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Série Mémoire Master d'ingénierie FI3
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Mémoire Master d'ingénierie FI3. Etude de la viabi¬lité d'un projet d'exportation des fruits et légumes par une union des groupements et coopératives du Tchad / Pébah Watam SOBDIBE
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie FI3 Titre : Etude de la viabi¬lité d'un projet d'exportation des fruits et légumes par une union des groupements et coopératives du Tchad Type de document : texte imprimé Auteurs : Pébah Watam SOBDIBE Année de publication : 1997 Importance : 100 p. Langues : Français (fre) Résumé : Le projet d'exportation des fruits et légumes par une union des groupements et coopératives du Tchad est le résultat de divers problèmes que connaissent ceux-ci dans leurs activités de production agricole. Ces problèmes dont la commercialisation constitue l'un des points clés ont suscité la création d'une coopérative de commercialisation dénommée U.GRO.CO.PA (Union des Groupements et Coopératives pour l'exportation des Produits Agricoles) qui aura essentiellement pour tâches d'organiser les groupements, de les former et de les aider à mieux écouler leur production. Ceci, dans le principal but d'améliorer les conditions de vie et partant le développement dans son ensemble. Une dizaine de groupements en plus un gros producteur sont pour l'instant concernés par le projet.
L'objet de l'étude est de faire ressortir la faisabilité du projet d'exportation des fruits et légumes. Ainsi, en analysant les différentes possibilités de commercialisation des produits sur le plan international, le haricot vert apparaît comme le seul produit susceptible d'être envisagé à l'exportation. Mais des produits comme le melon et les fraises sont aussi envisageables, cependant les conditions climatiques ainsi que d'autres facteurs sont tellement difficiles qu'une coopérative jeune ne peut maîtriser la commercialisation. Les investissements, dont la plus grande partie (infrastructures hydrauliques, équipements agricoles et aménagements) est réalisée à la faveur de la subvention accordée par le Programme Micro-Réalisations avec le Fonds Européen de Développement, concernent essentiellement la station de pompage, les matériels d'installation et de fonctionnement de la coopérative. Ces investissements s'élèvent à environ 46 millions. Mais le coût final du projet est de 204 millions si on tient compte du besoin en fonds de roulement d'une année d'exploitation du projet ainsi que de l'équilibre de trésorerie. Ce montant important est réparti en capitaux propres (apports des membres) qui constituent l'une des conditions de base de l'accès au crédit, en emprunt et subvention.
L'analyse financière montre que le projet est viable financièrement de. par les valeurs intéressantes du taux de rentabilité interne (65%) et du taux de la rentabilité des capitaux investis (47,4%). Ceci prouve que les nouveaux coopérateurs disposent d'une réelle capacité de remboursement de leur emprunt ainsi que de satisfaction de certains de leurs besoins monétaires.
L'analyse économique apparaît elle aussi intéressante eu égard aux valeurs ajoutées créées par le projet en terme de revenus des ménages, des impôts et taxes pour l'Etat et du développement d'autres secteurs privés (entreprises, institutions financières). Le projet génère essentiellement une entrée de devises non négligeable évaluée à 332 millions environ.
Par ailleurs, le projet ne pourra être véritablement viable que si tous les acteurs concernés conjuguent leurs efforts et respectent parfaitement leur engagement. La nouvelle coopérative aura de chance de survivre si les personnes chargées de sa gestion sont honnêtes et compétentes. Elle doit collaborer de manière sincère avec les membres, entretenir leur intérêt et les informer régulièrement sur les activités menées.
Aussi, des possibilités réelles d'écoulement en quantité importante du haricot vert existent sur le marché international à condition que les exigences du marché en matière de qualité et d'approvisionnement régulier soient respectées. La coopérative se verra également grandir facilement si les résultats sont satisfaisants d'année en armée. Elle pourrait réunir à court ou à moyen terme un grand nombre des producteurs tchadiens. La coopérative a en outre de chance de se développer et d'améliorer ses performances si elle oeuvre de façon continue pour la recherche d'un partenariat.Mémoire Master d'ingénierie FI3. Etude de la viabi¬lité d'un projet d'exportation des fruits et légumes par une union des groupements et coopératives du Tchad [texte imprimé] / Pébah Watam SOBDIBE . - 1997 . - 100 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Le projet d'exportation des fruits et légumes par une union des groupements et coopératives du Tchad est le résultat de divers problèmes que connaissent ceux-ci dans leurs activités de production agricole. Ces problèmes dont la commercialisation constitue l'un des points clés ont suscité la création d'une coopérative de commercialisation dénommée U.GRO.CO.PA (Union des Groupements et Coopératives pour l'exportation des Produits Agricoles) qui aura essentiellement pour tâches d'organiser les groupements, de les former et de les aider à mieux écouler leur production. Ceci, dans le principal but d'améliorer les conditions de vie et partant le développement dans son ensemble. Une dizaine de groupements en plus un gros producteur sont pour l'instant concernés par le projet.
L'objet de l'étude est de faire ressortir la faisabilité du projet d'exportation des fruits et légumes. Ainsi, en analysant les différentes possibilités de commercialisation des produits sur le plan international, le haricot vert apparaît comme le seul produit susceptible d'être envisagé à l'exportation. Mais des produits comme le melon et les fraises sont aussi envisageables, cependant les conditions climatiques ainsi que d'autres facteurs sont tellement difficiles qu'une coopérative jeune ne peut maîtriser la commercialisation. Les investissements, dont la plus grande partie (infrastructures hydrauliques, équipements agricoles et aménagements) est réalisée à la faveur de la subvention accordée par le Programme Micro-Réalisations avec le Fonds Européen de Développement, concernent essentiellement la station de pompage, les matériels d'installation et de fonctionnement de la coopérative. Ces investissements s'élèvent à environ 46 millions. Mais le coût final du projet est de 204 millions si on tient compte du besoin en fonds de roulement d'une année d'exploitation du projet ainsi que de l'équilibre de trésorerie. Ce montant important est réparti en capitaux propres (apports des membres) qui constituent l'une des conditions de base de l'accès au crédit, en emprunt et subvention.
L'analyse financière montre que le projet est viable financièrement de. par les valeurs intéressantes du taux de rentabilité interne (65%) et du taux de la rentabilité des capitaux investis (47,4%). Ceci prouve que les nouveaux coopérateurs disposent d'une réelle capacité de remboursement de leur emprunt ainsi que de satisfaction de certains de leurs besoins monétaires.
L'analyse économique apparaît elle aussi intéressante eu égard aux valeurs ajoutées créées par le projet en terme de revenus des ménages, des impôts et taxes pour l'Etat et du développement d'autres secteurs privés (entreprises, institutions financières). Le projet génère essentiellement une entrée de devises non négligeable évaluée à 332 millions environ.
Par ailleurs, le projet ne pourra être véritablement viable que si tous les acteurs concernés conjuguent leurs efforts et respectent parfaitement leur engagement. La nouvelle coopérative aura de chance de survivre si les personnes chargées de sa gestion sont honnêtes et compétentes. Elle doit collaborer de manière sincère avec les membres, entretenir leur intérêt et les informer régulièrement sur les activités menées.
Aussi, des possibilités réelles d'écoulement en quantité importante du haricot vert existent sur le marché international à condition que les exigences du marché en matière de qualité et d'approvisionnement régulier soient respectées. La coopérative se verra également grandir facilement si les résultats sont satisfaisants d'année en armée. Elle pourrait réunir à court ou à moyen terme un grand nombre des producteurs tchadiens. La coopérative a en outre de chance de se développer et d'améliorer ses performances si elle oeuvre de façon continue pour la recherche d'un partenariat.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité SOBDIBE Pedah Watam//0322 M. 0322 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Documents Disponible Documents numériques
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Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie FI3 Titre : Projet de création d'un bureau d'étude Type de document : texte imprimé Auteurs : Moumini BAMOGO Année de publication : 1995 Importance : 50p. Langues : Français (fre) Note de contenu : Le présent mémoire vise la création d'un bureau d'études. Ce bureau d'études sera une entreprise individuelle avec pour siège social Ouagadougou. Sa dénomination est Société Générale d'Etudes et d'Ingénieurs - Conseils en abrégé SO.G.E.I.C.
Son créateur est un ingénieur du génie rural formé à l'EIER bénéficiant donc d'une bonne formation technique et maîtrisant les règles fondamentales de gestion. L'étude de marché permet d'affirmer qu'il est possible de se faire une place au soleil. En effet le marché potentiel d'études est estimé à 5460 millions de FCFA par an. Le bureau d'études SOGEIC prévoit un chiffre d'affaires de 10.500.000 F CFA pour la première année d'activité.
