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Mémoire Master d'ingénierie FI3 |
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Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie FI3 Titre : aintenance des groupes motopompes et des stations de pompage Type de document : texte imprimé Auteurs : Issoufou BATIANA Année de publication : 1991 Importance : 59p. Langues : Français (fre) Résumé : Cette étude faite sur les stations de pompage consiste à :
- Rechercher la nature et les causes des pannes qui surviennent fréquentent sur ces stations, à trouver les précautions à prendre et les remèdes à apporter ;
- comprendre et expliquer comment se fait l'entretien des groupes motopompes et des stations de pompages ;
- rechercher les méthodes et les outils utilisés pour assurer la maintenance de ces équipements ;
- évaluer le coût d'exploitation lié à la maintenance.
De même que comment se fait l'organisation d'un service entretien d’une station de pompage.
Une connaissance, du point de vue technologie s'avérait nécessaire. Ainsi nous nous sommes penchés sur la composition en matériel d'une installation de pompage, les pièces fragiles et consommables. Ces pièces (de rechange) sont surtout constituées par les joints d'étanchéité, les roues, les doigts d'accouplement, les paliers pour la pompe, la bielle, le piston et les segments pour le moteur.
Il ressort de cette étude et suite aux enquêtes menées auprès des utilisateurs de pompes, que les pannes les plus fréquentes surviennent généralement à l'aspiration de la pompe en particulier la cavitation, phénomène destructif pour les éléments de la pompe. Toutes ces pannes ont pour conséquence la réduction de rendement de la station, et sa durée de vie.
Plusieurs méthodes sont utilisées pour détecter les pannes notamment l'analyse des vibrations, les chocs, la mesure de la température.
Par ailleurs, deux types de maintenance sont appliquées aux stations de pompage :
- la maintenance préventive qui se fait à partir de planning à fiches et permet de garder le groupe en bon état de fonctionnement ;
- la maintenance curative qui intervient après défaillance.
Il s'en suit une réparation.
Pour effectuer cette maintenance dans de bonne condition, il faut un service d'entretien efficace et bien organisé.
Le coût d'entretien est difficilement estimable, mais par rapport aux investissements, on peut dire qu'il représente 5 à 6% de l'investissement pour l'achat du matériel de pompage. Cela est fonction du degré de vieillissement des appareils car plus le groupe de pompage vieilli plus les besoins en pièce de rechange se fait sentit.Mémoire Master d'ingénierie FI3. aintenance des groupes motopompes et des stations de pompage [texte imprimé] / Issoufou BATIANA . - 1991 . - 59p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Cette étude faite sur les stations de pompage consiste à :
- Rechercher la nature et les causes des pannes qui surviennent fréquentent sur ces stations, à trouver les précautions à prendre et les remèdes à apporter ;
- comprendre et expliquer comment se fait l'entretien des groupes motopompes et des stations de pompages ;
- rechercher les méthodes et les outils utilisés pour assurer la maintenance de ces équipements ;
- évaluer le coût d'exploitation lié à la maintenance.
De même que comment se fait l'organisation d'un service entretien d’une station de pompage.
Une connaissance, du point de vue technologie s'avérait nécessaire. Ainsi nous nous sommes penchés sur la composition en matériel d'une installation de pompage, les pièces fragiles et consommables. Ces pièces (de rechange) sont surtout constituées par les joints d'étanchéité, les roues, les doigts d'accouplement, les paliers pour la pompe, la bielle, le piston et les segments pour le moteur.
Il ressort de cette étude et suite aux enquêtes menées auprès des utilisateurs de pompes, que les pannes les plus fréquentes surviennent généralement à l'aspiration de la pompe en particulier la cavitation, phénomène destructif pour les éléments de la pompe. Toutes ces pannes ont pour conséquence la réduction de rendement de la station, et sa durée de vie.
Plusieurs méthodes sont utilisées pour détecter les pannes notamment l'analyse des vibrations, les chocs, la mesure de la température.
Par ailleurs, deux types de maintenance sont appliquées aux stations de pompage :
- la maintenance préventive qui se fait à partir de planning à fiches et permet de garder le groupe en bon état de fonctionnement ;
- la maintenance curative qui intervient après défaillance.
Il s'en suit une réparation.
Pour effectuer cette maintenance dans de bonne condition, il faut un service d'entretien efficace et bien organisé.
