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Auteur Bastiaansen, C. |
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L'aménagement et l'exploitation des périmètres irrigués villageois / Bastiaansen, C.
Titre : L'aménagement et l'exploitation des périmètres irrigués villageois Type de document : texte imprimé Auteurs : Bastiaansen, C. Mention d'édition : Université agronomique SAED Editeur : Université agronomique SAED Année de publication : 1988 ISBN/ISSN/EAN : CI-08214 Note générale : La sécheresse depuis 1972 a rendu l'agriculture traditionnelle très incertaine. Dans ce cadre l'introduction des périmètres irrigués villageois (PIV) a eu lieu. Grâce à la participation de la population et à l'assistance technique, les aménagements des PIV (de l'Ile à Morphil) représentent un succès en assurant une partie du besoin céréalier du pays. Leurs coûts de construction et de la production sont relativement élevés à cause de l'irrigation par pompage. Les rendements obtenus avec la riziculture sont bons grâce à l'irrigation, l'emploi des engrais et d'autres intrants contrairement à la culture irriguée du maïs, cultivée de façon traditionnelle. Au début (1978 - 1982) l'intensité cultural est bonne et supérieure à 1 ou 100 pour cent. A présent, elle est de l'ordre de 0,8 à 0,9. La supervision des subventions sur les prix des intrants et l'impossibilité de déclarer des sinistres à la SAED sont deux des raisons importantes pour cette baisse. Langues : Français (fre) Mots-clés : Culture irriguée Zone rurale Céréale Agriculture Irrigation Riziculture Coût Comparaison Index. décimale : 630 Agriculture et techniques connexes Résumé : La sécheresse depuis 1972 a rendu l'agriculture traditionnelle très incertaine. Dans ce cadre l'introduction des périmètres irrigués villageois (PIV) a eu lieu. Grâce à la participation de la population et à l'assistance technique, les aménagements des PIV (de l'Ile à Morphil) représentent un succès en assurant une partie du besoin céréalier du pays. Leurs coûts de construction et de la production sont relativement élevés à cause de l'irrigation par pompage. Les rendements obtenus avec la riziculture sont bons grâce à l'irrigation, l'emploi des engrais et d'autres intrants contrairement à la culture irriguée du maïs, cultivée de façon traditionnelle. Au début (1978 - 1982) l'intensité cultural est bonne et supérieure à 1 ou 100 pour cent. A présent, elle est de l'ordre de 0,8 à 0,9. La supervision des subventions sur les prix des intrants et l'impossibilité de déclarer des sinistres à la SAED sont deux des raisons importantes pour cette baisse. Note de contenu : La sécheresse depuis 1972 a rendu l'agriculture traditionnelle très incertaine. Dans ce cadre l'introduction des périmètres irrigués villageois (PIV) a eu lieu. Grâce à la participation de la population et à l'assistance technique, les aménagements des PIV (de l'Ile à Morphil) représentent un succès en assurant une partie du besoin céréalier du pays. Leurs coûts de construction et de la production sont relativement élevés à cause de l'irrigation par pompage. Les rendements obtenus avec la riziculture sont bons grâce à l'irrigation, l'emploi des engrais et d'autres intrants contrairement à la culture irriguée du maïs, cultivée de façon traditionnelle. Au début (1978 - 1982) l'intensité cultural est bonne et supérieure à 1 ou 100 pour cent. A présent, elle est de l'ordre de 0,8 à 0,9. La supervision des subventions sur les prix des intrants et l'impossibilité de déclarer des sinistres à la SAED sont deux des raisons importantes pour cette baisse. L'aménagement et l'exploitation des périmètres irrigués villageois [texte imprimé] / Bastiaansen, C. . - Université agronomique SAED . - Université agronomique SAED, 1988.
