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Mémoire FPL Master Ingénierie Eau et Assainissement. Accès a l’eau potable et a l’assainissement de base dans les milieux périurbains du district de Bamako / Dieu-donné KAKA
Titre de série : Mémoire FPL Master Ingénierie Eau et Assainissement Titre : Accès a l’eau potable et a l’assainissement de base dans les milieux périurbains du district de Bamako : cas des quartiers Senou, Yirimadio et Niamakoro de la commune VI Type de document : texte imprimé Auteurs : Dieu-donné KAKA Année de publication : 2014 Importance : 82p. Langues : Français (fre) Résumé : Les quartiers périurbains du district de Bamako en général et ceux de la commune VI en particulier sont confrontés à une forte explosion démographique doublée d’une urbanisation anarchique. Cette situation engendre une forte demande de services urbains de base notamment dans les domaines de l’eau et de l’assainissement. Malgré les efforts déjà consentis, les résultats obtenus sont loin de combler les attentes.
La présente étude a pour principal objectif de contribuer à la promotion d’un accès équitable à l’eau potable et à l’assainissement de base dans les milieux périurbains du district de Bamako particulièrement dans les quartiers de Niamakoro, Sénou et Yirimadio de la commune VI. Pour ce faire elle s’est basée sur les enquêtes par questionnaire auprès des ménages, les enquêtes géographiques, les observations directes et les entretiens avec les acteurs intervenant dans le secteur.
Les enquêtes par questionnaire ont été réalisées sur 356 ménages dont 165 à Niamakoro, 91 à Sénou et 100 à Yirimadio. Les enquêtes géographiques ont été faites avec le Global Position System pour recenser les points d’eau potable de la zone d’étude. Les données ont été traitées à l’aide des logiciels dont MapSource et des outils et applications de Système d’Information Géographique.
Les résultats indiquent une prédominance des bornes fontaines avec de forts taux de fonctionnalités de façon générale (93,07% à Yirimadio et 92,88% à Niamakoro) et leur inexistence à Sénou. La majorité des ménages à Niamakoro (81,93%) sont à moins de 200 mètres des points d’eau potable tandis que celle des ménages de Sénou (78,38%) et pour seulement 32,20% des ménages à Yirimadio sont à plus de 201 mètres des points d’eau potable. La quantité moyenne d’eau consommée par jour et par personne a été évaluée à 34,97 litres dans l’ensemble de la zone. Au moins 74% des 67,98% des ménages qui achètent de l’eau jugent cher le prix d’achat. 69,10% de l’échantillon enquêté connaissent de difficultés d’accès à l’eau. Il existe dans la zone une diversité de modes d’approvisionnement en eau et une distribution d’eau potable très intermittente à Niamakoro. Les pousse-pousse sont les moyens de transport les plus utilisés par les ménages. Les bidons (de 20 litres souvent) sont les principaux récipients de collecte utilisés dans l’ensemble des ménages et les jarres servent majoritairement comme récipients de stockage de l’eau.
Presque tous les ménages enquêtés disposent et utilisent des latrines pour l’évacuation des excréta. La majorité des latrines sont de type traditionnel à Sénou (79,85%) et de type VIP à Yirimadio (69,85%) et à Niamakoro (65,45%). Aussi, l’absence de système adapté de collecte et d’évacuation des eaux usées au niveau des ménages fait que 66,85% des eaux de lessive et de vaisselle et 32,30% des eaux de douches sont rejetées dans la rue. La gestion des déchets solides et des boues de vidange caractérisée par l’inexistence d’un centre d’enfouissement technique et d’une station de traitement des boues de vidange dans le district est à l’étape primitive. Les bonnes pratiques d’hygiène ne sont pas bien adoptées.
Abstract : Peri-urban areas of the District of Bamako in general and those of the common VI in particular are faced to a rapid population explosion coupled with uncontrolled urbanization. This situation leads a strong demand of basic urban services particularly in the water and sanitation sector. Despite previous efforts, the results are far from meeting expectations.
Contribute to the promotion of equitable access to safe drinking water and basic sanitation in
peri-urban areas of Bamako district particularly in the areas of Niamakoro, Sénou and Yirimadio of common VI is this study's main objective. To do this, it is based on questionnary surveys of households, geographic surveys, direct observation and interviews with those involved in the sector.
Questionnary surveys were conducted on 356 households that 165 at Niamakoro, 91 at Sénou and 100 at Yirimadio. Geographical investigations were made with the Global Positioning System to identify drinking water sources in the study area. The data were processed using software that MapSource, tools and applications of Geographic Information System.
