinze (15) villages qui seront desservis par le système d’adduction en eau potable. Il y a d’une part les villages traversés par les conduites d’eau qu’il faudra desservir en passant et d’autre part les villages cibles (villages reconstitués) résultant du déplacement d’habitats initialement situés dans l’emprise de l’aéroport. Le système fonctionnera grâce à l’énergie fournie par la SONABEL. Il est aussi prévu un groupe électrogène de 100KVA afin de pallier aux éventuelles coupures de courant. Ainsi pour une population estimée à 39181 habitants en 2034, les besoins en eau sont estimés à 1804.14 m3/j pour un débit de pointe horaire de 134,434 m3/h. Le système alimente les populations à travers des conduites d’une longueur totale de 54,33 km soit 35,91 km en PEHD PN10 pour les conduites de distributions et 18,42 km en PEHD PN16 pour la conduite d’adduction. Un réservoir de 500 m3 sera mis en place pour stocker l’eau. L’eau sera redistribuée à travers 47 Bornes Fontaines. Le coût de réalisation des travaux s’élève à la somme de 2 008 273 868FCFA, pour un prix du mètre cube d’eau de 400 FCFA.
Abstract : The aim is to supply drinking water to the populations of the Donsin airport and surrounding areas, which straddle three municipalities in the province of Oubritenga that are Loumbila, Ziniaré and Dapélogo. For the drinking water supply of these sites, several options were envisaged at the origin of the project. The analysis of the various options made it possible to realize that, that of the existing drinking water network of Loumbila is the most advantageous. Then the scheme includes an adduction from the existing Loumbila pumping station to a water tower at Voaga and then a gravitational distribution on thru nine settlement sites of displaced populations. The adduction is distributive for the villages served along the pipeline. The service points consist mainly of fountains with the possibility of particular connections. In total, fifteen (15) villages will be served by the drinking water supply system. There are on the one hand the villages crossed by the water pipes that will have to be served by the way and on the other hand the target villages (reconstituted villages) resulting from the displacement of habitats initially located in the right-of-way Airport. The system will operate with to the energy provided by SONABEL. It’s also planned a generator to overcomme the power cut. Thus for a population estimated at 39181 inhabitants in 2034, we assessed the water needs at 1804.14 m3/d for a peak hourly flow of 134.434 m3 / h. The system feeds people through pipes with a total length of 54.33km with 35.91km in HDPE PN16 for distribution pipes and 18.42 km in HDPE PN10 for addction pipes. A 500 m3 tank will be set up to store water. The water will be redistributed through PN10 HDPE pipes to the population through 47 fountain posts. The cost of carrying out the work amounts to the sum of 2 008 273 868FCFA, for a price per cubic meter of water of 400 FCFAMémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Actualisation de l’avant-projet détaillé en vue de la réalisation d’un système d’alimentation en eau potable des sites d’accueil de l’aéroport de Donsin à partir de la station de Loumbila – région du plateau central – Burkina Faso [texte imprimé] / Diane Astrid Moyala LOUARI . - 2019 . - 121 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Il s’agit d’alimenter en eau potable les populations des sites d’accueil de l’aéroport de Donsin et environs situés à cheval sur trois (03) communes qui sont Loumbila, Ziniaré et Dapélogo tous situées dans la province de l’Oubritenga. Pour l’alimentation en eau potable de ces sites, plusieurs options ont été envisagées à l’origine du projet. L’analyse des différentes options a permis de se rendre compte que celle du réseau d’eau potable existant de Loumbila est la plus avantageuse. Alors le schéma retenu comprend une adduction à partir de la station de pompage (existante) de Loumbila vers un château d’eau situé à Voaga puis une distribution gravitaire sur les neuf sites d’installation des populations déplacées. L’adduction est distributive pour les villages desservis le long de la conduite. Les points de desserte sont constitués essentiellement de bornes fontaines avec la possibilité de branchements particuliers. Ce sont au total quinze (15) villages qui seront desservis par le système d’adduction en eau potable. Il y a d’une part les villages traversés par les conduites d’eau qu’il faudra desservir en passant et d’autre part les villages cibles (villages reconstitués) résultant du déplacement d’habitats initialement situés dans l’emprise de l’aéroport. Le système fonctionnera grâce à l’énergie fournie par la SONABEL. Il est aussi prévu un groupe électrogène de 100KVA afin de pallier aux éventuelles coupures de courant. Ainsi pour une population estimée à 39181 habitants en 2034, les besoins en eau sont estimés à 1804.14 m3/j pour un débit de pointe horaire de 134,434 m3/h. Le système alimente les populations à travers des conduites d’une longueur totale de 54,33 km soit 35,91 km en PEHD PN10 pour les conduites de distributions et 18,42 km en PEHD PN16 pour la conduite d’adduction. Un réservoir de 500 m3 sera mis en place pour stocker l’eau. L’eau sera redistribuée à travers 47 Bornes Fontaines. Le coût de réalisation des travaux s’élève à la somme de 2 008 273 868FCFA, pour un prix du mètre cube d’eau de 400 FCFA.
Abstract : The aim is to supply drinking water to the populations of the Donsin airport and surrounding areas, which straddle three municipalities in the province of Oubritenga that are Loumbila, Ziniaré and Dapélogo. For the drinking water supply of these sites, several options were envisaged at the origin of the project. The analysis of the various options made it possible to realize that, that of the existing drinking water network of Loumbila is the most advantageous. Then the scheme includes an adduction from the existing Loumbila pumping station to a water tower at Voaga and then a gravitational distribution on thru nine settlement sites of displaced populations. The adduction is distributive for the villages served along the pipeline. The service points consist mainly of fountains with the possibility of particular connections. In total, fifteen (15) villages will be served by the drinking water supply system. There are on the one hand the villages crossed by the water pipes that will have to be served by the way and on the other hand the target villages (reconstituted villages) resulting from the displacement of habitats initially located in the right-of-way Airport. The system will operate with to the energy provided by SONABEL. It’s also planned a generator to overcomme the power cut. Thus for a population estimated at 39181 inhabitants in 2034, we assessed the water needs at 1804.14 m3/d for a peak hourly flow of 134.434 m3 / h. The system feeds people through pipes with a total length of 54.33km with 35.91km in HDPE PN16 for distribution pipes and 18.42 km in HDPE PN10 for addction pipes. A 500 m3 tank will be set up to store water. The water will be redistributed through PN10 HDPE pipes to the population through 47 fountain posts. The cost of carrying out the work amounts to the sum of 2 008 273 868FCFA, for a price per cubic meter of water of 400 FCFAExemplaires
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MoyalaAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Étude technique d’aménagement de 10ha de périmètre irrigue à Boussé province du Kourwégo- Burkina Faso / Abdoul Madjid MAMANE LABBO
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Étude technique d’aménagement de 10ha de périmètre irrigue à Boussé province du Kourwégo- Burkina Faso Type de document : texte imprimé Auteurs : Abdoul Madjid MAMANE LABBO Année de publication : 2019 Importance : 77 p. Langues : Français (fre) Résumé : Le présent document présente les résultats et méthodologies de conception d’un aménagement hydroagricole autour d’un bouli d’une profondeur utile de 5 m, d’un diamètre utile de 250 m et d’une capacité de 127 627 m3. Le système d’irrigation utilisé est la micro aspersion. Comme spéculation, le chou sera utilisé en saison sèche. Le coût global toutes taxes comprises de l’aménagement du bouli s’élève environ à 303 700 000 FCFA. Pour pallier aux éventuels bouchages des asperseurs, une série de filtration est prévue à l’amont du réseau d’irrigation. La superficie du périmètre est d’environ 10 ha subdivisés en quatre (4) blocs de dix (10) exploitants. La main d’eau retenue est de 9,24m3/h pour chaque bloc. Un tour d’eau de deux (2) jours sera retenu. Quant au réseau, il a un débit d’équipement de 1,38l/s/ha. Comme source d’énergie, il est prévu d’utiliser un groupe électrogène d’une capacité supérieure à 24,5 kVA. Le coût total de l’aménagement du périmètre s’élève environ à 5 598 252 FCFA/ha. La durée de retour sur investissement est de 3 ans.
Abstract : This document presents the results and design methodology of a hydro-agricultural development around a ‘’bouli’’ (artificial pond) with a useful depth of 5 m, a useful diameter of 250 m and a capacity of 127,627 m3. The irrigation system used is micro spray. As speculation, cabbage will be used in the dry season. The overall cost, inclusive of all taxes, of the bouli amounts to 303,700,000 CFA francs approximately.
To overcome eventual clogging of sprinklers, a special construction will ensure a preliminary water filtration and sand filter will complete this treatment before the water reaches the sprinkler on the perimeter. The area of the perimeter is about 10 ha divided into four blocks of 10 operators. The water retention is 9.24m3 / h for each block. A water tower of 2 days will be retained. the network, equipment flow will be 1.38l / s / ha. As a source of energy, it is planned to use a generator with a capacity greater than 24.5 Kva. The total cost of the perimeter amounts to approximately 5 598 252 CFA francs / ha. The payback period is 3 yearsMémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Étude technique d’aménagement de 10ha de périmètre irrigue à Boussé province du Kourwégo- Burkina Faso [texte imprimé] / Abdoul Madjid MAMANE LABBO . - 2019 . - 77 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Le présent document présente les résultats et méthodologies de conception d’un aménagement hydroagricole autour d’un bouli d’une profondeur utile de 5 m, d’un diamètre utile de 250 m et d’une capacité de 127 627 m3. Le système d’irrigation utilisé est la micro aspersion. Comme spéculation, le chou sera utilisé en saison sèche. Le coût global toutes taxes comprises de l’aménagement du bouli s’élève environ à 303 700 000 FCFA. Pour pallier aux éventuels bouchages des asperseurs, une série de filtration est prévue à l’amont du réseau d’irrigation. La superficie du périmètre est d’environ 10 ha subdivisés en quatre (4) blocs de dix (10) exploitants. La main d’eau retenue est de 9,24m3/h pour chaque bloc. Un tour d’eau de deux (2) jours sera retenu. Quant au réseau, il a un débit d’équipement de 1,38l/s/ha. Comme source d’énergie, il est prévu d’utiliser un groupe électrogène d’une capacité supérieure à 24,5 kVA. Le coût total de l’aménagement du périmètre s’élève environ à 5 598 252 FCFA/ha. La durée de retour sur investissement est de 3 ans.
Abstract : This document presents the results and design methodology of a hydro-agricultural development around a ‘’bouli’’ (artificial pond) with a useful depth of 5 m, a useful diameter of 250 m and a capacity of 127,627 m3. The irrigation system used is micro spray. As speculation, cabbage will be used in the dry season. The overall cost, inclusive of all taxes, of the bouli amounts to 303,700,000 CFA francs approximately.
To overcome eventual clogging of sprinklers, a special construction will ensure a preliminary water filtration and sand filter will complete this treatment before the water reaches the sprinkler on the perimeter. The area of the perimeter is about 10 ha divided into four blocks of 10 operators. The water retention is 9.24m3 / h for each block. A water tower of 2 days will be retained. the network, equipment flow will be 1.38l / s / ha. As a source of energy, it is planned to use a generator with a capacity greater than 24.5 Kva. The total cost of the perimeter amounts to approximately 5 598 252 CFA francs / ha. The payback period is 3 yearsExemplaires
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MadjidAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude technico-économique d’un bassin de rétention d’eau pluviale sur le canal du Mogho Naaba, au Burkina Faso / Gaoussou Oumar OUATTARA
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Etude technico-économique d’un bassin de rétention d’eau pluviale sur le canal du Mogho Naaba, au Burkina Faso Type de document : texte imprimé Auteurs : Gaoussou Oumar OUATTARA Année de publication : 2019 Importance : 63 p. Langues : Français (fre) Résumé : L’étude du projet d’un nouveau bassin de rétention s’inscrit dans projet du canal de Mogho Naaba initiée par les autorités, situé dans l’ouest de la ville de Ouagadougou. Il existe un ouvrage déjà réalisé sur une partie du projet du canal du Mogho Naaba, mais qui n’arrive pas à reprendre correctement les débits que transite le canal en cours d’exécution pour différence de dimensions provoquant des inondations aux alentours de la zone de jonctions.
Pour remédier à ce problème, un projet d’étude d’un bassin de rétention sur du canal du Mogho Naaba a été proposé par l’équipe projet avec l’aval des autorités. La démarche méthodologique a consisté à procéder à des études hydrologiques et hydrauliques, à une étude structurale et à l’estimation des quantités et prix. Pour cette étude nous avons opté pour le dimensionnement de l’ouvrage en prenant trois périodes de retour (5, 10 et 50 ans) pour la pluie journalière maximale. La simulation des crues pour la validation du fonctionnement du bassin de rétention a été effectuée. Pour terminer une notice d’impact environnementale a été élaborée en prenant le soin de mentionner les impact positifs et négations sur l’environnement et les populations riveraines.
