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Auteur Danielle Miranise Sidbéwendé OUEDRAOGO |
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Mémoire FPL Master Ingénierie Eau et Assainissement. Réutilisation combinée des eaux grises et excréta humains en agriculture en milieu sahélien / Danielle Miranise Sidbéwendé OUEDRAOGO
Titre de série : Mémoire FPL Master Ingénierie Eau et Assainissement Titre : Réutilisation combinée des eaux grises et excréta humains en agriculture en milieu sahélien Type de document : texte imprimé Auteurs : Danielle Miranise Sidbéwendé OUEDRAOGO Année de publication : 2014 Importance : 57p. Langues : Français (fre) Résumé : La réutilisation des sous-produits de l’assainissement écologique (eaux grises traitées, urines hygienisées et compost à base de fèces humaines) en agriculture se présente de nos jours comme une solution pour pallier aux problèmes de la rareté de l’eau et de l’insécurité alimentaire en Afrique subsaharienne. Cependant, une attention particulière doit être portée sur l’impact des sous- produits de l’assainissement écologique sur le sol et sur les cultures. La présente étude a consisté à évaluer les effets des sous-produits de l’assainissement écologique sur la culture du gombo (Abelmoschus esculentus (L.) Moench) et sur le sol. Des essais expérimentaux ont été réalisés en plein champs sur le site du projet Améli-Eaur à Kamboinse avec la variété Indiana du gombo. Il y a eu au total 6 types de traitements (Compost+Urine+EB), (Compost+Urine+EGTS), (NPK+EB), (NPK+EGTS), (EB), (EGTS) répétés 3 fois. L’irrigation s’est faite avec les eaux grises de la Station de traitement par Chenal Algal à Haut Rendement (CAHR) et les eaux de barrage qui constitue la principale source d’eau d’irrigation des riverains. Une caractérisation des eaux d’irrigation, des urines, du compost et du sol a été réalisée avant de commencer les cultures. Après culture, les effets de ces différents traitements sur le sol (profondeurs 0-15 et 15-30cm) et les paramètres agronomiques ont été évalués. De cette étude, il ressort que les eaux grises traitées du Chenal Algal à Haut rendement ont un impact positif sur la croissance et le rendement des plantes (0,72T/ha). En ce qui concerne le sol, il n’y a pas de différence significative (p<0,05) entre le pH des sols cultivés et le sol initial. En ce qui concerne le Ratio d’Absorption du Sodium (SAR), certes il n’y a pas de différence significative entre les sols traités et le sol initial, mais des valeurs élevées (12, 10) ont été observées au niveau des sols irrigués avec les eaux grises surtout à la profondeur 0-15 cm. En somme, la réutilisation des sous-produits de l’assainissement est une alternative viable pour garantir la sécurité alimentaire dans les pays en voie de développement.
Abstract : Nowadays, the reuse of product of ecological sanitation (grey treated water, human urine and compost) in agriculture introduces itself like a solution to solve the problems of the lack of water and food insecurity in sub-saharan africa. However, a particular attention must be made to the impact of the product of ecological sanitation to soil and crops. This survey, consist to evaluate the impact of grey water treated, urine and compost with the cultivation of okra (Abelmoschus esculentus) and soil. Some experiences have conducted to the experimental site of the project Améli-Eaur with the variety of okra (Indiana). There was six treatments (compost+urine+EB), (Compost+Urine+EGTS), (NPK+EB), (NPK+EGTS), (EB), (EGTS) with three repetitions. The irrigation was done with grey water treated from an high efficiency algal pond and dam water that constitutes the mean source of irrigation’s water for the market gardener. The soil, grey water, urine and compost were characterized before and after the experimentation. The impact of these different treatments for the soil (depth: 0-15cm and 15-30cm) was determined, and also agronomic parameters. It emerged from this study that the grey treated water from an high efficiency algal pond has a positive impact on the growth and yield plant (0,72T/ha). For soil, there is not a significant difference (p<0, 05) between pH of soil treated with grey water and pH of untreated soil. It is the same of SAR, but there is high quantity of SAR (12, 10) at the depth (0-15) cm for soil irrigated with grey treated water. To resume, the reuse of product of sanitation is a good alternative to guarantee the food security in developing countries.Mémoire FPL Master Ingénierie Eau et Assainissement. Réutilisation combinée des eaux grises et excréta humains en agriculture en milieu sahélien [texte imprimé] / Danielle Miranise Sidbéwendé OUEDRAOGO . - 2014 . - 57p.
