La pollution de l'air, notamment celle issue du transport routier, représente un défi environnemental majeur, affectant à la fois l'équilibre écologique et la santé humaine. Ce projet explore les impacts des émissions de polluants tels que le dioxyde de carbone (CO?), le monoxyde de carbone (CO), les oxydes d'azote (NO?), les oxydes de soufre (SO?) et les particules fines (PM), en mettant en lumière les facteurs techniques et météorologiques influençant leur dispersion. À travers une méthodologie basée sur la modélisation gaussienne, intégrant des paramètres comme le volume de trafic et les conditions météorologiques, l'étude a été appliquée au cas de l'autoroute A1 reliant Casablanca et Rabat. Un point spécifique, situé aux coordonnées (1000, 100), a été choisi pour représenter un lieu sensible tel qu'une école, un hôpital ou une zone résidentielle, dans le cadre de cette étude. Les résultats ont révélé des concentrations élevées de polluants près des axes routiers, dépassant largement les normes internationales. Par exemple, pour le CO?, au point (1000, 100), la concentration observée était de 180 116,86 μg/m³, inférieure à la limite journalière recommandée par l'EPA (1 830 280 μg/m³). Ces résultats soulignent l'importance de la modélisation pour anticiper les problèmes d'émissions et guider les stratégies de réduction. En conclusion, des mesures telles que la promotion des technologies vertes, l'amélioration des transports en commun et la sensibilisation du public sont essentielles pour atténuer la pollution et favoriser un développement durable. À l'avenir, il sera crucial de renforcer les politiques de régulation des émissions, d'encourager l'adoption de véhicules électriques ou hybrides, et d'optimiser la gestion du trafic, tout en intégrant des technologies avancées comme les capteurs en temps réel.

La pollution de l'air, notamment celle issue du transport routier, représente un défi environnemental majeur, affectant à la fois l'équilibre écologique et la santé humaine. Ce projet explore les impacts des émissions de polluants tels que le dioxyde de carbone (CO?), le monoxyde de carbone (CO), les oxydes d'azote (NO?), les oxydes de soufre (SO?) et les particules fines (PM), en mettant en lumière les facteurs techniques et météorologiques influençant leur dispersion. À travers une méthodologie basée sur la modélisation gaussienne, intégrant des paramètres comme le volume de trafic et les conditions météorologiques, l'étude a été appliquée au cas de l'autoroute A1 reliant Casablanca et Rabat. Un point spécifique, situé aux coordonnées (1000, 100), a été choisi pour représenter un lieu sensible tel qu'une école, un hôpital ou une zone résidentielle, dans le cadre de cette étude. Les résultats ont révélé des concentrations élevées de polluants près des axes routiers, dépassant largement les normes internationales. Par exemple, pour le CO?, au point (1000, 100), la concentration observée était de 180 116,86 μg/m³, inférieure à la limite journalière recommandée par l'EPA (1 830 280 μg/m³). Ces résultats soulignent l'importance de la modélisation pour anticiper les problèmes d'émissions et guider les stratégies de réduction. En conclusion, des mesures telles que la promotion des technologies vertes, l'amélioration des transports en commun et la sensibilisation du public sont essentielles pour atténuer la pollution et favoriser un développement durable. À l'avenir, il sera crucial de renforcer les politiques de régulation des émissions, d'encourager l'adoption de véhicules électriques ou hybrides, et d'optimiser la gestion du trafic, tout en intégrant des technologies avancées comme les capteurs en temps réel.