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Auteur Karidja YAO |
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Faire une suggestion Affiner la rechercheMémoire FPL Master Spécialisé GIRE. Impacts des polluants agricoles sur les ressources en eau au Burkina. Quelles mesures préventives ? / Karidja YAO
Titre de série : Mémoire FPL Master Spécialisé GIRE Titre : Impacts des polluants agricoles sur les ressources en eau au Burkina. Quelles mesures préventives ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Karidja YAO Année de publication : 2008 Importance : 40p. Langues : Français (fre) Résumé : « L’impact des polluants agricoles sur les ressources en eau et quelles mesures préventives ? » Thème de ce projet personnel, a eu en charge de faire une synthèse sur l’utilisation des intrants, voir leur impact sur les ressources en eau et proposer des solutions pour une bonne gestion de ces ressources.
De cette synthèse, il ressort que le Burkina dispose d’un réseau hydrographique assez important mais malheureusement ces cours d’eau sont pour la plupart temporaire.
L’agriculture principale source d’économie du pays est à 7 kg/ha de consommation de fertilisants et de des pesticides à cause de sa nature traditionnelle. La menace de l’environnement et des cours d’eau en particulier ne réside pas dans la quantité d’intrants mais dans la qualité des produits utilisés.
Une approche de gestion intégrée qui prend en compte les impératifs économiques de productions et les impératifs de protections environnementales est préconisée comme mesure préventive.Mémoire FPL Master Spécialisé GIRE. Impacts des polluants agricoles sur les ressources en eau au Burkina. Quelles mesures préventives ? [texte imprimé] / Karidja YAO . - 2008 . - 40p.
Langues : Français (fre)
Résumé : « L’impact des polluants agricoles sur les ressources en eau et quelles mesures préventives ? » Thème de ce projet personnel, a eu en charge de faire une synthèse sur l’utilisation des intrants, voir leur impact sur les ressources en eau et proposer des solutions pour une bonne gestion de ces ressources.
De cette synthèse, il ressort que le Burkina dispose d’un réseau hydrographique assez important mais malheureusement ces cours d’eau sont pour la plupart temporaire.
L’agriculture principale source d’économie du pays est à 7 kg/ha de consommation de fertilisants et de des pesticides à cause de sa nature traditionnelle. La menace de l’environnement et des cours d’eau en particulier ne réside pas dans la quantité d’intrants mais dans la qualité des produits utilisés.
Une approche de gestion intégrée qui prend en compte les impératifs économiques de productions et les impératifs de protections environnementales est préconisée comme mesure préventive.Réservation
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Titre de série : Mémoire Master Spécialisé GSE Titre : Contribution à la gestion durable des déchets de la ville de Yamoussoukro : diagnostics et propositions de plan stratégiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Karidja YAO Année de publication : 2009 Importance : 84p. Langues : Français (fre) Résumé : La collecte et l’élimination sécuritaire des déchets urbains solides constituent une préoccupation quotidienne des centres urbains. La situation est encore plus alarmante dans les pays du Tiers-Monde. En effet, faisant face à des difficultés économiques de taille, les gestionnaires sont obligés de procéder à une hiérarchisation dans le choix des investissements sociaux et la priorité n’est pas toujours accordée à la gestion des déchets. Les moyens utilisés jusqu’ici pour faire face aux problèmes engendrés par les déchets sont d’ordres financier et technique. Yamoussoukro malgré son statut particulier de ville du père fondateur de la nation ivoirienne et de l’effectivité du transfert de la capitale politique administrative, ne semble pas faire exception à la règle.
La méthodologie utilisée pour appréhender le problème, afin de pouvoir proposer des solutions a été basée sur une enquête auprès des ménages (échantillon = 540 ménages), des entretiens et des observations sur le terrain. Le dépouillement et le traitement des données ont donné ce qui suit :
La gestion des ordures ménagères et des déchets biomédicaux souffre de quelques contraintes réglementaires, organisationnelles et techniques.
Sur une quantité journalière de 147 291 Kg/j soit 53 770 tonne par an de déchet produit seulement 21% sont évacués vers la décharge publique non contrôlée.
La volonté à participer de la population pour une amélioration se situe autour de 36 % et ceci due à une absence de marketing social constaté lors des enquêtes et des entretiens sur le terrain.
Aucune attention n’est accordée à la gestion des déchets biomédicaux car malgré la spécificité de ces déchets ceux-ci sont entreposés sur le trottoir et acheminés à la même décharge sans traitement préalable. Aucun établissement public sanitaire et privé ne dispose d’incinérateur pour les déchets anatomiques.Mémoire Master Spécialisé GSE. Contribution à la gestion durable des déchets de la ville de Yamoussoukro : diagnostics et propositions de plan stratégiques [texte imprimé] / Karidja YAO . - 2009 . - 84p.
Langues : Français (fre)
Résumé : La collecte et l’élimination sécuritaire des déchets urbains solides constituent une préoccupation quotidienne des centres urbains. La situation est encore plus alarmante dans les pays du Tiers-Monde. En effet, faisant face à des difficultés économiques de taille, les gestionnaires sont obligés de procéder à une hiérarchisation dans le choix des investissements sociaux et la priorité n’est pas toujours accordée à la gestion des déchets. Les moyens utilisés jusqu’ici pour faire face aux problèmes engendrés par les déchets sont d’ordres financier et technique. Yamoussoukro malgré son statut particulier de ville du père fondateur de la nation ivoirienne et de l’effectivité du transfert de la capitale politique administrative, ne semble pas faire exception à la règle.
La méthodologie utilisée pour appréhender le problème, afin de pouvoir proposer des solutions a été basée sur une enquête auprès des ménages (échantillon = 540 ménages), des entretiens et des observations sur le terrain. Le dépouillement et le traitement des données ont donné ce qui suit :
La gestion des ordures ménagères et des déchets biomédicaux souffre de quelques contraintes réglementaires, organisationnelles et techniques.
Sur une quantité journalière de 147 291 Kg/j soit 53 770 tonne par an de déchet produit seulement 21% sont évacués vers la décharge publique non contrôlée.
La volonté à participer de la population pour une amélioration se situe autour de 36 % et ceci due à une absence de marketing social constaté lors des enquêtes et des entretiens sur le terrain.
Aucune attention n’est accordée à la gestion des déchets biomédicaux car malgré la spécificité de ces déchets ceux-ci sont entreposés sur le trottoir et acheminés à la même décharge sans traitement préalable. Aucun établissement public sanitaire et privé ne dispose d’incinérateur pour les déchets anatomiques.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité YAO Karidja//0965 M. 0965 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Documents Disponible Documents numériques
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