Ce rapport présente les résultats du diagnostic organisationnel réalisé au sein du département Santé Sécurité Développement Durable (SSDD) de la mine d’IAMGOLD Essakane, située dans la région du Liptako (Burkina Faso) et en activité depuis 2010. Le SSDD, composé de 88 employés répartis entre les services SSER (santé-sécurité-environnement-réhabilitation) et SRDC (développement et relations communautaires), joue un rôle central de support dans un contexte sécuritaire exigeant. L’étude, axée sur des entretiens, observations et analyses documentaires, a mobilisé les modèles McKinsey 7S et SWOT, croisant les perceptions internes avec les normes ISO et les exigences RSE. Elle révèle de ce fait, une structure solide, dotée d’une expertise reconnue en gestion des risques et de procédures formalisées. Toutefois, des limites sont identifiées : effectifs insuffisants, lourdeur procédurale, communication trop technique, faible anticipation stratégique et posture trop centrée sur le contrôle. La saisie des opportunités dégagées de cette étude, telles : l’intégration plus en amont du département dans les différents projets, la simplification et contextualisation de ses processus, le développement de la formation continue avec des supports visuels adaptés, et la consolidation d’une culture de prévention participative ; permettrait un renforcement de la valeur ajoutée du département SSDD. Cependant l’absence de traitement des menaces comme la démotivation, la complexité administrative, la non-conformité, et le manque de veille ; pourrait freiner les performances.

Ce rapport présente les résultats du diagnostic organisationnel réalisé au sein du département Santé Sécurité Développement Durable (SSDD) de la mine d’IAMGOLD Essakane, située dans la région du Liptako (Burkina Faso) et en activité depuis 2010. Le SSDD, composé de 88 employés répartis entre les services SSER (santé-sécurité-environnement-réhabilitation) et SRDC (développement et relations communautaires), joue un rôle central de support dans un contexte sécuritaire exigeant. L’étude, axée sur des entretiens, observations et analyses documentaires, a mobilisé les modèles McKinsey 7S et SWOT, croisant les perceptions internes avec les normes ISO et les exigences RSE. Elle révèle de ce fait, une structure solide, dotée d’une expertise reconnue en gestion des risques et de procédures formalisées. Toutefois, des limites sont identifiées : effectifs insuffisants, lourdeur procédurale, communication trop technique, faible anticipation stratégique et posture trop centrée sur le contrôle. La saisie des opportunités dégagées de cette étude, telles : l’intégration plus en amont du département dans les différents projets, la simplification et contextualisation de ses processus, le développement de la formation continue avec des supports visuels adaptés, et la consolidation d’une culture de prévention participative ; permettrait un renforcement de la valeur ajoutée du département SSDD. Cependant l’absence de traitement des menaces comme la démotivation, la complexité administrative, la non-conformité, et le manque de veille ; pourrait freiner les performances.