Les résultats de l’étude montrent que le bassin de rétention dimensionné a une superficie totale de 48 912 m2 pour un volume de 180 000 m3. Le bassin versant drainé par cette retenue, a superficie de 14 km², subdivisé en 3 sous bassins. Les simulations des crues pour les différentes périodes de retour, ont révélé les limites sur l’ouvrage et des améliorations sont nécessaires. Néanmoins, ce bassin de rétention réduit convenablement les risques d’inondation dans la zone pour une pluie décennale. Au-delà, de cette période, on observe un débordement d’eau dans le bassin. Le coût pour ce projet est estimé à la somme de : 572.669.200 F CFA.
Pour finir, on retient que la construction du bassin de rétention contribue à la réduction des inondations en aval de la retenue.
Ce projet a montré l’importance du bassin de rétention dans le processus de gestion des inondations, la construction de bassin de rétention sur les autres canaux de la ville de ouagadougou pourrait être une solution pour la quiétude des populations en saison hivernale.
Abstract : The study of the project for a new retention basin is part of the Mogho Naaba Canal project initiated by the authorities, located in the western part of the city of Ouagadougou. There is a structure already built on part of the Mogho Naaba Canal project, but which does not manage to correctly resume the flow rates of the canal being built due to a difference in size causing flooding around the junction area.
To remedy this problem, a project to study a retention basin on the Mogho Naaba Canal was proposed by the project team with the approval of the authoritie. The methodological approach consisted of hydrological and hydraulic studies, a structural study and the estimation of quantities and prices. For this study we opted for the design of the structure by taking three return periods (5, 10 and 50 years) for the maximum daily rainfall. Flood simulation was carried out to validate the operation of the retention basin. To conclude, an environmental impact notice was prepared, taking care to mention the positive and negative impacts on the environment and local populations.
The results of the study show that the dimensioned retention basin has a total surface area of 48,912 m2 for a volume of 180,000 m3. The watershed drained by this reservoir has an area of 14 km², subdivided into 3 sub-basins. Flood simulations for the various return periods have revealed the limits on the structure and improvements are needed. Nevertheless, this retention basin adequately reduces the risk of flooding in the area for ten-year rainfall. Beyond this period, there is an overflow of water in the basin. The cost for this project is estimated at the sum of: 572,669,200 F CFA.
Finally, it is noted that the construction of the retention basin contributes to the reduction of flooding downstream of the reservoir.
This project has shown the importance of the retention basin in the flood management process, the construction of retention basin on the other canals of the city of ouagadougou could be a solution for the tranquility of the populations in winter season.Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude technico-économique d’un bassin de rétention d’eau pluviale sur le canal du Mogho Naaba, au Burkina Faso [texte imprimé] / Gaoussou Oumar OUATTARA . - 2019 . - 63 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : L’étude du projet d’un nouveau bassin de rétention s’inscrit dans projet du canal de Mogho Naaba initiée par les autorités, situé dans l’ouest de la ville de Ouagadougou. Il existe un ouvrage déjà réalisé sur une partie du projet du canal du Mogho Naaba, mais qui n’arrive pas à reprendre correctement les débits que transite le canal en cours d’exécution pour différence de dimensions provoquant des inondations aux alentours de la zone de jonctions.
Pour remédier à ce problème, un projet d’étude d’un bassin de rétention sur du canal du Mogho Naaba a été proposé par l’équipe projet avec l’aval des autorités. La démarche méthodologique a consisté à procéder à des études hydrologiques et hydrauliques, à une étude structurale et à l’estimation des quantités et prix. Pour cette étude nous avons opté pour le dimensionnement de l’ouvrage en prenant trois périodes de retour (5, 10 et 50 ans) pour la pluie journalière maximale. La simulation des crues pour la validation du fonctionnement du bassin de rétention a été effectuée. Pour terminer une notice d’impact environnementale a été élaborée en prenant le soin de mentionner les impact positifs et négations sur l’environnement et les populations riveraines.
Les résultats de l’étude montrent que le bassin de rétention dimensionné a une superficie totale de 48 912 m2 pour un volume de 180 000 m3. Le bassin versant drainé par cette retenue, a superficie de 14 km², subdivisé en 3 sous bassins. Les simulations des crues pour les différentes périodes de retour, ont révélé les limites sur l’ouvrage et des améliorations sont nécessaires. Néanmoins, ce bassin de rétention réduit convenablement les risques d’inondation dans la zone pour une pluie décennale. Au-delà, de cette période, on observe un débordement d’eau dans le bassin. Le coût pour ce projet est estimé à la somme de : 572.669.200 F CFA.
Pour finir, on retient que la construction du bassin de rétention contribue à la réduction des inondations en aval de la retenue.
Ce projet a montré l’importance du bassin de rétention dans le processus de gestion des inondations, la construction de bassin de rétention sur les autres canaux de la ville de ouagadougou pourrait être une solution pour la quiétude des populations en saison hivernale.
Abstract : The study of the project for a new retention basin is part of the Mogho Naaba Canal project initiated by the authorities, located in the western part of the city of Ouagadougou. There is a structure already built on part of the Mogho Naaba Canal project, but which does not manage to correctly resume the flow rates of the canal being built due to a difference in size causing flooding around the junction area.
To remedy this problem, a project to study a retention basin on the Mogho Naaba Canal was proposed by the project team with the approval of the authoritie. The methodological approach consisted of hydrological and hydraulic studies, a structural study and the estimation of quantities and prices. For this study we opted for the design of the structure by taking three return periods (5, 10 and 50 years) for the maximum daily rainfall. Flood simulation was carried out to validate the operation of the retention basin. To conclude, an environmental impact notice was prepared, taking care to mention the positive and negative impacts on the environment and local populations.
The results of the study show that the dimensioned retention basin has a total surface area of 48,912 m2 for a volume of 180,000 m3. The watershed drained by this reservoir has an area of 14 km², subdivided into 3 sub-basins. Flood simulations for the various return periods have revealed the limits on the structure and improvements are needed. Nevertheless, this retention basin adequately reduces the risk of flooding in the area for ten-year rainfall. Beyond this period, there is an overflow of water in the basin. The cost for this project is estimated at the sum of: 572,669,200 F CFA.
Finally, it is noted that the construction of the retention basin contributes to the reduction of flooding downstream of the reservoir.
This project has shown the importance of the retention basin in the flood management process, the construction of retention basin on the other canals of the city of ouagadougou could be a solution for the tranquility of the populations in winter season.Exemplaires
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Oumar1Adobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude technique détaillée de la reconstruction du barrage de Tansablogo, dans la province du Kadiogo, au Burkina Faso / Ahmed OUBDA
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Etude technique détaillée de la reconstruction du barrage de Tansablogo, dans la province du Kadiogo, au Burkina Faso Type de document : texte imprimé Auteurs : Ahmed OUBDA Année de publication : 2019 Importance : 125 p. Langues : Français (fre) Résumé : Dans l’optique d’améliorer et d’assurer la durabilité du développement et des infrastructures en milieu rural, le gouvernement burkinabé a entrepris la construction ou la reconstruction des barrages dans plusieurs régions du pays. Le barrage de Tansablogo réalisé en 1990, fait partie des sites retenus pour une étude technique de reconstruction. Il a fait l’objet de nombreuses réhabilitations dont la plus ressente en 2007. Malgré ces multiples efforts, le barrage est toujours vulnérable et ce constat a été fait à l’issue d’une étude diagnostique réalisée en 2010. C’est dans ce contexte que l’étude technique de reconstruction du barrage de Tansablogo a été entreprise. Le présent mémoire rapporte les études effectuées sur ce barrage qui est situé dans la commune de Koubri, province du Kadiogo, région du Centre.
Une démarche méthodologique axée essentiellement sur les études hydrologiques et de génie civil a été adoptée au cours de cette étude. Elle a permis d’aboutir à des propositions techniques idoines et réalistes de reconstruction du barrage et de ses ouvrages annexes.
La capacité de stockage de la retenue initialement de 992 925 m3 sera fixée à 1 344 050 m3 après reconstruction, afin de satisfaire aux besoins en eau agricoles en période sèche d’un périmètre irrigué de 10 ha, aux besoins en eau pastoraux et à certains besoins domestiques. La digue homogène à remblai argileux du barrage sera longue de 800 m, haute de 5 m, avec une largeur en crête de 4 m. Elle comportera des talus à pentes identiques de 1V/2H et protégés en amont par des perrés maçonnés et en aval par des perrés secs.
Le déversoir trapézoïdal de longueur 60 m sera placé en position centrale pour permettre d’évacuer un débit de projet centennal de 100,30 m3/s. A l’aval de ce déversoir, est proposé un bassin de dissipation à ressaut de type II USBR long de 3 m.
Le coût de la reconstruction du barrage de Tansablogo est estimé à six cent soixante-dix-huit million sept cent quatre-vingt-trois mille six cent soixante-douze (678 783 672) F CFA TTC.
Abstract : With a view to improving and ensuring the sustainability of rural production and infrastructure, the government of Burkina Faso undertook the construction or reconstruction of dams in several regions. The Tansablogo dam, built in 1990, is one of the sites selected for a technical reconstruction study. Indeed, this dam which has been the subject of many rehabilitations, the most resented in 2007 was nevertheless found vulnerable after a diagnostic study carried out in 2010. It is in this context, that the technical study reconstruction of the Tansablogo dam was undertaken. This paper reports these studies on this dam located in Koubri Commune, Kadiogo Province, Central Region.
A methodological approach focusing mainly on hydrological and civil engineering studies was adopted during this study. It led to appropriate and realistic technical proposals for the reconstruction of the dam and its ancillary works.
The storage capacity of the initially 992 925 m3 reservoir will be set at 1,344,050 m3 after reconstruction, to meet the agricultural water needs in the dry period of an irrigated perimeter of 10 ha, with pastoral water requirements and some domestic needs. The homogeneous dam with clay backfill will be 800 m long, 5 m high, with a crest width of 4 m. It will include slopes with identical slopes of 1V/2H and protected upstream by masonry berms and downstream by dry burrows.
The 60 m long trapezoidal spillway will be placed centrally to allow the evacuation of a centennial project flow of 100.30 m3/s. Downstream of this spillway is proposed a 3 m long Type II USBR projection dissipation basin. The cost of rebuilding the dam of Tansablogo is estimated at 678 783 672 F CFA including tax.Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude technique détaillée de la reconstruction du barrage de Tansablogo, dans la province du Kadiogo, au Burkina Faso [texte imprimé] / Ahmed OUBDA . - 2019 . - 125 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Dans l’optique d’améliorer et d’assurer la durabilité du développement et des infrastructures en milieu rural, le gouvernement burkinabé a entrepris la construction ou la reconstruction des barrages dans plusieurs régions du pays. Le barrage de Tansablogo réalisé en 1990, fait partie des sites retenus pour une étude technique de reconstruction. Il a fait l’objet de nombreuses réhabilitations dont la plus ressente en 2007. Malgré ces multiples efforts, le barrage est toujours vulnérable et ce constat a été fait à l’issue d’une étude diagnostique réalisée en 2010. C’est dans ce contexte que l’étude technique de reconstruction du barrage de Tansablogo a été entreprise. Le présent mémoire rapporte les études effectuées sur ce barrage qui est situé dans la commune de Koubri, province du Kadiogo, région du Centre.
Une démarche méthodologique axée essentiellement sur les études hydrologiques et de génie civil a été adoptée au cours de cette étude. Elle a permis d’aboutir à des propositions techniques idoines et réalistes de reconstruction du barrage et de ses ouvrages annexes.
La capacité de stockage de la retenue initialement de 992 925 m3 sera fixée à 1 344 050 m3 après reconstruction, afin de satisfaire aux besoins en eau agricoles en période sèche d’un périmètre irrigué de 10 ha, aux besoins en eau pastoraux et à certains besoins domestiques. La digue homogène à remblai argileux du barrage sera longue de 800 m, haute de 5 m, avec une largeur en crête de 4 m. Elle comportera des talus à pentes identiques de 1V/2H et protégés en amont par des perrés maçonnés et en aval par des perrés secs.
Le déversoir trapézoïdal de longueur 60 m sera placé en position centrale pour permettre d’évacuer un débit de projet centennal de 100,30 m3/s. A l’aval de ce déversoir, est proposé un bassin de dissipation à ressaut de type II USBR long de 3 m.
Le coût de la reconstruction du barrage de Tansablogo est estimé à six cent soixante-dix-huit million sept cent quatre-vingt-trois mille six cent soixante-douze (678 783 672) F CFA TTC.
Abstract : With a view to improving and ensuring the sustainability of rural production and infrastructure, the government of Burkina Faso undertook the construction or reconstruction of dams in several regions. The Tansablogo dam, built in 1990, is one of the sites selected for a technical reconstruction study. Indeed, this dam which has been the subject of many rehabilitations, the most resented in 2007 was nevertheless found vulnerable after a diagnostic study carried out in 2010. It is in this context, that the technical study reconstruction of the Tansablogo dam was undertaken. This paper reports these studies on this dam located in Koubri Commune, Kadiogo Province, Central Region.
