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Mémoire Master d'ingénierie Environnement. Approche GIRE et expansion de l’agriculture urbaine à Ouagadougou / Hamadé SAWADOGO
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Environnement Titre : Approche GIRE et expansion de l’agriculture urbaine à Ouagadougou Type de document : texte imprimé Auteurs : Hamadé SAWADOGO Année de publication : 2008 Importance : 111p. Langues : Français (fre) Résumé : L'agriculture des villes joue un rôle socio-économique vital notamment pour les plus pauvres. D’après la Fao, ce type d’agriculture fournissait en 2005, de la nourriture à environ 700 millions de citadins, soit le quart de la population urbaine mondiale (Paul Mousitier et al, 2006). Pourtant, en Afrique en général, cette activité agricole soufre d’un manque de reconnaissance par les autorités et d’une absence d’outils pour sa planification et sa gestion. De plus, elle est caractérisée par ses pratiques informelles avec une insécurité foncière et un manque de disponibilité d’eau surtout dans les pays sahéliens tels que le Burkina.
De nos jours, des projets et des études tâchent de lui apporter cette reconnaissance en réconciliant les intérêts contradictoires des différents acteurs de son développement d’où l’intérêt particulier de la présente étude qui intègre l’approche d’une gestion intégrée des ressources en eau à une expansion de l’agriculture dans la ville de Ouagadougou.
L’agriculture urbaine à Ouagadougou se dessine le long du réseau hydrographique de la ville. L’étude a pu recenser 93 sites dont 63 sites de maraîchage et 30 sites d’horticulture en Avril 2008 pour une superficie totale exploitée de 201,7 ha. Compte tenu du contexte sahélien et des différentes sollicitations de l’eau, l’agriculture urbaine à Ouagadougou manque de ressources en eau pour son développement. Selon nos investigations, les potentialités de la ressource en eau dans la ville sont de 1 834 125 m3 pour les eaux souterraines, 1 991 736 m3 pour les eaux usées (traitées et non traitées) et 4 383 005 m3 pour les eaux de surface contre un besoin théorique en eau de 3 207 409 m3 pour les cultures et un apport pratique de 6 173 197 m3. Au regard de ces chiffres, l’eau n’est pas suffisante pour une expansion éventuelle. L’évaporation à elle seule représente 55% des eaux de surfaces de la ville. Les eaux usées utilisées pour le maraîchage représentent un enjeu sanitaire majeur dont une prise en compte est indispensable. En 2003 le Burkina a adopté un Plan d’Action pour la Gestion Intégrée des Ressources en Eau. Ce plan d’action accompagné des lois sur l’eau, sur l’hygiène publique et sur la reforme agraire constituent un espoir pour sauver cette activité agricole aux atouts évidents. Pour une meilleure alimentation en eau de l’agriculture urbaine, un renforcement des capacités techniques des exploitants est essentiel pour leur permettre une bonne maîtrise culturale et une économie de l’eau. De plus des puits et forages doivent être exécutés dans les sites pour mobiliser les eaux souterraines..., autant de conclusions auxquelles nous sommes parvenus à l’issue de notre étude et dont les justifications et les fondements sont développés à travers le présent mémoire.
Abstract : The agriculture of cities plays a vital socioeconomic role notably for the poorest. According to FAO, this type of agriculture supplied with 2005, of the food to approximately 700 million city-dwellers, is the quarter of the world urban population (Paul Mousitier and al, on 2006). Nevertheless, in Africa generally, this agricultural activity suffers of a lack of recognition by the authorities and an absence of tools for its planning and its management. Furthermore, it is characterized by its informal practices with land insecurity and a lack of availability of water especially in the Sahelian countries such as Burkina.
Nowadays, projects and studies try to bring it this recognition by reconciling the contradictory interests of the various actors of his its development where from the particular interest of the present study which joins the approach of a management integrated by water resources into an expansion of the agriculture in the city of Ouagadougou.