Le plan de financement montre qu'on a besoin d'un investissement de 5.885.000 F CFA et d'un besoin en fonds de roulement de 1.105.000 FCFA.
Les ressources seront composées d'un apport personnel en nature et en numéraire d'une valeur totale de 1.240.000 F CFA et d'un emprunt de 5.700.000 F CFA.
L'analyse du compte de résultat fait apparaître une capacité d'autofinancement de 3.238.000 F CFA et un CASH FLOW de 2.288.000 F CFA
Enfin l'analyse de cohérence confirme le réalisme du chiffre d'affaires prévu pour la première année d'activité.Mémoire Master d'ingénierie FI3. Projet de création d'un bureau d'étude [texte imprimé] / Moumini BAMOGO . - 1995 . - 50p.
Langues : Français (fre)
Note de contenu : Le présent mémoire vise la création d'un bureau d'études. Ce bureau d'études sera une entreprise individuelle avec pour siège social Ouagadougou. Sa dénomination est Société Générale d'Etudes et d'Ingénieurs - Conseils en abrégé SO.G.E.I.C.
Son créateur est un ingénieur du génie rural formé à l'EIER bénéficiant donc d'une bonne formation technique et maîtrisant les règles fondamentales de gestion. L'étude de marché permet d'affirmer qu'il est possible de se faire une place au soleil. En effet le marché potentiel d'études est estimé à 5460 millions de FCFA par an. Le bureau d'études SOGEIC prévoit un chiffre d'affaires de 10.500.000 F CFA pour la première année d'activité.
Le plan de financement montre qu'on a besoin d'un investissement de 5.885.000 F CFA et d'un besoin en fonds de roulement de 1.105.000 FCFA.
Les ressources seront composées d'un apport personnel en nature et en numéraire d'une valeur totale de 1.240.000 F CFA et d'un emprunt de 5.700.000 F CFA.
L'analyse du compte de résultat fait apparaître une capacité d'autofinancement de 3.238.000 F CFA et un CASH FLOW de 2.288.000 F CFA
Enfin l'analyse de cohérence confirme le réalisme du chiffre d'affaires prévu pour la première année d'activité.Réservation
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MouminiAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie FI3. Etude technico-économique d'un système d'irrigation privé de bananeraie à Kompienga phase d'expérimentation sur 2 hectares. / Ibrahima GUINDO
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie FI3 Titre : Etude technico-économique d'un système d'irrigation privé de bananeraie à Kompienga phase d'expérimentation sur 2 hectares. Type de document : texte imprimé Auteurs : Ibrahima GUINDO Année de publication : 1995 Importance : 106p. Langues : Français (fre) Résumé : Le travail qui fait l'objet du présent mémoire de fin d'études a pour thème : "Etude technico-économique d'un système d'irrigation privé de bananeraie à KOMPIENGA-phase d'expérimentation sur 2 ha"
En effet la promotrice, Madame Catherine RICHARD exploite depuis fin Août 1994 2 ha de bananeraie sur une superficie totale de 13 ha qu'elle dispose en aval du barrage de KOMPIENGA, à proximité de la rivière KOMPIENGA. Cette exploitation ne bénéficie pas d'un système d'irrigation adéquat.
Il n'y a pas eu évolution des besoins en eau. Les doses apportées aux plants sont insuffisantes. La fréquence des arrosages est élevée, débit de la pompe faible : 23.2 m3/h. Ainsi l'objectif du sujet est de proposer un système d'irrigation approprié pour une meilleure exploitation de 2 ha de bananeraie, et par la suite se prononcer sur l'opportunité d'entreprendre cette activité. Un diagnostic a montré la nécessité d'une amélioration des conditions d'exploitation. En vue de contribuer à cette amélioration, une étude pédologique sommaire est réalisée en granulométrie, sédimentométrie, essai de perméabilité, et pour la détermination du PH.
Les sols de la bananeraie sont dans leur ensemble de type sable limoneux avec des pourcentages suivants : sables 77 % à 84 % ; limons 14 % à 22 %. Des fosses réalisées attestent que les sols sont profonds jusqu'à 1 Om. La perméabilité des sols varient entre 3.51.1 (H m/s et 7.06.10-6m/s. Les sols ont un PH variant entre 7.10 et 7.33.
Les besoins en eau sont évalués à 200mm/mois. Compte tenu de la nature des sols, il est adopté un tour d'eau de 3 jours. La dose apportée par rotation est 268 m3. Le débit de la pompe étant faible : 6.4 litres/s, il est proposé un débit en tête de 20 l/s. Ceci à amener à choisir une pompe ayant les caractéristiques : Q = 75 m3/h ; Hmt = 26 m ; marque ROBIN, au lieu d'utiliser ta pompe de 240 m3/h nécessitant la construction d'un réservoir.
Le système d'irrigation proposé est le gravitaire, consistant à refouler l'eau à l'aide de tuyauteries 4» 144 vers 3 points hauts de l'exploitation où sont prévues des canalisations en terre (primaires). Ces 3 primaires notés P1, P2, P3, de longueur respectives 130m, 194m, 222 m desservent des secondaires qui à leur tour alimentent des casiers comportant 4 plants. Les primaires P-j, P2, P3, desservent respectivement 19,19 et 20 secondaires de longueur variant entre 20 et 45m, II aura 800 casiers et 3200 plants dans les 2 ha.
L'irrigation sera menée par deux personnes pendant 4 heures, sous la supervision d'un chef d'exploitation. La main d'œuvre restera sur place. De ce fait deux constructions seront prévues : logement et magasin. Il sera prévu deux compostières et un aménagement de la berge de la rivière au niveau de la prise. En dépit des possibilités d'écoulement de la production à KOMPIENGA (faible), le calcul économique est effectué avec le prix d'achat de banane avec la société FLEX FASO à Ouagadougou (90 FCFA le kilogramme de banane bord champ). Le coût d'investissement s'élève à 8.7 millions, le coût d'exploitation : 2.7 millions par an ; les recettes sont de 3.6 millions en 1996 et 7.2 millions en 1997.
Le résultat d'exploitation est de 2.3 millions en 1996 et de 5.9 millions en 1997. En fin une étude sommaire est réalisée quant à l'extension future de l'exploitation en bananiers, papayers, manguiers, orangers et la directive du système d'irrigation envisageable.Mémoire Master d'ingénierie FI3. Etude technico-économique d'un système d'irrigation privé de bananeraie à Kompienga phase d'expérimentation sur 2 hectares. [texte imprimé] / Ibrahima GUINDO . - 1995 . - 106p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Le travail qui fait l'objet du présent mémoire de fin d'études a pour thème : "Etude technico-économique d'un système d'irrigation privé de bananeraie à KOMPIENGA-phase d'expérimentation sur 2 ha"
En effet la promotrice, Madame Catherine RICHARD exploite depuis fin Août 1994 2 ha de bananeraie sur une superficie totale de 13 ha qu'elle dispose en aval du barrage de KOMPIENGA, à proximité de la rivière KOMPIENGA. Cette exploitation ne bénéficie pas d'un système d'irrigation adéquat.
Il n'y a pas eu évolution des besoins en eau. Les doses apportées aux plants sont insuffisantes. La fréquence des arrosages est élevée, débit de la pompe faible : 23.2 m3/h. Ainsi l'objectif du sujet est de proposer un système d'irrigation approprié pour une meilleure exploitation de 2 ha de bananeraie, et par la suite se prononcer sur l'opportunité d'entreprendre cette activité. Un diagnostic a montré la nécessité d'une amélioration des conditions d'exploitation. En vue de contribuer à cette amélioration, une étude pédologique sommaire est réalisée en granulométrie, sédimentométrie, essai de perméabilité, et pour la détermination du PH.
Les sols de la bananeraie sont dans leur ensemble de type sable limoneux avec des pourcentages suivants : sables 77 % à 84 % ; limons 14 % à 22 %. Des fosses réalisées attestent que les sols sont profonds jusqu'à 1 Om. La perméabilité des sols varient entre 3.51.1 (H m/s et 7.06.10-6m/s. Les sols ont un PH variant entre 7.10 et 7.33.