A methodological approach focusing mainly on hydrological and civil engineering studies was adopted during this study. It led to appropriate and realistic technical proposals for the reconstruction of the dam and its ancillary works.
The storage capacity of the initially 992 925 m3 reservoir will be set at 1,344,050 m3 after reconstruction, to meet the agricultural water needs in the dry period of an irrigated perimeter of 10 ha, with pastoral water requirements and some domestic needs. The homogeneous dam with clay backfill will be 800 m long, 5 m high, with a crest width of 4 m. It will include slopes with identical slopes of 1V/2H and protected upstream by masonry berms and downstream by dry burrows.
The 60 m long trapezoidal spillway will be placed centrally to allow the evacuation of a centennial project flow of 100.30 m3/s. Downstream of this spillway is proposed a 3 m long Type II USBR projection dissipation basin. The cost of rebuilding the dam of Tansablogo is estimated at 678 783 672 F CFA including tax.Exemplaires
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OubdaAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Contribution à la réalisation d’étude diagnostique pour la réhabilitation du barrage de Kabouda, commune de Méguet, province du Ganzourgou, région du Plateau Central au Burkina Faso. / W Marthe OUEDRAOGO
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Contribution à la réalisation d’étude diagnostique pour la réhabilitation du barrage de Kabouda, commune de Méguet, province du Ganzourgou, région du Plateau Central au Burkina Faso. Type de document : texte imprimé Auteurs : W Marthe OUEDRAOGO Année de publication : 2019 Importance : 107 p. Langues : Français (fre) Résumé : Cette étude réalisée au plateau central au niveau de la commune de Méguet au Burkina Faso avait pour objectif principal la contribution à l’amélioration de la sécurité alimentaire par la réhabilitation du barrage de Kabouda. En effet, plusieurs éléments de ce barrage connaissent une dégradation continue en ce sens que cet ouvrage hydraulique, construit en 2007 n’a pas été mis en place à partir d’études techniques. Dans un premier temps, destiné à un but agricole, ce barrage connait beaucoup de défauts dans sa conception entraînant une destruction de la digue avec comme conséquence une réduction très importante de sa capacité de stockage. Pour corriger ce dysfonctionnement, cette étude a été initiée pour proposer des solutions de réhabilitation. La démarche adoptée a consisté d’abord à procéder à un diagnostic exhaustif du barrage pour évaluer l’ensemble des défauts de construction. Puis un redimensionnement a été proposé en vue de pérenniser l’aménagement en aval gage de l’atteinte de la sécurité alimentaire dans cette région. Les résultats montrent un barrage totalement détruit entraînant un stockage presque vide d’où l’absence d’eau pour conduire des activités agricoles au niveau de l’aménagement de 5 ha. La réhabilitation proposée a favorisé un rallongement de la digue avec la construction d’un ouvrage évacuateur de type seuil en béton cyclopéen à un déversoir poids trapézoïdal de 70 m. La côte de calage du nouveau déversoir devra être de 295 m avec une capacité au plan d’eau normal de 1036491 m3 afin de répondre aux besoins et pertes en eau qui s’élèvent à 804548 m3. Un bassin de dissipation de 3,5 m de longueur et un chenal de 30 m ont été construits pour prévenir l’érosion régressive dans cet ouvrage hydraulique. Le coût total du projet de barrage s’élève à sept cent quatre-vingt-dix-sept millions trois cent huit mille quatre cent quatre-vingt-dix-huit (797 308 498) FCFA toutes taxes comprises.
Abstract : This study carried out at the “Plateau Central” in the commune of Meguet in Burkina Faso had for main purpose the contribution to improving food security through the rehabilitation of Kabouda’s dam. Indeed, several elements of this dam are experiencing a continuous degradation in this sense that this hydraulic structure built in 2007 was set up from technical studies. Initially intended for an agricultural purpose, this dam has many flaws in its design resulting in destruction of itself which consequence is a very significiant reduction in its storage capacity. To correct this dysfunction, this study was initiated to propose rehabilitation solutions. The approach adopted consisted first of all in carrying out an exhaustive diagnosis of the dam to evaluate all the defects of construction. Then a resizing was proposed in life to perpetuate the irrigated perimeter downstream pledge of achieving food security in this region. The results show a completely destroyed dam resulting in almost empty storage, hence the absence of water to conduct agricultural activities for the 5 ha perimeter. So we proposed a rehabilitation and an extension of the dike and the passage of a cyclopean concrete threshold to a 70 m trapezoidal spillway. The shoreline of the new spillway shall be at the 295m shore with a capacity of 1036491 m3 to meet the water needs in losses which are à 804548 m3. The spillway will be followed by an energy dissipation basin and a flow channel to prevent regressive erosion.
The total cost of the dam’s project is equal to seven hundred and ninety seven million three hundred eight thousand and four hundred ninety eight (797 308 498) FCFA, all taxes include.Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Contribution à la réalisation d’étude diagnostique pour la réhabilitation du barrage de Kabouda, commune de Méguet, province du Ganzourgou, région du Plateau Central au Burkina Faso. [texte imprimé] / W Marthe OUEDRAOGO . - 2019 . - 107 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Cette étude réalisée au plateau central au niveau de la commune de Méguet au Burkina Faso avait pour objectif principal la contribution à l’amélioration de la sécurité alimentaire par la réhabilitation du barrage de Kabouda. En effet, plusieurs éléments de ce barrage connaissent une dégradation continue en ce sens que cet ouvrage hydraulique, construit en 2007 n’a pas été mis en place à partir d’études techniques. Dans un premier temps, destiné à un but agricole, ce barrage connait beaucoup de défauts dans sa conception entraînant une destruction de la digue avec comme conséquence une réduction très importante de sa capacité de stockage. Pour corriger ce dysfonctionnement, cette étude a été initiée pour proposer des solutions de réhabilitation. La démarche adoptée a consisté d’abord à procéder à un diagnostic exhaustif du barrage pour évaluer l’ensemble des défauts de construction. Puis un redimensionnement a été proposé en vue de pérenniser l’aménagement en aval gage de l’atteinte de la sécurité alimentaire dans cette région. Les résultats montrent un barrage totalement détruit entraînant un stockage presque vide d’où l’absence d’eau pour conduire des activités agricoles au niveau de l’aménagement de 5 ha. La réhabilitation proposée a favorisé un rallongement de la digue avec la construction d’un ouvrage évacuateur de type seuil en béton cyclopéen à un déversoir poids trapézoïdal de 70 m. La côte de calage du nouveau déversoir devra être de 295 m avec une capacité au plan d’eau normal de 1036491 m3 afin de répondre aux besoins et pertes en eau qui s’élèvent à 804548 m3. Un bassin de dissipation de 3,5 m de longueur et un chenal de 30 m ont été construits pour prévenir l’érosion régressive dans cet ouvrage hydraulique. Le coût total du projet de barrage s’élève à sept cent quatre-vingt-dix-sept millions trois cent huit mille quatre cent quatre-vingt-dix-huit (797 308 498) FCFA toutes taxes comprises.
Abstract : This study carried out at the “Plateau Central” in the commune of Meguet in Burkina Faso had for main purpose the contribution to improving food security through the rehabilitation of Kabouda’s dam. Indeed, several elements of this dam are experiencing a continuous degradation in this sense that this hydraulic structure built in 2007 was set up from technical studies. Initially intended for an agricultural purpose, this dam has many flaws in its design resulting in destruction of itself which consequence is a very significiant reduction in its storage capacity. To correct this dysfunction, this study was initiated to propose rehabilitation solutions. The approach adopted consisted first of all in carrying out an exhaustive diagnosis of the dam to evaluate all the defects of construction. Then a resizing was proposed in life to perpetuate the irrigated perimeter downstream pledge of achieving food security in this region. The results show a completely destroyed dam resulting in almost empty storage, hence the absence of water to conduct agricultural activities for the 5 ha perimeter. So we proposed a rehabilitation and an extension of the dike and the passage of a cyclopean concrete threshold to a 70 m trapezoidal spillway. The shoreline of the new spillway shall be at the 295m shore with a capacity of 1036491 m3 to meet the water needs in losses which are à 804548 m3. The spillway will be followed by an energy dissipation basin and a flow channel to prevent regressive erosion.
The total cost of the dam’s project is equal to seven hundred and ninety seven million three hundred eight thousand and four hundred ninety eight (797 308 498) FCFA, all taxes include.Exemplaires
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MartheAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Caractérisation de la croissance sous irrigation de Combretum glutinosum Perr.Ex DC. en zone soudano sahélienne / Daouda SANGARÉ
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Caractérisation de la croissance sous irrigation de Combretum glutinosum Perr.Ex DC. en zone soudano sahélienne Type de document : texte imprimé Auteurs : Daouda SANGARÉ Année de publication : 2019 Importance : 96 p. Langues : Français (fre) Résumé : Combretum glutinosum Perr. Ex DC. est un arbre ou arbuste qui occupe une place de choix dans la teinture du textile, dans la médecine traditionnelle et aussi dans la récupération des terres dégradées en Afrique de l’Ouest. Sa caractérisation sous l’irrigation pour sa pérennisation a nécessité une recherche sur la détermination de ses coefficients culturaux et ses paramètres de croissance aux stades de développements de son cycle végétatif. Pour ce faire, une étude de la faculté germinative, une détermination de l’évapotranspiration maximale (ETM) dans neuf (09) répliques de lysimètres, des mesures de paramètres de croissance, une détermination de la biomasse humide et sèche, la durée de la phase initiale de C. glutinosum et une détermination de l’évapotranspiration de référence (ETo) au tour du dispositif de production ont été réalisées. La faculté germinative a concerné le taux de germination et la durée d’attente. Au total, 25% du taux de germination et une durée d’attente de cinq (05) jours ont été obtenus. La connaissance de l’ETM et de l’ETo a permis de calculer le coefficient cultural (KC) de la phase initiale du cycle végétatif de la plante. La valeur obtenue est de 0,9±0,03 à 95% d’intervalle de confiance. Une durée de 185 jours soit six (06) mois et cinq (05) jours a été obtenue pour la phase initiale de C. glutinosum. Les paramètres de croissance des plantes mesurés ont concerné la hauteur verticale, le nombre de branches principales, le nombre de feuilles par branche principale et le diamètre au collet des plants. La hauteur verticale moyenne de 12,6±3,1 cm; le nombre moyen de branches principales de 01; le nombre moyen de feuilles par branche principale de 12 ± 2 ; le diamètre moyen au collet de 4,02±1,10 mm et la biomasse humide et sèche respectivement de 11,07±7,85 g et 4,29±3,06 g ont été obtenus à la phase initiale. Ces résultats peuvent servir des données de bases aux planteurs et réduire le vide scientifique en matière de développement de la foresterie. Compte tenu de la durée du stage, notre étude s’est limitée à la phase initiale de C. glutinosum. Cependant, il serait intéressant de suivre les autres phases ultérieures pour mieux caractériser l’espèce.
Abstract : Combretum glutinosum Perr. Ex DC. is a tree or shrub that occupies a place of choice in textiles dyeing and in traditional medicine and also in the recovery of degraded lands in West Africa. Its characterization under irrigation for its sustainability has necessitated some research on the determination of its cultural coefficients and its growth parameters at the stages of development of its vegetative cycle. To do this, a study of a germinative faculty, a determination of maximum evapotranspiration (MTE) in nine (09) replicates of lysimeters, measurements of growth parameters, a determination of wet and dry biomass, the duration of the initial phase of C.glutinosum and a determination of evapotranspiration of reference (ETo) around the device of production were carried out. The germinative faculty concerned the germination rate and the waiting duration. A total of 25% of the germination rate and a waiting period of five (05) days were recorded. Knowing the ETM and the ETo made possible the calculation of the cultural coefficient (Kc) of the initial phase of the vegetative cycle of the plant. The result we obtained is 0.9 ± 0.03 at 95% interval of confidence. The duration of 185 days or six (06) months and five (05) days was obtained for the initial phase of C. glutinosum. Measured plant growth parameters included vertical height, number of main branches, number of leaves per main branch, and neck diameter of plants. The average vertical height of 12.6 ± 3.1 cm; the average main branch number of 01; the average number of leaves per main branch of 12 ± 2; the average collar diameter of 4.02 ± 1.10 mm and wet and dry biomass of 11.07 ± 7.85 g and 4.29 ± 3.06 g, respectively, were obtained at the initial phase. These results can serve as baseline data for planters and reduce the scientific vacuum in forestry development. Given the duration of the internship, our study was limited to the initial phase of C. glutinosum. However, it would be interesting to follow the other phases to better characterize the species.Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Caractérisation de la croissance sous irrigation de Combretum glutinosum Perr.Ex DC. en zone soudano sahélienne [texte imprimé] / Daouda SANGARÉ . - 2019 . - 96 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Combretum glutinosum Perr. Ex DC. est un arbre ou arbuste qui occupe une place de choix dans la teinture du textile, dans la médecine traditionnelle et aussi dans la récupération des terres dégradées en Afrique de l’Ouest. Sa caractérisation sous l’irrigation pour sa pérennisation a nécessité une recherche sur la détermination de ses coefficients culturaux et ses paramètres de croissance aux stades de développements de son cycle végétatif. Pour ce faire, une étude de la faculté germinative, une détermination de l’évapotranspiration maximale (ETM) dans neuf (09) répliques de lysimètres, des mesures de paramètres de croissance, une détermination de la biomasse humide et sèche, la durée de la phase initiale de C. glutinosum et une détermination de l’évapotranspiration de référence (ETo) au tour du dispositif de production ont été réalisées. La faculté germinative a concerné le taux de germination et la durée d’attente. Au total, 25% du taux de germination et une durée d’attente de cinq (05) jours ont été obtenus. La connaissance de l’ETM et de l’ETo a permis de calculer le coefficient cultural (KC) de la phase initiale du cycle végétatif de la plante. La valeur obtenue est de 0,9±0,03 à 95% d’intervalle de confiance. Une durée de 185 jours soit six (06) mois et cinq (05) jours a été obtenue pour la phase initiale de C. glutinosum. Les paramètres de croissance des plantes mesurés ont concerné la hauteur verticale, le nombre de branches principales, le nombre de feuilles par branche principale et le diamètre au collet des plants. La hauteur verticale moyenne de 12,6±3,1 cm; le nombre moyen de branches principales de 01; le nombre moyen de feuilles par branche principale de 12 ± 2 ; le diamètre moyen au collet de 4,02±1,10 mm et la biomasse humide et sèche respectivement de 11,07±7,85 g et 4,29±3,06 g ont été obtenus à la phase initiale. Ces résultats peuvent servir des données de bases aux planteurs et réduire le vide scientifique en matière de développement de la foresterie. Compte tenu de la durée du stage, notre étude s’est limitée à la phase initiale de C. glutinosum. Cependant, il serait intéressant de suivre les autres phases ultérieures pour mieux caractériser l’espèce.