The urban agriculture in Ouagadougou is outlined along the river system of the city. The study was able to count 93 sites among which 63 sites of truck farming and 30 sites of horticulture in April, 2008 for a total surface exploited by 201,7 ha. Considering the Sahelian context and the various requests of the water, the urban agriculture in Ouagadougou misses water resources for its development. According to our investigations, the potentialities of the resource in water in the city are 1 834 125 m3 for subterranean waters, 1 991 736 m3 for waste water (treated and untreated) and 4 383 005 m3 for waters of surface against a theoretical need in water of 3 207 409 m3 for the cultures and a contribution practises 6 173 197 m3. Towards these figures, the water is not sufficient for a possible expansion at this stage. Evaporation represents 55 % of waters of surfaces of the city. Waste water used for the truck farming represents a major sanitary stake a consideration of which is indispensable. In 2003 the Burkina Faso adopted an Action plan for the Management Integrated by Water resources. This action plan accompanied with the laws on the water, on the health service and on re-forms agrarian constitute a hope to save this agricultural activity assets of which are not to be any more demonstrated. For the better water supply of the urban agriculture, an intensification of the technical capacities of the developers is essential to allow them a good cultural control and an economy of the water. More wells and drillings must be executed in sites to mobilize subterranean waters, so many conclusions which we reached at the conclusion of our study and among which the justifications and the foundations are developed through the present report.Mémoire Master d'ingénierie Environnement. Approche GIRE et expansion de l’agriculture urbaine à Ouagadougou [texte imprimé] / Hamadé SAWADOGO . - 2008 . - 111p.
Langues : Français (fre)
Résumé : L'agriculture des villes joue un rôle socio-économique vital notamment pour les plus pauvres. D’après la Fao, ce type d’agriculture fournissait en 2005, de la nourriture à environ 700 millions de citadins, soit le quart de la population urbaine mondiale (Paul Mousitier et al, 2006). Pourtant, en Afrique en général, cette activité agricole soufre d’un manque de reconnaissance par les autorités et d’une absence d’outils pour sa planification et sa gestion. De plus, elle est caractérisée par ses pratiques informelles avec une insécurité foncière et un manque de disponibilité d’eau surtout dans les pays sahéliens tels que le Burkina.
De nos jours, des projets et des études tâchent de lui apporter cette reconnaissance en réconciliant les intérêts contradictoires des différents acteurs de son développement d’où l’intérêt particulier de la présente étude qui intègre l’approche d’une gestion intégrée des ressources en eau à une expansion de l’agriculture dans la ville de Ouagadougou.
L’agriculture urbaine à Ouagadougou se dessine le long du réseau hydrographique de la ville. L’étude a pu recenser 93 sites dont 63 sites de maraîchage et 30 sites d’horticulture en Avril 2008 pour une superficie totale exploitée de 201,7 ha. Compte tenu du contexte sahélien et des différentes sollicitations de l’eau, l’agriculture urbaine à Ouagadougou manque de ressources en eau pour son développement. Selon nos investigations, les potentialités de la ressource en eau dans la ville sont de 1 834 125 m3 pour les eaux souterraines, 1 991 736 m3 pour les eaux usées (traitées et non traitées) et 4 383 005 m3 pour les eaux de surface contre un besoin théorique en eau de 3 207 409 m3 pour les cultures et un apport pratique de 6 173 197 m3. Au regard de ces chiffres, l’eau n’est pas suffisante pour une expansion éventuelle. L’évaporation à elle seule représente 55% des eaux de surfaces de la ville. Les eaux usées utilisées pour le maraîchage représentent un enjeu sanitaire majeur dont une prise en compte est indispensable. En 2003 le Burkina a adopté un Plan d’Action pour la Gestion Intégrée des Ressources en Eau. Ce plan d’action accompagné des lois sur l’eau, sur l’hygiène publique et sur la reforme agraire constituent un espoir pour sauver cette activité agricole aux atouts évidents. Pour une meilleure alimentation en eau de l’agriculture urbaine, un renforcement des capacités techniques des exploitants est essentiel pour leur permettre une bonne maîtrise culturale et une économie de l’eau. De plus des puits et forages doivent être exécutés dans les sites pour mobiliser les eaux souterraines..., autant de conclusions auxquelles nous sommes parvenus à l’issue de notre étude et dont les justifications et les fondements sont développés à travers le présent mémoire.
