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Auteur Ingrid Nadège Savi Kpêdétin |
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Mémoire Master d'ingénierie eau. Impacts de l’irrigation de complément en zone sahélienne / Ingrid Nadège Savi Kpêdétin
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie eau Titre : Impacts de l’irrigation de complément en zone sahélienne : modélisation bioéconomique d’une exploitation agricole à Kongoussi Type de document : texte imprimé Auteurs : Ingrid Nadège Savi Kpêdétin Année de publication : 2012 Importance : 70p Langues : Français (fre) Résumé : La production céréalière dans la zone sahélienne du Burkina Faso est tributaire de conditions climatiques très variables. L’irrigation de complément serait l’une des solutions pour atténuer la faiblesse et la fluctuation des rendements. Le présent travail vise à cerner les conditions sous lesquelles cette technique serait rentable pour le paysan et quels seraient les impacts de son adoption sur son revenu.
Le modèle bioéconomique élaboré pour ce travail est le couplage d’un modèle de croissance
(CROPWAT) et d’un modèle d’optimisation du comportement des agriculteurs (GAMS). Les simulations effectuées en univers incertain de climat ont permis de décrire le comportement d’un exploitant sahélien face à la possibilité de faire ou de ne pas faire de l’irrigation de complément. Le modèle a été validé à partir des enquêtes effectuées dans les provinces du
Bam et du Yatenga situées dans la bande sahélienne du Burkina Faso.
L’analyse des résultats du modèle montre que l’irrigation de complément est adoptée par le paysan sahélien dans le cas où le micro bassin utilisé pour cette technique est non seulement moins cher mais surtout durable. Le rendement céréalier augmente de 39 % lorsque le paysan adopte une bonne stratégie d’irrigation ; ce qui a pour conséquence l’amélioration de son revenu monétaire. Par contre, un excès d’irrigation en année humide peut entraîner une perte de 10% de maïs et de 3% de sorgho. Ainsi, la mise en place d’un micro bassin ayant un coût compris entre 135 000FCFA et 260 000FCFA associé à un apport d’eau à partir de la phase de croissance améliorerait la productivité dans une exploitation sahélienne.
Mémoire Master d'ingénierie eau. Impacts de l’irrigation de complément en zone sahélienne : modélisation bioéconomique d’une exploitation agricole à Kongoussi [texte imprimé] / Ingrid Nadège Savi Kpêdétin . - 2012 . - 70p.
Langues : Français (fre)
Résumé : La production céréalière dans la zone sahélienne du Burkina Faso est tributaire de conditions climatiques très variables. L’irrigation de complément serait l’une des solutions pour atténuer la faiblesse et la fluctuation des rendements. Le présent travail vise à cerner les conditions sous lesquelles cette technique serait rentable pour le paysan et quels seraient les impacts de son adoption sur son revenu.
Le modèle bioéconomique élaboré pour ce travail est le couplage d’un modèle de croissance
(CROPWAT) et d’un modèle d’optimisation du comportement des agriculteurs (GAMS). Les simulations effectuées en univers incertain de climat ont permis de décrire le comportement d’un exploitant sahélien face à la possibilité de faire ou de ne pas faire de l’irrigation de complément. Le modèle a été validé à partir des enquêtes effectuées dans les provinces du
Bam et du Yatenga situées dans la bande sahélienne du Burkina Faso.
L’analyse des résultats du modèle montre que l’irrigation de complément est adoptée par le paysan sahélien dans le cas où le micro bassin utilisé pour cette technique est non seulement moins cher mais surtout durable. Le rendement céréalier augmente de 39 % lorsque le paysan adopte une bonne stratégie d’irrigation ; ce qui a pour conséquence l’amélioration de son revenu monétaire. Par contre, un excès d’irrigation en année humide peut entraîner une perte de 10% de maïs et de 3% de sorgho. Ainsi, la mise en place d’un micro bassin ayant un coût compris entre 135 000FCFA et 260 000FCFA associé à un apport d’eau à partir de la phase de croissance améliorerait la productivité dans une exploitation sahélienne.
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