Publications AISH. La couverture végétale et les débits des cours d'eau dans le bassin de la Seine / Tixeront, J.

Public ISBD Titre de série : Publications AISH Titre : La couverture végétale et les débits des cours d'eau dans le bassin de la Seine Type de document : texte imprimé Auteurs : Tixeront, J. Mention d'édition : AISH Editeur : AISH Année de publication : 1974 ISBN/ISSN/EAN : CI-11239.2 Note générale : Le bessin de la Seine a été le siège d'une évolution remarquable de la couverture végétale depuis la milieu du dix-neuvième siècle. Comme les volumes de matières végétales en suspension dans le fleuve proviennent essentiellement des terres labourables, on peut s'attendre à ce qu'il en résulte une diminution des teneurs en suspension. On compare à cet égard les taux relevés au cours des années 1864, 65, 66 sur la Seine et la Marne à l'amont de Paris aux taux observés actuellement. La comparaison semble bien indiquer une correlation significative avec l'étendue des terres labourables. Elle éclaire l'évolution future qu'on peut attendre comme suite aux tendances actuelles caractérisées par : (1) un arrêt dans l'expansion des boisements / (2) une remise en culture en campagne de territoires qui avaient été boisés entre 1850 et 1960 / (3) l'augmentation de taille des parcelles à la suite du remembrement. Langues : Français (fre) Mots-clés : Paysage végétal  Débit solide  Bassin versant  Hydrochimie  Qualité de l'eau  Mesure et observation  Facteur anthropique  Zone rurale Index. décimale : 712 Art du paysage : parcs et jardins publics et privés Résumé : Le bessin de la Seine a été le siège d'une évolution remarquable de la couverture végétale depuis la milieu du dix-neuvième siècle. Comme les volumes de matières végétales en suspension dans le fleuve proviennent essentiellement des terres labourables, on peut s'attendre à ce qu'il en résulte une diminution des teneurs en suspension. On compare à cet égard les taux relevés au cours des années 1864, 65, 66 sur la Seine et la Marne à l'amont de Paris aux taux observés actuellement. La comparaison semble bien indiquer une correlation significative avec l'étendue des terres labourables. Elle éclaire l'évolution future qu'on peut attendre comme suite aux tendances actuelles caractérisées par : (1) un arrêt dans l'expansion des boisements / (2) une remise en culture en campagne de territoires qui avaient été boisés entre 1850 et 1960 / (3) l'augmentation de taille des parcelles à la suite du remembrement. Note de contenu : Le bessin de la Seine a été le siège d'une évolution remarquable de la couverture végétale depuis la milieu du dix-neuvième siècle. Comme les volumes de matières végétales en suspension dans le fleuve proviennent essentiellement des terres labourables, on peut s'attendre à ce qu'il en résulte une diminution des teneurs en suspension. On compare à cet égard les taux relevés au cours des années 1864, 65, 66 sur la Seine et la Marne à l'amont de Paris aux taux observés actuellement. La comparaison semble bien indiquer une correlation significative avec l'étendue des terres labourables. Elle éclaire l'évolution future qu'on peut attendre comme suite aux tendances actuelles caractérisées par : (1) un arrêt dans l'expansion des boisements / (2) une remise en culture en campagne de territoires qui avaient été boisés entre 1850 et 1960 / (3) l'augmentation de taille des parcelles à la suite du remembrement. Publications AISH. La couverture végétale et les débits des cours d'eau dans le bassin de la Seine [texte imprimé] / Tixeront, J.  . -  AISH . - AISH, 1974. ISSN : CI-11239.2 Le bessin de la Seine a été le siège d'une évolution remarquable de la couverture végétale depuis la milieu du dix-neuvième siècle. Comme les volumes de matières végétales en suspension dans le fleuve proviennent essentiellement des terres labourables, on peut s'attendre à ce qu'il en résulte une diminution des teneurs en suspension. On compare à cet égard les taux relevés au cours des années 1864, 65, 66 sur la Seine et la Marne à l'amont de Paris aux taux observés actuellement. La comparaison semble bien indiquer une correlation significative avec l'étendue des terres labourables. Elle éclaire l'évolution future qu'on peut attendre comme suite aux tendances actuelles caractérisées par : (1) un arrêt dans l'expansion des boisements / (2) une remise en culture en campagne de territoires qui avaient été boisés entre 1850 et 1960 / (3) l'augmentation de taille des parcelles à la suite du remembrement. Langues : Français (fre) Mots-clés : Paysage végétal  Débit solide  Bassin versant  Hydrochimie  Qualité de l'eau  Mesure et observation  Facteur anthropique  Zone rurale Index. décimale : 712 Art du paysage : parcs et jardins publics et privés Résumé : Le bessin de la Seine a été le siège d'une évolution remarquable de la couverture végétale depuis la milieu du dix-neuvième siècle. Comme les volumes de matières végétales en suspension dans le fleuve proviennent essentiellement des terres labourables, on peut s'attendre à ce qu'il en résulte une diminution des teneurs en suspension. On compare à cet égard les taux relevés au cours des années 1864, 65, 66 sur la Seine et la Marne à l'amont de Paris aux taux observés actuellement. La comparaison semble bien indiquer une correlation significative avec l'étendue des terres labourables. Elle éclaire l'évolution future qu'on peut attendre comme suite aux tendances actuelles caractérisées par : (1) un arrêt dans l'expansion des boisements / (2) une remise en culture en campagne de territoires qui avaient été boisés entre 1850 et 1960 / (3) l'augmentation de taille des parcelles à la suite du remembrement. Note de contenu : Le bessin de la Seine a été le siège d'une évolution remarquable de la couverture végétale depuis la milieu du dix-neuvième siècle. Comme les volumes de matières végétales en suspension dans le fleuve proviennent essentiellement des terres labourables, on peut s'attendre à ce qu'il en résulte une diminution des teneurs en suspension. On compare à cet égard les taux relevés au cours des années 1864, 65, 66 sur la Seine et la Marne à l'amont de Paris aux taux observés actuellement. La comparaison semble bien indiquer une correlation significative avec l'étendue des terres labourables. Elle éclaire l'évolution future qu'on peut attendre comme suite aux tendances actuelles caractérisées par : (1) un arrêt dans l'expansion des boisements / (2) une remise en culture en campagne de territoires qui avaient été boisés entre 1850 et 1960 / (3) l'augmentation de taille des parcelles à la suite du remembrement.

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