Titre :	Etude technique et économie comparée de la distribution du poisson de mer dans les pays de l'Afrique Centrale Atlantique : Congo
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Lagoin, Y. ; Salmar, G.
Mention d'édition :	Paris (FR)
Editeur :	Paris (FR)
Année de publication :	1970
ISBN/ISSN/EAN :	CI-03490
Note générale :	Parmis les pays francophones d'Afrique, le Congo est l'un de ceux dont la consommation en protéine d'origine animale est la moins déficiente et où le poisson tient la grande place dans l'alimentation. Mais les importations particulièrement sous forme de poisson salé-séché entrent pour près de la moitié dans le disponible intérieur global. Les quantité de salés-séchés importées étant la contre partie d'exportation de produit d'origine végétal conditionnant le developpment économique, le mays peut ne pas avoir intérêt à substituer sa production nationale à ces importations. Par contre, les exportations qui ne s'élèvent qu'à deux pour cent des ressources totales paraissent susceptibles de s'accroitre avec le developpement de la pêche industrielle. C'est pourquoi, le programme d'expension déjà établie porte essentiellement sur la production et le conditionnement d'espèces principalement exportables.
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Poisson de mer  Production  Pêche  Consommation  Commercialisation  Circuit de distribution  Exportation  Importation  Balance commerciale  Economie comparée
Index. décimale :	639.3 Elevage de vertébrés à sang froid
Résumé :	Parmis les pays francophones d'Afrique, le Congo est l'un de ceux dont la consommation en protéine d'origine animale est la moins déficiente et où le poisson tient la grande place dans l'alimentation. Mais les importations particulièrement sous forme de poisson salé-séché entrent pour près de la moitié dans le disponible intérieur global. Les quantité de salés-séchés importées étant la contre partie d'exportation de produit d'origine végétal conditionnant le developpment économique, le mays peut ne pas avoir intérêt à substituer sa production nationale à ces importations. Par contre, les exportations qui ne s'élèvent qu'à deux pour cent des ressources totales paraissent susceptibles de s'accroitre avec le developpement de la pêche industrielle. C'est pourquoi, le programme d'expension déjà établie porte essentiellement sur la production et le conditionnement d'espèces principalement exportables.
Note de contenu :	Parmis les pays francophones d'Afrique, le Congo est l'un de ceux dont la consommation en protéine d'origine animale est la moins déficiente et où le poisson tient la grande place dans l'alimentation. Mais les importations particulièrement sous forme de poisson salé-séché entrent pour près de la moitié dans le disponible intérieur global. Les quantité de salés-séchés importées étant la contre partie d'exportation de produit d'origine végétal conditionnant le developpment économique, le mays peut ne pas avoir intérêt à substituer sa production nationale à ces importations. Par contre, les exportations qui ne s'élèvent qu'à deux pour cent des ressources totales paraissent susceptibles de s'accroitre avec le developpement de la pêche industrielle. C'est pourquoi, le programme d'expension déjà établie porte essentiellement sur la production et le conditionnement d'espèces principalement exportables.

Etude technique et économie comparée de la distribution du poisson de mer dans les pays de l'Afrique Centrale Atlantique : Congo [texte imprimé] / Lagoin, Y. ; Salmar, G.  . -  Paris (FR) . - Paris (FR), 1970.
ISSN : CI-03490
Parmis les pays francophones d'Afrique, le Congo est l'un de ceux dont la consommation en protéine d'origine animale est la moins déficiente et où le poisson tient la grande place dans l'alimentation. Mais les importations particulièrement sous forme de poisson salé-séché entrent pour près de la moitié dans le disponible intérieur global. Les quantité de salés-séchés importées étant la contre partie d'exportation de produit d'origine végétal conditionnant le developpment économique, le mays peut ne pas avoir intérêt à substituer sa production nationale à ces importations. Par contre, les exportations qui ne s'élèvent qu'à deux pour cent des ressources totales paraissent susceptibles de s'accroitre avec le developpement de la pêche industrielle. C'est pourquoi, le programme d'expension déjà établie porte essentiellement sur la production et le conditionnement d'espèces principalement exportables.
Langues : Français (fre)

Mots-clés :	Poisson de mer  Production  Pêche  Consommation  Commercialisation  Circuit de distribution  Exportation  Importation  Balance commerciale  Economie comparée
Index. décimale :	639.3 Elevage de vertébrés à sang froid
Résumé :	Parmis les pays francophones d'Afrique, le Congo est l'un de ceux dont la consommation en protéine d'origine animale est la moins déficiente et où le poisson tient la grande place dans l'alimentation. Mais les importations particulièrement sous forme de poisson salé-séché entrent pour près de la moitié dans le disponible intérieur global. Les quantité de salés-séchés importées étant la contre partie d'exportation de produit d'origine végétal conditionnant le developpment économique, le mays peut ne pas avoir intérêt à substituer sa production nationale à ces importations. Par contre, les exportations qui ne s'élèvent qu'à deux pour cent des ressources totales paraissent susceptibles de s'accroitre avec le developpement de la pêche industrielle. C'est pourquoi, le programme d'expension déjà établie porte essentiellement sur la production et le conditionnement d'espèces principalement exportables.
Note de contenu :	Parmis les pays francophones d'Afrique, le Congo est l'un de ceux dont la consommation en protéine d'origine animale est la moins déficiente et où le poisson tient la grande place dans l'alimentation. Mais les importations particulièrement sous forme de poisson salé-séché entrent pour près de la moitié dans le disponible intérieur global. Les quantité de salés-séchés importées étant la contre partie d'exportation de produit d'origine végétal conditionnant le developpment économique, le mays peut ne pas avoir intérêt à substituer sa production nationale à ces importations. Par contre, les exportations qui ne s'élèvent qu'à deux pour cent des ressources totales paraissent susceptibles de s'accroitre avec le developpement de la pêche industrielle. C'est pourquoi, le programme d'expension déjà établie porte essentiellement sur la production et le conditionnement d'espèces principalement exportables.