Abstract : Combretum glutinosum Perr. Ex DC. is a tree or shrub that occupies a place of choice in textiles dyeing and in traditional medicine and also in the recovery of degraded lands in West Africa. Its characterization under irrigation for its sustainability has necessitated some research on the determination of its cultural coefficients and its growth parameters at the stages of development of its vegetative cycle. To do this, a study of a germinative faculty, a determination of maximum evapotranspiration (MTE) in nine (09) replicates of lysimeters, measurements of growth parameters, a determination of wet and dry biomass, the duration of the initial phase of C.glutinosum and a determination of evapotranspiration of reference (ETo) around the device of production were carried out. The germinative faculty concerned the germination rate and the waiting duration. A total of 25% of the germination rate and a waiting period of five (05) days were recorded. Knowing the ETM and the ETo made possible the calculation of the cultural coefficient (Kc) of the initial phase of the vegetative cycle of the plant. The result we obtained is 0.9 ± 0.03 at 95% interval of confidence. The duration of 185 days or six (06) months and five (05) days was obtained for the initial phase of C. glutinosum. Measured plant growth parameters included vertical height, number of main branches, number of leaves per main branch, and neck diameter of plants. The average vertical height of 12.6 ± 3.1 cm; the average main branch number of 01; the average number of leaves per main branch of 12 ± 2; the average collar diameter of 4.02 ± 1.10 mm and wet and dry biomass of 11.07 ± 7.85 g and 4.29 ± 3.06 g, respectively, were obtained at the initial phase. These results can serve as baseline data for planters and reduce the scientific vacuum in forestry development. Given the duration of the internship, our study was limited to the initial phase of C. glutinosum. However, it would be interesting to follow the other phases to better characterize the species.Exemplaires
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DaoudAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Renforcement du système d’AEP de la ville de Kaya et extension aux communes de Boussouma et Korsimoro au Burkina Faso / Abdoulaye SANOGO
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Renforcement du système d’AEP de la ville de Kaya et extension aux communes de Boussouma et Korsimoro au Burkina Faso Type de document : texte imprimé Auteurs : Abdoulaye SANOGO Année de publication : 2019 Importance : 119 p. Langues : Français (fre) Résumé : La présente étude porte sur le renforcement du système d’AEP de la ville de Kaya et l’extension aux communes rurales de Boussouma et de Korsimoro situées non loin respectivement à 20Km et 30Km de la ville de KAYA.
Kaya est essentiellement alimentée par la station de traitement de 200 m3/h qui fonctionne à plein régime. Les deux communes rurales possèdent chacune un AEPS alimenté par des forages. Une analyse de l’état des lieux des systèmes démontre un déficit sévère en eau dans la ville de KAYA et dans chacune des communes. L’étude technique de ce projet fait suite dans un premier temps à une prévision de la demande en eau [10 239 m3/j] de la population des villes y compris celle des villages situés sur le tracé de la conduite d’adduction des deux communes. Dans un second temps à faire une évaluation de la capacité du lac [11,4 millions m3 en décennale sèche]. Cela a été nécessaire pour déterminer et dimensionner l’ouvrage de prise [800 m3/h] et les différentes unités de la nouvelle station de traitement [600 m3/h]. L’adduction par refoulement se fait sur une distance de 20746 m en fonte DN 600 mm PN 16. Le stockage sera assuré par une bâche d’eau claire [2000 m3] à la station de traitement ; un château d’eau en béton armé [2000 m3] à KAYA [300 m3] à KORSIMORO et un château d’eau métallique [150 m3] à BOUSSOUMA. Les deux communes seront alimentées gravitairement par une bâche de reprise [300 m3]. Le réseau de distribution sera formé de 30 km de conduite et 25 bornes fontaines dans chacune des communes, le renforcement sera effectué sur 40 km de conduite de distribution et 20 bornes fontaine à l’horizon 2030.
Le cout total du projet s’élève à onze-milliards-quatre-cent-soixante-deux-millions-huit-cent-cinquante-mille francs CFA (11 462 850 000 FCFA).
Abstract : This study focuses on strengthening the AEP system in the city of Kaya and extending it to the rural towns of Boussouma and Korsimoro, located not far from the city of KAYA, respectively.
Kaya is mainly powered by the 200 m3/h treatment station, which is operating at full capacity. The two rural municipalities each have a drilling-fed AEPS. An analysis of the state of the systems shows a severe water deficit in the city of KAYA and in each of the municipalities. The technical study of this project initially follows a forecast of water demand [10,239 m3/d] of the population of the cities, including that of the villages located on the supply line of the two municipalities. In a second step to make an assessment of the capacity of the lake [11,4 million m3 in dry decennal]. This was necessary to determine and size the plug structure [800 m3/h] and the various units of the new treatment station [600 m3/h]. The release is done over a distance of 20746 m in cast iron DN 600 mm PN 16. Storage will be provided by a clear water tarpaulin [2000 m3] at the treatment plant; a reinforced concrete water tower [2000 m3] in KAYA [300 m3] in KORSIMORO and a metal water tower [150 m3] in BOUSSOUMA. The two municipalities will be powered by a cover-up tarpaulin [300 m3]. The distribution network will consist of 30 km of driving and 25 fountain strain points in each of the municipalities, the reinforcement will be carried out on 40 km of distribution pipe and 20 fountain terminals by 2030.
The total cost of the project is eleven-billion-four-sixty-two-million-eight-cent-fifty-thousand CFA francs (11,462,850,000 CFA francs).Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Renforcement du système d’AEP de la ville de Kaya et extension aux communes de Boussouma et Korsimoro au Burkina Faso [texte imprimé] / Abdoulaye SANOGO . - 2019 . - 119 p.
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Résumé : La présente étude porte sur le renforcement du système d’AEP de la ville de Kaya et l’extension aux communes rurales de Boussouma et de Korsimoro situées non loin respectivement à 20Km et 30Km de la ville de KAYA.
Kaya est essentiellement alimentée par la station de traitement de 200 m3/h qui fonctionne à plein régime. Les deux communes rurales possèdent chacune un AEPS alimenté par des forages. Une analyse de l’état des lieux des systèmes démontre un déficit sévère en eau dans la ville de KAYA et dans chacune des communes. L’étude technique de ce projet fait suite dans un premier temps à une prévision de la demande en eau [10 239 m3/j] de la population des villes y compris celle des villages situés sur le tracé de la conduite d’adduction des deux communes. Dans un second temps à faire une évaluation de la capacité du lac [11,4 millions m3 en décennale sèche]. Cela a été nécessaire pour déterminer et dimensionner l’ouvrage de prise [800 m3/h] et les différentes unités de la nouvelle station de traitement [600 m3/h]. L’adduction par refoulement se fait sur une distance de 20746 m en fonte DN 600 mm PN 16. Le stockage sera assuré par une bâche d’eau claire [2000 m3] à la station de traitement ; un château d’eau en béton armé [2000 m3] à KAYA [300 m3] à KORSIMORO et un château d’eau métallique [150 m3] à BOUSSOUMA. Les deux communes seront alimentées gravitairement par une bâche de reprise [300 m3]. Le réseau de distribution sera formé de 30 km de conduite et 25 bornes fontaines dans chacune des communes, le renforcement sera effectué sur 40 km de conduite de distribution et 20 bornes fontaine à l’horizon 2030.
Le cout total du projet s’élève à onze-milliards-quatre-cent-soixante-deux-millions-huit-cent-cinquante-mille francs CFA (11 462 850 000 FCFA).
Abstract : This study focuses on strengthening the AEP system in the city of Kaya and extending it to the rural towns of Boussouma and Korsimoro, located not far from the city of KAYA, respectively.
Kaya is mainly powered by the 200 m3/h treatment station, which is operating at full capacity. The two rural municipalities each have a drilling-fed AEPS. An analysis of the state of the systems shows a severe water deficit in the city of KAYA and in each of the municipalities. The technical study of this project initially follows a forecast of water demand [10,239 m3/d] of the population of the cities, including that of the villages located on the supply line of the two municipalities. In a second step to make an assessment of the capacity of the lake [11,4 million m3 in dry decennal]. This was necessary to determine and size the plug structure [800 m3/h] and the various units of the new treatment station [600 m3/h]. The release is done over a distance of 20746 m in cast iron DN 600 mm PN 16. Storage will be provided by a clear water tarpaulin [2000 m3] at the treatment plant; a reinforced concrete water tower [2000 m3] in KAYA [300 m3] in KORSIMORO and a metal water tower [150 m3] in BOUSSOUMA. The two municipalities will be powered by a cover-up tarpaulin [300 m3]. The distribution network will consist of 30 km of driving and 25 fountain strain points in each of the municipalities, the reinforcement will be carried out on 40 km of distribution pipe and 20 fountain terminals by 2030.
The total cost of the project is eleven-billion-four-sixty-two-million-eight-cent-fifty-thousand CFA francs (11,462,850,000 CFA francs).Exemplaires
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SanogoAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Conception et dimensionnement d’un système d’adduction en eau potable (AEP) multi-villages : cas de Lago et Yitaore, commune de Gourcy (région du nord au Burkina Faso) / Augustin SARE
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Conception et dimensionnement d’un système d’adduction en eau potable (AEP) multi-villages : cas de Lago et Yitaore, commune de Gourcy (région du nord au Burkina Faso) Type de document : texte imprimé Auteurs : Augustin SARE Année de publication : 2019 Importance : 97 p. Langues : Français (fre) Résumé : Les localités de Lago et Yitaoré sont deux villages de la commune de Gourcy, province du Zondoma, région du Nord du Burkina Faso. Ces deux villages ont un taux d’accès à l’eau potable de 65.7% assuré exclusivement par des pompes à motricité humaine et des puits. C’est dans ce contexte que le Ministère de l’Eau et de l’Assainissement a initié un projet de réalisation d’un système d’Adduction en Eau Potable Multi-villages au profit de ces deux villages. Cette étude : « conception et dimensionnement d’un système d’adduction en eau potable multi-villages : cas de Lago et Yitaoré, commune de Gourcy » apporte un éclairage sur la conception technique des ouvrages du système d’adduction en eau potable (château d’eau, forage, conduite du réseau, borne fontaine, branchement privé, ouvrage de fonctionnalité, ouvrage de régulation et protection des installations). Avec une population estimée à 9624 habitants à l’échéance du projet en 2040, un besoin journalier de 289.6m3, un château d’eau de 80m3, le système d’AEP desservira 13 bornes fontaines, équipées de deux robinets 0.5l/s et 50 branchements privés à partir d’un réseau mixte (ramifié et trois mailles). Après la conception, des simulations de ruptures de conduites ont été faites sur le logiciel Epanet afin d’apprécier l’impact éventuel sur la fourniture en eau. Le coût global du projet a été estimé à 283 798 495 FCFA et un coût de revient du mètre cube d’eau à 378 F CFA. Les installations du système AEP seront alimentées par des panneaux photovoltaïques et un groupe électrogène en appoint. Un accent particulier a été accordé au mode de gestion par le futur fermier ; également un plan de gestion environnemental a été proposé pour atténuer les impacts du projet sur l’environnement.
