| Titre de série :  | 
					Mémoire FPL Master d'Ingénierie Management des Crises et Actions Humanitaires | 
				 
					| Titre : | 
					Autonomisation des refugies du camp de Goudebou à Dori et des populations hôtes : stratégie de renforcement de la résilience dans un contexte d’insécurité au sahel burkinabè | 
				 
					| Type de document :  | 
					texte imprimé | 
				 
					| Auteurs :  | 
					ILYAS AG MALICK | 
				 
					| Année de publication :  | 
					2025 | 
				 
					| Importance :  | 
					57 p. | 
				 
					| Langues : | 
					Français (fre) | 
				 
					| Résumé :  | 
					Cette étude s’intéresse aux besoins, obstacles et effets des programmes d’autonomisation pour les personnes déplacées, réfugiées et populations d’accueil dans les situations de crise. Partir d’une approche mixte, combinaison de données quantitatives et qualitatives, elle montre les priorités des répondants : la sécurité (80%), l’emploi (70%) et l’accès à l’eau potable (55%). Les résultats mettent aussi en lumière une perception positive de l’augmentation de la résilience des individus grâce aux programmes d’autonomisation (80%), mais des lacunes demeurent, notamment en matière de parsec et d’adaptation locale.  L’analyse qualitative montre que la cohésion sociale, le développement des compétences et le renforcement de l’accès aux ressources économiques sont des facteurs clés influençant la capacité de résilience. Cependant, l’étude met en évidence des limites, tel qu’une insuffisante prise en compte des populations hôtes et une faible des aspects de la prévention des conflits. L’étude tire des recommandations à partir d’approches intégrées liant dimensions urbaines et économiques, et d’une approche basée sur l’objectif d’atteindre un meilleur suivi des impacts à long-terme. Les résultats contribuent à une meilleure compréhension de la résilience dans les situations de crise et plaident en faveur de politiques plus inclusives et durable.  
Abstract : This study looks at the needs, obstacles and effects of empowerment programs for displaced people, refugees and host populations in crisis situations. Using a mixed-methods approach, combining quantitative and qualitative data, it shows respondents' priorities: security (80%), employment (70%) and access to drinking water (55%). The results also highlight a positive perception of the increased resilience of individuals thanks to empowerment programs (80%), but gaps remain, particularly in terms of parsec and local adaptation.  Qualitative analysis shows that social cohesion, skills development and enhanced access to economic resources are key factors influencing resilience capacity. However, the study highlights limitations, such as insufficient consideration of host populations and weak conflict prevention aspects. The study draws recommendations from integrated approaches linking urban and economic dimensions, and from an approach based on the objective of achieving better monitoring of long-term impacts. The results contribute to a better understanding of resilience in crisis situations and make the case for more inclusive and sustainable policies.  | 
				  
 
					Mémoire FPL Master d'Ingénierie Management des Crises et Actions Humanitaires. Autonomisation des refugies du camp de Goudebou à Dori et des populations hôtes : stratégie de renforcement de la résilience dans un contexte d’insécurité au sahel burkinabè [texte imprimé] /  ILYAS AG MALICK . - 2025 . - 57 p. Langues : Français ( fre) 
					| Résumé :  | 
					Cette étude s’intéresse aux besoins, obstacles et effets des programmes d’autonomisation pour les personnes déplacées, réfugiées et populations d’accueil dans les situations de crise. Partir d’une approche mixte, combinaison de données quantitatives et qualitatives, elle montre les priorités des répondants : la sécurité (80%), l’emploi (70%) et l’accès à l’eau potable (55%). Les résultats mettent aussi en lumière une perception positive de l’augmentation de la résilience des individus grâce aux programmes d’autonomisation (80%), mais des lacunes demeurent, notamment en matière de parsec et d’adaptation locale.  L’analyse qualitative montre que la cohésion sociale, le développement des compétences et le renforcement de l’accès aux ressources économiques sont des facteurs clés influençant la capacité de résilience. Cependant, l’étude met en évidence des limites, tel qu’une insuffisante prise en compte des populations hôtes et une faible des aspects de la prévention des conflits. L’étude tire des recommandations à partir d’approches intégrées liant dimensions urbaines et économiques, et d’une approche basée sur l’objectif d’atteindre un meilleur suivi des impacts à long-terme. Les résultats contribuent à une meilleure compréhension de la résilience dans les situations de crise et plaident en faveur de politiques plus inclusives et durable.  
Abstract : This study looks at the needs, obstacles and effects of empowerment programs for displaced people, refugees and host populations in crisis situations. Using a mixed-methods approach, combining quantitative and qualitative data, it shows respondents' priorities: security (80%), employment (70%) and access to drinking water (55%). The results also highlight a positive perception of the increased resilience of individuals thanks to empowerment programs (80%), but gaps remain, particularly in terms of parsec and local adaptation.  Qualitative analysis shows that social cohesion, skills development and enhanced access to economic resources are key factors influencing resilience capacity. However, the study highlights limitations, such as insufficient consideration of host populations and weak conflict prevention aspects. The study draws recommendations from integrated approaches linking urban and economic dimensions, and from an approach based on the objective of achieving better monitoring of long-term impacts. The results contribute to a better understanding of resilience in crisis situations and make the case for more inclusive and sustainable policies.  | 
				 
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