Les besoins en eau sont évalués à 200mm/mois. Compte tenu de la nature des sols, il est adopté un tour d'eau de 3 jours. La dose apportée par rotation est 268 m3. Le débit de la pompe étant faible : 6.4 litres/s, il est proposé un débit en tête de 20 l/s. Ceci à amener à choisir une pompe ayant les caractéristiques : Q = 75 m3/h ; Hmt = 26 m ; marque ROBIN, au lieu d'utiliser ta pompe de 240 m3/h nécessitant la construction d'un réservoir.
Le système d'irrigation proposé est le gravitaire, consistant à refouler l'eau à l'aide de tuyauteries 4» 144 vers 3 points hauts de l'exploitation où sont prévues des canalisations en terre (primaires). Ces 3 primaires notés P1, P2, P3, de longueur respectives 130m, 194m, 222 m desservent des secondaires qui à leur tour alimentent des casiers comportant 4 plants. Les primaires P-j, P2, P3, desservent respectivement 19,19 et 20 secondaires de longueur variant entre 20 et 45m, II aura 800 casiers et 3200 plants dans les 2 ha.
L'irrigation sera menée par deux personnes pendant 4 heures, sous la supervision d'un chef d'exploitation. La main d'œuvre restera sur place. De ce fait deux constructions seront prévues : logement et magasin. Il sera prévu deux compostières et un aménagement de la berge de la rivière au niveau de la prise. En dépit des possibilités d'écoulement de la production à KOMPIENGA (faible), le calcul économique est effectué avec le prix d'achat de banane avec la société FLEX FASO à Ouagadougou (90 FCFA le kilogramme de banane bord champ). Le coût d'investissement s'élève à 8.7 millions, le coût d'exploitation : 2.7 millions par an ; les recettes sont de 3.6 millions en 1996 et 7.2 millions en 1997.
Le résultat d'exploitation est de 2.3 millions en 1996 et de 5.9 millions en 1997. En fin une étude sommaire est réalisée quant à l'extension future de l'exploitation en bananiers, papayers, manguiers, orangers et la directive du système d'irrigation envisageable.Réservation
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GUINDOAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie FI3. Rentabilité financière et économique des périmètres maraîchers par pompage autour du lac de Bam / Samba HAROUNA
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie FI3 Titre : Rentabilité financière et économique des périmètres maraîchers par pompage autour du lac de Bam : cas d'un périmètre prive et d'un périmètre paysan. Type de document : texte imprimé Auteurs : Samba HAROUNA Année de publication : 1995 Importance : 84p. Langues : Français (fre) Résumé : La production maraîchère s'est développée autour du lac de Bam dans les années 70.
Parmi les périmètres destinés à la culture du Haricot vert, deux périmètres font l'objet de cette étude :
- le périmètre privé COOMAD de Monsieur KOMI Albert d'une superficie aménagée de 12 ha.
- le périmètre paysan SCOOBAM exploité par un groupement coopératif.
La superficie aménagée de ce périmètre est de 200 ha.
Le coût total des investissements réalisés dans ces deux périmètres est de:
- COOMAD : 12.000.000 FCFA soit un coût total à l'ha de 1.000.000 FCFA.
- SCOOBAM : 296.000.000 FCFA soit un coût total à l'ha 1.480.000 FCFA.
Pour le producteur privé, le coût total des charges est de 32.454.380 FCFA, dont 42 % de coût d'exploitation, 34 % de coût d'achat de la production aux paysans. Le coût des emballages représente 11 % du coût total. Le coût total des charges de la SCOOBAM est de 97.233.600 FCFA dont 38 % du coût d'irrigation, 25 % de coût des approvisionnements et 16 % divers (frais généraux et d'intérêts).
Le résultat réalisé par la COOMAD est 3.981 550 FCFA soit un résultat à l'ha de 332.000 FCFA environ. Celui de la SCOOBAM est de 56 201400 FCFA soit un résultat à l'ha de 375.000 FCFA.
Le chiffre d'affaire minimum de la COOMAD est de 26.700.000 FCFA soit une superficie minimale à exploiter de 9 ha. Au niveau de la SCOOBAM, le chiffre d'affaires minimums est de 60.000.000 FCFA correspondant à une superficie minimale à exploiter de 60 ha.Mémoire Master d'ingénierie FI3. Rentabilité financière et économique des périmètres maraîchers par pompage autour du lac de Bam : cas d'un périmètre prive et d'un périmètre paysan. [texte imprimé] / Samba HAROUNA . - 1995 . - 84p.
Langues : Français (fre)
Résumé : La production maraîchère s'est développée autour du lac de Bam dans les années 70.
Parmi les périmètres destinés à la culture du Haricot vert, deux périmètres font l'objet de cette étude :
- le périmètre privé COOMAD de Monsieur KOMI Albert d'une superficie aménagée de 12 ha.
- le périmètre paysan SCOOBAM exploité par un groupement coopératif.
La superficie aménagée de ce périmètre est de 200 ha.
Le coût total des investissements réalisés dans ces deux périmètres est de:
- COOMAD : 12.000.000 FCFA soit un coût total à l'ha de 1.000.000 FCFA.
- SCOOBAM : 296.000.000 FCFA soit un coût total à l'ha 1.480.000 FCFA.
Pour le producteur privé, le coût total des charges est de 32.454.380 FCFA, dont 42 % de coût d'exploitation, 34 % de coût d'achat de la production aux paysans. Le coût des emballages représente 11 % du coût total. Le coût total des charges de la SCOOBAM est de 97.233.600 FCFA dont 38 % du coût d'irrigation, 25 % de coût des approvisionnements et 16 % divers (frais généraux et d'intérêts).
Le résultat réalisé par la COOMAD est 3.981 550 FCFA soit un résultat à l'ha de 332.000 FCFA environ. Celui de la SCOOBAM est de 56 201400 FCFA soit un résultat à l'ha de 375.000 FCFA.
Le chiffre d'affaire minimum de la COOMAD est de 26.700.000 FCFA soit une superficie minimale à exploiter de 9 ha. Au niveau de la SCOOBAM, le chiffre d'affaires minimums est de 60.000.000 FCFA correspondant à une superficie minimale à exploiter de 60 ha.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité HAROUNA Samba//0254 M. 0254 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Documents Disponible Documents numériques
HAROUNAAdobe Acrobat PDF
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie FI3 Titre : Etude d'une murisserie de banane à Ouagadougou Type de document : texte imprimé Auteurs : Saley OUMAROU Année de publication : 1995 Importance : 76p. Langues : Français (fre) Résumé : L'étude d'une mûrisserie de banane à Ouagadougou a été proposée par la société d'Etude et Entreprise d'Equipement (SEEE). C'est une Société qui intervient dans le domaine du froid Industriel et domestique, d'adduction d'eau et de 1'assainissement.
La production de la banane a connu un accroissement ces dernières années. Elle a passé de 30 000 tonnes en 1990 à 35 000 tonnes en 1992. Néanmoins une grande partie de cette production est perdue faute de moyens de conservation. L'étude qui vise à dimensionner un entrepôt d'une capacité de 50 tonnes devant servir de mûrisserie. Elle doit permettre de choisir les équipements frigorifiques pour deux types d'installation.
- variante 1 : installation avec production de froid par
condensation par air,
- variante 2 : installation avec production de froid avec
condensation par eau.
Enfin une étude économique doit permettre de déterminer le coût d'investissement et le seuil de rentabilité de ces deux variantes.
Les dimensions des chambres froides sont 10 m x 6 m x 3 m.
L'entrepôt comprend aussi des annexes : bureau, hall, toilettes, Salle de machine, un magasin.
La puissance frigorifique installée est de 38510 fg pour un temps de 15 heures par jour.
Mémoire Master d'ingénierie FI3. Etude d'une murisserie de banane à Ouagadougou [texte imprimé] / Saley OUMAROU . - 1995 . - 76p.
Langues : Français (fre)
Résumé : L'étude d'une mûrisserie de banane à Ouagadougou a été proposée par la société d'Etude et Entreprise d'Equipement (SEEE). C'est une Société qui intervient dans le domaine du froid Industriel et domestique, d'adduction d'eau et de 1'assainissement.
La production de la banane a connu un accroissement ces dernières années. Elle a passé de 30 000 tonnes en 1990 à 35 000 tonnes en 1992. Néanmoins une grande partie de cette production est perdue faute de moyens de conservation. L'étude qui vise à dimensionner un entrepôt d'une capacité de 50 tonnes devant servir de mûrisserie. Elle doit permettre de choisir les équipements frigorifiques pour deux types d'installation.
- variante 1 : installation avec production de froid par
condensation par air,
- variante 2 : installation avec production de froid avec
condensation par eau.
