Titre de série : |
Master d'Ingénierie Génie Civil - Bâtiment et Travaux Publics |
Titre : |
Pathologies du bâtiment : diagnostics et solutions envisageables contre les problèmes d’étanchéité a l’eau de l’immeuble de la BCEAO dans la ville de Ouagadougou au Burkina Faso. |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Aurélien Narcisse KABORE |
Année de publication : |
2023 |
Importance : |
106 p. |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
L’Homme dans sa quête d’un habitat confortable a fait de l’étanchéité à l’eau un des paramètres essentiels, d’autant plus qu’il aspire à construire grand, haut, et sous terre. En effet les exigences de l’Homme ont conduit à l’apparition des toitures terrasses et jardins, des joints de dilatations, des ouvrages enterrés et d’autres points singuliers, tous exposés à des infiltrations d’eau s’ils ne sont pas traités dans les règles de l’art.
Dans la ville de OUAGADOUGOU au BURKINA FASO plusieurs bâtiments connaissent des problèmes d’infiltration d’eau. C’est notamment le cas de l’immeuble de l’agence principal de la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) dont les problèmes d’étanchéité feront l’objet de notre étude, dont le but est d’en déterminer les causes et de proposer des solutions de réparations efficaces. Avec plus de 2500m² de toiture terrasse et autant de surface en partie enterrée, près de 600m² de toitures jardin, plus de 320ml de joints de dilatation qui la traverse des toitures aux fondations, ce bâtiment de dix étages avec sous-sol, vieux de trente-quatre (34) ans, nécessitera plus de cinq-cent-millions de francs CFA pour la réparation de son système d’étanchéité selon les résultats de notre étude. L’essentiel des solutions proposées consiste en la reprise totale de l’étanchéité des toitures en fonction de leur usage, le traitement des joints de dilatations en toiture et en façades selon des principes distincts, et pour les parties enterrées un revêtement d’imperméabilisation au mortier hydrofuge épais après traitement des joints enterrés.
La méthodologie de diagnostic et les solutions retenues dans cette étude, bien que s’appuyant sur le cas concret du bâtiment de la BCEAO à OUAGADOUGOU, pourraient servir de base pour la résolution de problèmes d’étanchéité de plusieurs autres bâtiments existants ou à venir dans les villes du BURKINA FASO.?
Abstract : In his quest for a comfortable habitat, Human has made waterproofing one of the essential parameters, especially since he aspires to build large, high, and underground. Indeed, the requirements of Human have led to the appearance of roof terraces and gardens, expansion joints, buried works and other singular points, all exposed to water infiltration if they are not treated in the rules of art.
In the city of OUAGADOUGOU in BURKINA FASO, several buildings are experiencing water infiltration problems. This is notably the case of the building of the main agency of the Central Bank of West African States (BCEAO) whose waterproofing problems will be the subject of our study, whose goal is to determine the causes and propose effective repair solutions. With more than 2500m² of flat roof and as much surface partly buried, nearly 600m² of garden roof, more than 320ml of expansion joints which crosses it from the roofs to the foundations, this building of ten floors with basement, thirty-four (34) years old, will require more than five hundred million CFA francs for the repair of its waterproofing system according to the results of our study. The main part of the proposed solutions consists in the total resumption of the waterproofing of the roofs according to their use, the treatment of the expansion joints in the roof and in the facades according to distinct principles, and for the buried parts a waterproofing coating with thick waterproof mortar after treatment of the buried joints.
The diagnosis methodology and the solutions retained in this study, although based on the concrete case of the BCEAO building in OUAGADOUGOU, could be used as a basis for the resolution of waterproofing problems of several other existing or future buildings in the cities of BURKINA FASO. |
Master d'Ingénierie Génie Civil - Bâtiment et Travaux Publics. Pathologies du bâtiment : diagnostics et solutions envisageables contre les problèmes d’étanchéité a l’eau de l’immeuble de la BCEAO dans la ville de Ouagadougou au Burkina Faso. [texte imprimé] / Aurélien Narcisse KABORE . - 2023 . - 106 p. Langues : Français ( fre)
Résumé : |
L’Homme dans sa quête d’un habitat confortable a fait de l’étanchéité à l’eau un des paramètres essentiels, d’autant plus qu’il aspire à construire grand, haut, et sous terre. En effet les exigences de l’Homme ont conduit à l’apparition des toitures terrasses et jardins, des joints de dilatations, des ouvrages enterrés et d’autres points singuliers, tous exposés à des infiltrations d’eau s’ils ne sont pas traités dans les règles de l’art.
Dans la ville de OUAGADOUGOU au BURKINA FASO plusieurs bâtiments connaissent des problèmes d’infiltration d’eau. C’est notamment le cas de l’immeuble de l’agence principal de la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) dont les problèmes d’étanchéité feront l’objet de notre étude, dont le but est d’en déterminer les causes et de proposer des solutions de réparations efficaces. Avec plus de 2500m² de toiture terrasse et autant de surface en partie enterrée, près de 600m² de toitures jardin, plus de 320ml de joints de dilatation qui la traverse des toitures aux fondations, ce bâtiment de dix étages avec sous-sol, vieux de trente-quatre (34) ans, nécessitera plus de cinq-cent-millions de francs CFA pour la réparation de son système d’étanchéité selon les résultats de notre étude. L’essentiel des solutions proposées consiste en la reprise totale de l’étanchéité des toitures en fonction de leur usage, le traitement des joints de dilatations en toiture et en façades selon des principes distincts, et pour les parties enterrées un revêtement d’imperméabilisation au mortier hydrofuge épais après traitement des joints enterrés.
La méthodologie de diagnostic et les solutions retenues dans cette étude, bien que s’appuyant sur le cas concret du bâtiment de la BCEAO à OUAGADOUGOU, pourraient servir de base pour la résolution de problèmes d’étanchéité de plusieurs autres bâtiments existants ou à venir dans les villes du BURKINA FASO.?
Abstract : In his quest for a comfortable habitat, Human has made waterproofing one of the essential parameters, especially since he aspires to build large, high, and underground. Indeed, the requirements of Human have led to the appearance of roof terraces and gardens, expansion joints, buried works and other singular points, all exposed to water infiltration if they are not treated in the rules of art.
In the city of OUAGADOUGOU in BURKINA FASO, several buildings are experiencing water infiltration problems. This is notably the case of the building of the main agency of the Central Bank of West African States (BCEAO) whose waterproofing problems will be the subject of our study, whose goal is to determine the causes and propose effective repair solutions. With more than 2500m² of flat roof and as much surface partly buried, nearly 600m² of garden roof, more than 320ml of expansion joints which crosses it from the roofs to the foundations, this building of ten floors with basement, thirty-four (34) years old, will require more than five hundred million CFA francs for the repair of its waterproofing system according to the results of our study. The main part of the proposed solutions consists in the total resumption of the waterproofing of the roofs according to their use, the treatment of the expansion joints in the roof and in the facades according to distinct principles, and for the buried parts a waterproofing coating with thick waterproof mortar after treatment of the buried joints.
The diagnosis methodology and the solutions retained in this study, although based on the concrete case of the BCEAO building in OUAGADOUGOU, could be used as a basis for the resolution of waterproofing problems of several other existing or future buildings in the cities of BURKINA FASO. |
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