Abstract : The agriculture of cities plays a vital socioeconomic role notably for the poorest. According to FAO, this type of agriculture supplied with 2005, of the food to approximately 700 million city-dwellers, is the quarter of the world urban population (Paul Mousitier and al, on 2006). Nevertheless, in Africa generally, this agricultural activity suffers of a lack of recognition by the authorities and an absence of tools for its planning and its management. Furthermore, it is characterized by its informal practices with land insecurity and a lack of availability of water especially in the Sahelian countries such as Burkina.
Nowadays, projects and studies try to bring it this recognition by reconciling the contradictory interests of the various actors of his its development where from the particular interest of the present study which joins the approach of a management integrated by water resources into an expansion of the agriculture in the city of Ouagadougou.
The urban agriculture in Ouagadougou is outlined along the river system of the city. The study was able to count 93 sites among which 63 sites of truck farming and 30 sites of horticulture in April, 2008 for a total surface exploited by 201,7 ha. Considering the Sahelian context and the various requests of the water, the urban agriculture in Ouagadougou misses water resources for its development. According to our investigations, the potentialities of the resource in water in the city are 1 834 125 m3 for subterranean waters, 1 991 736 m3 for waste water (treated and untreated) and 4 383 005 m3 for waters of surface against a theoretical need in water of 3 207 409 m3 for the cultures and a contribution practises 6 173 197 m3. Towards these figures, the water is not sufficient for a possible expansion at this stage. Evaporation represents 55 % of waters of surfaces of the city. Waste water used for the truck farming represents a major sanitary stake a consideration of which is indispensable. In 2003 the Burkina Faso adopted an Action plan for the Management Integrated by Water resources. This action plan accompanied with the laws on the water, on the health service and on re-forms agrarian constitute a hope to save this agricultural activity assets of which are not to be any more demonstrated. For the better water supply of the urban agriculture, an intensification of the technical capacities of the developers is essential to allow them a good cultural control and an economy of the water. More wells and drillings must be executed in sites to mobilize subterranean waters, so many conclusions which we reached at the conclusion of our study and among which the justifications and the foundations are developed through the present report.Réservation
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Mémoire_Sawadogo HamadéAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie Environnement. Approche socio-technique de la mise en place des équipements de base d’eau et d’assainissement dans les quartiers pauvres d’Abidjan / Zounabo SAWADOGO
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Environnement Titre : Approche socio-technique de la mise en place des équipements de base d’eau et d’assainissement dans les quartiers pauvres d’Abidjan : le cas d’Abobo- Sagbé Type de document : texte imprimé Auteurs : Zounabo SAWADOGO Année de publication : 2004 Importance : 144p. Langues : Français (fre) Résumé : Dans les villes africaines, les infrastructures de base d’eau et d’assainissement ne suivent pas la croissance démographique. L’évacuation des déchets liquides et solides ainsi que des eaux usées pose d’énormes difficultés. Dans le cas des eaux usées et excrétas, l’assainissement individuel prédomine et, de plus en plus, atteint ses limites dans les quartiers pauvres densément peuplés. De plus, le niveau de pauvreté dans ces quartiers fait que très peu de personnes qui y vivent, ont un accès direct au service public d’eau potable.