The results indicate a predominance of public drinking fountains with high levels of functionality in general (93.07% at Yirimadio and 92.88% at Niamakoro) and their absence at Sénou. The majority of households at Niamakoro (81.93%) are within 200 meters of drinking water points while that of households at Sénou (78.38%) and only 32.20% of households at Yirimadio are more than 201 meters of drinking water points. The average amount of water consumed per day per person was estimated at 34.97 liters in the whole area. At least 74% of the 67.98% of households buying water hold dear the purchase price. 69.10% of the sample surveyed experiencing difficulties in accessing water. There is a diversity in the area of water supply modes and a very intermittent drinking water at Niamakoro. Rickshaws are the means of transport used by households. Cans (20 liters often) are the main collection containers used in all households and jars are used mainly as storage containers of water.
Almost all households surveyed have and use latrines for excreta disposal. The majority of latrines are traditional type at Sénou (79.85%) and VIP type at Yirimadio (69.85%) and at Niamakoro (65.45%). Also, the lack of adequate system of collection and disposal of wastewater at the household level makes that 66.85% water laundry and dishes and 32.30% of shower water are discharged into the street. Management of solid waste and sludge characterized by the absence of a landfill site and a treatment plant sludge in the district is the primitive stage. Good hygiene practices are not well taken.Mémoire FPL Master Ingénierie Eau et Assainissement. Accès a l’eau potable et a l’assainissement de base dans les milieux périurbains du district de Bamako : cas des quartiers Senou, Yirimadio et Niamakoro de la commune VI [texte imprimé] / Dieu-donné KAKA . - 2014 . - 82p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Les quartiers périurbains du district de Bamako en général et ceux de la commune VI en particulier sont confrontés à une forte explosion démographique doublée d’une urbanisation anarchique. Cette situation engendre une forte demande de services urbains de base notamment dans les domaines de l’eau et de l’assainissement. Malgré les efforts déjà consentis, les résultats obtenus sont loin de combler les attentes.
La présente étude a pour principal objectif de contribuer à la promotion d’un accès équitable à l’eau potable et à l’assainissement de base dans les milieux périurbains du district de Bamako particulièrement dans les quartiers de Niamakoro, Sénou et Yirimadio de la commune VI. Pour ce faire elle s’est basée sur les enquêtes par questionnaire auprès des ménages, les enquêtes géographiques, les observations directes et les entretiens avec les acteurs intervenant dans le secteur.
Les enquêtes par questionnaire ont été réalisées sur 356 ménages dont 165 à Niamakoro, 91 à Sénou et 100 à Yirimadio. Les enquêtes géographiques ont été faites avec le Global Position System pour recenser les points d’eau potable de la zone d’étude. Les données ont été traitées à l’aide des logiciels dont MapSource et des outils et applications de Système d’Information Géographique.
Les résultats indiquent une prédominance des bornes fontaines avec de forts taux de fonctionnalités de façon générale (93,07% à Yirimadio et 92,88% à Niamakoro) et leur inexistence à Sénou. La majorité des ménages à Niamakoro (81,93%) sont à moins de 200 mètres des points d’eau potable tandis que celle des ménages de Sénou (78,38%) et pour seulement 32,20% des ménages à Yirimadio sont à plus de 201 mètres des points d’eau potable. La quantité moyenne d’eau consommée par jour et par personne a été évaluée à 34,97 litres dans l’ensemble de la zone. Au moins 74% des 67,98% des ménages qui achètent de l’eau jugent cher le prix d’achat. 69,10% de l’échantillon enquêté connaissent de difficultés d’accès à l’eau. Il existe dans la zone une diversité de modes d’approvisionnement en eau et une distribution d’eau potable très intermittente à Niamakoro. Les pousse-pousse sont les moyens de transport les plus utilisés par les ménages. Les bidons (de 20 litres souvent) sont les principaux récipients de collecte utilisés dans l’ensemble des ménages et les jarres servent majoritairement comme récipients de stockage de l’eau.
Presque tous les ménages enquêtés disposent et utilisent des latrines pour l’évacuation des excréta. La majorité des latrines sont de type traditionnel à Sénou (79,85%) et de type VIP à Yirimadio (69,85%) et à Niamakoro (65,45%). Aussi, l’absence de système adapté de collecte et d’évacuation des eaux usées au niveau des ménages fait que 66,85% des eaux de lessive et de vaisselle et 32,30% des eaux de douches sont rejetées dans la rue. La gestion des déchets solides et des boues de vidange caractérisée par l’inexistence d’un centre d’enfouissement technique et d’une station de traitement des boues de vidange dans le district est à l’étape primitive. Les bonnes pratiques d’hygiène ne sont pas bien adoptées.
Abstract : Peri-urban areas of the District of Bamako in general and those of the common VI in particular are faced to a rapid population explosion coupled with uncontrolled urbanization. This situation leads a strong demand of basic urban services particularly in the water and sanitation sector. Despite previous efforts, the results are far from meeting expectations.