Enfin une étude économique doit permettre de déterminer le coût d'investissement et le seuil de rentabilité de ces deux variantes.
Les dimensions des chambres froides sont 10 m x 6 m x 3 m.
L'entrepôt comprend aussi des annexes : bureau, hall, toilettes, Salle de machine, un magasin.
La puissance frigorifique installée est de 38510 fg pour un temps de 15 heures par jour.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité OUMAROU Saley//0263 M. 0263 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Documents Disponible Documents numériques
SaleyAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie FI3. Les enjeux du protocole de Montréal dans les pays en développement / Ibrahima SARR
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie FI3 Titre : Les enjeux du protocole de Montréal dans les pays en développement Type de document : texte imprimé Auteurs : Ibrahima SARR Année de publication : 1995 Importance : 36p. Langues : Français (fre) Résumé : Les chlorofluorocarbures {CFC) et les composés bromes (HALONS) sont désignés comme responsables de l'appauvrissement de la couche d'ozone stratosphérique. Or cette couche d'ozone protège la terre contre des niveaux dangereux de rayonnements ultraviolets. Ces rayonnements traversent la stratosphère et la troposphère pour arriver sur la terre, Ils perturbent le climat et la vie, bouleversent le fonctionnement des écosystèmes et des biosystèmes, et causant ainsi diverses maladies. Pour toutes ces raisons, 49 nations (Européennes, Canada, Etats-Unis, Japon) se sont réunies pour signer "le Protocole de Montréal" sous la direction du Programme des Nations Unies pour L'Environnement en 1987. Le protocole est entré en vigueur le 1er janviers 1989. Il définit les mesures à prendre pour limiter la production et la consommation des substances qui appauvrissent la couche d'ozone. La plupart de ces composés sont utilisés comme fluide frigorigène dans les systèmes frigorifiques. L'arrêt de la production et de la réglementation relative à leur consommation introduit un certain nombre d'enjeux économiques dans le marché du froid, depuis la production des fluides frigorigènes et des appareils frigorifiques, jusqu'à l'utilisation. L'amortissement des machines frigorifiques est remis en cause, la récupération et le confinement des fluides dans les machines sont mis à l'ordre du jour, il apparaît également de nouvelles technologies de substitutions au CFC. Les pays en développement qui pour la plupart importent des appareils frigorifiques, bénéficient de dispositions particulières, et d'une aide financière pour leur permettre de s'adapter aux nouvelles technologies plus facilement. Mais ces dispositions particulières à elles seules ne permettent pas de résoudre tous les problèmes que peuvent poser le changement de technologie pour les pays Africains. Il apparaît en Afrique un besoin de formation, aux techniques de récupérations des fluides frigorigènes, aux techniques de conversion de machines frigorifiques, et aux règles de l'art du confinement des fluides dans les installations. Le coût des nouveaux frigorigènes et appareils frigorifiques, suite à la dévaluation, n'est pas toujours abordable pour un exploitant. Changer de technologie c'est aussi changer d'habitudes et de comportement, cela demande pour l'Afrique du temps et des moyens techniques et financiers. Mémoire Master d'ingénierie FI3. Les enjeux du protocole de Montréal dans les pays en développement [texte imprimé] / Ibrahima SARR . - 1995 . - 36p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Les chlorofluorocarbures {CFC) et les composés bromes (HALONS) sont désignés comme responsables de l'appauvrissement de la couche d'ozone stratosphérique. Or cette couche d'ozone protège la terre contre des niveaux dangereux de rayonnements ultraviolets. Ces rayonnements traversent la stratosphère et la troposphère pour arriver sur la terre, Ils perturbent le climat et la vie, bouleversent le fonctionnement des écosystèmes et des biosystèmes, et causant ainsi diverses maladies. Pour toutes ces raisons, 49 nations (Européennes, Canada, Etats-Unis, Japon) se sont réunies pour signer "le Protocole de Montréal" sous la direction du Programme des Nations Unies pour L'Environnement en 1987. Le protocole est entré en vigueur le 1er janviers 1989. Il définit les mesures à prendre pour limiter la production et la consommation des substances qui appauvrissent la couche d'ozone. La plupart de ces composés sont utilisés comme fluide frigorigène dans les systèmes frigorifiques. L'arrêt de la production et de la réglementation relative à leur consommation introduit un certain nombre d'enjeux économiques dans le marché du froid, depuis la production des fluides frigorigènes et des appareils frigorifiques, jusqu'à l'utilisation. L'amortissement des machines frigorifiques est remis en cause, la récupération et le confinement des fluides dans les machines sont mis à l'ordre du jour, il apparaît également de nouvelles technologies de substitutions au CFC. Les pays en développement qui pour la plupart importent des appareils frigorifiques, bénéficient de dispositions particulières, et d'une aide financière pour leur permettre de s'adapter aux nouvelles technologies plus facilement. Mais ces dispositions particulières à elles seules ne permettent pas de résoudre tous les problèmes que peuvent poser le changement de technologie pour les pays Africains. Il apparaît en Afrique un besoin de formation, aux techniques de récupérations des fluides frigorigènes, aux techniques de conversion de machines frigorifiques, et aux règles de l'art du confinement des fluides dans les installations. Le coût des nouveaux frigorigènes et appareils frigorifiques, suite à la dévaluation, n'est pas toujours abordable pour un exploitant. Changer de technologie c'est aussi changer d'habitudes et de comportement, cela demande pour l'Afrique du temps et des moyens techniques et financiers. Réservation
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SARRAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie FI3. Recherche des germes sur les feuilles de salade vendues au marché de Ouagadougou" / Moukaliya FARE
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie FI3 Titre : Recherche des germes sur les feuilles de salade vendues au marché de Ouagadougou" Type de document : texte imprimé Auteurs : Moukaliya FARE Année de publication : 1994 Importance : 82p. Langues : Français (fre) Résumé : La consommation des feuilles de laitue comporte de nombreux avantages du point de vue apport des éléments nutritifs à l'organisme de l'homme. Mais elle peut aussi comporter des risques sanitaires liés à la présence des germes pathogènes dont certains ont une assez longue durée de survie sur les feuilles.
Les recherches sur les aspects sanitaires de cette consommation (considérations épidémiologiques, méthodologiques, juridiques, ...) sont encore très limitées dans nos pays. En particulier les méthodes de microbiologie permettant la mise en évidence de ces germes y sont soit peu connues, soit peu pratiquées pour d'innombrables motifs.
Cette étude de recherche des germes sur la laitue que nous avons eue à faire revêt une grande importance du point de vue des multiples intérêts qu'elle nous offre. Elle a porté sur la recherche des Eschérichia Coli et des œufs d'helminthes. Cette étude comme toute autre en microbiologie devait suivre une démarche expérimentale assez classique : prélèvements, analyses et résultats.
Du 18 avril au 6 mai 1994, le Marché central de Ouagadougou et les sites de production : Boulmiougou, Tanghin, Tampui ont fait l'objet des prélèvements. Nous avons insisté sur les techniques de prélèvements et d'analyses en vue de sortir des conclusions fiables.
Sur le plan analytique, le travail a consisté à retenir et appliquer la technique de l'étalement en surface pour la recherche des Eschérichia Coli et celle de SCHWARTBROD et al. pour la recherche des œufs d'helminthes.
39 échantillons dont 30 pour le Marché central et 3 par site de production sont analysés en bactériologie et 3 échantillons du Marché central sont analysés en parasitologie pendant les 3 semaines d'analyses.
Les niveaux de pollution en Eschérichia Coli présentent une dispersion statistique assez remarquable :
pour le Marché central : première semaine (de 5.0.103 à 1.7.104 CF/g), deuxième semaine (de 2,2.1G4 à 3,6.104 CF/g), troisième semaine (de 2,5.104 à 3,5.1c4 CF/g).
Pour Boulmiougou (de 2,5.IO3 à 4,O.IO3 CF/g). Pour Tanghin (de 2.1.103 à 2.7.103 CF/g). Pour Tampui (de 2,2.1G3 à 2,7.103 CF/g).
Dans aucun des 3 échantillons du Marché central analysés, il n'a été trouvé d'œufs d'helminthes.
Les résultats analytiques ont souligné un risque d'infections diarrhéiques, dysentériques et helminthiasiques. Pour mieux contrôler la situation, nous avons proposé le port des gants et des chaussures pour les maraîchers, des gants ou des pinces pour les marchandes et l'amélioration de l'hygiène individuelle chez les populations.