Face à cette situation, le CREPA-Cl a initié dans le cadre du programme de lutte contre la pauvreté du PNUD, un projet pilote de développement des infrastructures d’adduction en eau potable et d’assainissement à Sagbé, quartier situé dans la commune d’Abobo à Abidjan. Ce projet consiste à mettre en place 500ml de réseau d’égout à faible diamètre et appuyer dix neuf(l9) concessions à s’abonner au service public d’eau potable. Le réseau d’égout à faible diamètre permet la collecte des eaux usées ménagères de bassins versants de petite taille. Pour le cas d’Abobo-Sagbé, 17 concessions seront raccordées et 13 lavoirs seront construits dans certaines concessions.
L’étude définit et expérimente une approche socio-technique de la mise en place de ces services dans ce quartier. Pour la pérennisation de ces services, un système d’épargne a été mis en place pour permettre aux bénéficiaires d’obtenir des crédits pour la mise en oeuvre d’activités génératrices de revenu, de rembourser les frais d’abonnement, de payer les factures d’eau et les frais d’entretien du réseau. Un mode de gestion participative de ces services a été mis en place avec la constitution d’un comité local de gestion.Mémoire Master d'ingénierie Environnement. Approche socio-technique de la mise en place des équipements de base d’eau et d’assainissement dans les quartiers pauvres d’Abidjan : le cas d’Abobo- Sagbé [texte imprimé] / Zounabo SAWADOGO . - 2004 . - 144p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Dans les villes africaines, les infrastructures de base d’eau et d’assainissement ne suivent pas la croissance démographique. L’évacuation des déchets liquides et solides ainsi que des eaux usées pose d’énormes difficultés. Dans le cas des eaux usées et excrétas, l’assainissement individuel prédomine et, de plus en plus, atteint ses limites dans les quartiers pauvres densément peuplés. De plus, le niveau de pauvreté dans ces quartiers fait que très peu de personnes qui y vivent, ont un accès direct au service public d’eau potable.
Face à cette situation, le CREPA-Cl a initié dans le cadre du programme de lutte contre la pauvreté du PNUD, un projet pilote de développement des infrastructures d’adduction en eau potable et d’assainissement à Sagbé, quartier situé dans la commune d’Abobo à Abidjan. Ce projet consiste à mettre en place 500ml de réseau d’égout à faible diamètre et appuyer dix neuf(l9) concessions à s’abonner au service public d’eau potable. Le réseau d’égout à faible diamètre permet la collecte des eaux usées ménagères de bassins versants de petite taille. Pour le cas d’Abobo-Sagbé, 17 concessions seront raccordées et 13 lavoirs seront construits dans certaines concessions.
L’étude définit et expérimente une approche socio-technique de la mise en place de ces services dans ce quartier. Pour la pérennisation de ces services, un système d’épargne a été mis en place pour permettre aux bénéficiaires d’obtenir des crédits pour la mise en oeuvre d’activités génératrices de revenu, de rembourser les frais d’abonnement, de payer les factures d’eau et les frais d’entretien du réseau. Un mode de gestion participative de ces services a été mis en place avec la constitution d’un comité local de gestion.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité SAWADOGO Zounabo//0569 M. 0569 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Documents Disponible Documents numériques
ZounaboAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie Environnement. Assainissement des eaux pluviales d'un quartier périphérique de Ouagadougou / Aimé BICABA
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Environnement Titre : Assainissement des eaux pluviales d'un quartier périphérique de Ouagadougou : Tanghin, secteur 23 Type de document : texte imprimé Auteurs : Aimé BICABA Année de publication : 2013 Importance : 79p. Langues : Français (fre) Résumé : Le secteur 23, situé en périphérie de la ville de Ouagadougou est caractérisé par une population jeune. Il dispose de peu d'infrastructures. Le niveau de vie de la population est faible. Les activités économiques relèvent du secteur primaire (agriculture, élevage, artisanat, commerce).
Le quartier connaît des problèmes dus aux eaux de ruissellement. Le réseau de drainage que nous avons conçu permettra dans une moindre mesure de diminuer ces problèmes. Notre réseau est long de 19395 m et composé de caniveaux à section rectangulaire. Le nombre total de tronçons est de 83. Le revêtement choisi est le perré maçonné. Le réseau comporte aussi sept dalots par lesquels une partie des eaux seront évacuées vers le barrage n°2. Le canal longeant le quartier à l'Est servira d'exutoire pour l'autre partie des eaux de ruissellement.