Contribute to the promotion of equitable access to safe drinking water and basic sanitation in
peri-urban areas of Bamako district particularly in the areas of Niamakoro, Sénou and Yirimadio of common VI is this study's main objective. To do this, it is based on questionnary surveys of households, geographic surveys, direct observation and interviews with those involved in the sector.
Questionnary surveys were conducted on 356 households that 165 at Niamakoro, 91 at Sénou and 100 at Yirimadio. Geographical investigations were made with the Global Positioning System to identify drinking water sources in the study area. The data were processed using software that MapSource, tools and applications of Geographic Information System.
The results indicate a predominance of public drinking fountains with high levels of functionality in general (93.07% at Yirimadio and 92.88% at Niamakoro) and their absence at Sénou. The majority of households at Niamakoro (81.93%) are within 200 meters of drinking water points while that of households at Sénou (78.38%) and only 32.20% of households at Yirimadio are more than 201 meters of drinking water points. The average amount of water consumed per day per person was estimated at 34.97 liters in the whole area. At least 74% of the 67.98% of households buying water hold dear the purchase price. 69.10% of the sample surveyed experiencing difficulties in accessing water. There is a diversity in the area of water supply modes and a very intermittent drinking water at Niamakoro. Rickshaws are the means of transport used by households. Cans (20 liters often) are the main collection containers used in all households and jars are used mainly as storage containers of water.
Almost all households surveyed have and use latrines for excreta disposal. The majority of latrines are traditional type at Sénou (79.85%) and VIP type at Yirimadio (69.85%) and at Niamakoro (65.45%). Also, the lack of adequate system of collection and disposal of wastewater at the household level makes that 66.85% water laundry and dishes and 32.30% of shower water are discharged into the street. Management of solid waste and sludge characterized by the absence of a landfill site and a treatment plant sludge in the district is the primitive stage. Good hygiene practices are not well taken.Exemplaires(0)
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Dieu-donnéAdobe Acrobat PDF Mémoire FPL Master Ingénierie Eau et Assainissement. L’accès à l’eau potable et à l’assainissement dans 3 villages (Gaigou, Débéré Doumam et Saouga) de la province de l’Oudalan / Abdoul-Rahamane DJIBO SAIDOU MAIGA
Titre de série : Mémoire FPL Master Ingénierie Eau et Assainissement Titre : L’accès à l’eau potable et à l’assainissement dans 3 villages (Gaigou, Débéré Doumam et Saouga) de la province de l’Oudalan : diagnostic et propositions d’actions Type de document : texte imprimé Auteurs : Abdoul-Rahamane DJIBO SAIDOU MAIGA Année de publication : 2018 Importance : 85 p. Langues : Français (fre) Résumé : L’Oudalan qui fait partie des (4) provinces de la région du sahel, a le taux d’accès à une source d’eau améliorée le plus faible de la région (43,4% en 2015). La province est caractérisée par une pluviométrie assez faible, un réseau hydrographique constitué essentiellement de cours d’eau temporaires et d’un faible taux de forages positifs. Le secteur de l’assainissement demeure aussi très peu développé dans la province (4,7% en 2015).
Cette étude a pour objectif de contribuer à l’amélioration des conditions d’accès à l’eau potable et à l’assainissement spécifiquement dans trois villages de la province dont Gaigou, Débéré Doumam et Saouga. Pour ce faire, il a été question de mené des enquêtes dans ces villages.
Les résultats indiquent une prédominance des PMH avec de forts taux de fonctionnalités (72% à Gaigou, 93,30% à Débéré Doumam et 92,30% à Saouga). La majorité des ménages de ces trois villages consomme une quantité d’eau qui varie entre 20 à 40L/J. La distance parcourue pour la collecte de l’eau varie en grande majorité dans la zone d’étude entre 100 à 1000m. L’eau est payée à 10F le bidon de 20L, ce bidon est utilisé fortement pour la collecte et les jarres sont utilisées en grande partie pour le stockage de l’eau dans les ménages.
Un faible taux de présence de latrine (40%) et un taux important de défécation à l’aire libre (63%) a été observé dans les trois (3) villages.
A l’issue de ces résultats, des propositions de forages équipés de système PV, de mode de gestion des ouvrages par le contrat d’affermage, de sensibilisation par approche ATPC et de latrines VIP à double fosses alternantes sont proposés dans l’optique d’amélioré l’offre de service d’approvisionnement en eau potable et assainissement.
Abstract : The Oudalan is one of the (4) provinces of the Sahel region, and has the weakest rate of access to the water of the region (43,4% in 2015). The province is characterized by a weak amount of rain, by a hydrographic network constituted essentially by temporary rivers and a weak rate of positive boreholes. The sector of sanitation stays also very few developed in the province (4,7% in 2015).
This survey’s objective is to contribute to the improvement of the access to drinking water and to sanitation, specifically in three villages of the province Gaigou, Débéré Doumam and Saouga. In order to make this happen, we led some inquiries in these villages.