Nous avons fait une série de recommandations sur les points que le temps ne nous a pas permis d'analyser en vue d'étendre l'étude.Mémoire Master d'ingénierie FI3. Recherche des germes sur les feuilles de salade vendues au marché de Ouagadougou" [texte imprimé] / Moukaliya FARE . - 1994 . - 82p.
Langues : Français (fre)
Résumé : La consommation des feuilles de laitue comporte de nombreux avantages du point de vue apport des éléments nutritifs à l'organisme de l'homme. Mais elle peut aussi comporter des risques sanitaires liés à la présence des germes pathogènes dont certains ont une assez longue durée de survie sur les feuilles.
Les recherches sur les aspects sanitaires de cette consommation (considérations épidémiologiques, méthodologiques, juridiques, ...) sont encore très limitées dans nos pays. En particulier les méthodes de microbiologie permettant la mise en évidence de ces germes y sont soit peu connues, soit peu pratiquées pour d'innombrables motifs.
Cette étude de recherche des germes sur la laitue que nous avons eue à faire revêt une grande importance du point de vue des multiples intérêts qu'elle nous offre. Elle a porté sur la recherche des Eschérichia Coli et des œufs d'helminthes. Cette étude comme toute autre en microbiologie devait suivre une démarche expérimentale assez classique : prélèvements, analyses et résultats.
Du 18 avril au 6 mai 1994, le Marché central de Ouagadougou et les sites de production : Boulmiougou, Tanghin, Tampui ont fait l'objet des prélèvements. Nous avons insisté sur les techniques de prélèvements et d'analyses en vue de sortir des conclusions fiables.
Sur le plan analytique, le travail a consisté à retenir et appliquer la technique de l'étalement en surface pour la recherche des Eschérichia Coli et celle de SCHWARTBROD et al. pour la recherche des œufs d'helminthes.
39 échantillons dont 30 pour le Marché central et 3 par site de production sont analysés en bactériologie et 3 échantillons du Marché central sont analysés en parasitologie pendant les 3 semaines d'analyses.
Les niveaux de pollution en Eschérichia Coli présentent une dispersion statistique assez remarquable :
pour le Marché central : première semaine (de 5.0.103 à 1.7.104 CF/g), deuxième semaine (de 2,2.1G4 à 3,6.104 CF/g), troisième semaine (de 2,5.104 à 3,5.1c4 CF/g).
Pour Boulmiougou (de 2,5.IO3 à 4,O.IO3 CF/g). Pour Tanghin (de 2.1.103 à 2.7.103 CF/g). Pour Tampui (de 2,2.1G3 à 2,7.103 CF/g).
Dans aucun des 3 échantillons du Marché central analysés, il n'a été trouvé d'œufs d'helminthes.
Les résultats analytiques ont souligné un risque d'infections diarrhéiques, dysentériques et helminthiasiques. Pour mieux contrôler la situation, nous avons proposé le port des gants et des chaussures pour les maraîchers, des gants ou des pinces pour les marchandes et l'amélioration de l'hygiène individuelle chez les populations.
Nous avons fait une série de recommandations sur les points que le temps ne nous a pas permis d'analyser en vue d'étendre l'étude.Réservation
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FAREAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie FI3. Etude de la composition d'un agglomère de ciment recherche d'une formule optimale et d'un procédé de fabrication / Auguste OUEDRAOGO
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie FI3 Titre : Etude de la composition d'un agglomère de ciment recherche d'une formule optimale et d'un procédé de fabrication Type de document : texte imprimé Auteurs : Auguste OUEDRAOGO Année de publication : 1994 Importance : 60p. Langues : Français (fre) Résumé : L'un des soucis et problème majeurs des confectionneurs d'aggloméré de ciment est la recherche d'un compromis coût-qualité. Le Laboratoire National du Bâtiment et des Travaux Publics et l’EIER ont de concert décidé de contribuer au solutionnement de ce problème.
Une étude multifactorielle est envisagée avec sept (7) paramètres prépondérants dans le cas des parpaings creux. Ces paramètres sont :
- le type de fabrication
- la nature du granulat
- le dosage en ciment
- la nature du ciment
- le type de cure
- le type de sable
- le mode de malaxage.
Pour optimiser la démarche pour un gain en temps et en argent, nous avons adopté la théorie des plans d'expériences comme méthode d'approche expérimentale.
L'étude est ainsi conduite avec comme réponse à étudier la résistance à la compression.
La première phase de l'étude dégage trois (3) paramètres très importantes qui sont par ordre d'importance décroissance :
- le type de fabrication
- la nature du ciment
- le dosage en ciment
La deuxième phase de l'étude consiste en une étude plus approfondie des trois paramètres retenus à la première phase. Une recherche d'interactions éventuelles entre les paramètres est effectuée. Il ressort de cette partie que ;
- le type de fabrication est le paramètre le plus important à travers le serrage de la pâte de béton et le dosage en eau optimale
- une augmentation du dosage en ciment et du compactage peut s'accompagner d'une diminution de la qualité du ciment ;
- un optimum existe pour les 3 paramètres ci-dessus cités quant à la résistance à la compression.
- la fabrication des agglos doit être mécanisée pour l'obtention de parpaings de meilleure qualité.Mémoire Master d'ingénierie FI3. Etude de la composition d'un agglomère de ciment recherche d'une formule optimale et d'un procédé de fabrication [texte imprimé] / Auguste OUEDRAOGO . - 1994 . - 60p.
Langues : Français (fre)
Résumé : L'un des soucis et problème majeurs des confectionneurs d'aggloméré de ciment est la recherche d'un compromis coût-qualité. Le Laboratoire National du Bâtiment et des Travaux Publics et l’EIER ont de concert décidé de contribuer au solutionnement de ce problème.
Une étude multifactorielle est envisagée avec sept (7) paramètres prépondérants dans le cas des parpaings creux. Ces paramètres sont :
- le type de fabrication
- la nature du granulat
- le dosage en ciment
- la nature du ciment
- le type de cure
- le type de sable
- le mode de malaxage.
Pour optimiser la démarche pour un gain en temps et en argent, nous avons adopté la théorie des plans d'expériences comme méthode d'approche expérimentale.
L'étude est ainsi conduite avec comme réponse à étudier la résistance à la compression.
La première phase de l'étude dégage trois (3) paramètres très importantes qui sont par ordre d'importance décroissance :
- le type de fabrication
- la nature du ciment
- le dosage en ciment
La deuxième phase de l'étude consiste en une étude plus approfondie des trois paramètres retenus à la première phase. Une recherche d'interactions éventuelles entre les paramètres est effectuée. Il ressort de cette partie que ;
- le type de fabrication est le paramètre le plus important à travers le serrage de la pâte de béton et le dosage en eau optimale
- une augmentation du dosage en ciment et du compactage peut s'accompagner d'une diminution de la qualité du ciment ;
- un optimum existe pour les 3 paramètres ci-dessus cités quant à la résistance à la compression.
- la fabrication des agglos doit être mécanisée pour l'obtention de parpaings de meilleure qualité.Réservation
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AugusteAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie FI3. Diagnostic et plan développement d'une société agro-alimentaire / Méfandé TOGBOSSI
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie FI3 Titre : Diagnostic et plan développement d'une société agro-alimentaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Méfandé TOGBOSSI Année de publication : 1994 Importance : 63p. Langues : Français (fre) Résumé : La SAVANA a été créée en Février 1977 avec un statut de société d'économie mixte, pour la transformation des fruits avec pour siège : BOBO-DIOULASSO. Ce grand facteur d'intégration socio-économique des paysans et des Burkinabé en général, n'a pas connu de prospérité quant à ses activités. Aujourd'hui SAVANA est sous le régime d'administration provisoire.
Nous avons procédé à l'étude des documents comptables de cette société en considérant les années 89, 90, 91 et 92. A l'issue de ce diagnostic, force est de constater qu'elle a cumulé des pertes équivalentes à deux fois plus le capital social (420,100 millions de F.CFA) de cette entreprise à la date du 31 Décembre 1992.
Elle s'est aussi endettée au rythme de ses pertes. Son existence juridique est alors hypothéquée conformément au droit commercial mais son statut de société d'état lui a été d'un grand atout pour la poursuite de ses activités jusqu'à nos jours.
Son redressement financier est très difficile. Si elle est privatisée, l'Etat et ses démembrements qui constituent à la fois les actionnaires et les financeurs devront, probablement abandonner leurs créances.