Abstract : The localities of Lago and Yitaoré are two villages in the commune of Gourcy, Zondoma province, a region of northern Burkina Faso. These two villages have a drinking water access rate of 65.7% provided exclusively by human powered pumps and wells. It is in this context that the Ministry of Water and Sanitation has initiated a project to implement a multi-village drinking water supply system for populations of both villages. This study: "Design and dimensioning of a multi-village drinking water supply system: case of Lago and Yitaoré, commune of Gourcy" shows the technical design of the drinking water supply system (water tower, drilling, network control, standpipe, private connection, structure of functionality, control structure and protection of facilities). With an estimated population of 9624 inhabitants at the end of the project in 2040, a daily need of 289.6m3, a water tower of 80m3, the AEP system will serve 13 standpipes, equipped with two 0.5l / s taps and 50 private connections from a mixed network (branched and three meshes). After the design, simulations of pipe breaks were made on the Epanet software in order to assess the possible impact on the water supply. The overall cost of the project was estimated at 283,798,495 FCFA and a cost per cubic meter of water at 378 F CFA. The installations of the AEP system will be powered by photovoltaic panels and an additional generator. Special emphasis was given to the management style by the future farmer; an environmental management plan has also been proposed to mitigate the environmental impacts of the project.Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Conception et dimensionnement d’un système d’adduction en eau potable (AEP) multi-villages : cas de Lago et Yitaore, commune de Gourcy (région du nord au Burkina Faso) [texte imprimé] / Augustin SARE . - 2019 . - 97 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Les localités de Lago et Yitaoré sont deux villages de la commune de Gourcy, province du Zondoma, région du Nord du Burkina Faso. Ces deux villages ont un taux d’accès à l’eau potable de 65.7% assuré exclusivement par des pompes à motricité humaine et des puits. C’est dans ce contexte que le Ministère de l’Eau et de l’Assainissement a initié un projet de réalisation d’un système d’Adduction en Eau Potable Multi-villages au profit de ces deux villages. Cette étude : « conception et dimensionnement d’un système d’adduction en eau potable multi-villages : cas de Lago et Yitaoré, commune de Gourcy » apporte un éclairage sur la conception technique des ouvrages du système d’adduction en eau potable (château d’eau, forage, conduite du réseau, borne fontaine, branchement privé, ouvrage de fonctionnalité, ouvrage de régulation et protection des installations). Avec une population estimée à 9624 habitants à l’échéance du projet en 2040, un besoin journalier de 289.6m3, un château d’eau de 80m3, le système d’AEP desservira 13 bornes fontaines, équipées de deux robinets 0.5l/s et 50 branchements privés à partir d’un réseau mixte (ramifié et trois mailles). Après la conception, des simulations de ruptures de conduites ont été faites sur le logiciel Epanet afin d’apprécier l’impact éventuel sur la fourniture en eau. Le coût global du projet a été estimé à 283 798 495 FCFA et un coût de revient du mètre cube d’eau à 378 F CFA. Les installations du système AEP seront alimentées par des panneaux photovoltaïques et un groupe électrogène en appoint. Un accent particulier a été accordé au mode de gestion par le futur fermier ; également un plan de gestion environnemental a été proposé pour atténuer les impacts du projet sur l’environnement.
Abstract : The localities of Lago and Yitaoré are two villages in the commune of Gourcy, Zondoma province, a region of northern Burkina Faso. These two villages have a drinking water access rate of 65.7% provided exclusively by human powered pumps and wells. It is in this context that the Ministry of Water and Sanitation has initiated a project to implement a multi-village drinking water supply system for populations of both villages. This study: "Design and dimensioning of a multi-village drinking water supply system: case of Lago and Yitaoré, commune of Gourcy" shows the technical design of the drinking water supply system (water tower, drilling, network control, standpipe, private connection, structure of functionality, control structure and protection of facilities). With an estimated population of 9624 inhabitants at the end of the project in 2040, a daily need of 289.6m3, a water tower of 80m3, the AEP system will serve 13 standpipes, equipped with two 0.5l / s taps and 50 private connections from a mixed network (branched and three meshes). After the design, simulations of pipe breaks were made on the Epanet software in order to assess the possible impact on the water supply. The overall cost of the project was estimated at 283,798,495 FCFA and a cost per cubic meter of water at 378 F CFA. The installations of the AEP system will be powered by photovoltaic panels and an additional generator. Special emphasis was given to the management style by the future farmer; an environmental management plan has also been proposed to mitigate the environmental impacts of the project.Exemplaires
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SareAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude d’avant-projet détaillé pour le renforcement du système d’approvisionnement en eau potable de la commune IV dans le district de Bamako au Mali / Fatoumata Dite Yaye SYLLA
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Etude d’avant-projet détaillé pour le renforcement du système d’approvisionnement en eau potable de la commune IV dans le district de Bamako au Mali Type de document : texte imprimé Auteurs : Fatoumata Dite Yaye SYLLA Année de publication : 2019 Importance : 119 p. Langues : Français (fre) Résumé : Le présent document est élaboré dans le cadre de l’amélioration de l’accès à l’eau potable dans la ville de Bamako. Cette démarche vise à mettre la population dans un confort face aux problèmes liés aux manques d’eau potable.
Dans ce cadre, un programme nommé « projet Kabala » a été initié. Il prévoit la réhabilitation, le renforcement et la construction d’infrastructures de traitements et de stockages d’eau. Il s’agit de faire l’étude d’avant-projet détaillé pour prouver la faisabilité technique et financière du projet de renforcement du système d’Approvisionnement en Eau Potable de la commune IV à Bamako à l’horizon 2032.
Il ressort de cette étude la nécessité de réaliser deux ouvrages de stockages semi enterrés, une station de pompage, un réseau de refoulement et un réseau de distribution primaire.
Les deux réservoirs semi enterrés sont en béton armé de 5000 m3 chacun et situés à Lassa (Altitude à 464 m), ils desserviront une grande partie de la commune IV. Aussi, nous avons quatre (4) pompes en parallèle avec un débit de pompage de 1125 m3/h chacun totalisant 4500 m3/h avec une HMT de 166 m et une puissance de 800 kW. La conduite de refoulement en fonte ductile DN 1000 quitte la bâche d’eau traitée de Djikoroni-Para jusqu’aux deux réservoirs semi enterrés de Lassa suivant un linéaire de 7,16 km. La conduite de distribution primaire également en fonte ductile est ramifiée avec des diamètres DN 1000, DN 700, DN 600 et DN 400. Cette conduite quitte les nouveaux réservoirs de Lassa et traverse les quartiers de Lafiabougou, Taliko, Lassa et Sebénikoro suivant un linéaire de
7,81 km. Le coût du projet a été évalué à 6 787 184 466 FCFA.
Abstract : This document is elaborated within the framework of the improvement of the access to drinking water in the town of Bamako. His step is to put the population in a comfort regarding the problems involved in the lacks of drinking water on Bamako.
Within this contexte, a program named "Kabala project" was initiated. It foresees the rehabilitation, the strengthening and the construction of infrastructures of treatments and storages of water. It is a question of making the study of preliminary draft detailed to prove the technical and financial feasibility of the project of reinforcement of the system of Supply Drinking water of commune IV in Bamako by 2032.
It comes out from this study the need for carrying out two works of semi-underground storages, a station of pumping, a network of repression and a primary distribution network.
The two semi-underground tanks are made with armed concrete with a volume of 5,000 m3 each one and located at Lassa (Altitude of 464 m), they will also serve a great party of commune IV. We have four (4) pumps in parallel with a flow of pumping of 1,125 m3/h each one totalized 4,500 m3/h with a MTH of 166 m and power of 800 kW. The ductile pipe iron discharge pipe ND 1000 leaves the tank of treated water of Djikoroni-Para to the two semi semi-underground tanks with a linear of 7,16 km. Primary distribution also of ductile pipe iron is ramified with diameters ND 1000, ND 700, ND 600 and ND 400. This pipe leaves the new tanks of Lassa and accrosses the districts of Lafiabougou, Taliko , Lassa and Sebénikoro following a linear of 7,81 km. The cost of the project was evaluated to 6 787 184 466 FCFA.Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude d’avant-projet détaillé pour le renforcement du système d’approvisionnement en eau potable de la commune IV dans le district de Bamako au Mali [texte imprimé] / Fatoumata Dite Yaye SYLLA . - 2019 . - 119 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Le présent document est élaboré dans le cadre de l’amélioration de l’accès à l’eau potable dans la ville de Bamako. Cette démarche vise à mettre la population dans un confort face aux problèmes liés aux manques d’eau potable.
Dans ce cadre, un programme nommé « projet Kabala » a été initié. Il prévoit la réhabilitation, le renforcement et la construction d’infrastructures de traitements et de stockages d’eau. Il s’agit de faire l’étude d’avant-projet détaillé pour prouver la faisabilité technique et financière du projet de renforcement du système d’Approvisionnement en Eau Potable de la commune IV à Bamako à l’horizon 2032.
Il ressort de cette étude la nécessité de réaliser deux ouvrages de stockages semi enterrés, une station de pompage, un réseau de refoulement et un réseau de distribution primaire.
Les deux réservoirs semi enterrés sont en béton armé de 5000 m3 chacun et situés à Lassa (Altitude à 464 m), ils desserviront une grande partie de la commune IV. Aussi, nous avons quatre (4) pompes en parallèle avec un débit de pompage de 1125 m3/h chacun totalisant 4500 m3/h avec une HMT de 166 m et une puissance de 800 kW. La conduite de refoulement en fonte ductile DN 1000 quitte la bâche d’eau traitée de Djikoroni-Para jusqu’aux deux réservoirs semi enterrés de Lassa suivant un linéaire de 7,16 km. La conduite de distribution primaire également en fonte ductile est ramifiée avec des diamètres DN 1000, DN 700, DN 600 et DN 400. Cette conduite quitte les nouveaux réservoirs de Lassa et traverse les quartiers de Lafiabougou, Taliko, Lassa et Sebénikoro suivant un linéaire de
7,81 km. Le coût du projet a été évalué à 6 787 184 466 FCFA.
Abstract : This document is elaborated within the framework of the improvement of the access to drinking water in the town of Bamako. His step is to put the population in a comfort regarding the problems involved in the lacks of drinking water on Bamako.
Within this contexte, a program named "Kabala project" was initiated. It foresees the rehabilitation, the strengthening and the construction of infrastructures of treatments and storages of water. It is a question of making the study of preliminary draft detailed to prove the technical and financial feasibility of the project of reinforcement of the system of Supply Drinking water of commune IV in Bamako by 2032.
It comes out from this study the need for carrying out two works of semi-underground storages, a station of pumping, a network of repression and a primary distribution network.
The two semi-underground tanks are made with armed concrete with a volume of 5,000 m3 each one and located at Lassa (Altitude of 464 m), they will also serve a great party of commune IV. We have four (4) pumps in parallel with a flow of pumping of 1,125 m3/h each one totalized 4,500 m3/h with a MTH of 166 m and power of 800 kW. The ductile pipe iron discharge pipe ND 1000 leaves the tank of treated water of Djikoroni-Para to the two semi semi-underground tanks with a linear of 7,16 km. Primary distribution also of ductile pipe iron is ramified with diameters ND 1000, ND 700, ND 600 and ND 400. This pipe leaves the new tanks of Lassa and accrosses the districts of Lafiabougou, Taliko , Lassa and Sebénikoro following a linear of 7,81 km. The cost of the project was evaluated to 6 787 184 466 FCFA.Exemplaires
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YayeAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Analyse diagnostique, proposition de réhabilitation et extension de périmètre irrigue et de la ressource en eau associée / Tatiana Farida LAMODY
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Analyse diagnostique, proposition de réhabilitation et extension de périmètre irrigue et de la ressource en eau associée : cas de Bilanga dans la province de la Gnagna (Burkina Faso) Type de document : texte imprimé Auteurs : Tatiana Farida LAMODY Année de publication : 2019 Importance : 81 p. Langues : Français (fre) Résumé : Le périmètre de Bilanga situé à l’aval du barrage de Bilanga a été construit en 1978 et réhabilité en 2010 par le Projet d’Appui au Développement Rural décentralisé dans les provinces de la Gnagna et du Kouritenga (PADER/GGK). Ce périmètre sous système d’irrigation gravitaire s’étend sur 15 ha exploité par 74 producteurs, dont 17 femmes. Il est alimenté par le barrage de Bilanga réhabilité en 2011 dont la capacité est de 723 500 m3. Ces dernières années le périmètre est confronté à un problème d’insuffisance d’eau et de dysfonctionnement du réseau d’irrigation d’où la baisse du rendement agricole. Or l’essentiel des revenus, même maigre, des producteurs provient de cette activité. Suite à ces constats, une étude diagnostique des ouvrages du périmètre et de la ressource a été menée en vue d’apporter des solutions durables aux préoccupations actuelles de l’aménagement. De cette étude, il est ressorti que les principales limites se situent à deux niveaux. D’une part la quantité d’eau disponible dans le barrage est dans l’incapacité d’assurer les deux campagnes agricoles de l’année. D’autre part il ressort que la quasi-totalité des ouvrages du périmètre se trouve dans un état défectueux avec un calage du réseau interne d’irrigation non optimal. À ces limites s’ajoute l’indiscipline caractérisée au sein du périmètre marqué par le non-respect du calendrier cultural, des itinéraires techniques et du paiement des redevances en eau. Cette situation se ressent sur les rendements, car seulement 20 % des producteurs arrivent à obtenir les rendements escomptés (5 à 6t/ha) par la variété FKR19 produite sur le périmètre.