Les caractéristiques des tronçons se situent entre:
3 %o et 2%.pour les pentes des caniveaux,
0.90 m/s et 3.09 m/s pour les vitesses
0.21 m3 /s et 4.79 m3 /s pour le débit
0.50 m et 2.20 m pour la largeur des caniveaux
0.40 et 1.20 m pour la profondeur des caniveaux.
Le coût estimatif du projet s'élève à 704.145.795Fcfa, Les frais d'entretien s'élèvent à 3.177.615 FCFA/an.Mémoire Master d'ingénierie Environnement. Assainissement des eaux pluviales d'un quartier périphérique de Ouagadougou : Tanghin, secteur 23 [texte imprimé] / Aimé BICABA . - 2013 . - 79p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Le secteur 23, situé en périphérie de la ville de Ouagadougou est caractérisé par une population jeune. Il dispose de peu d'infrastructures. Le niveau de vie de la population est faible. Les activités économiques relèvent du secteur primaire (agriculture, élevage, artisanat, commerce).
Le quartier connaît des problèmes dus aux eaux de ruissellement. Le réseau de drainage que nous avons conçu permettra dans une moindre mesure de diminuer ces problèmes. Notre réseau est long de 19395 m et composé de caniveaux à section rectangulaire. Le nombre total de tronçons est de 83. Le revêtement choisi est le perré maçonné. Le réseau comporte aussi sept dalots par lesquels une partie des eaux seront évacuées vers le barrage n°2. Le canal longeant le quartier à l'Est servira d'exutoire pour l'autre partie des eaux de ruissellement.
Les caractéristiques des tronçons se situent entre:
3 %o et 2%.pour les pentes des caniveaux,
0.90 m/s et 3.09 m/s pour les vitesses
0.21 m3 /s et 4.79 m3 /s pour le débit
0.50 m et 2.20 m pour la largeur des caniveaux
0.40 et 1.20 m pour la profondeur des caniveaux.
Le coût estimatif du projet s'élève à 704.145.795Fcfa, Les frais d'entretien s'élèvent à 3.177.615 FCFA/an.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité BICABA Aimé//0329 M. 0329 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Documents Disponible Documents numériques
BICABAAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie Environnement. Assainissement des eaux pluviales du triangle sud Dakar / El Hadji Lamine DIOP
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Environnement Titre : Assainissement des eaux pluviales du triangle sud Dakar Type de document : texte imprimé Auteurs : El Hadji Lamine DIOP Année de publication : 1996 Importance : 91p. Langues : Français (fre) Résumé : Le problème du drainage du Triangle Sud est complexe. Son étude aura demandé des moyens humains, matériels voire financiers complets, nécessaire à son bon déroulement. Elle a duré 4 mois dont 2 mois de collectes de données (stage d'été) et 2 mois consacrés à l'élaboration de ce mémoire de fin d'étude.
La démarche scientifique que nous avons suivie, nous a permis d'obtenir un certain nombre de résultats. En effet, l'étude diagnostic du bassin versant du Triangle nous a permis de toucher du doigt les causes fondamentales de stagnation d'eau dans les différentes voies et points bas du secteur. Nous avons décelé, entre autres :
- l'insuffisance de la capacité de drainage (tant au niveau de certains collecteurs que des ouvrages de collecte) du réseau malgré un entretien annuel ;
- la topographie relativement basse par rapport aux autres bassins ad'hoc (cuvette, points bas);
- le bouchage de l'exutoire par les eaux de mer au niveau du mole 10 de Dakar ;
- des anomalies dues soit à la conception, soit à des modifications au niveau de certains collecteurs (cas du canal champ de course).