Results indicate a predominance of the pump to human motivity with strong rates of operation (72% in Gaigou, 93,30% to Débéré Doumams and 92,30% in Saouga). The majority of the households of these three villages consume a quantity of water that varies between 20 to 40 L/D. The distance browsed for the collection of water varies between 100 to 1000m in the zone of servey. Water is paid 10 CFA the can of 20L, and this can is used strongly for the collection and the jars are used largely for the storage of water in households.
A weak rate of presence of toilet (40%) and an important rate of open defecation (63%) has been observed in the three (3) villages.
At the end of these results, propositions of a solar borehole system, a way of management of the equipment by the lease contract, of sensitization by ATPC approach and VIP toilettes with double alternating pits are proposed in the way to improve the offer of provision service in drinking water and sanitation.Mémoire FPL Master Ingénierie Eau et Assainissement. L’accès à l’eau potable et à l’assainissement dans 3 villages (Gaigou, Débéré Doumam et Saouga) de la province de l’Oudalan : diagnostic et propositions d’actions [texte imprimé] / Abdoul-Rahamane DJIBO SAIDOU MAIGA . - 2018 . - 85 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : L’Oudalan qui fait partie des (4) provinces de la région du sahel, a le taux d’accès à une source d’eau améliorée le plus faible de la région (43,4% en 2015). La province est caractérisée par une pluviométrie assez faible, un réseau hydrographique constitué essentiellement de cours d’eau temporaires et d’un faible taux de forages positifs. Le secteur de l’assainissement demeure aussi très peu développé dans la province (4,7% en 2015).
Cette étude a pour objectif de contribuer à l’amélioration des conditions d’accès à l’eau potable et à l’assainissement spécifiquement dans trois villages de la province dont Gaigou, Débéré Doumam et Saouga. Pour ce faire, il a été question de mené des enquêtes dans ces villages.
Les résultats indiquent une prédominance des PMH avec de forts taux de fonctionnalités (72% à Gaigou, 93,30% à Débéré Doumam et 92,30% à Saouga). La majorité des ménages de ces trois villages consomme une quantité d’eau qui varie entre 20 à 40L/J. La distance parcourue pour la collecte de l’eau varie en grande majorité dans la zone d’étude entre 100 à 1000m. L’eau est payée à 10F le bidon de 20L, ce bidon est utilisé fortement pour la collecte et les jarres sont utilisées en grande partie pour le stockage de l’eau dans les ménages.
Un faible taux de présence de latrine (40%) et un taux important de défécation à l’aire libre (63%) a été observé dans les trois (3) villages.
A l’issue de ces résultats, des propositions de forages équipés de système PV, de mode de gestion des ouvrages par le contrat d’affermage, de sensibilisation par approche ATPC et de latrines VIP à double fosses alternantes sont proposés dans l’optique d’amélioré l’offre de service d’approvisionnement en eau potable et assainissement.
Abstract : The Oudalan is one of the (4) provinces of the Sahel region, and has the weakest rate of access to the water of the region (43,4% in 2015). The province is characterized by a weak amount of rain, by a hydrographic network constituted essentially by temporary rivers and a weak rate of positive boreholes. The sector of sanitation stays also very few developed in the province (4,7% in 2015).
This survey’s objective is to contribute to the improvement of the access to drinking water and to sanitation, specifically in three villages of the province Gaigou, Débéré Doumam and Saouga. In order to make this happen, we led some inquiries in these villages.
Results indicate a predominance of the pump to human motivity with strong rates of operation (72% in Gaigou, 93,30% to Débéré Doumams and 92,30% in Saouga). The majority of the households of these three villages consume a quantity of water that varies between 20 to 40 L/D. The distance browsed for the collection of water varies between 100 to 1000m in the zone of servey. Water is paid 10 CFA the can of 20L, and this can is used strongly for the collection and the jars are used largely for the storage of water in households.
A weak rate of presence of toilet (40%) and an important rate of open defecation (63%) has been observed in the three (3) villages.
