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Auteur Fa-n’dame LENE |
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Mémoire Master Spécialisé GSE. Contribution à la gestion des eaux usées et excréta dans la commune de Lomé / Fa-n’dame LENE
Titre de série : Mémoire Master Spécialisé GSE Titre : Contribution à la gestion des eaux usées et excréta dans la commune de Lomé Type de document : texte imprimé Auteurs : Fa-n’dame LENE Année de publication : 2006 Importance : 126p. Langues : Français (fre) Résumé : La commune de Lomé, comme la plupart des villes africaines est confrontée aux problèmes d’AEPA. Cette situation est la conséquence d’une croissance rapide et non maîtrisée de la population urbaine.
Dans notre étude nous nous sommes penchés sur l’Etat des lieux en matière de gestion des eaux et excréta dans la commune de Lomé afin de faire des propositions pour améliorer la situation actuelle.
Ainsi, les enquêtes, les entretiens avec les différents acteurs en assainissement, les visites sur le terrain et la revue bibliographique ont montré que Lomé dispose d’un système d’assainissement collectif (réseau d’égout) et d’assainissement autonome (fosses étanches et fosses septiques). Les enquêtes indiquent que 17% des ménages ne disposent pas d’infrastructures sanitaires, 59% jettent les eaux usées dans les rues et 24% dans les caniveaux.
Les infrastructures de l’assainissement autonome sont construites sans le respect des critères de choix des ouvrages. Ainsi, dans la zone sud lagunaire où la nappe phréatique est à moins de 3m, plusieurs ménages disposent des latrines, favorisant ainsi la pollution des eaux de puits qu’ils utilisent comme source d’AEP.
Le réseau d’égout date de l’époque coloniale et les ouvrages vétustes ne répondent pas aux besoins de la population raccordée. Depuis 1963, aucune extension n’a été faite or la population a accru d’une manière exponentielle. Le réseau est reste alors à l’étape embryonnaire.
Sur le plan institutionnel et réglementaire, le rôle des différents acteurs est flou, ce qui conduit à des conflits de tâches. Aussi, on note l’absence d’un code de l’assainissement.
Pour palier aux problèmes précités, nous proposons alors :
• La redéfinition du cadre institutionnel et réglementaire
• La mise en place d’un projet de réhabilitation et d’extension du réseau d’égout
• La réalisation d’un projet visant à faciliter l’acquisition des ouvrages d’assainissement autonomes aux ménages.
• La mise ne place d’un comité de contrôle et de surveillances en matière d’hygiène dans tous les secteurs.Mémoire Master Spécialisé GSE. Contribution à la gestion des eaux usées et excréta dans la commune de Lomé [texte imprimé] / Fa-n’dame LENE . - 2006 . - 126p.
Langues : Français (fre)
Résumé : La commune de Lomé, comme la plupart des villes africaines est confrontée aux problèmes d’AEPA. Cette situation est la conséquence d’une croissance rapide et non maîtrisée de la population urbaine.
Dans notre étude nous nous sommes penchés sur l’Etat des lieux en matière de gestion des eaux et excréta dans la commune de Lomé afin de faire des propositions pour améliorer la situation actuelle.
Ainsi, les enquêtes, les entretiens avec les différents acteurs en assainissement, les visites sur le terrain et la revue bibliographique ont montré que Lomé dispose d’un système d’assainissement collectif (réseau d’égout) et d’assainissement autonome (fosses étanches et fosses septiques). Les enquêtes indiquent que 17% des ménages ne disposent pas d’infrastructures sanitaires, 59% jettent les eaux usées dans les rues et 24% dans les caniveaux.
Les infrastructures de l’assainissement autonome sont construites sans le respect des critères de choix des ouvrages. Ainsi, dans la zone sud lagunaire où la nappe phréatique est à moins de 3m, plusieurs ménages disposent des latrines, favorisant ainsi la pollution des eaux de puits qu’ils utilisent comme source d’AEP.
Le réseau d’égout date de l’époque coloniale et les ouvrages vétustes ne répondent pas aux besoins de la population raccordée. Depuis 1963, aucune extension n’a été faite or la population a accru d’une manière exponentielle. Le réseau est reste alors à l’étape embryonnaire.
Sur le plan institutionnel et réglementaire, le rôle des différents acteurs est flou, ce qui conduit à des conflits de tâches. Aussi, on note l’absence d’un code de l’assainissement.
Pour palier aux problèmes précités, nous proposons alors :
• La redéfinition du cadre institutionnel et réglementaire
• La mise en place d’un projet de réhabilitation et d’extension du réseau d’égout
• La réalisation d’un projet visant à faciliter l’acquisition des ouvrages d’assainissement autonomes aux ménages.
• La mise ne place d’un comité de contrôle et de surveillances en matière d’hygiène dans tous les secteurs.Exemplaires(0)
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