Ainsi donc, nous avons proposé des solutions dans le but d'améliorer les conditions de drainage dans tout le bassin en général, aux points bas du Boulevard Général DE GAULLE et de la RTS en particulier.
L'objet de ce mémoire est une étude d'Avant Projet Sommaire (APS) de ces propositions de solutions. Cet APS est constitué de 2 parties essentielles : l'étude technique des solutions et l'évaluation financière relative à l'investissement.
Les solutions proposées ci-après ne sont pas indépendantes. Elles sont liées voire même complémentaires. Il s'agit de :
- corriger les anomalies du réseau, de rependre ou renforcer les tronçons sous-dimensionnés, soit un linéaire de 1050 ml de canalisation ;
- de densifier les grilles de collecte au niveau des tronçons mis en relief par l'étude diagnostique. Cette opération consiste à poser une trentaine de grilles en fonte supplémentaires.
- de réaliser un bassin de stockage en amont du point bas du Boulevard Général DE GAULLE, à la hauteur de la Banque de l'Habitat du Sénégal (B.H.S.). Ce bassin de stockage sera axé au niveau du canal champ de course, à 100m environ du boulevard.
* Son rôle premier est de collecter toutes les eaux qui auraient tendance à stagner au niveau du point bas. Des aires de collectes seront aménagées à cet effet.
* Son second rôle consiste à jouer un rôle tampon, régulateur entre la station de relèvement en aval et le reste du réseau amont. Il permettrait à la station d'éviter d'éventuels débordement ou surcharges qui nuiraient au bon fonctionnement des pompes ou autre ouvrage.
* Le besoin de stockage occupe une aire d'un demi hectare (5000 m2) ; un volume maximal de 16200 m3 et un temps de séjour des eaux de 3 heures.
Par ailleurs, la position de l'exutoire par rapport à la mer et le freinage de l'écoulement par les eaux de mer à ce niveau nous ont poussé à concevoir une station de relèvement des eaux, juste à l'entrée du Port au mole 10. Cette station sera axée sur l'émissaire à ciel ouvert et sera composée d'un dégrilleur manuel, d'un dessableur et d'une chambre des pompes. Elle refoulera sur une longueur de 150 m.
Le dessableur sera axé sur le canal et aura pour dimensions :
L = 12 m
I = 7,50 m
h = 1,10 m
La chambre de pompe sera circulaire. Elle aura les dimensions suivantes : r =5 m ; h = 5 m ; v = 460 m3 ; s = 92 m2
Elle abritera des pompes submersibles Type FLYGT : 7080 de puissance 140kw et ayant un débit de refoulement de 10001/s et une hauteur manométrique de 8 m.
Il est évident que la concrétisation de cette étude est subordonnée aux moyens financiers, les moyens techniques matériels et humains dans ce domaine sont assurés au niveau du pays. C'est la raison pour laquelle nous avons fait une estimation globale du coût de projet. Les réajustements ultérieurs seraient apportés par l'étude d'avant projet détaillé (A.P.D). Le tableau ci-après regroupe le coût des ouvrages selon les différents postes.Mémoire Master d'ingénierie Environnement. Assainissement des eaux pluviales du triangle sud Dakar [texte imprimé] / El Hadji Lamine DIOP . - 1996 . - 91p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Le problème du drainage du Triangle Sud est complexe. Son étude aura demandé des moyens humains, matériels voire financiers complets, nécessaire à son bon déroulement. Elle a duré 4 mois dont 2 mois de collectes de données (stage d'été) et 2 mois consacrés à l'élaboration de ce mémoire de fin d'étude.
La démarche scientifique que nous avons suivie, nous a permis d'obtenir un certain nombre de résultats. En effet, l'étude diagnostic du bassin versant du Triangle nous a permis de toucher du doigt les causes fondamentales de stagnation d'eau dans les différentes voies et points bas du secteur. Nous avons décelé, entre autres :
- l'insuffisance de la capacité de drainage (tant au niveau de certains collecteurs que des ouvrages de collecte) du réseau malgré un entretien annuel ;
- la topographie relativement basse par rapport aux autres bassins ad'hoc (cuvette, points bas);
- le bouchage de l'exutoire par les eaux de mer au niveau du mole 10 de Dakar ;
- des anomalies dues soit à la conception, soit à des modifications au niveau de certains collecteurs (cas du canal champ de course).