Langues : Français (fre)
Résumé : La réutilisation des sous-produits de l’assainissement écologique (eaux grises traitées, urines hygienisées et compost à base de fèces humaines) en agriculture se présente de nos jours comme une solution pour pallier aux problèmes de la rareté de l’eau et de l’insécurité alimentaire en Afrique subsaharienne. Cependant, une attention particulière doit être portée sur l’impact des sous- produits de l’assainissement écologique sur le sol et sur les cultures. La présente étude a consisté à évaluer les effets des sous-produits de l’assainissement écologique sur la culture du gombo (Abelmoschus esculentus (L.) Moench) et sur le sol. Des essais expérimentaux ont été réalisés en plein champs sur le site du projet Améli-Eaur à Kamboinse avec la variété Indiana du gombo. Il y a eu au total 6 types de traitements (Compost+Urine+EB), (Compost+Urine+EGTS), (NPK+EB), (NPK+EGTS), (EB), (EGTS) répétés 3 fois. L’irrigation s’est faite avec les eaux grises de la Station de traitement par Chenal Algal à Haut Rendement (CAHR) et les eaux de barrage qui constitue la principale source d’eau d’irrigation des riverains. Une caractérisation des eaux d’irrigation, des urines, du compost et du sol a été réalisée avant de commencer les cultures. Après culture, les effets de ces différents traitements sur le sol (profondeurs 0-15 et 15-30cm) et les paramètres agronomiques ont été évalués. De cette étude, il ressort que les eaux grises traitées du Chenal Algal à Haut rendement ont un impact positif sur la croissance et le rendement des plantes (0,72T/ha). En ce qui concerne le sol, il n’y a pas de différence significative (p<0,05) entre le pH des sols cultivés et le sol initial. En ce qui concerne le Ratio d’Absorption du Sodium (SAR), certes il n’y a pas de différence significative entre les sols traités et le sol initial, mais des valeurs élevées (12, 10) ont été observées au niveau des sols irrigués avec les eaux grises surtout à la profondeur 0-15 cm. En somme, la réutilisation des sous-produits de l’assainissement est une alternative viable pour garantir la sécurité alimentaire dans les pays en voie de développement.
Abstract : Nowadays, the reuse of product of ecological sanitation (grey treated water, human urine and compost) in agriculture introduces itself like a solution to solve the problems of the lack of water and food insecurity in sub-saharan africa. However, a particular attention must be made to the impact of the product of ecological sanitation to soil and crops. This survey, consist to evaluate the impact of grey water treated, urine and compost with the cultivation of okra (Abelmoschus esculentus) and soil. Some experiences have conducted to the experimental site of the project Améli-Eaur with the variety of okra (Indiana). There was six treatments (compost+urine+EB), (Compost+Urine+EGTS), (NPK+EB), (NPK+EGTS), (EB), (EGTS) with three repetitions. The irrigation was done with grey water treated from an high efficiency algal pond and dam water that constitutes the mean source of irrigation’s water for the market gardener. The soil, grey water, urine and compost were characterized before and after the experimentation. The impact of these different treatments for the soil (depth: 0-15cm and 15-30cm) was determined, and also agronomic parameters. It emerged from this study that the grey treated water from an high efficiency algal pond has a positive impact on the growth and yield plant (0,72T/ha). For soil, there is not a significant difference (p<0, 05) between pH of soil treated with grey water and pH of untreated soil. It is the same of SAR, but there is high quantity of SAR (12, 10) at the depth (0-15) cm for soil irrigated with grey treated water. To resume, the reuse of product of sanitation is a good alternative to guarantee the food security in developing countries.Exemplaires(0)
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DanielleAdobe Acrobat PDF Mémoire Master Spécialisé WASH. Analyse des pratiques de gestion des points d’eau dans les centres de santé et de promotion sociale (CSPS) / Danielle Miranise Sidbéwendé OUEDRAOGO
Titre de série : Mémoire Master Spécialisé WASH Titre : Analyse des pratiques de gestion des points d’eau dans les centres de santé et de promotion sociale (CSPS) : cas du district sanitaire de Diapaga (Province de la Tapoa/Région de l’Est- Burkina Faso). Type de document : texte imprimé Auteurs : Danielle Miranise Sidbéwendé OUEDRAOGO Année de publication : 2015 Importance : 67 p. Langues : Français (fre) Résumé : La gestion des points d’eau au Burkina Faso demeure un problème crucial. Sur le plan communautaire, ce sont les AUE qui s’occupent de la gestion des points d’eau et dans les CSPS les COGES qui s’en occupent. Une bonne gestion des points d’eau pourrait être une solution pour pallier les pannes récurrentes et le manque d’entretien des forages.