At the end of these results, propositions of a solar borehole system, a way of management of the equipment by the lease contract, of sensitization by ATPC approach and VIP toilettes with double alternating pits are proposed in the way to improve the offer of provision service in drinking water and sanitation.Exemplaires(0)
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DjiboAdobe Acrobat PDF Mémoire FPL Master Ingénierie Eau et Assainissement. Accès à l’eau potable et à l’assainissement sur les sites d’orpaillage de Dossi et de Kari dans la province du Tuy / Sonia Ténin Valérie YAMEOGO
Titre de série : Mémoire FPL Master Ingénierie Eau et Assainissement Titre : Accès à l’eau potable et à l’assainissement sur les sites d’orpaillage de Dossi et de Kari dans la province du Tuy Type de document : texte imprimé Auteurs : Sonia Ténin Valérie YAMEOGO Année de publication : 2018 Importance : 71 p. Langues : Français (fre) Résumé : Les sites d’orpaillage au Burkina Faso, du fait de la population qu’ils drainent, sont très souvent assimilables à de gros villages avec de fortes densités humaines marquées par une très grande vulnérabilité. Malgré le fait que l’accès à l’eau potable et à l’assainissement soit un droit pour tous et que des informations sur différents milieux (centres urbains et zones rurales) existent, la situation au sein de ces groupes vulnérables reste méconnue. Notre étude vise à identifier les contraintes auxquelles ces populations sont confrontées en matière d’accès à l’eau potable et à l’assainissement. Pour ce faire, les sites d’orpaillage de Dossi et Kari dans le Tuy ont été choisis pour cette étude. Une enquête terrain auprès des populations de ces sites et des analyses d’échantillons d’eau des sources d’approvisionnement ont été effectuées. Les résultats obtenus ont été comparés aux normes nationales en matière d’accès à l’eau potable et à l’assainissement. Il ressort que la qualité de l’eau consommée sur les sites constitue le problème majeur car des irrégularités ont été observées aussi bien sur le plan microbiologique que physico-chimique. Des contaminations au cyanure à des doses inferieures à la norme ont également été relevées. D’autres contraintes comme celui de l’éloignement des infrastructures d’eau de consommation et le prix élevé de l’eau ont été constatés. Pour le volet assainissement, si quelques douches ont été recensées, les latrines sont quant à elles quasi inexistantes. La défécation à l’air libre est pratiquée par plus de 80% des enquêtés. A cela s’ajoute le faible développement de bonnes pratiques comme le lavage des mains au savon. Ces constats montrent que les populations des sites d’orpaillages sont confrontées à des difficultés en matière d’eau potable et d’assainissement par conséquent, l’accès à l’eau et à l’assainissement en tant que droit humain n’est pas une réalité sur ces sites.
Abstract : Gold panning sites in Burkina Faso, because of the population they drain, are very often comparable to large villages with high human densities marked by a very high vulnerability. Despite the fact that access to drinking water and sanitation is a right for all and information on different environments (urban centers and rural areas) exist, the situation in these vulnerable groups remains unknown. Our study aims to identify the constraints that these populations face in terms of access to drinking water and sanitation. To do this, the gold panning sites of Dossi and Kari in Tuy were chosen for this study. A field survey of the populations of these sites and analyzes of water samples from the sources of supply were carried out. The results obtained were compared to national standards for access to drinking water and sanitation. It appears that the quality of the water consumed on the sites is the major problem because irregularities were observed both microbiologically and physicochemically. Cyanide contaminations at below-standard doses were also reported. Other constraints such as the distance of drinking water infrastructure and the high price of water have been noted. For the sanitation component, although some showers have been identified, latrines are almost non-existent. Open defecation is practiced by more than 80% of respondents. Added to this is the poor development of good practices such as washing hands with soap. These findings show that the populations of artisanal gold mining sites are facing difficulties in terms of drinking water and sanitation therefore access to water and sanitation as a human right is not a reality on these sites.Mémoire FPL Master Ingénierie Eau et Assainissement. Accès à l’eau potable et à l’assainissement sur les sites d’orpaillage de Dossi et de Kari dans la province du Tuy [texte imprimé] / Sonia Ténin Valérie YAMEOGO . - 2018 . - 71 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Les sites d’orpaillage au Burkina Faso, du fait de la population qu’ils drainent, sont très souvent assimilables à de gros villages avec de fortes densités humaines marquées par une très grande vulnérabilité. Malgré le fait que l’accès à l’eau potable et à l’assainissement soit un droit pour tous et que des informations sur différents milieux (centres urbains et zones rurales) existent, la situation au sein de ces groupes vulnérables reste méconnue. Notre étude vise à identifier les contraintes auxquelles ces populations sont confrontées en matière d’accès à l’eau potable et à l’assainissement. Pour ce faire, les sites d’orpaillage de Dossi et Kari dans le Tuy ont été choisis pour cette étude. Une enquête terrain auprès des populations de ces sites et des analyses d’échantillons d’eau des sources d’approvisionnement ont été effectuées. Les résultats obtenus ont été comparés aux normes nationales en matière d’accès à l’eau potable et à l’assainissement. Il ressort que la qualité de l’eau consommée sur les sites constitue le problème majeur car des irrégularités ont été observées aussi bien sur le plan microbiologique que physico-chimique. Des contaminations au cyanure à des doses inferieures à la norme ont également été relevées. D’autres contraintes comme celui de l’éloignement des infrastructures d’eau de consommation et le prix élevé de l’eau ont été constatés. Pour le volet assainissement, si quelques douches ont été recensées, les latrines sont quant à elles quasi inexistantes. La défécation à l’air libre est pratiquée par plus de 80% des enquêtés. A cela s’ajoute le faible développement de bonnes pratiques comme le lavage des mains au savon. Ces constats montrent que les populations des sites d’orpaillages sont confrontées à des difficultés en matière d’eau potable et d’assainissement par conséquent, l’accès à l’eau et à l’assainissement en tant que droit humain n’est pas une réalité sur ces sites.