Au vu des résultats du diagnostic, des solutions adaptées ont été proposées afin d’améliorer les performances de l’aménagement. Il s’agit, entre autres, du rehaussement du déversoir d’une revanche de 60 cm qui permettra un gain de volume de 52 %. Aussi une restructuration technique suivie d’une extension du périmètre portera la nouvelle superficie à 20 ha. Cette nouvelle conception du périmètre sera assortie d’un plan de gestion qui permettra de maintenir de bons rendements et de péréniser les ouvrages de l’aménagement. Le coût cette réhabilitation et extension est estimé à 86 833 305 F CFA.
Abstract : The Bilanga perimeter downstream the Bilanga dam was built in 1978 and rehabilitated in 2010 by the Decentralised Rural Development Support Project in the provinces of Gnagna and Kourittenga (PADER/GGK). This perimeter is fed under gravity irrigation systems and extends over 15 ha and is managed by 74 producers, including 17 women. It is supplied by a reservoir dam rehabilitated in 2011 with a capacity of 7 235 00 m3. In recent years, the perimeter faced a problem of water shortage and dysfunctional of the irrigation network, resulting in a drop in agricultural yields.. Following these observations, a diagnosis of the perimeter and the water resource was carried out in order to provide sustainable solutions to the current concerns. From this study it emerged that the main limits are at two levels. On the one hand, the quantity of water available in the dam reservoir is unable to cover two agricultural seasons in a year. On the other hand, it appears that almost all the structures in the perimeter are in a defective state, whereas the internal irrigation network is no longer optimally calibrated at certain locations. In addition to these limits, there is indiscipline within the perimeter marked by non-compliance with the cropping calendar, technical itineraries and the payment of water charges. This situation has an impact on yields because only 20% of producers manage to obtain the expected yields (5 to 6 t/ha) from the FKR19 variety produced on the perimeter.
In view of the results of the diagnosis, suitable solutions have been proposed to improve the performance. This includes raising the weir crest, which will allow a gain of 53%. Also, a technical restructuring followed by an extension of the perimeter will bring the new water plane to a surface of 20 ha. This new perimeter design will be accompanied by a management plan that will maintain good yields and ensure the sustainability of the development. The cost of this rehabilitation and extension is estimated at 86 833 305 CFA francs.Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Analyse diagnostique, proposition de réhabilitation et extension de périmètre irrigue et de la ressource en eau associée : cas de Bilanga dans la province de la Gnagna (Burkina Faso) [texte imprimé] / Tatiana Farida LAMODY . - 2019 . - 81 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Le périmètre de Bilanga situé à l’aval du barrage de Bilanga a été construit en 1978 et réhabilité en 2010 par le Projet d’Appui au Développement Rural décentralisé dans les provinces de la Gnagna et du Kouritenga (PADER/GGK). Ce périmètre sous système d’irrigation gravitaire s’étend sur 15 ha exploité par 74 producteurs, dont 17 femmes. Il est alimenté par le barrage de Bilanga réhabilité en 2011 dont la capacité est de 723 500 m3. Ces dernières années le périmètre est confronté à un problème d’insuffisance d’eau et de dysfonctionnement du réseau d’irrigation d’où la baisse du rendement agricole. Or l’essentiel des revenus, même maigre, des producteurs provient de cette activité. Suite à ces constats, une étude diagnostique des ouvrages du périmètre et de la ressource a été menée en vue d’apporter des solutions durables aux préoccupations actuelles de l’aménagement. De cette étude, il est ressorti que les principales limites se situent à deux niveaux. D’une part la quantité d’eau disponible dans le barrage est dans l’incapacité d’assurer les deux campagnes agricoles de l’année. D’autre part il ressort que la quasi-totalité des ouvrages du périmètre se trouve dans un état défectueux avec un calage du réseau interne d’irrigation non optimal. À ces limites s’ajoute l’indiscipline caractérisée au sein du périmètre marqué par le non-respect du calendrier cultural, des itinéraires techniques et du paiement des redevances en eau. Cette situation se ressent sur les rendements, car seulement 20 % des producteurs arrivent à obtenir les rendements escomptés (5 à 6t/ha) par la variété FKR19 produite sur le périmètre.
Au vu des résultats du diagnostic, des solutions adaptées ont été proposées afin d’améliorer les performances de l’aménagement. Il s’agit, entre autres, du rehaussement du déversoir d’une revanche de 60 cm qui permettra un gain de volume de 52 %. Aussi une restructuration technique suivie d’une extension du périmètre portera la nouvelle superficie à 20 ha. Cette nouvelle conception du périmètre sera assortie d’un plan de gestion qui permettra de maintenir de bons rendements et de péréniser les ouvrages de l’aménagement. Le coût cette réhabilitation et extension est estimé à 86 833 305 F CFA.
Abstract : The Bilanga perimeter downstream the Bilanga dam was built in 1978 and rehabilitated in 2010 by the Decentralised Rural Development Support Project in the provinces of Gnagna and Kourittenga (PADER/GGK). This perimeter is fed under gravity irrigation systems and extends over 15 ha and is managed by 74 producers, including 17 women. It is supplied by a reservoir dam rehabilitated in 2011 with a capacity of 7 235 00 m3. In recent years, the perimeter faced a problem of water shortage and dysfunctional of the irrigation network, resulting in a drop in agricultural yields.. Following these observations, a diagnosis of the perimeter and the water resource was carried out in order to provide sustainable solutions to the current concerns. From this study it emerged that the main limits are at two levels. On the one hand, the quantity of water available in the dam reservoir is unable to cover two agricultural seasons in a year. On the other hand, it appears that almost all the structures in the perimeter are in a defective state, whereas the internal irrigation network is no longer optimally calibrated at certain locations. In addition to these limits, there is indiscipline within the perimeter marked by non-compliance with the cropping calendar, technical itineraries and the payment of water charges. This situation has an impact on yields because only 20% of producers manage to obtain the expected yields (5 to 6 t/ha) from the FKR19 variety produced on the perimeter.
In view of the results of the diagnosis, suitable solutions have been proposed to improve the performance. This includes raising the weir crest, which will allow a gain of 53%. Also, a technical restructuring followed by an extension of the perimeter will bring the new water plane to a surface of 20 ha. This new perimeter design will be accompanied by a management plan that will maintain good yields and ensure the sustainability of the development. The cost of this rehabilitation and extension is estimated at 86 833 305 CFA francs.Exemplaires
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FaridaAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude d’avant-projet détaillé pour la réalisation d’une adduction d’eau potable simplifiée à Dioungodio ; dans la commune de Titabé - région du sahel-Burkina –Faso. / Gérard TIENDREBEOGO
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Etude d’avant-projet détaillé pour la réalisation d’une adduction d’eau potable simplifiée à Dioungodio ; dans la commune de Titabé - région du sahel-Burkina –Faso. Type de document : texte imprimé Auteurs : Gérard TIENDREBEOGO Année de publication : 2019 Importance : 104 p. Langues : Français (fre) Résumé : L’AEPS de DIOUNGODIO, localité située dans la commune de Titabé dans la région du sahel dont l’étude APD fait l’objet du présent rapport desservira une population de 7592 personnes contre une population totale de 9490 personnes en 2039. La demande journalière estimée est de 167,5m3. Ce qui correspond à une demande de jour de pointe de 211m3. À court terme le nombre de point de desserte est de 8 Bornes Fontaines (BF) et passera à 13 en 2039 avec un nombre maximum de Branchements Particuliers 169. Pour satisfaire ces besoins à l’échéance du projet il faut mobiliser un débit horaire de 12m3/h d’eau souterraine pendant une durée maximale de pompage de18 heures par jour. Ces volumes mobilisés seront refoulés au niveau d’un réservoir métallique surélevé de 12m ayant une capacité de 30m3. Au regard des potentialités hydrogéologiques limités de la zone il faudra rechercher un forage supplémentaire de 5m3/h pour couvrir la totalité de la demande en eau en plus du forage de 7m3/h existant. Comme le projet s’inscrit dans un programme d’urgence il faudra mettre en œuvre dans les meilleurs délais la première phase. Le réseau de distribution est composé de conduites en PVC de diamètre extérieur allant de 63mm à 160mm de pression nominale de 10 bars totalisant un linéaire global de 12 679mL. Quant au réseau de refoulement il est fait de conduites PVC DE 90 PN16 de longueur estimée à 10 190 m. La pression minimale de 0,5 bar est vérifiée en tous les nœuds du réseau. La HMT est estimée à 74,4m. La source d’énergie dans le présent projet est composée 24 modules solaires de 250Wc et d’un groupe électrogène de 10kVA. Le coût global du projet est de 242 652 722 FCFA. Du point de vue faisabilité sociale la population adhère au projet et est disposée à payer le service de l’eau. Le tarif de 500F/m3 est proposé pour la vente de l’eau de la future AEPS de DIOUNGODIO.
Abstract : The AEPS of DIOUNGODIO, located at Titabé in the Sahel region which the BDP study is the subject of the present report will serve a population of 7592 people against a total population of 9490 people in 2039. The estimated daily demand is 167 m3.That correspond to a demand on the peak day of 211m3. Short term point of service number is 8 hydrants (BF) and will increase to 13 in 2039 with a maximum number of individual’s connections to 169. To meet these needs at the end of the project; must be mobilized an hourly flow’s of 12m3/h of underground water for a pumping period of 18hours a day. These mobilized volumes will be sent to the level metal raised 12 m tank having a capacity of 30 m 3. The distribution pipes are made up of PVC outside diameter going from 63mm to 160mm with a rated pressure of 10bars.The global linear of pipes is 12 679 m. As for the transport pipes are they in PVC 90 PN 16 length estimated at 10 190 m for two wells. The minimum pressure of 0.5bar is verified in all nodes of the network. The Total Dynamic Head is estimated at 74.4 m. The energy for the system is composed by 24 solar plates and a thermic group of 10kVA. The overall cost of the project is estimated at 242 652 722 CFAF. From the point of view social feasibility populations adhere to the project and are willing to pay for the service of the water. Pricing estimated for this purpose the price of 500F/m3 rate is proposed for water selling of DIOUNGODIO’s next AEPS.Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude d’avant-projet détaillé pour la réalisation d’une adduction d’eau potable simplifiée à Dioungodio ; dans la commune de Titabé - région du sahel-Burkina –Faso. [texte imprimé] / Gérard TIENDREBEOGO . - 2019 . - 104 p.
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Résumé : L’AEPS de DIOUNGODIO, localité située dans la commune de Titabé dans la région du sahel dont l’étude APD fait l’objet du présent rapport desservira une population de 7592 personnes contre une population totale de 9490 personnes en 2039. La demande journalière estimée est de 167,5m3. Ce qui correspond à une demande de jour de pointe de 211m3. À court terme le nombre de point de desserte est de 8 Bornes Fontaines (BF) et passera à 13 en 2039 avec un nombre maximum de Branchements Particuliers 169. Pour satisfaire ces besoins à l’échéance du projet il faut mobiliser un débit horaire de 12m3/h d’eau souterraine pendant une durée maximale de pompage de18 heures par jour. Ces volumes mobilisés seront refoulés au niveau d’un réservoir métallique surélevé de 12m ayant une capacité de 30m3. Au regard des potentialités hydrogéologiques limités de la zone il faudra rechercher un forage supplémentaire de 5m3/h pour couvrir la totalité de la demande en eau en plus du forage de 7m3/h existant. Comme le projet s’inscrit dans un programme d’urgence il faudra mettre en œuvre dans les meilleurs délais la première phase. Le réseau de distribution est composé de conduites en PVC de diamètre extérieur allant de 63mm à 160mm de pression nominale de 10 bars totalisant un linéaire global de 12 679mL. Quant au réseau de refoulement il est fait de conduites PVC DE 90 PN16 de longueur estimée à 10 190 m. La pression minimale de 0,5 bar est vérifiée en tous les nœuds du réseau. La HMT est estimée à 74,4m. La source d’énergie dans le présent projet est composée 24 modules solaires de 250Wc et d’un groupe électrogène de 10kVA. Le coût global du projet est de 242 652 722 FCFA. Du point de vue faisabilité sociale la population adhère au projet et est disposée à payer le service de l’eau. Le tarif de 500F/m3 est proposé pour la vente de l’eau de la future AEPS de DIOUNGODIO.