Elle dispose de potentialités pour sa rentabilisation future. Elle mettra sur pieds de nouvelles politiques commerciales comme cela l'est déjà sous le régime de l'administration provisoire. Elle devrait prévoir pour chaque exercice un chiffre d'affaires au seuil de rentabilité pouvant couvrir ses charges variables préalablement calculées sur la base des prévisions budgétaires. Son bénéfice sera fixé alors en fonction de l'étude objective du marché.
Il serait aussi intéressant que la SAVANA revoie de façon générale la présentation de ses produits.Mémoire Master d'ingénierie FI3. Diagnostic et plan développement d'une société agro-alimentaire [texte imprimé] / Méfandé TOGBOSSI . - 1994 . - 63p.
Langues : Français (fre)
Résumé : La SAVANA a été créée en Février 1977 avec un statut de société d'économie mixte, pour la transformation des fruits avec pour siège : BOBO-DIOULASSO. Ce grand facteur d'intégration socio-économique des paysans et des Burkinabé en général, n'a pas connu de prospérité quant à ses activités. Aujourd'hui SAVANA est sous le régime d'administration provisoire.
Nous avons procédé à l'étude des documents comptables de cette société en considérant les années 89, 90, 91 et 92. A l'issue de ce diagnostic, force est de constater qu'elle a cumulé des pertes équivalentes à deux fois plus le capital social (420,100 millions de F.CFA) de cette entreprise à la date du 31 Décembre 1992.
Elle s'est aussi endettée au rythme de ses pertes. Son existence juridique est alors hypothéquée conformément au droit commercial mais son statut de société d'état lui a été d'un grand atout pour la poursuite de ses activités jusqu'à nos jours.
Son redressement financier est très difficile. Si elle est privatisée, l'Etat et ses démembrements qui constituent à la fois les actionnaires et les financeurs devront, probablement abandonner leurs créances.
Elle dispose de potentialités pour sa rentabilisation future. Elle mettra sur pieds de nouvelles politiques commerciales comme cela l'est déjà sous le régime de l'administration provisoire. Elle devrait prévoir pour chaque exercice un chiffre d'affaires au seuil de rentabilité pouvant couvrir ses charges variables préalablement calculées sur la base des prévisions budgétaires. Son bénéfice sera fixé alors en fonction de l'étude objective du marché.
Il serait aussi intéressant que la SAVANA revoie de façon générale la présentation de ses produits.Exemplaires
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MefandeAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie FI3. Réhabilitation de la station de pompage du périmètre maraîcher de Savili (Département de Sabou) / B. Modeste YONLI
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie FI3 Titre : Réhabilitation de la station de pompage du périmètre maraîcher de Savili (Département de Sabou) Type de document : texte imprimé Auteurs : B. Modeste YONLI Année de publication : 1994 Importance : 115p. Langues : Français (fre) Résumé : La réhabilitation de la station du pompage de Savili est un projet viable.
L'aménagement existant a permis depuis sa création une moyenne rémunération des exploitants qui s'y attachent jusqu'alors malgré les difficultés de leur station de pompage dans ces dernières années.
* Dans cet ouvrage, une ébauche des difficultés de fonctionnement hydraulique a été faite.
* L'analyse-diagnostic de certaines difficultés a permis de situer leurs causes.
- Les besoins en eau des cultures semblent avoir été bien estimés par le projet initial.
- Les pompes installées, elles ne pouvaient répondre pleinement aux besoins.
En effet si elles pouvaient fournir les débits exigés, leurs hauteurs manométriques, du reste, étaient faibles et ne pouvaient permettre d'atteindre les parcelles situées en hauteur ou éloignées de la station de pompage.
Ces dernières exigeaient une charge d'au moins 30 m pour être bien irriguées alors que les pompes pouvaient fournir à peine 25 m.
Les causes des cavitations constatées sur les roues ne semblent pas être dues à une hauteur géométrique très grande à l'aspiration.
Toutefois, les grandes modifications constatées sur les vitesses des pompes sont des causes probables des cavitations.
* Les solutions aux différents problèmes abordés peuvent s'énoncer comme suit :
- Les besoins d'irrigation peuvent être largement couverts par l'installation de 3 motopompes diesels de débits 73,5 1/s (264,6 m3/h) et de hauteur manométrique 32 m.
- L'embauche d'un mécanicien connaissant bien les moteurs diesels permettra de sauvegarder les nouvelles installations. Toutefois, celui-ci devra être engagé sur une période couvrant largement la campagne (5 mois environ) et avec des motivations financières :
frais d'entretien des pompes et de la station de pompage, frais de carburant et salaires garantis.
- On peut ressortir quelques chiffres de la réhabilitation dans le contexte de la dévaluation.
. Achat des 3 pompes : 18.000.000 FCFA à raison de 6.000.000 par pompe.
. Installation des pompes : 1.800.000 FCFA.
. Charges annuelles de fonctionnement : 2.562.000 FCFA.
. Redevance à exiger aux exploitants : environ 20 FCFA pour le m3 d'eau reçu à la parcelle.Mémoire Master d'ingénierie FI3. Réhabilitation de la station de pompage du périmètre maraîcher de Savili (Département de Sabou) [texte imprimé] / B. Modeste YONLI . - 1994 . - 115p.
Langues : Français (fre)
Résumé : La réhabilitation de la station du pompage de Savili est un projet viable.
L'aménagement existant a permis depuis sa création une moyenne rémunération des exploitants qui s'y attachent jusqu'alors malgré les difficultés de leur station de pompage dans ces dernières années.
* Dans cet ouvrage, une ébauche des difficultés de fonctionnement hydraulique a été faite.
* L'analyse-diagnostic de certaines difficultés a permis de situer leurs causes.
- Les besoins en eau des cultures semblent avoir été bien estimés par le projet initial.
- Les pompes installées, elles ne pouvaient répondre pleinement aux besoins.
En effet si elles pouvaient fournir les débits exigés, leurs hauteurs manométriques, du reste, étaient faibles et ne pouvaient permettre d'atteindre les parcelles situées en hauteur ou éloignées de la station de pompage.
Ces dernières exigeaient une charge d'au moins 30 m pour être bien irriguées alors que les pompes pouvaient fournir à peine 25 m.
Les causes des cavitations constatées sur les roues ne semblent pas être dues à une hauteur géométrique très grande à l'aspiration.
Toutefois, les grandes modifications constatées sur les vitesses des pompes sont des causes probables des cavitations.
* Les solutions aux différents problèmes abordés peuvent s'énoncer comme suit :
- Les besoins d'irrigation peuvent être largement couverts par l'installation de 3 motopompes diesels de débits 73,5 1/s (264,6 m3/h) et de hauteur manométrique 32 m.
- L'embauche d'un mécanicien connaissant bien les moteurs diesels permettra de sauvegarder les nouvelles installations. Toutefois, celui-ci devra être engagé sur une période couvrant largement la campagne (5 mois environ) et avec des motivations financières :
frais d'entretien des pompes et de la station de pompage, frais de carburant et salaires garantis.
- On peut ressortir quelques chiffres de la réhabilitation dans le contexte de la dévaluation.
. Achat des 3 pompes : 18.000.000 FCFA à raison de 6.000.000 par pompe.
. Installation des pompes : 1.800.000 FCFA.
. Charges annuelles de fonctionnement : 2.562.000 FCFA.
. Redevance à exiger aux exploitants : environ 20 FCFA pour le m3 d'eau reçu à la parcelle.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité YONLI B. Modeste//0245 M. 0245 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Documents Disponible Documents numériques
YONLIAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie FI3. Projet de création d'une entreprise de construction et de fabrication de matériaux aspects techniques et commerciax / Mahamat AHMAT M'BODOU
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie FI3 Titre : Projet de création d'une entreprise de construction et de fabrication de matériaux aspects techniques et commerciax Type de document : texte imprimé Auteurs : Mahamat AHMAT M'BODOU Année de publication : 1993 Importance : 104p. Langues : Français (fre) Mémoire Master d'ingénierie FI3. Projet de création d'une entreprise de construction et de fabrication de matériaux aspects techniques et commerciax [texte imprimé] / Mahamat AHMAT M'BODOU . - 1993 . - 104p.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité AHMAT Mbodou Mahamat//0185 M. 0185 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Documents Disponible Documents numériques
AHMATAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie FI3. Contribution à la conception d'un système d'exhaure et de distribution d'eau au niveau parcellaire dans le cadre des petits périmètres maraichers villageois dans le centre-est burkinabè / Gatien BILOA
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie FI3 Titre : Contribution à la conception d'un système d'exhaure et de distribution d'eau au niveau parcellaire dans le cadre des petits périmètres maraichers villageois dans le centre-est burkinabè Type de document : texte imprimé Auteurs : Gatien BILOA Année de publication : 1993 Importance : 59p. Langues : Français (fre) Résumé : II s'agit, dans cette étude gui a été sollicitée par le P.D.R.I du Centre-Est, de proposer une solution pour l'irrigation efficiente de deux périmètres maraîchers gérés par 2 G.V.F à Oumnonghin et Ouéguédo, dans la province du Boulgou au Burkina Faso.
