Pour améliorer la cogestion des stocks alimentaires et non alimentaires destinés à l’aide du Programme Alimentaire Mondial (PAM) au Burkina Faso, il est apparu nécessaire d’évaluer le dispositif actuellement en place, en tenant compte des textes réglementaires. Dans ce cadre, une analyse FFOM (forces, faiblesses, opportunités et menaces) a été réalisée. Elle a permis d’apprécier les pratiques de cogestion, de mettre en évidence les principales contraintes et de proposer des recommandations afin de renforcer l’efficacité, la transparence et la durabilité des opérations. L’analyse met en évidence plusieurs défis persistants liés à la coordination des activités, au suivi des stocks et à la répartition équitable des ressources. Malgré l’existence de mécanismes de collaboration, certaines limites demeurent, notamment en ce qui concerne l’implication des services de l’État, la transparence des procédures et l’adaptation des infrastructures logistiques. Le rapport souligne également une participation encore insuffisante de l’État dans le processus d’approvisionnement et dans la gestion des stocks. Le rapport préconise un renforcement de la coordination entre le PAM et le Gouvernement, une meilleure optimisation des infrastructures de stockage, ainsi qu’une clarification des rôles et responsabilités des différentes parties prenantes. Il suggère également de capitaliser sur les initiatives nationales en matière de souveraineté alimentaire, notamment en favorisant les achats locaux et en soutenant la production nationale.

Pour améliorer la cogestion des stocks alimentaires et non alimentaires destinés à l’aide du Programme Alimentaire Mondial (PAM) au Burkina Faso, il est apparu nécessaire d’évaluer le dispositif actuellement en place, en tenant compte des textes réglementaires. Dans ce cadre, une analyse FFOM (forces, faiblesses, opportunités et menaces) a été réalisée. Elle a permis d’apprécier les pratiques de cogestion, de mettre en évidence les principales contraintes et de proposer des recommandations afin de renforcer l’efficacité, la transparence et la durabilité des opérations. L’analyse met en évidence plusieurs défis persistants liés à la coordination des activités, au suivi des stocks et à la répartition équitable des ressources. Malgré l’existence de mécanismes de collaboration, certaines limites demeurent, notamment en ce qui concerne l’implication des services de l’État, la transparence des procédures et l’adaptation des infrastructures logistiques. Le rapport souligne également une participation encore insuffisante de l’État dans le processus d’approvisionnement et dans la gestion des stocks. Le rapport préconise un renforcement de la coordination entre le PAM et le Gouvernement, une meilleure optimisation des infrastructures de stockage, ainsi qu’une clarification des rôles et responsabilités des différentes parties prenantes. Il suggère également de capitaliser sur les initiatives nationales en matière de souveraineté alimentaire, notamment en favorisant les achats locaux et en soutenant la production nationale.