Abstract : Gold panning sites in Burkina Faso, because of the population they drain, are very often comparable to large villages with high human densities marked by a very high vulnerability. Despite the fact that access to drinking water and sanitation is a right for all and information on different environments (urban centers and rural areas) exist, the situation in these vulnerable groups remains unknown. Our study aims to identify the constraints that these populations face in terms of access to drinking water and sanitation. To do this, the gold panning sites of Dossi and Kari in Tuy were chosen for this study. A field survey of the populations of these sites and analyzes of water samples from the sources of supply were carried out. The results obtained were compared to national standards for access to drinking water and sanitation. It appears that the quality of the water consumed on the sites is the major problem because irregularities were observed both microbiologically and physicochemically. Cyanide contaminations at below-standard doses were also reported. Other constraints such as the distance of drinking water infrastructure and the high price of water have been noted. For the sanitation component, although some showers have been identified, latrines are almost non-existent. Open defecation is practiced by more than 80% of respondents. Added to this is the poor development of good practices such as washing hands with soap. These findings show that the populations of artisanal gold mining sites are facing difficulties in terms of drinking water and sanitation therefore access to water and sanitation as a human right is not a reality on these sites.Exemplaires(0)
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TeninAdobe Acrobat PDF Mémoire FPL Master Ingénierie Eau et Assainissement. L’accès a l’eau potable dans les quartiers non lotis des villes africaines selon les principes de l’approche fondée sur les droits humains (AFDH) / Gloria Emmanuelle Sèdami SEKPE
Titre de série : Mémoire FPL Master Ingénierie Eau et Assainissement Titre : L’accès a l’eau potable dans les quartiers non lotis des villes africaines selon les principes de l’approche fondée sur les droits humains (AFDH) : cas des villes de Ouagadougou et Houndé au Burkina Faso Type de document : texte imprimé Auteurs : Gloria Emmanuelle Sèdami SEKPE Année de publication : 2017 Importance : 62 p. Langues : Français (fre) Résumé : L’installation anarchique des populations, souvent aux périphéries des villes entraine la création de quartiers non lotis qui ne disposent pas d’infrastructures pour assurer leur besoin de base en eau potable. Cette étude a pour objectif global d’évaluer l’accès à l’eau des populations des quartiers non lotis de Ouagadougou et de Houndé selon les principes de l’Approche Fondée sur les Droits Humains (AFDH). L’évaluation a été faite selon le principe d’équité et de non-discrimination d’une part, de la participation et de l’inclusion d’autre part. Les principaux résultats obtenus, relatifs à l’équité et la non-discrimination sont : de 23% en 2012, le pourcentage de ménages ayant un branchement privé dans ces quartiers est passé à 52,42% à Ouagadougou en 2017. A Houndé, ce taux est de 3,9 % en 2017. Il est de 63% dans la zone lotie de Ouagadougou cette même année 2017. La délégation de service public a permis un accès à l’eau à domicile pour plus de personnes dans les quartiers non lotis donc, une bonne avancée dans l’atteinte de l’équité et la non-discrimination dans ces quartiers non lotis.
L’évaluation selon le principe d’inclusion et de participation a révélé que le droit à la participation est assuré dans les textes et lois au Burkina Faso. Dans les quartiers non lotis, sa mise en œuvre passe par la réalisation d’enquêtes de satisfaction et d’un suivi-évaluation chaque trois ans. Elle a confirmé une satisfaction globale des populations par rapport aux services d’eau et de gestion clientèle fournis par les délégataires.
Abstract : The anarchic settlement of populations, often on the outskirts of cities induces the creation of informal areas which have no form of infrastructures to ensure their basic need for drinking water. The overall objective of this work is to study the access to water in these informal neighborhoods of Ouagadougou and Houndé according to the principles of the Human Rights Based Approach (HRBA). The evaluation was conducted in accordance with the principles of equity and participation and inclusion. The main results obtained, related to the equity is that the percentage of households with a private connection increased from 23% in 2012 to 52.42% in Ouagadougou in 2017. This rate is around 3.9% in Houndé also in 2017. It is evaluated at 63% in the formal areas of Ouagadougou the same year. Thus, the public service delegation allows more people to have water at home, involving an improvement in the attainment of equity.