Abstract : The AEPS of DIOUNGODIO, located at Titabé in the Sahel region which the BDP study is the subject of the present report will serve a population of 7592 people against a total population of 9490 people in 2039. The estimated daily demand is 167 m3.That correspond to a demand on the peak day of 211m3. Short term point of service number is 8 hydrants (BF) and will increase to 13 in 2039 with a maximum number of individual’s connections to 169. To meet these needs at the end of the project; must be mobilized an hourly flow’s of 12m3/h of underground water for a pumping period of 18hours a day. These mobilized volumes will be sent to the level metal raised 12 m tank having a capacity of 30 m 3. The distribution pipes are made up of PVC outside diameter going from 63mm to 160mm with a rated pressure of 10bars.The global linear of pipes is 12 679 m. As for the transport pipes are they in PVC 90 PN 16 length estimated at 10 190 m for two wells. The minimum pressure of 0.5bar is verified in all nodes of the network. The Total Dynamic Head is estimated at 74.4 m. The energy for the system is composed by 24 solar plates and a thermic group of 10kVA. The overall cost of the project is estimated at 242 652 722 CFAF. From the point of view social feasibility populations adhere to the project and are willing to pay for the service of the water. Pricing estimated for this purpose the price of 500F/m3 rate is proposed for water selling of DIOUNGODIO’s next AEPS.Exemplaires
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GérardAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etudes techniques de la structure en charpente métallique et mixte d’une usine de fabrication de produits alimentaires à Saonré (Burkina Faso). / Aboubacar TIENORE
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Etudes techniques de la structure en charpente métallique et mixte d’une usine de fabrication de produits alimentaires à Saonré (Burkina Faso). Type de document : texte imprimé Auteurs : Aboubacar TIENORE Année de publication : 2019 Importance : 190 p. Langues : Français (fre) Résumé : Dans le cadre de sa politique d’accompagnement de l’Etat burkinabé dans le développement, la Société Industrielle Burkinabé des Aliments (SIBA) envisage de construire une usine de transformation d’aliments en charpente métallique (et mixte) pour sa production.
Ce présent document intitulé « Etudes techniques d’une usine de fabrication de produits alimentaires en charpente métallique et mixte » porte sur la conception et le dimensionnement de la structure de l’usine.
Le bâtiment est constitué de huit bureaux, de toilette, d’une salle de machine, une zone de lavage, une salle de stockage de produit fini, une salle de stockage de matières premières.
La toiture et le bardage sont en panneaux sandwich d’épaisseur 70 mm respectivement en polyuréthane et en laine de roche.
Les poteaux et poutres qui composent la structure sont en Profilés Reconstitués Soudés (PRS) avec une nuance d’acier S235. Tous ont en commun une même largeur de semelle (bf) afin de faciliter les assemblages. Les assemblages majeurs de la structure sont du type boulonné avec des boulons de haute résistance (HR) et une moyenne de 8 boulons par assemblage.
Les pieds de poteaux sont constitués de six (06) tiges d’ancrages de diamètre 24 mm et de classe 8.8 avec une platine d’épaisseur 20 mm ; le tout repose sur deux types de potelets en béton armé (C25/30) d’une hauteur moyenne de 1 m avec des sections de (60x55) cm et (70x55) cm constituées d’armature HA16, HA14 et HA12 ;
Les semelles isolées sont de dimensions (1,8x1,8x0,4) m et (2,5x1,8x0,55) m et constituées d’armature HA10 et HA12.
Le coût de la réalisation a été estimé à quatre cent soixante-deux millions neuf cent trente-huit mille sept cent quinze franc CFA (462 938 715 F CFA) TTC.
Abstract : As part of its policy of accompanying the State of Burkina Faso in development, the Burkinabé Industrial Food Company (SIBA) plans to build a food processing plant in metal frame (and mixed) for its production.
This document, titled "Technical Studies of a Steel and Mixed Structure of manufacturing plant for production of food", addresses the design and sizing of the plant structure.
The building consists of eight offices, a toilet, a machine room, a washing area, a finished product storage room, a storage room for raw materials.
The roof and cladding are sandwich panels 70 mm thick respectively polyurethane and rock wool.
The columns and beams that make up the structure are in Welded Reconstituted Profiles (PRS) with a grade of S235 steel. All have the same width of sole (bf) in order to facilitate assemblies. Major structural assemblies are bolted type with high strength bolts (HR) and an average of 8 bolts per assembly.
The feet of posts consist of six (06) anchor rods of diameter 24 mm and class 8.8 with a plate thickness of 20 mm; the whole is based on two types of reinforced concrete posts (C25 / 30) with an average height of 1 m with sections of (60x55) cm and (70x55) cm made of reinforcement HA16, HA12 and HA12;
The insulated soles are of dimensions (1,8x1,8x0,4) m and (2,5x1,8x0,55) m and constituted of armature HA10 and HA12.
The cost of the project has been estimated at four hundred and sixty-two million nine hundred and thirty-eight thousand seven hundred and fifteen CFA francs (462,938,715 CFA francs).Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etudes techniques de la structure en charpente métallique et mixte d’une usine de fabrication de produits alimentaires à Saonré (Burkina Faso). [texte imprimé] / Aboubacar TIENORE . - 2019 . - 190 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Dans le cadre de sa politique d’accompagnement de l’Etat burkinabé dans le développement, la Société Industrielle Burkinabé des Aliments (SIBA) envisage de construire une usine de transformation d’aliments en charpente métallique (et mixte) pour sa production.
Ce présent document intitulé « Etudes techniques d’une usine de fabrication de produits alimentaires en charpente métallique et mixte » porte sur la conception et le dimensionnement de la structure de l’usine.
Le bâtiment est constitué de huit bureaux, de toilette, d’une salle de machine, une zone de lavage, une salle de stockage de produit fini, une salle de stockage de matières premières.
La toiture et le bardage sont en panneaux sandwich d’épaisseur 70 mm respectivement en polyuréthane et en laine de roche.
Les poteaux et poutres qui composent la structure sont en Profilés Reconstitués Soudés (PRS) avec une nuance d’acier S235. Tous ont en commun une même largeur de semelle (bf) afin de faciliter les assemblages. Les assemblages majeurs de la structure sont du type boulonné avec des boulons de haute résistance (HR) et une moyenne de 8 boulons par assemblage.
Les pieds de poteaux sont constitués de six (06) tiges d’ancrages de diamètre 24 mm et de classe 8.8 avec une platine d’épaisseur 20 mm ; le tout repose sur deux types de potelets en béton armé (C25/30) d’une hauteur moyenne de 1 m avec des sections de (60x55) cm et (70x55) cm constituées d’armature HA16, HA14 et HA12 ;
Les semelles isolées sont de dimensions (1,8x1,8x0,4) m et (2,5x1,8x0,55) m et constituées d’armature HA10 et HA12.
Le coût de la réalisation a été estimé à quatre cent soixante-deux millions neuf cent trente-huit mille sept cent quinze franc CFA (462 938 715 F CFA) TTC.
Abstract : As part of its policy of accompanying the State of Burkina Faso in development, the Burkinabé Industrial Food Company (SIBA) plans to build a food processing plant in metal frame (and mixed) for its production.
This document, titled "Technical Studies of a Steel and Mixed Structure of manufacturing plant for production of food", addresses the design and sizing of the plant structure.
The building consists of eight offices, a toilet, a machine room, a washing area, a finished product storage room, a storage room for raw materials.
The roof and cladding are sandwich panels 70 mm thick respectively polyurethane and rock wool.
The columns and beams that make up the structure are in Welded Reconstituted Profiles (PRS) with a grade of S235 steel. All have the same width of sole (bf) in order to facilitate assemblies. Major structural assemblies are bolted type with high strength bolts (HR) and an average of 8 bolts per assembly.
The feet of posts consist of six (06) anchor rods of diameter 24 mm and class 8.8 with a plate thickness of 20 mm; the whole is based on two types of reinforced concrete posts (C25 / 30) with an average height of 1 m with sections of (60x55) cm and (70x55) cm made of reinforcement HA16, HA12 and HA12;
The insulated soles are of dimensions (1,8x1,8x0,4) m and (2,5x1,8x0,55) m and constituted of armature HA10 and HA12.
The cost of the project has been estimated at four hundred and sixty-two million nine hundred and thirty-eight thousand seven hundred and fifteen CFA francs (462,938,715 CFA francs).Exemplaires
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TienoreAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Optimisation énergétique en industrie / Ayi AYAYI
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Optimisation énergétique en industrie : cas des gisements d’économies potentielles de la nouvelle industrie des oléagineux du Togo (Nioto) Type de document : texte imprimé Auteurs : Ayi AYAYI Année de publication : 2020 Importance : 83 p. Langues : Français (fre) Résumé : NIOTO, un des plus grands spécialistes dans le traitement des oléagineux au Togo se noie peu à peu dans les coûts exorbitants à consentir dans les besoins énergétiques. Pour réduire ces dépenses, NIOTO a adopté plusieurs approches dont l’optimisation de la consommation d’énergie liée aux dits procédés. Ce mémoire présente l’analyse de la consommation électrique, l’étude des composantes énergivores du système de production et trois différents scénarios d’optimisation de la consommation en énergie.
Un premier vise à améliorer la perception du personnel sur la question d’économie d’énergie ainsi que le suivi des équipements. Ceci permettra de réduire de 5% les charges énergétiques soient 1 622,85 tonnes de combustible et 189,55 MWh électriques économisables.
Un second scénario s’oriente vers l’amélioration du réseau de distribution de vapeur. Il va permettre de consommer 11 839,53 tonnes de combustible en moins soit 5 138,13 tonnes équivalent pétrole d’énergie primaire économisées et une réduction de l’émission de CO2 de 19 949,6 tonnes.
Le dernier scénario consiste à réviser la consommation électrique et donc la consommation des moteurs électriques intégrés au process. Ce qui va occasionner une diminution de la puissance appelée équivalent à une économie annuelle de 7 500 000 F CFA sur la facture d’électricité.
Abstract : NIOTO (Nouvelle Industrie des Oléagineux du Togo) one of the biggest specialists in the treatment of oilseeds in Togo is gradually drowning in the face of exorbitant costs to be agreed in the energy needs. To reduce these expenses, NIOTO has adopted several approaches, thus optimizing the energy consumption linked to these processes. This thesis presents the analysis of electricity consumption, the study of the energy-consumption components of the production system and three different scenarios for optimizing energy consumption.
A first scenario aims to improve the staff’s perception of the issue of energy saving and the monitoring of equipment. This will reduce energy costs by 5%, or 1,622.85 tons of fuel and 186.55 MWh of electrical energy that can be saved.
A second scenario is aimed at improving the steam distribution network. It will make it possible to consume 11,839.53 tons of fuel and 5,138.13 tons of oil equivalent of primary energy saved.
The last scenario consists in overhauling the electric motors integrated into the process. This will cause a decrease in power demand equivalent to an annual saving of 7,500,000 CFA francs on the electricity bill.Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Optimisation énergétique en industrie : cas des gisements d’économies potentielles de la nouvelle industrie des oléagineux du Togo (Nioto) [texte imprimé] / Ayi AYAYI . - 2020 . - 83 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : NIOTO, un des plus grands spécialistes dans le traitement des oléagineux au Togo se noie peu à peu dans les coûts exorbitants à consentir dans les besoins énergétiques. Pour réduire ces dépenses, NIOTO a adopté plusieurs approches dont l’optimisation de la consommation d’énergie liée aux dits procédés. Ce mémoire présente l’analyse de la consommation électrique, l’étude des composantes énergivores du système de production et trois différents scénarios d’optimisation de la consommation en énergie.
Un premier vise à améliorer la perception du personnel sur la question d’économie d’énergie ainsi que le suivi des équipements. Ceci permettra de réduire de 5% les charges énergétiques soient 1 622,85 tonnes de combustible et 189,55 MWh électriques économisables.
Un second scénario s’oriente vers l’amélioration du réseau de distribution de vapeur. Il va permettre de consommer 11 839,53 tonnes de combustible en moins soit 5 138,13 tonnes équivalent pétrole d’énergie primaire économisées et une réduction de l’émission de CO2 de 19 949,6 tonnes.
Le dernier scénario consiste à réviser la consommation électrique et donc la consommation des moteurs électriques intégrés au process. Ce qui va occasionner une diminution de la puissance appelée équivalent à une économie annuelle de 7 500 000 F CFA sur la facture d’électricité.
Abstract : NIOTO (Nouvelle Industrie des Oléagineux du Togo) one of the biggest specialists in the treatment of oilseeds in Togo is gradually drowning in the face of exorbitant costs to be agreed in the energy needs. To reduce these expenses, NIOTO has adopted several approaches, thus optimizing the energy consumption linked to these processes. This thesis presents the analysis of electricity consumption, the study of the energy-consumption components of the production system and three different scenarios for optimizing energy consumption.
A first scenario aims to improve the staff’s perception of the issue of energy saving and the monitoring of equipment. This will reduce energy costs by 5%, or 1,622.85 tons of fuel and 186.55 MWh of electrical energy that can be saved.
