Titre de série :	Mémoire Master d’ingénierie Eau
Titre :	Analyse critique de la gestion de l’eau en milieu rural et semi-urbain dans les localités de Zaongho, Sapaga et Nagbangré au Burkina Faso.
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Wendpanga Constant OUEDRAOGO
Année de publication :	2003
Importance :	116p.
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Pour lutter contre la pénurie d’eau, le Burkina a adopté une politique de gestion communautaire des nombreux points d’eaux. Si cela est une réussite pour certains, pour d’autres, le système de gestion adopté ne semble pas être en conformite avec les objectifs fixés. Notre travail qui a consisté à faire un diagnostic des différents systèmes et de proposer des solutions dans le sens d’une amélioration nous a conduit à recenser trois systèmes de gestions communautaires dans les zones étudiées : - Le système de payement direct de l’eau à la fontaine, qui marche dans les milieux où les villageois ont les capacités financières pour participer. - Le système de cotisations régulières où les ménages payent un droit d’usage qui semble marché pour toutes sortes de milieu. - Et le système de cotisation à la panne qui se révèle être un échec dans la zone d’étude. Dans le centre semi-urbain de Nagbangré, II existe un système solaire, dont la gestion est confiée à un bureau réduit à deux membres. Vu les insuffisances constatées, nous avons préconisé la mise en place d’un bureau plus L3ructuré, comprenant un plus grand nombre de membres. Dans le village de Zaongho il y a un unique forage mieux géré. mais le bureau ne semble pas être actif. Par contre dans le village de Sapaga, on trouve un forage dont le systètne est la vente à la quantité qui montre un certain dynamisme dans la gestion. Dans un autre forage, est appliqué le système de cotisation à la panne. Ce système ne semble pas marché et par expérience, est abandonné par les villages. Le constat général est que les animateurs imposent une forme de gestion aux populations. Pourtant l’idéal voudrait que les solutions émanent des populations elles-mêmes et qu’elles soient accompagnées par les animateurs et non imposées.

Mémoire Master d’ingénierie Eau. Analyse critique de la gestion de l’eau en milieu rural et semi-urbain dans les localités de Zaongho, Sapaga et Nagbangré au Burkina Faso. [texte imprimé] / Wendpanga Constant OUEDRAOGO . - 2003 . - 116p.
Langues : Français (fre)

Résumé :

Pour lutter contre la pénurie d’eau, le Burkina a adopté une politique de gestion communautaire des nombreux points d’eaux. Si cela est une réussite pour certains, pour d’autres, le système de gestion adopté ne semble pas être en conformite avec les objectifs fixés. Notre travail qui a consisté à faire un diagnostic des différents systèmes et de proposer des solutions dans le sens d’une amélioration nous a conduit à recenser trois systèmes de gestions communautaires dans les zones étudiées : - Le système de payement direct de l’eau à la fontaine, qui marche dans les milieux où les villageois ont les capacités financières pour participer. - Le système de cotisations régulières où les ménages payent un droit d’usage qui semble marché pour toutes sortes de milieu. - Et le système de cotisation à la panne qui se révèle être un échec dans la zone d’étude. Dans le centre semi-urbain de Nagbangré, II existe un système solaire, dont la gestion est confiée à un bureau réduit à deux membres. Vu les insuffisances constatées, nous avons préconisé la mise en place d’un bureau plus L3ructuré, comprenant un plus grand nombre de membres. Dans le village de Zaongho il y a un unique forage mieux géré. mais le bureau ne semble pas être actif. Par contre dans le village de Sapaga, on trouve un forage dont le systètne est la vente à la quantité qui montre un certain dynamisme dans la gestion. Dans un autre forage, est appliqué le système de cotisation à la panne. Ce système ne semble pas marché et par expérience, est abandonné par les villages. Le constat général est que les animateurs imposent une forme de gestion aux populations. Pourtant l’idéal voudrait que les solutions émanent des populations elles-mêmes et qu’elles soient accompagnées par les animateurs et non imposées.