The assessment based on the principle of inclusion and participation has shown that the government assures this right in the laws. In unplanned areas, its implementation requires the completion of satisfaction surveys and monitoring every three years. It confirmed an overall satisfaction of the population towards the water services and the customer management.Mémoire FPL Master Ingénierie Eau et Assainissement. L’accès a l’eau potable dans les quartiers non lotis des villes africaines selon les principes de l’approche fondée sur les droits humains (AFDH) : cas des villes de Ouagadougou et Houndé au Burkina Faso [texte imprimé] / Gloria Emmanuelle Sèdami SEKPE . - 2017 . - 62 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : L’installation anarchique des populations, souvent aux périphéries des villes entraine la création de quartiers non lotis qui ne disposent pas d’infrastructures pour assurer leur besoin de base en eau potable. Cette étude a pour objectif global d’évaluer l’accès à l’eau des populations des quartiers non lotis de Ouagadougou et de Houndé selon les principes de l’Approche Fondée sur les Droits Humains (AFDH). L’évaluation a été faite selon le principe d’équité et de non-discrimination d’une part, de la participation et de l’inclusion d’autre part. Les principaux résultats obtenus, relatifs à l’équité et la non-discrimination sont : de 23% en 2012, le pourcentage de ménages ayant un branchement privé dans ces quartiers est passé à 52,42% à Ouagadougou en 2017. A Houndé, ce taux est de 3,9 % en 2017. Il est de 63% dans la zone lotie de Ouagadougou cette même année 2017. La délégation de service public a permis un accès à l’eau à domicile pour plus de personnes dans les quartiers non lotis donc, une bonne avancée dans l’atteinte de l’équité et la non-discrimination dans ces quartiers non lotis.
L’évaluation selon le principe d’inclusion et de participation a révélé que le droit à la participation est assuré dans les textes et lois au Burkina Faso. Dans les quartiers non lotis, sa mise en œuvre passe par la réalisation d’enquêtes de satisfaction et d’un suivi-évaluation chaque trois ans. Elle a confirmé une satisfaction globale des populations par rapport aux services d’eau et de gestion clientèle fournis par les délégataires.
Abstract : The anarchic settlement of populations, often on the outskirts of cities induces the creation of informal areas which have no form of infrastructures to ensure their basic need for drinking water. The overall objective of this work is to study the access to water in these informal neighborhoods of Ouagadougou and Houndé according to the principles of the Human Rights Based Approach (HRBA). The evaluation was conducted in accordance with the principles of equity and participation and inclusion. The main results obtained, related to the equity is that the percentage of households with a private connection increased from 23% in 2012 to 52.42% in Ouagadougou in 2017. This rate is around 3.9% in Houndé also in 2017. It is evaluated at 63% in the formal areas of Ouagadougou the same year. Thus, the public service delegation allows more people to have water at home, involving an improvement in the attainment of equity.
The assessment based on the principle of inclusion and participation has shown that the government assures this right in the laws. In unplanned areas, its implementation requires the completion of satisfaction surveys and monitoring every three years. It confirmed an overall satisfaction of the population towards the water services and the customer management.Exemplaires(0)
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SekpeAdobe Acrobat PDF Mémoire FPL Master Ingénierie Eau et Assainissement. Alimentation en eau potable du lotissement SCI-Serpentins à Angondje-Libreville au Gabon / Ange Christ Leonel NZE OBAME
Titre de série : Mémoire FPL Master Ingénierie Eau et Assainissement Titre : Alimentation en eau potable du lotissement SCI-Serpentins à Angondje-Libreville au Gabon Type de document : texte imprimé Auteurs : Ange Christ Leonel NZE OBAME Année de publication : 2021 Importance : 87 p. Langues : Français (fre) Résumé : Libreville capitale du Gabon est une ville en pleine expansion et dont les quartiers se développent rapidement. La ville reste ainsi confrontée à des problèmes d’alimentation en eau potable du fait de l’inadéquation entre la production en eau et le nombre d’abonnés qui demeure croissant. L’étude de l’alimentation eau potable du lotissement de 38 hectares dans le nord de la ville de Libreville dans le quartier d’Angondje et qui abritera près de 1775 habitants a pour but de réduire ce déficit hydrique et améliorer le taux de desserte de la ville. La démarche adoptée a consisté à faire dans un premier temps un état de lieux du système de production en eau de l’usine de Ntoum, puis, dans un second temps, évaluer les besoins et demandes et eau du nouveau lotissement. Ensuite, un réseau de distribution a été mis en place pour l’alimentation en eau potable du lotissement. Enfin, deux options d’adduction en eau du nouveau quartier ont été explorées.
Un raccordement sur le réseau existant
L’implantation de forages avec un réservoir pour l’alimentation du lotissement
Au vu des différents résultats obtenus, il en ressort que la solution adaptée pour une meilleure alimentation en eau du lotissement serait la mise en place d’un système autonome donc de ce fait l’implantation de forages et d’un réservoir.
