Titre :	Adaptation de lencalyptus à la sécheresse
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	bailly, C. R. ; Sall, P. N.
Mention d'édition :	CIRAD CILF
Editeur :	CIRAD CILF
Année de publication :	1984
ISBN/ISSN/EAN :	CI-11780.9
Note générale :	Plasticité et rusticité font de l'eucalyptus canal-dulensis DEHN une espèce de reboisement très utilisée en zone tropicale sèche. Cependant, ce végétal a des besoins en eau que le CNFR/ISRA tente de quantifier depuis 1981. En deux ans, pour une pluviométrie cumulée de 690 mm, l'ERT sous l'eucalyptus est de 711 mm/ sur la même période, la formation naturelle à Acacia seyal totalise 690 mm, et une surface nue 687 mm. Des observations de conditions contrôlées ont montré que jusqu'à PF 4,8, la fanaison de cette espèce était réversible.
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Pluviométrie  Végétation  Eucalyptus  Besoin en eau des plantes  Bilan hydrique  Physiologie  Ecologie  Desydratation  Résistance à la sécheresse  Acacia  Zone Sahélienne  Zone tropicale sèche
Index. décimale :	577 Ecologie
Résumé :	Plasticité et rusticité font de l'eucalyptus canal-dulensis DEHN une espèce de reboisement très utilisée en zone tropicale sèche. Cependant, ce végétal a des besoins en eau que le CNFR/ISRA tente de quantifier depuis 1981. En deux ans, pour une pluviométrie cumulée de 690 mm, l'ERT sous l'eucalyptus est de 711 mm/ sur la même période, la formation naturelle à Acacia seyal totalise 690 mm, et une surface nue 687 mm. Des observations de conditions contrôlées ont montré que jusqu'à PF 4,8, la fanaison de cette espèce était réversible.
Note de contenu :	Plasticité et rusticité font de l'eucalyptus canal-dulensis DEHN une espèce de reboisement très utilisée en zone tropicale sèche. Cependant, ce végétal a des besoins en eau que le CNFR/ISRA tente de quantifier depuis 1981. En deux ans, pour une pluviométrie cumulée de 690 mm, l'ERT sous l'eucalyptus est de 711 mm/ sur la même période, la formation naturelle à Acacia seyal totalise 690 mm, et une surface nue 687 mm. Des observations de conditions contrôlées ont montré que jusqu'à PF 4,8, la fanaison de cette espèce était réversible.

Adaptation de lencalyptus à la sécheresse [texte imprimé] / bailly, C. R. ; Sall, P. N.  . -  CIRAD CILF . - CIRAD CILF, 1984.
ISSN : CI-11780.9
Plasticité et rusticité font de l'eucalyptus canal-dulensis DEHN une espèce de reboisement très utilisée en zone tropicale sèche. Cependant, ce végétal a des besoins en eau que le CNFR/ISRA tente de quantifier depuis 1981. En deux ans, pour une pluviométrie cumulée de 690 mm, l'ERT sous l'eucalyptus est de 711 mm/ sur la même période, la formation naturelle à Acacia seyal totalise 690 mm, et une surface nue 687 mm. Des observations de conditions contrôlées ont montré que jusqu'à PF 4,8, la fanaison de cette espèce était réversible.
Langues : Français (fre)

Mots-clés :	Pluviométrie  Végétation  Eucalyptus  Besoin en eau des plantes  Bilan hydrique  Physiologie  Ecologie  Desydratation  Résistance à la sécheresse  Acacia  Zone Sahélienne  Zone tropicale sèche
Index. décimale :	577 Ecologie
Résumé :	Plasticité et rusticité font de l'eucalyptus canal-dulensis DEHN une espèce de reboisement très utilisée en zone tropicale sèche. Cependant, ce végétal a des besoins en eau que le CNFR/ISRA tente de quantifier depuis 1981. En deux ans, pour une pluviométrie cumulée de 690 mm, l'ERT sous l'eucalyptus est de 711 mm/ sur la même période, la formation naturelle à Acacia seyal totalise 690 mm, et une surface nue 687 mm. Des observations de conditions contrôlées ont montré que jusqu'à PF 4,8, la fanaison de cette espèce était réversible.
Note de contenu :	Plasticité et rusticité font de l'eucalyptus canal-dulensis DEHN une espèce de reboisement très utilisée en zone tropicale sèche. Cependant, ce végétal a des besoins en eau que le CNFR/ISRA tente de quantifier depuis 1981. En deux ans, pour une pluviométrie cumulée de 690 mm, l'ERT sous l'eucalyptus est de 711 mm/ sur la même période, la formation naturelle à Acacia seyal totalise 690 mm, et une surface nue 687 mm. Des observations de conditions contrôlées ont montré que jusqu'à PF 4,8, la fanaison de cette espèce était réversible.