Ainsi donc, nous avons proposé des solutions dans le but d'améliorer les conditions de drainage dans tout le bassin en général, aux points bas du Boulevard Général DE GAULLE et de la RTS en particulier.
L'objet de ce mémoire est une étude d'Avant Projet Sommaire (APS) de ces propositions de solutions. Cet APS est constitué de 2 parties essentielles : l'étude technique des solutions et l'évaluation financière relative à l'investissement.
Les solutions proposées ci-après ne sont pas indépendantes. Elles sont liées voire même complémentaires. Il s'agit de :
- corriger les anomalies du réseau, de rependre ou renforcer les tronçons sous-dimensionnés, soit un linéaire de 1050 ml de canalisation ;
- de densifier les grilles de collecte au niveau des tronçons mis en relief par l'étude diagnostique. Cette opération consiste à poser une trentaine de grilles en fonte supplémentaires.
- de réaliser un bassin de stockage en amont du point bas du Boulevard Général DE GAULLE, à la hauteur de la Banque de l'Habitat du Sénégal (B.H.S.). Ce bassin de stockage sera axé au niveau du canal champ de course, à 100m environ du boulevard.
* Son rôle premier est de collecter toutes les eaux qui auraient tendance à stagner au niveau du point bas. Des aires de collectes seront aménagées à cet effet.
* Son second rôle consiste à jouer un rôle tampon, régulateur entre la station de relèvement en aval et le reste du réseau amont. Il permettrait à la station d'éviter d'éventuels débordement ou surcharges qui nuiraient au bon fonctionnement des pompes ou autre ouvrage.
* Le besoin de stockage occupe une aire d'un demi hectare (5000 m2) ; un volume maximal de 16200 m3 et un temps de séjour des eaux de 3 heures.
Par ailleurs, la position de l'exutoire par rapport à la mer et le freinage de l'écoulement par les eaux de mer à ce niveau nous ont poussé à concevoir une station de relèvement des eaux, juste à l'entrée du Port au mole 10. Cette station sera axée sur l'émissaire à ciel ouvert et sera composée d'un dégrilleur manuel, d'un dessableur et d'une chambre des pompes. Elle refoulera sur une longueur de 150 m.
Le dessableur sera axé sur le canal et aura pour dimensions :
L = 12 m
I = 7,50 m
h = 1,10 m
La chambre de pompe sera circulaire. Elle aura les dimensions suivantes : r =5 m ; h = 5 m ; v = 460 m3 ; s = 92 m2
Elle abritera des pompes submersibles Type FLYGT : 7080 de puissance 140kw et ayant un débit de refoulement de 10001/s et une hauteur manométrique de 8 m.
Il est évident que la concrétisation de cette étude est subordonnée aux moyens financiers, les moyens techniques matériels et humains dans ce domaine sont assurés au niveau du pays. C'est la raison pour laquelle nous avons fait une estimation globale du coût de projet. Les réajustements ultérieurs seraient apportés par l'étude d'avant projet détaillé (A.P.D). Le tableau ci-après regroupe le coût des ouvrages selon les différents postes.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité DIOP El Hadj Lamine//0280 M. 0280 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Documents Disponible Documents numériques
El HadjiAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie Environnement. Assainissement écologique dans le Sahel / Bougadary SANGARE
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Environnement Titre : Assainissement écologique dans le Sahel : cas du village de Sabtenga Type de document : texte imprimé Auteurs : Bougadary SANGARE Année de publication : 2002 Importance : 102p. Langues : Français (fre) Résumé : Les pays en développement, notamment ceux du sahel, connaissent de très nombreux problèmes tels que la pauvreté, les maladies, la sécheresse, la guerre, etc. Face à cette situation, très peu d'importance est accordée à l'assainissement dans cette partie du monde. En effet, les populations pauvres considèrent l'assainissement comme un luxe et consacrent par conséquent leurs maigres ressources à d'autres priorités comme la nourriture, la santé, la scolarisation des enfants et leur habillement. Cette attitude s'explique par l'ignorance de la grande majorité de ces populations et aussi par le coût très élevé des dispositifs d'assainissement classique.