ISSN : CI-08214
La sécheresse depuis 1972 a rendu l'agriculture traditionnelle très incertaine. Dans ce cadre l'introduction des périmètres irrigués villageois (PIV) a eu lieu. Grâce à la participation de la population et à l'assistance technique, les aménagements des PIV (de l'Ile à Morphil) représentent un succès en assurant une partie du besoin céréalier du pays. Leurs coûts de construction et de la production sont relativement élevés à cause de l'irrigation par pompage. Les rendements obtenus avec la riziculture sont bons grâce à l'irrigation, l'emploi des engrais et d'autres intrants contrairement à la culture irriguée du maïs, cultivée de façon traditionnelle. Au début (1978 - 1982) l'intensité cultural est bonne et supérieure à 1 ou 100 pour cent. A présent, elle est de l'ordre de 0,8 à 0,9. La supervision des subventions sur les prix des intrants et l'impossibilité de déclarer des sinistres à la SAED sont deux des raisons importantes pour cette baisse.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Culture irriguée Zone rurale Céréale Agriculture Irrigation Riziculture Coût Comparaison Index. décimale : 630 Agriculture et techniques connexes Résumé : La sécheresse depuis 1972 a rendu l'agriculture traditionnelle très incertaine. Dans ce cadre l'introduction des périmètres irrigués villageois (PIV) a eu lieu. Grâce à la participation de la population et à l'assistance technique, les aménagements des PIV (de l'Ile à Morphil) représentent un succès en assurant une partie du besoin céréalier du pays. Leurs coûts de construction et de la production sont relativement élevés à cause de l'irrigation par pompage. Les rendements obtenus avec la riziculture sont bons grâce à l'irrigation, l'emploi des engrais et d'autres intrants contrairement à la culture irriguée du maïs, cultivée de façon traditionnelle. Au début (1978 - 1982) l'intensité cultural est bonne et supérieure à 1 ou 100 pour cent. A présent, elle est de l'ordre de 0,8 à 0,9. La supervision des subventions sur les prix des intrants et l'impossibilité de déclarer des sinistres à la SAED sont deux des raisons importantes pour cette baisse. Note de contenu : La sécheresse depuis 1972 a rendu l'agriculture traditionnelle très incertaine. Dans ce cadre l'introduction des périmètres irrigués villageois (PIV) a eu lieu. Grâce à la participation de la population et à l'assistance technique, les aménagements des PIV (de l'Ile à Morphil) représentent un succès en assurant une partie du besoin céréalier du pays. Leurs coûts de construction et de la production sont relativement élevés à cause de l'irrigation par pompage. Les rendements obtenus avec la riziculture sont bons grâce à l'irrigation, l'emploi des engrais et d'autres intrants contrairement à la culture irriguée du maïs, cultivée de façon traditionnelle. Au début (1978 - 1982) l'intensité cultural est bonne et supérieure à 1 ou 100 pour cent. A présent, elle est de l'ordre de 0,8 à 0,9. La supervision des subventions sur les prix des intrants et l'impossibilité de déclarer des sinistres à la SAED sont deux des raisons importantes pour cette baisse. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité CI03B214.62769 CI-08214 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Fond documentaire Disponible Document de base n°12 : étude agronomique / Bastiaansen, C.
Titre : Document de base n°12 : étude agronomique Type de document : texte imprimé Auteurs : Bastiaansen, C. Mention d'édition : Université Agronomique de Wageningen Ministère du Développement Rural Editeur : Université Agronomique de Wageningen Ministère du Développement Rural Année de publication : 1988 ISBN/ISSN/EAN : CI-03434 Note générale : Le document aborde la mise en valeur de la cuvette avec environ 300 ha en riz et 60 ha en polyculture, soit avec mécanisation du labour et du battage (alternative A)/ soit sans aucune forme de mécanisation (alternative B). Il examine successivement les contraintes culturales, les contraintes des pratiques culturales et les contraintes sociales pour une telle mise en valeur. Langues : Français (fre) Mots-clés : Agronomie Mise en valeur du sol Génie rural Riz Pratique culturale Sociologie rurale Etude de faisabilité Index. décimale : 630 Agriculture et techniques connexes Résumé : Le document aborde la mise en valeur de la cuvette avec environ 300 ha en riz et 60 ha en polyculture, soit avec mécanisation du labour et du battage (alternative A)/ soit sans aucune forme de mécanisation (alternative B). Il examine successivement les contraintes culturales, les contraintes des pratiques culturales et les contraintes sociales pour une telle mise en valeur. Note de contenu : Le document aborde la mise en valeur de la cuvette avec environ 300 ha en riz et 60 ha en polyculture, soit avec mécanisation du labour et du battage (alternative A)/ soit sans aucune forme de mécanisation (alternative B). Il examine successivement les contraintes culturales, les contraintes des pratiques culturales et les contraintes sociales pour une telle mise en valeur. Document de base n°12 : étude agronomique [texte imprimé] / Bastiaansen, C. . - Université Agronomique de Wageningen Ministère du Développement Rural . - Université Agronomique de Wageningen Ministère du Développement Rural, 1988.
ISSN : CI-03434
Le document aborde la mise en valeur de la cuvette avec environ 300 ha en riz et 60 ha en polyculture, soit avec mécanisation du labour et du battage (alternative A)/ soit sans aucune forme de mécanisation (alternative B). Il examine successivement les contraintes culturales, les contraintes des pratiques culturales et les contraintes sociales pour une telle mise en valeur.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Agronomie Mise en valeur du sol Génie rural Riz Pratique culturale Sociologie rurale Etude de faisabilité Index. décimale : 630 Agriculture et techniques connexes Résumé : Le document aborde la mise en valeur de la cuvette avec environ 300 ha en riz et 60 ha en polyculture, soit avec mécanisation du labour et du battage (alternative A)/ soit sans aucune forme de mécanisation (alternative B). Il examine successivement les contraintes culturales, les contraintes des pratiques culturales et les contraintes sociales pour une telle mise en valeur. Note de contenu : Le document aborde la mise en valeur de la cuvette avec environ 300 ha en riz et 60 ha en polyculture, soit avec mécanisation du labour et du battage (alternative A)/ soit sans aucune forme de mécanisation (alternative B). Il examine successivement les contraintes culturales, les contraintes des pratiques culturales et les contraintes sociales pour une telle mise en valeur. Réservation
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