Titre de série :	L'Agronomie Tropicale
Titre :	"Contrôle avec l'humidimètre a neutrons de l'alimentation hydrique d'une culture de mil ""SOUNA"" pendant deux hivernages très différents"
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Dancette, C.
Année de publication :	Juin-juillet 1971
ISBN/ISSN/EAN :	CI-08966
Note générale :	Pendant deux saisons humides à régime pluviométrique très différent, l'auteur a pu situer l'humidité du sol par rapport au niveau de la capacité de rétention. Il était alors possible d'avoir une idée sur la qualité de l'alimentation hydrique du mil souna. La consommation en eau (ETR) de cette plante a peu varié d'une année à l'autre pour une même longueur de cycle, la pluviométrie plus importante de 1969 ayant surtout favorisé la production de faille. Compte tenu des pertes diverses que la pluviométrie optimum pour cette plante dans la zone considérée serait de l'ordre de 420 mm. A partir d'un schéma simple, l'auteur a pu en outre avoir une idée de la rpofondeur à laquelle les racines de mil souna étaient efficaces. Enfin, une comparaison avec la consommation en eau d'une jachère montre que malgré une plus grande production de matière sèche l'efficience de l'eau est moins bonne pour la jachère que pour le mil.
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Alimentation en eau  Culture vivrière  Sol  Evapotranspiration  Pluviométrie  Besoin en eau des plantes  Mil  Saison des pluies  Bilan hydrique
Index. décimale :	644.6 Alimentation en eau
Résumé :	Pendant deux saisons humides à régime pluviométrique très différent, l'auteur a pu situer l'humidité du sol par rapport au niveau de la capacité de rétention. Il était alors possible d'avoir une idée sur la qualité de l'alimentation hydrique du mil souna. La consommation en eau (ETR) de cette plante a peu varié d'une année à l'autre pour une même longueur de cycle, la pluviométrie plus importante de 1969 ayant surtout favorisé la production de faille. Compte tenu des pertes diverses que la pluviométrie optimum pour cette plante dans la zone considérée serait de l'ordre de 420 mm. A partir d'un schéma simple, l'auteur a pu en outre avoir une idée de la rpofondeur à laquelle les racines de mil souna étaient efficaces. Enfin, une comparaison avec la consommation en eau d'une jachère montre que malgré une plus grande production de matière sèche l'efficience de l'eau est moins bonne pour la jachère que pour le mil.
Note de contenu :	Pendant deux saisons humides à régime pluviométrique très différent, l'auteur a pu situer l'humidité du sol par rapport au niveau de la capacité de rétention. Il était alors possible d'avoir une idée sur la qualité de l'alimentation hydrique du mil souna. La consommation en eau (ETR) de cette plante a peu varié d'une année à l'autre pour une même longueur de cycle, la pluviométrie plus importante de 1969 ayant surtout favorisé la production de faille. Compte tenu des pertes diverses que la pluviométrie optimum pour cette plante dans la zone considérée serait de l'ordre de 420 mm. A partir d'un schéma simple, l'auteur a pu en outre avoir une idée de la rpofondeur à laquelle les racines de mil souna étaient efficaces. Enfin, une comparaison avec la consommation en eau d'une jachère montre que malgré une plus grande production de matière sèche l'efficience de l'eau est moins bonne pour la jachère que pour le mil.

L'Agronomie Tropicale. "Contrôle avec l'humidimètre a neutrons de l'alimentation hydrique d'une culture de mil ""SOUNA"" pendant deux hivernages très différents" [texte imprimé] / Dancette, C. . - Juin-juillet 1971.
ISSN : CI-08966
Pendant deux saisons humides à régime pluviométrique très différent, l'auteur a pu situer l'humidité du sol par rapport au niveau de la capacité de rétention. Il était alors possible d'avoir une idée sur la qualité de l'alimentation hydrique du mil souna. La consommation en eau (ETR) de cette plante a peu varié d'une année à l'autre pour une même longueur de cycle, la pluviométrie plus importante de 1969 ayant surtout favorisé la production de faille. Compte tenu des pertes diverses que la pluviométrie optimum pour cette plante dans la zone considérée serait de l'ordre de 420 mm. A partir d'un schéma simple, l'auteur a pu en outre avoir une idée de la rpofondeur à laquelle les racines de mil souna étaient efficaces. Enfin, une comparaison avec la consommation en eau d'une jachère montre que malgré une plus grande production de matière sèche l'efficience de l'eau est moins bonne pour la jachère que pour le mil.
Langues : Français (fre)

Mots-clés :	Alimentation en eau  Culture vivrière  Sol  Evapotranspiration  Pluviométrie  Besoin en eau des plantes  Mil  Saison des pluies  Bilan hydrique
Index. décimale :	644.6 Alimentation en eau
Résumé :	Pendant deux saisons humides à régime pluviométrique très différent, l'auteur a pu situer l'humidité du sol par rapport au niveau de la capacité de rétention. Il était alors possible d'avoir une idée sur la qualité de l'alimentation hydrique du mil souna. La consommation en eau (ETR) de cette plante a peu varié d'une année à l'autre pour une même longueur de cycle, la pluviométrie plus importante de 1969 ayant surtout favorisé la production de faille. Compte tenu des pertes diverses que la pluviométrie optimum pour cette plante dans la zone considérée serait de l'ordre de 420 mm. A partir d'un schéma simple, l'auteur a pu en outre avoir une idée de la rpofondeur à laquelle les racines de mil souna étaient efficaces. Enfin, une comparaison avec la consommation en eau d'une jachère montre que malgré une plus grande production de matière sèche l'efficience de l'eau est moins bonne pour la jachère que pour le mil.
Note de contenu :	Pendant deux saisons humides à régime pluviométrique très différent, l'auteur a pu situer l'humidité du sol par rapport au niveau de la capacité de rétention. Il était alors possible d'avoir une idée sur la qualité de l'alimentation hydrique du mil souna. La consommation en eau (ETR) de cette plante a peu varié d'une année à l'autre pour une même longueur de cycle, la pluviométrie plus importante de 1969 ayant surtout favorisé la production de faille. Compte tenu des pertes diverses que la pluviométrie optimum pour cette plante dans la zone considérée serait de l'ordre de 420 mm. A partir d'un schéma simple, l'auteur a pu en outre avoir une idée de la rpofondeur à laquelle les racines de mil souna étaient efficaces. Enfin, une comparaison avec la consommation en eau d'une jachère montre que malgré une plus grande production de matière sèche l'efficience de l'eau est moins bonne pour la jachère que pour le mil.