Cette étude s’est intéressée à la gestion des points d’eau dans 13 CSPS de la Tapoa. Ces CSPS ont été choisi dans 5 communes da la dite province à savoir : Diapaga, Namounou, Tansarga, Logobou, Kantchari. Des entretiens ont été réalisés à deux niveaux : dans ces CSPS avec les membres des comités de gestion, les agents de santé et dans les communes ce sont les artisans réparateurs, les PDS, les communautés aux alentours des CSPS et les membres d’AUE qui ont été rencontrés. Une analyse des enquêtes réalisées a été faite. Ces analyses ont intéressés la fréquence des pannes des différents forages, l’entretien des forages, l’organisation des COGES, le paiement de l’eau, l’existence de compte bancaire au nom du point d’eau, le suivi de la réforme des infrastructures hydrauliques au Burkina Faso.
De cette étude il ressort que seulement 38% des forages dans les CSPS n’ont pas encore connu de panne. Les 62% connaissent des pannes depuis leur construction ou réhabilitation. En ce qui concerne le paiement de l’eau, dans 38% des points d’Eau (PE) il n’y a pas de paiement de l’eau, pour 31% le paiement se fait par mois et par ménage, dans les 31% restants le paiement se fait au moment du prélèvement. 46% des comités de gestion affirment que l’entretien des forages est respecté dans leur CSPS. Seulement 38% des COGES des CSPS enquêtés possèdent un compte bancaire pour l’eau, 31% ont une caisse pour l’eau, dans 23% des COGES l’argent est remis au trésorier et dans 8% des cas dans la caisse du COGES. Pour la réforme, 38,5% des COGES nous ont affirmés utiliser la réforme adaptée par ACF pour la gestion de leurs points d’eau. Il n’y a pas encore de contrat signé entre les communes et les AR pour les tournées de maintenance des forages. Les AUE essaient de mettre en application la réforme avec beaucoup de difficultés.
Une organisation conjointe entre la municipalité et les COGES pourrait permettre de gérer efficacement les difficultés énumérées plus haut. Des recommandations ont été formulées pour faciliter cette organisation.
Abstract : The management of water points in Burkina remains crucial issue. In community, there are some water’s partnerships called AUE which are involved in the management of water points. In the CSPS, these are the COGES which are involved in the management of water points. Good management of water points could be a solution to make up for the recurrent breakdowns, lack of maintenance of the drillings.
This survey looked at the management of water points in 13 CSPS in Tapoa. These CSPS were selected in 5 townships of Tapoa whose : Diapaga , Namounou , Tansarga, Logobou, Kantchari. Interviews were conducted at two levels: in the CSPS with members of management committees, health workers in public and in the townships these are the craftsmen, the PDS, communities around the CSPS and members of water’s partnerships which were met. An analysis of field surveys was made. In this analysis we looked at the frequency of breakdowns of different drillings, the maintenance of drilling, the organization of COGES, the payment of water, the existence of bank accounts in the name of water point, at the follow up monitoring of the reform of the water infrastructures in Burkina Faso.
This study shows that only 38% of drilling in the CSPS has not experienced failure. The 62% know breakdowns since their construction or rehabilitation. Regarding the payment of water, in 38% of water points (PE) there is no payment of water, for 31% the payment is made every month by household, in remaining 31% payment is made at the time of sampling. 46% of management committees say that the boreholes’s maintenance is respected in their CSPS. Only 38% of COGES of CSPS investigated have a bank account for water , 31% have a cash desk for water, in 23% of COGES money is handed over to the treasurer and in 8% of cases in the cash desk of the COGES. According to the reform, 38.5% of COGES have asserted that they use reform adapted by ACF for the management of their water points. There is not yet contract between the municipalities and the craftsmen for drillings maintenance.
Water’s partnerships called AUE are trying to implement the reform with many difficulties.
