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Auteur Moussa DIAKITE |
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Mémoire FPL Master Spécialisé GIRE. Calcul de la productivité de l’eau dans les zones de production de l’office du Niger au Mali / Moussa DIAKITE
Titre de série : Mémoire FPL Master Spécialisé GIRE Titre : Calcul de la productivité de l’eau dans les zones de production de l’office du Niger au Mali Type de document : texte imprimé Auteurs : Moussa DIAKITE Année de publication : 2009 Importance : 38p. Langues : Français (fre) Résumé : Notre étude a concerné le calcul de la productivité de l’eau dans les six zones de production de l’Office du Niger. Les résultats que nous avons obtenus dans les différentes zones sont inférieurs aux valeurs de référence qui respectivement de 0,6 kg/m3 pour la productivité physique et de 130 FCFA/m3 pour la productivité économique. Cela traduit la mobilisation d’une grande quantité d’eau pour une faible production. Mais le constat est que durant les deux périodes l’excès d’eau qui n’est pas utilisé ne constitue pas une perte à l’échelle du bassin versant. Car cette eau regagne le fleuve et est utilisée plus loin en aval. On pouvait considérer ces excès d’eau comme des pertes si nous étions dans un système où l’irrigation se fait par pompage alors qu’à l’ON l’irrigation est gravitaire. Mémoire FPL Master Spécialisé GIRE. Calcul de la productivité de l’eau dans les zones de production de l’office du Niger au Mali [texte imprimé] / Moussa DIAKITE . - 2009 . - 38p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Notre étude a concerné le calcul de la productivité de l’eau dans les six zones de production de l’Office du Niger. Les résultats que nous avons obtenus dans les différentes zones sont inférieurs aux valeurs de référence qui respectivement de 0,6 kg/m3 pour la productivité physique et de 130 FCFA/m3 pour la productivité économique. Cela traduit la mobilisation d’une grande quantité d’eau pour une faible production. Mais le constat est que durant les deux périodes l’excès d’eau qui n’est pas utilisé ne constitue pas une perte à l’échelle du bassin versant. Car cette eau regagne le fleuve et est utilisée plus loin en aval. On pouvait considérer ces excès d’eau comme des pertes si nous étions dans un système où l’irrigation se fait par pompage alors qu’à l’ON l’irrigation est gravitaire. Réservation
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