Les couts en termes de réalisation sont plus élevés que ceux de la solution de raccordement au réseau du fait de la prise en compte des couts de réalisation de forage et la mise en place du réservoir ; toutefois la réalisation d’un tel système permettrait de pouvoir résoudre la problématique d’alimentation en eau du lotissement. Les pressions de services varieront entre 1,6 et 2,7 bars selon qu’on se retrouve en point bas ou en bout de réseau.
Abstract : Libreville, the capital of Gabon, is a city in full expansion and whose neighborhoods are developing rapidly. The city thus continues to face problems of drinking water supply due to the mismatch between water production and the number of subscribers, which is still growing. The study of the drinking water supply of the 38 hectare subdivision in the north of the city of Libreville in the district of Angondje and which will house nearly 1,775 inhabitants aims to reduce this water deficit and improve the service rate of the city. The approach adopted consisted in first making an inventory of the water production system of the Ntoum plant, then, secondly, assessing the needs and demands and water of the new subdivision. Then, a distribution network was put in place to supply the subdivision with drinking water. Finally, two water supply options for the new district were explored.
A connection to the existing network
The establishment of boreholes with a reservoir to supply the subdivision
In view of the various results obtained, it emerges that the appropriate solution for a better supply of water to the subdivision would be the establishment of an autonomous system and therefore the establishment of boreholes and a reservoir.
The costs in terms of realization are higher than those of the solution of connection to the network because of the taking into account of the costs of realization of drilling and the installation of the reservoir; however, the creation of such a system would make it possible to resolve the problem of water supply to the subdivision. The service pressures will vary between 1,6 and 2,7 bars depending on whether we are at the low point or at the end of the network.Mémoire FPL Master Ingénierie Eau et Assainissement. Alimentation en eau potable du lotissement SCI-Serpentins à Angondje-Libreville au Gabon [texte imprimé] / Ange Christ Leonel NZE OBAME . - 2021 . - 87 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Libreville capitale du Gabon est une ville en pleine expansion et dont les quartiers se développent rapidement. La ville reste ainsi confrontée à des problèmes d’alimentation en eau potable du fait de l’inadéquation entre la production en eau et le nombre d’abonnés qui demeure croissant. L’étude de l’alimentation eau potable du lotissement de 38 hectares dans le nord de la ville de Libreville dans le quartier d’Angondje et qui abritera près de 1775 habitants a pour but de réduire ce déficit hydrique et améliorer le taux de desserte de la ville. La démarche adoptée a consisté à faire dans un premier temps un état de lieux du système de production en eau de l’usine de Ntoum, puis, dans un second temps, évaluer les besoins et demandes et eau du nouveau lotissement. Ensuite, un réseau de distribution a été mis en place pour l’alimentation en eau potable du lotissement. Enfin, deux options d’adduction en eau du nouveau quartier ont été explorées.
Un raccordement sur le réseau existant
L’implantation de forages avec un réservoir pour l’alimentation du lotissement
Au vu des différents résultats obtenus, il en ressort que la solution adaptée pour une meilleure alimentation en eau du lotissement serait la mise en place d’un système autonome donc de ce fait l’implantation de forages et d’un réservoir.
Les couts en termes de réalisation sont plus élevés que ceux de la solution de raccordement au réseau du fait de la prise en compte des couts de réalisation de forage et la mise en place du réservoir ; toutefois la réalisation d’un tel système permettrait de pouvoir résoudre la problématique d’alimentation en eau du lotissement. Les pressions de services varieront entre 1,6 et 2,7 bars selon qu’on se retrouve en point bas ou en bout de réseau.
Abstract : Libreville, the capital of Gabon, is a city in full expansion and whose neighborhoods are developing rapidly. The city thus continues to face problems of drinking water supply due to the mismatch between water production and the number of subscribers, which is still growing. The study of the drinking water supply of the 38 hectare subdivision in the north of the city of Libreville in the district of Angondje and which will house nearly 1,775 inhabitants aims to reduce this water deficit and improve the service rate of the city. The approach adopted consisted in first making an inventory of the water production system of the Ntoum plant, then, secondly, assessing the needs and demands and water of the new subdivision. Then, a distribution network was put in place to supply the subdivision with drinking water. Finally, two water supply options for the new district were explored.
A connection to the existing network
The establishment of boreholes with a reservoir to supply the subdivision
In view of the various results obtained, it emerges that the appropriate solution for a better supply of water to the subdivision would be the establishment of an autonomous system and therefore the establishment of boreholes and a reservoir.
The costs in terms of realization are higher than those of the solution of connection to the network because of the taking into account of the costs of realization of drilling and the installation of the reservoir; however, the creation of such a system would make it possible to resolve the problem of water supply to the subdivision. The service pressures will vary between 1,6 and 2,7 bars depending on whether we are at the low point or at the end of the network.Exemplaires(0)
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