Better organization between municipalities and COGES would allow a better management of difficulties encountered. Some recommendations have been proposed in the present document.Mémoire Master Spécialisé WASH. Analyse des pratiques de gestion des points d’eau dans les centres de santé et de promotion sociale (CSPS) : cas du district sanitaire de Diapaga (Province de la Tapoa/Région de l’Est- Burkina Faso). [texte imprimé] / Danielle Miranise Sidbéwendé OUEDRAOGO . - 2015 . - 67 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : La gestion des points d’eau au Burkina Faso demeure un problème crucial. Sur le plan communautaire, ce sont les AUE qui s’occupent de la gestion des points d’eau et dans les CSPS les COGES qui s’en occupent. Une bonne gestion des points d’eau pourrait être une solution pour pallier les pannes récurrentes et le manque d’entretien des forages.
Cette étude s’est intéressée à la gestion des points d’eau dans 13 CSPS de la Tapoa. Ces CSPS ont été choisi dans 5 communes da la dite province à savoir : Diapaga, Namounou, Tansarga, Logobou, Kantchari. Des entretiens ont été réalisés à deux niveaux : dans ces CSPS avec les membres des comités de gestion, les agents de santé et dans les communes ce sont les artisans réparateurs, les PDS, les communautés aux alentours des CSPS et les membres d’AUE qui ont été rencontrés. Une analyse des enquêtes réalisées a été faite. Ces analyses ont intéressés la fréquence des pannes des différents forages, l’entretien des forages, l’organisation des COGES, le paiement de l’eau, l’existence de compte bancaire au nom du point d’eau, le suivi de la réforme des infrastructures hydrauliques au Burkina Faso.
De cette étude il ressort que seulement 38% des forages dans les CSPS n’ont pas encore connu de panne. Les 62% connaissent des pannes depuis leur construction ou réhabilitation. En ce qui concerne le paiement de l’eau, dans 38% des points d’Eau (PE) il n’y a pas de paiement de l’eau, pour 31% le paiement se fait par mois et par ménage, dans les 31% restants le paiement se fait au moment du prélèvement. 46% des comités de gestion affirment que l’entretien des forages est respecté dans leur CSPS. Seulement 38% des COGES des CSPS enquêtés possèdent un compte bancaire pour l’eau, 31% ont une caisse pour l’eau, dans 23% des COGES l’argent est remis au trésorier et dans 8% des cas dans la caisse du COGES. Pour la réforme, 38,5% des COGES nous ont affirmés utiliser la réforme adaptée par ACF pour la gestion de leurs points d’eau. Il n’y a pas encore de contrat signé entre les communes et les AR pour les tournées de maintenance des forages. Les AUE essaient de mettre en application la réforme avec beaucoup de difficultés.
Une organisation conjointe entre la municipalité et les COGES pourrait permettre de gérer efficacement les difficultés énumérées plus haut. Des recommandations ont été formulées pour faciliter cette organisation.
Abstract : The management of water points in Burkina remains crucial issue. In community, there are some water’s partnerships called AUE which are involved in the management of water points. In the CSPS, these are the COGES which are involved in the management of water points. Good management of water points could be a solution to make up for the recurrent breakdowns, lack of maintenance of the drillings.
This survey looked at the management of water points in 13 CSPS in Tapoa. These CSPS were selected in 5 townships of Tapoa whose : Diapaga , Namounou , Tansarga, Logobou, Kantchari. Interviews were conducted at two levels: in the CSPS with members of management committees, health workers in public and in the townships these are the craftsmen, the PDS, communities around the CSPS and members of water’s partnerships which were met. An analysis of field surveys was made. In this analysis we looked at the frequency of breakdowns of different drillings, the maintenance of drilling, the organization of COGES, the payment of water, the existence of bank accounts in the name of water point, at the follow up monitoring of the reform of the water infrastructures in Burkina Faso.
This study shows that only 38% of drilling in the CSPS has not experienced failure. The 62% know breakdowns since their construction or rehabilitation. Regarding the payment of water, in 38% of water points (PE) there is no payment of water, for 31% the payment is made every month by household, in remaining 31% payment is made at the time of sampling. 46% of management committees say that the boreholes’s maintenance is respected in their CSPS. Only 38% of COGES of CSPS investigated have a bank account for water , 31% have a cash desk for water, in 23% of COGES money is handed over to the treasurer and in 8% of cases in the cash desk of the COGES. According to the reform, 38.5% of COGES have asserted that they use reform adapted by ACF for the management of their water points. There is not yet contract between the municipalities and the craftsmen for drillings maintenance.
Water’s partnerships called AUE are trying to implement the reform with many difficulties.
Better organization between municipalities and COGES would allow a better management of difficulties encountered. Some recommendations have been proposed in the present document.Exemplaires(0)
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