Les rendements actuels obtenus dans ces périmètres sont largement en deçà des prévisions, à cause des très mauvaises conditions d'alimentation en eau des parcelles : il existe 3 puits de moins de 10 m de profondeur dans les 2 périmètres (2a Oumnonghin et 1 à Ouéguédo) sans hélas, moyen d'exhaure. Les femmes y puisent de l'eau dans de petits récipients et la transportent pour l'arrosage de leurs parcelles, gui pour la plupart du temps, en sont très éloignées. Elles se fatiguent ainsi, sans pour autant arroser convenablement leurs cultures.
Des études socio-économiques et techniques ont été réalisées avant qu'une solution ne soit proposée pour pallier a ces difficultés.
- Pour les études socio-économiques, des enquêtes ont été menées auprès des membres des 2 G.V.F, de la direction du P.D.R.I/CE, de certains services techniques locaux et au niveau du marché de Tenkodogo, le chef-lieu de la province du Boulgou.
Il en est ressorti que :
- toutes les femmes qui souffrent beaucoup pour irriguer leurs cultures, sont prêtes à participer physiquement, voire financièrement pour résoudre ce problème. Cependant, elles n'ont aucune solution technique à proposer étant donné que la plupart d'entre elles n'ont jamais vu d'autres modes d'irrigation que l'arrosage manuel qu'elles pratiquent.
- le marché local n'est saturé par moments que de tomates.
Une amélioration des rendements ne posera donc pas de grands problèmes d'écoulement si surtout une bonne politique de diversification des cultures est menée.
- à la direction du P.D.R.I., on est soucieux du problème et on recherche actuellement des sources de financement pour les investissements qu'impliquera la réhabilitation de ces périmètres. Ce sera certainement sous forme de subventions remboursables et non remboursables mais dont les modalités exactes ne sont pas encore définies.
- les puits au départ étaient équipées de pompes manuelles de marque ATESTA, qui, parce que mal entretenues, se sont toutes détériorées.Mémoire Master d'ingénierie FI3. Contribution à la conception d'un système d'exhaure et de distribution d'eau au niveau parcellaire dans le cadre des petits périmètres maraichers villageois dans le centre-est burkinabè [texte imprimé] / Gatien BILOA . - 1993 . - 59p.
Langues : Français (fre)
Résumé : II s'agit, dans cette étude gui a été sollicitée par le P.D.R.I du Centre-Est, de proposer une solution pour l'irrigation efficiente de deux périmètres maraîchers gérés par 2 G.V.F à Oumnonghin et Ouéguédo, dans la province du Boulgou au Burkina Faso.
Les rendements actuels obtenus dans ces périmètres sont largement en deçà des prévisions, à cause des très mauvaises conditions d'alimentation en eau des parcelles : il existe 3 puits de moins de 10 m de profondeur dans les 2 périmètres (2a Oumnonghin et 1 à Ouéguédo) sans hélas, moyen d'exhaure. Les femmes y puisent de l'eau dans de petits récipients et la transportent pour l'arrosage de leurs parcelles, gui pour la plupart du temps, en sont très éloignées. Elles se fatiguent ainsi, sans pour autant arroser convenablement leurs cultures.
Des études socio-économiques et techniques ont été réalisées avant qu'une solution ne soit proposée pour pallier a ces difficultés.
- Pour les études socio-économiques, des enquêtes ont été menées auprès des membres des 2 G.V.F, de la direction du P.D.R.I/CE, de certains services techniques locaux et au niveau du marché de Tenkodogo, le chef-lieu de la province du Boulgou.
Il en est ressorti que :
- toutes les femmes qui souffrent beaucoup pour irriguer leurs cultures, sont prêtes à participer physiquement, voire financièrement pour résoudre ce problème. Cependant, elles n'ont aucune solution technique à proposer étant donné que la plupart d'entre elles n'ont jamais vu d'autres modes d'irrigation que l'arrosage manuel qu'elles pratiquent.
- le marché local n'est saturé par moments que de tomates.
Une amélioration des rendements ne posera donc pas de grands problèmes d'écoulement si surtout une bonne politique de diversification des cultures est menée.
- à la direction du P.D.R.I., on est soucieux du problème et on recherche actuellement des sources de financement pour les investissements qu'impliquera la réhabilitation de ces périmètres. Ce sera certainement sous forme de subventions remboursables et non remboursables mais dont les modalités exactes ne sont pas encore définies.
- les puits au départ étaient équipées de pompes manuelles de marque ATESTA, qui, parce que mal entretenues, se sont toutes détériorées.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité BILOA Gatien//0186 M. 0186 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Documents Disponible Documents numériques
BILOAAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie FI3. Recherche de solutions pratiques liees a l'exploitation frigorifique des chambres froides de l'UCOBAM / Ibrahima DIENG
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie FI3 Titre : Recherche de solutions pratiques liees a l'exploitation frigorifique des chambres froides de l'UCOBAM Type de document : texte imprimé Auteurs : Ibrahima DIENG Année de publication : 1993 Importance : 67p. Langues : Français (fre) Résumé : L'UCOBAM (Union des coopératives Agricoles et Maraîchers du Burkina) est une structure qui s'occupe de l'achat des prduits frais (fruits et légumes) aux producteurs,il assure le conditionnement et la conservation pour un écoulement dans de bonnes conditions. Il dispose à cet effet de deux (2) complexes de réfrigération dont chacun regroupe cinq(5) chambres.
L'UCOBAM se trouve confrontée à certains problèmes dans l'exploitation de ses chambres froides, notamment au niveau des machines frigorifiques. Les installations souffrent d'une vétusté qui rend l'entretien difficile par manque de pièces de rechange, ce qui a conduit à une mise hors service de nombreuses machines. Ainsi, trois(3) chambres des cinq(5) que compte le complexell sont hors service et les autres chambres ne marchent qu'avec une seule des deux machines installées auparavant. Les produits entreposés: Haricots verts, pommes de terre, mangues et bananes souffrent de mauvaises conditions d'entreposage; ce qui a conduit à des pertes allant jusqu'à 50% de la quantité initiale surtout pour les haricots verts; pertes qui se manifestent par un flétrissement et assèchement des haricots verts et un pourrissement des autres.
Pour tenter de trouver des solutions à ces problèmes, on se propose de mener un diagnostic qui comprend:
-une étude théorique qui consiste à redimensionner les appareils suivant les contraintes climatiques à Ouagadougou et les conditions d'exploitation des chambres.
Il ressort de cette étude un sous-dimensionnement notable des machines installées par rapport aux conditions d'exploitation. Une étude du fonctionnement réel faite sur certaines machines a permis de déceler des anomalies de fonctionnement et une production frigorifique insuffisante par rapport aux exigences de 1'entreposage.
Pour faire face à ces problèmes, nous avons donné d'abord; des recommandations pour une exploitation frigorifique optimale des installations, tant sur les conditions d'entreposage des produits que sur la conduite de la maintenance préventive et corrective des machines. Ensuite des propositions sont faites pour le renforcement de l'isolation des chambres du complexe II pour réduire les déperditions. Et pour faire face à la vieillesse des machines et à la nécessité de remplacer les fréons(protocole de MONTREAL), un renouvellement des installations est envisagé avec la mise en place de groupes à vis pouvant tourner à l'ammoniac ou au R22.Mémoire Master d'ingénierie FI3. Recherche de solutions pratiques liees a l'exploitation frigorifique des chambres froides de l'UCOBAM [texte imprimé] / Ibrahima DIENG . - 1993 . - 67p.
Langues : Français (fre)
Résumé : L'UCOBAM (Union des coopératives Agricoles et Maraîchers du Burkina) est une structure qui s'occupe de l'achat des prduits frais (fruits et légumes) aux producteurs,il assure le conditionnement et la conservation pour un écoulement dans de bonnes conditions. Il dispose à cet effet de deux (2) complexes de réfrigération dont chacun regroupe cinq(5) chambres.