A second scenario is aimed at improving the steam distribution network. It will make it possible to consume 11,839.53 tons of fuel and 5,138.13 tons of oil equivalent of primary energy saved.
The last scenario consists in overhauling the electric motors integrated into the process. This will cause a decrease in power demand equivalent to an annual saving of 7,500,000 CFA francs on the electricity bill.Exemplaires
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AyiAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Contribution à la Caractérisation hydrologique du bassin versant du Massili à Gonsé au Burkina Faso à travers une approche multimodèle pluie débit (HEC-HMS, GR4J) / Steve Isaï BATIENON
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Contribution à la Caractérisation hydrologique du bassin versant du Massili à Gonsé au Burkina Faso à travers une approche multimodèle pluie débit (HEC-HMS, GR4J) Type de document : texte imprimé Auteurs : Steve Isaï BATIENON Année de publication : 2020 Importance : 77 p. Langues : Français (fre) Résumé : D’une superficie d’environ 2640 km² le bassin versant du Massili à Gonsé est une zone à forte croissance des villes (Ouagadougou et Ziniaré) et de développement des activités. Ce bassin devient alors de plus en plus imperméable ce qui conduit à l’augmentation et l’accélération des écoulements. Dans l’optique d’éviter les catastrophes liées à l’eau, la gestion des ressources en eau s’avère nécessaire. D’où la nécessité de développer un outil de gestion des ressources en eau adapté au bassin versant qui permet d’estimer raisonnablement les débits à l’exutoire. Pour bien comprendre le fonctionnement hydrologique du bassin selon la représentation spatiale, nous avons étudié dans le présent rapport le modèle global GR4J et le modèle semi-distribué HEC-HMS. Il ressort de cette étude que HEC- HMS est plus adapté au bassin versant du Massili à Gonsé et il simule bien les écoulements dans les conditions climatiques différentes (périodes sèche et humide). Les critères de Nash pour le calage et la validation de ce modèle sont respectivement 0,717 et 0,631. Quant au modèle GR4J, la simulation est moyenne avec des critères de Nash pour le calage et la validation qui sont respectivement 0,52 et 0,42. Les crues sont reproduites tardivement et il a du mal à toutes les reproduire.
Abstract : Covering an area of about 2640 km², the Massili à Gonsé watershed is an area of strong growth of cities (Ouagadougou and Ziniaré) and development of activities. This basin becomes more and more impermeable, which leads to increased and accelerated runoff. In order to avoid water-related disasters, water resource management is necessary. Hence the need to develop a water resource management tool adapted to the catchment area that allows a reasonable estimate of flows at the outlet. In order to fully understand the hydrological functioning of the basin according to the spatial representation, we have studied in this report the global model GR4J and the semi-distributed model HEC-HMS. It appears from this study that HEC-HMS is better adapted to the Massili à Gonsé watershed and it simulates flows under different climatic conditions (dry and wet periods). The Nash criteria for the calibration and validation of this model are respectively 0.717 and 0.631. As for the GR4J model, the simulation is average with Nash criteria for calibration and validation which are respectively 0.52 and 0.42. Floods are reproduced late and it has difficulty in reproducing all of them.Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Contribution à la Caractérisation hydrologique du bassin versant du Massili à Gonsé au Burkina Faso à travers une approche multimodèle pluie débit (HEC-HMS, GR4J) [texte imprimé] / Steve Isaï BATIENON . - 2020 . - 77 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : D’une superficie d’environ 2640 km² le bassin versant du Massili à Gonsé est une zone à forte croissance des villes (Ouagadougou et Ziniaré) et de développement des activités. Ce bassin devient alors de plus en plus imperméable ce qui conduit à l’augmentation et l’accélération des écoulements. Dans l’optique d’éviter les catastrophes liées à l’eau, la gestion des ressources en eau s’avère nécessaire. D’où la nécessité de développer un outil de gestion des ressources en eau adapté au bassin versant qui permet d’estimer raisonnablement les débits à l’exutoire. Pour bien comprendre le fonctionnement hydrologique du bassin selon la représentation spatiale, nous avons étudié dans le présent rapport le modèle global GR4J et le modèle semi-distribué HEC-HMS. Il ressort de cette étude que HEC- HMS est plus adapté au bassin versant du Massili à Gonsé et il simule bien les écoulements dans les conditions climatiques différentes (périodes sèche et humide). Les critères de Nash pour le calage et la validation de ce modèle sont respectivement 0,717 et 0,631. Quant au modèle GR4J, la simulation est moyenne avec des critères de Nash pour le calage et la validation qui sont respectivement 0,52 et 0,42. Les crues sont reproduites tardivement et il a du mal à toutes les reproduire.
Abstract : Covering an area of about 2640 km², the Massili à Gonsé watershed is an area of strong growth of cities (Ouagadougou and Ziniaré) and development of activities. This basin becomes more and more impermeable, which leads to increased and accelerated runoff. In order to avoid water-related disasters, water resource management is necessary. Hence the need to develop a water resource management tool adapted to the catchment area that allows a reasonable estimate of flows at the outlet. In order to fully understand the hydrological functioning of the basin according to the spatial representation, we have studied in this report the global model GR4J and the semi-distributed model HEC-HMS. It appears from this study that HEC-HMS is better adapted to the Massili à Gonsé watershed and it simulates flows under different climatic conditions (dry and wet periods). The Nash criteria for the calibration and validation of this model are respectively 0.717 and 0.631. As for the GR4J model, the simulation is average with Nash criteria for calibration and validation which are respectively 0.52 and 0.42. Floods are reproduced late and it has difficulty in reproducing all of them.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
SteveAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude d’avant-projet détaillé de fermes piscicoles et maraichères sous pompage photovoltaïque dans les localités de Moussodougou et de Tiéfora / Clotilde BAZIE
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Etude d’avant-projet détaillé de fermes piscicoles et maraichères sous pompage photovoltaïque dans les localités de Moussodougou et de Tiéfora Type de document : texte imprimé Auteurs : Clotilde BAZIE Année de publication : 2020 Importance : 128 p. Langues : Français (fre) Résumé : Ce stage découle de l’engagement de l’association ASMA à accompagner les projets communautaires des populations en milieu rural pour accroître la production agricole, renforcer la sécurité alimentaire et leur permettre un exercice durable d’une activité génératrice de revenus en saison sèche. Il concernait donc les études techniques et de rentabilité pour l’aménagement de fermes agro-piscicoles sous pompage photovoltaïque au profit des groupements DJINKAFO et CISSE-NAFA-KATCHA de Moussodougou et Tiéfora dans la région des Cascades sur des sites de 0,9 et 1,8 ha. Les terrains sont relativement plats avec des pentes descendantes et des sols riches en limon, donc adaptés à l’agriculture et à la pisciculture. A l’issue des échanges, DJINKAFO a opté pour les oignons et les tilapias et CISSE-NAFA-KATCHA pour les oignons et les silures. La source d’eau étant un forage de 5 m3/h, nous avons opté pour la micro aspersion et l’analyse des besoins en eau a dégagé des volumes de 3 631,46 et 8 170,78 m3 respectivement pour Moussodougou et Tiéfora. Huit (08) bassins de grossissement de poissons sont prévus sur chaque site car le mode de production retenu est intensif, et des moines de 0,7*0,7 m2 avec 15 cm d’épaisseur en assurent le remplissage, la vidange et la régulation du niveau d’eau. Respectivement pour les sites de Moussodougou et Tiéfora, les venturis choisis sont de dimensions 40 mm et 25 mm ; la source d’énergie est fournie par des systèmes hybrides de 64 panneaux solaires et 4 batteries et de 121 panneaux solaires et 18 batteries. Les coûts globaux sont respectivement de 19 441 971 et 28 956 646 FCFA et les revenus nets de 13 643 593 et 19 779 109 FCFA. La durée de retour sur investissement est de 2 an 2 mois pour le site de Tiéfora et de 12 mois pour celui de Moussodougou.
Abstract : This internship originates from ASMA association’s commitment to support community projects for people in rural areas to increase agricultural production, strengthen food security and enable them to carry out a sustainable income-generating activity during the dry season. It thus concerned technical and profitability studies for the development of agro-fishing farms under solar pumping for the benefit of the DJINKAFO and CISSE-NAFA-KATCHA groups of Moussodougou and Tiéfora in the Cascades Region on sites of 0.9 and 1.8 ha. The land is relatively flat with downward slopes with loamy soil types, thus suitable for agriculture and fish farming. At the end of the exchanges, DJINKAFO opted for onions and tilapias and CISSE-NAFA-KATCHA for onions and catfish. As the water source is a borehole of 5 m3/h, we opted for micro sprinkling and the analysis of the water needs revealed volumes of 3631.46 and 8170.78 m3 respectively for Moussodougou and Tiéfora. Eight (08) growth basins are planned on each site because the production method chosen is intensive, and monks of 0.7x0.7 m2 with a thickness of 15 cm ensure the filling, emptying and regulation of the water level. Respectively for the sites of Moussodougou and Tiéfora, the chosen venturis are 40 mm and 25 mm in size; the energy source is provided by hybrid systems of 64 solar panels and 4 batteries and 121 solar panels and 18 batteries. The overall costs are respectively 19,441,971 and 28,956,646 CFA Francs and the net revenues are 13,643,593 and 19,779,109 CFA Francs. The period of return on investment is 2 year 1 months for the Tiéfora site and 12 months for the Moussodougou site.Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude d’avant-projet détaillé de fermes piscicoles et maraichères sous pompage photovoltaïque dans les localités de Moussodougou et de Tiéfora [texte imprimé] / Clotilde BAZIE . - 2020 . - 128 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Ce stage découle de l’engagement de l’association ASMA à accompagner les projets communautaires des populations en milieu rural pour accroître la production agricole, renforcer la sécurité alimentaire et leur permettre un exercice durable d’une activité génératrice de revenus en saison sèche. Il concernait donc les études techniques et de rentabilité pour l’aménagement de fermes agro-piscicoles sous pompage photovoltaïque au profit des groupements DJINKAFO et CISSE-NAFA-KATCHA de Moussodougou et Tiéfora dans la région des Cascades sur des sites de 0,9 et 1,8 ha. Les terrains sont relativement plats avec des pentes descendantes et des sols riches en limon, donc adaptés à l’agriculture et à la pisciculture. A l’issue des échanges, DJINKAFO a opté pour les oignons et les tilapias et CISSE-NAFA-KATCHA pour les oignons et les silures. La source d’eau étant un forage de 5 m3/h, nous avons opté pour la micro aspersion et l’analyse des besoins en eau a dégagé des volumes de 3 631,46 et 8 170,78 m3 respectivement pour Moussodougou et Tiéfora. Huit (08) bassins de grossissement de poissons sont prévus sur chaque site car le mode de production retenu est intensif, et des moines de 0,7*0,7 m2 avec 15 cm d’épaisseur en assurent le remplissage, la vidange et la régulation du niveau d’eau. Respectivement pour les sites de Moussodougou et Tiéfora, les venturis choisis sont de dimensions 40 mm et 25 mm ; la source d’énergie est fournie par des systèmes hybrides de 64 panneaux solaires et 4 batteries et de 121 panneaux solaires et 18 batteries. Les coûts globaux sont respectivement de 19 441 971 et 28 956 646 FCFA et les revenus nets de 13 643 593 et 19 779 109 FCFA. La durée de retour sur investissement est de 2 an 2 mois pour le site de Tiéfora et de 12 mois pour celui de Moussodougou.
Abstract : This internship originates from ASMA association’s commitment to support community projects for people in rural areas to increase agricultural production, strengthen food security and enable them to carry out a sustainable income-generating activity during the dry season. It thus concerned technical and profitability studies for the development of agro-fishing farms under solar pumping for the benefit of the DJINKAFO and CISSE-NAFA-KATCHA groups of Moussodougou and Tiéfora in the Cascades Region on sites of 0.9 and 1.8 ha. The land is relatively flat with downward slopes with loamy soil types, thus suitable for agriculture and fish farming. At the end of the exchanges, DJINKAFO opted for onions and tilapias and CISSE-NAFA-KATCHA for onions and catfish. As the water source is a borehole of 5 m3/h, we opted for micro sprinkling and the analysis of the water needs revealed volumes of 3631.46 and 8170.78 m3 respectively for Moussodougou and Tiéfora. Eight (08) growth basins are planned on each site because the production method chosen is intensive, and monks of 0.7x0.7 m2 with a thickness of 15 cm ensure the filling, emptying and regulation of the water level. Respectively for the sites of Moussodougou and Tiéfora, the chosen venturis are 40 mm and 25 mm in size; the energy source is provided by hybrid systems of 64 solar panels and 4 batteries and 121 solar panels and 18 batteries. The overall costs are respectively 19,441,971 and 28,956,646 CFA Francs and the net revenues are 13,643,593 and 19,779,109 CFA Francs. The period of return on investment is 2 year 1 months for the Tiéfora site and 12 months for the Moussodougou site.Exemplaires
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