C'est ainsi que les autorités, régionales et internationales en charge de l'assainissement, déploient de grands efforts pour non seulement faire comprendre les dangers de l'insalubrité mais aussi pour trouver une solution adaptée au contexte sahélien.
Le projet pilote d'assainissement écologique dans le village de Sabtenga au Burkina Faso initié par le Centre Régional pour l'Eau Potable et l'Assainissement à faible coût (CREPA), objet de la présente étude, rentre dans ce cadre.
Après la mise en évidence de l'importance de l'assainissement et la revue des pratiques existantes dans le Sahel en assainissement autonome ; un accent particulier a été mis sur le concept d'assainissement écologique ainsi que les dispositifs mis en oeuvre par cette nouvelle technique d'assainissement. Puis une étude comparative entre l'assainissement écologique et l'assainissement autonome classique a été faite. L'étude comparative est suivie de l'historique, les objectifs, les procédés de dimensionnement et le jeu des différents acteurs impliqués dans le projet de Sabtenga. Enfin des propositions techniques et financières ainsi que des recommandations visant une bonne replicabilité de la technologie d'assainissement écologique dans le contexte sahéfien ont été faites.
La prise en compte de toutes ces propositions et recommandations assura un avenir meilleur à cette nouvelle technologie dans le sahel.Mémoire Master d'ingénierie Environnement. Assainissement écologique dans le Sahel : cas du village de Sabtenga [texte imprimé] / Bougadary SANGARE . - 2002 . - 102p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Les pays en développement, notamment ceux du sahel, connaissent de très nombreux problèmes tels que la pauvreté, les maladies, la sécheresse, la guerre, etc. Face à cette situation, très peu d'importance est accordée à l'assainissement dans cette partie du monde. En effet, les populations pauvres considèrent l'assainissement comme un luxe et consacrent par conséquent leurs maigres ressources à d'autres priorités comme la nourriture, la santé, la scolarisation des enfants et leur habillement. Cette attitude s'explique par l'ignorance de la grande majorité de ces populations et aussi par le coût très élevé des dispositifs d'assainissement classique.
C'est ainsi que les autorités, régionales et internationales en charge de l'assainissement, déploient de grands efforts pour non seulement faire comprendre les dangers de l'insalubrité mais aussi pour trouver une solution adaptée au contexte sahélien.
Le projet pilote d'assainissement écologique dans le village de Sabtenga au Burkina Faso initié par le Centre Régional pour l'Eau Potable et l'Assainissement à faible coût (CREPA), objet de la présente étude, rentre dans ce cadre.
Après la mise en évidence de l'importance de l'assainissement et la revue des pratiques existantes dans le Sahel en assainissement autonome ; un accent particulier a été mis sur le concept d'assainissement écologique ainsi que les dispositifs mis en oeuvre par cette nouvelle technique d'assainissement. Puis une étude comparative entre l'assainissement écologique et l'assainissement autonome classique a été faite. L'étude comparative est suivie de l'historique, les objectifs, les procédés de dimensionnement et le jeu des différents acteurs impliqués dans le projet de Sabtenga. Enfin des propositions techniques et financières ainsi que des recommandations visant une bonne replicabilité de la technologie d'assainissement écologique dans le contexte sahéfien ont été faites.
La prise en compte de toutes ces propositions et recommandations assura un avenir meilleur à cette nouvelle technologie dans le sahel.Réservation
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