Titre de série : | Mémoire FPL - Master Management Stratégique et Opérationnel | Titre : | Sélection du projet à mettre en œuvre par ATPIR pour l’amélioration des conditions de vie des filles migrantes à N’Djamena | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Odilon ALLADOUM | Année de publication : | 2012 | Importance : | 40 p. | Langues : | Français (fre) | Résumé : | La situation des filles migrantes dans la ville de N’Djamena est préoccupante compte tenu de la précarité dans laquelle vivent ces filles. Cette situation aura pour effets, sur le long terme, l’accentuation de la vulnérabilité des couches sociales à travers l’accroissement de la pauvreté, de la mortalité maternelle, infantile et néonatale si des solutions adéquates ne sont pas mises en œuvre. Une analyse profonde des problèmes que rencontrent ces filles permet d’établir des relations de causes à effets et de proposer des solutions pour retourner la situation dans la ville de N’Djamena.
Différentes familles de solutions en relations avec le problème émergent de l’analyse mais il convient de sélectionner la plus pertinente et urgente en termes de résultat pour résoudre le problème.
Il apparait clair que partant de la vision et de la mission l’ONG Action Tchadienne pour la Promotion des Initiatives Rurales (ATPIR), la solution la plus pertinente consiste à créer des conditions qui puissent permettre aux filles migrantes d’accéder à des rémunérations décentes. Avec le Salaire Minimum Interprofessionnel Garanti (SMIG) au moins, elles peuvent mieux s’organiser pour vivre. Cependant, des alternatives à l’emploi existe : l’auto-emploi de ces filles en les outillant à créer et à gérer des activités génératrices des revenus (AGR) par exemple. Pour y arriver, l’ONG ATPIR, comme l’un des principaux acteurs de développement, en dépit des programmes spécifiques de lutte contre la précarité, peut solliciter le financement des partenaires à travers les programmes transversaux pour contribuer à l’amélioration des conditions de vie des filles migrantes.
Abstract : The living conditions of migrant girls in the city of N’Djamena are a concern known the instability they face every day. This will have a long-term impact and will eventually lead to the growing of vulnerability on social branches through increased poverty, maternal, infant and neonatal mortality if adequate resolutions are not implemented. An in-depth analysis of the problems faced by these girls helps to establish causes-effects relationship and recommend solutions to improve the living conditions of these girls in N’Djamena.
Different resolutions in relation with the problematic emerge from the analysis but it’s important to select the most relevant and urgent in term of benefits to quickly solve the problem.
It is clear that based on ATPIR’s vision and mission, the most relevant resolution is to create conditions that enable migrant girls to earn decent living conditions. Initially, with the guaranteed inter-professional minimum wage (SMIG), they can better organize themselves to have a better life. However, alternatives to employment exist: for instance, self-employment by helping these girls to create and manage small businesses. To achieve this, ATPIR as one of the main social development supports regardless of specific programs to fight against instability of these girls, can seek funding from partners through transversal programs to help improve conditions of migrants girls. |
Mémoire FPL - Master Management Stratégique et Opérationnel. Sélection du projet à mettre en œuvre par ATPIR pour l’amélioration des conditions de vie des filles migrantes à N’Djamena [texte imprimé] / Odilon ALLADOUM . - 2012 . - 40 p. Langues : Français ( fre) Résumé : | La situation des filles migrantes dans la ville de N’Djamena est préoccupante compte tenu de la précarité dans laquelle vivent ces filles. Cette situation aura pour effets, sur le long terme, l’accentuation de la vulnérabilité des couches sociales à travers l’accroissement de la pauvreté, de la mortalité maternelle, infantile et néonatale si des solutions adéquates ne sont pas mises en œuvre. Une analyse profonde des problèmes que rencontrent ces filles permet d’établir des relations de causes à effets et de proposer des solutions pour retourner la situation dans la ville de N’Djamena.
Différentes familles de solutions en relations avec le problème émergent de l’analyse mais il convient de sélectionner la plus pertinente et urgente en termes de résultat pour résoudre le problème.
Il apparait clair que partant de la vision et de la mission l’ONG Action Tchadienne pour la Promotion des Initiatives Rurales (ATPIR), la solution la plus pertinente consiste à créer des conditions qui puissent permettre aux filles migrantes d’accéder à des rémunérations décentes. Avec le Salaire Minimum Interprofessionnel Garanti (SMIG) au moins, elles peuvent mieux s’organiser pour vivre. Cependant, des alternatives à l’emploi existe : l’auto-emploi de ces filles en les outillant à créer et à gérer des activités génératrices des revenus (AGR) par exemple. Pour y arriver, l’ONG ATPIR, comme l’un des principaux acteurs de développement, en dépit des programmes spécifiques de lutte contre la précarité, peut solliciter le financement des partenaires à travers les programmes transversaux pour contribuer à l’amélioration des conditions de vie des filles migrantes.
Abstract : The living conditions of migrant girls in the city of N’Djamena are a concern known the instability they face every day. This will have a long-term impact and will eventually lead to the growing of vulnerability on social branches through increased poverty, maternal, infant and neonatal mortality if adequate resolutions are not implemented. An in-depth analysis of the problems faced by these girls helps to establish causes-effects relationship and recommend solutions to improve the living conditions of these girls in N’Djamena.
Different resolutions in relation with the problematic emerge from the analysis but it’s important to select the most relevant and urgent in term of benefits to quickly solve the problem.
It is clear that based on ATPIR’s vision and mission, the most relevant resolution is to create conditions that enable migrant girls to earn decent living conditions. Initially, with the guaranteed inter-professional minimum wage (SMIG), they can better organize themselves to have a better life. However, alternatives to employment exist: for instance, self-employment by helping these girls to create and manage small businesses. To achieve this, ATPIR as one of the main social development supports regardless of specific programs to fight against instability of these girls, can seek funding from partners through transversal programs to help improve conditions of migrants girls. |
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