L'UCOBAM se trouve confrontée à certains problèmes dans l'exploitation de ses chambres froides, notamment au niveau des machines frigorifiques. Les installations souffrent d'une vétusté qui rend l'entretien difficile par manque de pièces de rechange, ce qui a conduit à une mise hors service de nombreuses machines. Ainsi, trois(3) chambres des cinq(5) que compte le complexell sont hors service et les autres chambres ne marchent qu'avec une seule des deux machines installées auparavant. Les produits entreposés: Haricots verts, pommes de terre, mangues et bananes souffrent de mauvaises conditions d'entreposage; ce qui a conduit à des pertes allant jusqu'à 50% de la quantité initiale surtout pour les haricots verts; pertes qui se manifestent par un flétrissement et assèchement des haricots verts et un pourrissement des autres.
Pour tenter de trouver des solutions à ces problèmes, on se propose de mener un diagnostic qui comprend:
-une étude théorique qui consiste à redimensionner les appareils suivant les contraintes climatiques à Ouagadougou et les conditions d'exploitation des chambres.
Il ressort de cette étude un sous-dimensionnement notable des machines installées par rapport aux conditions d'exploitation. Une étude du fonctionnement réel faite sur certaines machines a permis de déceler des anomalies de fonctionnement et une production frigorifique insuffisante par rapport aux exigences de 1'entreposage.
Pour faire face à ces problèmes, nous avons donné d'abord; des recommandations pour une exploitation frigorifique optimale des installations, tant sur les conditions d'entreposage des produits que sur la conduite de la maintenance préventive et corrective des machines. Ensuite des propositions sont faites pour le renforcement de l'isolation des chambres du complexe II pour réduire les déperditions. Et pour faire face à la vieillesse des machines et à la nécessité de remplacer les fréons(protocole de MONTREAL), un renouvellement des installations est envisagé avec la mise en place de groupes à vis pouvant tourner à l'ammoniac ou au R22.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité DIENG Ibrahima//0193 M. 0193 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Documents Disponible Documents numériques
DIENGAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie FI3. Etude des sites d'irrigation aux eaux usées sur l'agglomération de Ouagadougou analyse socio-économique et pratique de l'irrigation / Abdou HALADOU
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie FI3 Titre : Etude des sites d'irrigation aux eaux usées sur l'agglomération de Ouagadougou analyse socio-économique et pratique de l'irrigation Type de document : texte imprimé Auteurs : Abdou HALADOU Année de publication : 1993 Importance : 72p. Langues : Français (fre) Mémoire Master d'ingénierie FI3. Etude des sites d'irrigation aux eaux usées sur l'agglomération de Ouagadougou analyse socio-économique et pratique de l'irrigation [texte imprimé] / Abdou HALADOU . - 1993 . - 72p.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité ABDOU Haladou//0104 M. 0104 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Documents Disponible Documents numériques
HALADOUAdobe Acrobat PDF Mémoire Master d'ingénierie FI3. Expérimentation du pouvoir floculant de la graine du moringa oleiféra / Alain Alfred ELELI
Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie FI3 Titre : Expérimentation du pouvoir floculant de la graine du moringa oleiféra Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Alfred ELELI Année de publication : 1993 Importance : 81p. Langues : Français (fre) Résumé : Le traitement d'eau de surface en vue de la rendre potable pour la consommation, nécessite l'emploi de certains produits chimiques qui influent sur les frais de production de l'eau. En Afrique, les Sociétés de distribution d'eau utilisent couramment le sulfate d'alumine pour la coagulation-floculation. Ce produit de coagulation qui est généralement importé, constitue un poste de dépenses d'exploitation très lourd pour nos sociétés de distribution d'eau potable. Il représente une facture annuelle de quelques 150 000 000 de francs CFA pour l'O.N.E.A (Office National de l'Eau et de l'Assainissement - BURKINA FASO).
Afin de substituer le sulfate d'alumine par des produits naturels locaux, pour la clarification de l'eau, le CIEH (Comité Inter-Africain d'Etudes Hydrauliques - OUAGADOUGOU) a ouvert un dossier en 1984 consacré à la graine de Moringa Oléifera. Ce dossier a été initié par la CGE (Compagnie Générale des Eaux - FRANCE) en vue du financement d'une étude de faisabilité de fabrication de coagulant à partir de végétaux susceptibles d'être cultivés sur le continent Africano-Malgache.
Notre étude concernant L'EXPERIMENTATION DU POUVOIR FLOCULANT DE LA GRAINE DE MORINGA OLEIFERA a permis de tester l'efficacité de celle-ci sur les eaux brutes de surfaces du Burkina Faso. C'est ainsi que plusieurs essais et analyses ont été effectués sur ces eaux. Les résultats de cette étude ont été présentés sous forme de tableaux et courbes. Pour l'essentiel, il porte sur :
- les doses optimales obtenues après différents essais au Jar-
Test faits sur les eaux brutes- Elles varient entre 100 mg/1 et 800 mg/l
- la qualité de l'eau traitée au Moringa Oléifera
- la détermination du temps de séjour des particules floculées et de la vitesse de surverse correspondante en fonction du rendement souhaité, d'un décanteur statique donné.
- la comparaison d'ordre technique et économique entre le Moringa Oléifera et le sulfate d'alumine couramment utilisé.
Dans leurs ensembles, ces résultats sont satisfaisants, Toutefois dans le cadre de notre étude, nous avons rencontré principalement deux difficultés liées à la graine de Moringa Oléifera, le broyage et le délavage de celle-ci.
En définitif, les résultats présentés dans ce document sont promettants. Ils doivent être perçus comme étant un complément à ceux existants et concernant le pouvoir floculant du Moringa Oléifera. Nous espérons qu'ils constitueront notre modeste contribution aux efforts faits pour la vulgarisation de la graine de Moringa Oléifera.Mémoire Master d'ingénierie FI3. Expérimentation du pouvoir floculant de la graine du moringa oleiféra [texte imprimé] / Alain Alfred ELELI . - 1993 . - 81p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Le traitement d'eau de surface en vue de la rendre potable pour la consommation, nécessite l'emploi de certains produits chimiques qui influent sur les frais de production de l'eau. En Afrique, les Sociétés de distribution d'eau utilisent couramment le sulfate d'alumine pour la coagulation-floculation. Ce produit de coagulation qui est généralement importé, constitue un poste de dépenses d'exploitation très lourd pour nos sociétés de distribution d'eau potable. Il représente une facture annuelle de quelques 150 000 000 de francs CFA pour l'O.N.E.A (Office National de l'Eau et de l'Assainissement - BURKINA FASO).
Afin de substituer le sulfate d'alumine par des produits naturels locaux, pour la clarification de l'eau, le CIEH (Comité Inter-Africain d'Etudes Hydrauliques - OUAGADOUGOU) a ouvert un dossier en 1984 consacré à la graine de Moringa Oléifera. Ce dossier a été initié par la CGE (Compagnie Générale des Eaux - FRANCE) en vue du financement d'une étude de faisabilité de fabrication de coagulant à partir de végétaux susceptibles d'être cultivés sur le continent Africano-Malgache.
Notre étude concernant L'EXPERIMENTATION DU POUVOIR FLOCULANT DE LA GRAINE DE MORINGA OLEIFERA a permis de tester l'efficacité de celle-ci sur les eaux brutes de surfaces du Burkina Faso. C'est ainsi que plusieurs essais et analyses ont été effectués sur ces eaux. Les résultats de cette étude ont été présentés sous forme de tableaux et courbes. Pour l'essentiel, il porte sur :
- les doses optimales obtenues après différents essais au Jar-
Test faits sur les eaux brutes- Elles varient entre 100 mg/1 et 800 mg/l
- la qualité de l'eau traitée au Moringa Oléifera
- la détermination du temps de séjour des particules floculées et de la vitesse de surverse correspondante en fonction du rendement souhaité, d'un décanteur statique donné.
- la comparaison d'ordre technique et économique entre le Moringa Oléifera et le sulfate d'alumine couramment utilisé.
Dans leurs ensembles, ces résultats sont satisfaisants, Toutefois dans le cadre de notre étude, nous avons rencontré principalement deux difficultés liées à la graine de Moringa Oléifera, le broyage et le délavage de celle-ci.
En définitif, les résultats présentés dans ce document sont promettants. Ils doivent être perçus comme étant un complément à ceux existants et concernant le pouvoir floculant du Moringa Oléifera. Nous espérons qu'ils constitueront notre modeste contribution aux efforts faits pour la vulgarisation de la graine de Moringa Oléifera.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité ELELI Alain Alfred//0195 M. 0195 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Documents Disponible Documents numériques
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