Le coût d'entretien est difficilement estimable, mais par rapport aux investissements, on peut dire qu'il représente 5 à 6% de l'investissement pour l'achat du matériel de pompage. Cela est fonction du degré de vieillissement des appareils car plus le groupe de pompage vieilli plus les besoins en pièce de rechange se fait sentit.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité BATIANA Issoufou//0111 M. 0111 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Documents Disponible Documents numériques
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Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie FI3 Titre : Aménagement d'un bas-fond ou Massili sur le site de Gampela Type de document : texte imprimé Auteurs : Dieudonné ETEME ONANA Année de publication : 1990 Importance : 71p. Langues : Français (fre) Mémoire Master d'ingénierie FI3. Aménagement d'un bas-fond ou Massili sur le site de Gampela [texte imprimé] / Dieudonné ETEME ONANA . - 1990 . - 71p.
Langues : Français (fre)Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité ETEME ONANA Dieudonné//0082 M. 0082 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Documents Disponible Documents numériques
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Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie FI3 Titre : Aménagement participatif du bassin versant de Kokossin Type de document : texte imprimé Auteurs : Namwinniakarè Marius KPODA Année de publication : 2005 Importance : 112p. Langues : Français (fre) Résumé : Après avoir permis la réhabilitation (surcreusement) d’un point d’eau à but pastoral à Kokossin, l’ONG « Îles de Paix », a envisagé principalement de lutter contre le comblement de la retenue et de mettre en valeur le bassin versant (92ha). C’est dans ce cadre que l’ONG, en collaboration avec l’EIER, a proposé un thème de mémoire de fin d’étude. Ce thème porte sur la participation de la population locale dans le processus de lutte contre l’érosion
Suite à un diagnostic du bassin versant et une exploration des techniques applicables sur les lieux, nous avons porté notre choix sur les techniques suivantes :
- les bandes végétatives dont l’utilisation est très bien connue au Burkina Faso ;
- le zaï et les demi-lunes reconnus aussi dans la région pour leur capacité à régénérer la végétation d’un terrain soumis à un surpâturage et/ou encroûté.
- les seuils en grillage de fer et sacs plastiques qui constituent un choix innovant dans cette étude. Ces deux types d’ouvrages remplacent valablement les seuils en gabions vulgarisés dans tout le pays. Ils ont le double avantage d’être plus durables et quatre fois moins chers que les seuils en gabions.
Ces choix ayant été acceptés par la population, notre interlocuteur principal, nous avons proposé un plan d’aménagement et des directives pour un bon déroulement des travaux et une exploitation durable des ouvrages qu’elle aura elle-même mis en place.
Le coût estimatif des travaux s’élève à 2 227 838 FCFA soit environ 24500 FCFA/haMémoire Master d'ingénierie FI3. Aménagement participatif du bassin versant de Kokossin [texte imprimé] / Namwinniakarè Marius KPODA . - 2005 . - 112p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Après avoir permis la réhabilitation (surcreusement) d’un point d’eau à but pastoral à Kokossin, l’ONG « Îles de Paix », a envisagé principalement de lutter contre le comblement de la retenue et de mettre en valeur le bassin versant (92ha). C’est dans ce cadre que l’ONG, en collaboration avec l’EIER, a proposé un thème de mémoire de fin d’étude. Ce thème porte sur la participation de la population locale dans le processus de lutte contre l’érosion
Suite à un diagnostic du bassin versant et une exploration des techniques applicables sur les lieux, nous avons porté notre choix sur les techniques suivantes :
- les bandes végétatives dont l’utilisation est très bien connue au Burkina Faso ;
- le zaï et les demi-lunes reconnus aussi dans la région pour leur capacité à régénérer la végétation d’un terrain soumis à un surpâturage et/ou encroûté.
- les seuils en grillage de fer et sacs plastiques qui constituent un choix innovant dans cette étude. Ces deux types d’ouvrages remplacent valablement les seuils en gabions vulgarisés dans tout le pays. Ils ont le double avantage d’être plus durables et quatre fois moins chers que les seuils en gabions.
Ces choix ayant été acceptés par la population, notre interlocuteur principal, nous avons proposé un plan d’aménagement et des directives pour un bon déroulement des travaux et une exploitation durable des ouvrages qu’elle aura elle-même mis en place.
Le coût estimatif des travaux s’élève à 2 227 838 FCFA soit environ 24500 FCFA/haRéservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité KPODA Namwinniakarè Marius//0692 M. 0692 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Documents Disponible Documents numériques
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Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie FI3 Titre : Analyse critique des tours de refroidissement en service à Ouagadougou propositions d'améliorations et optimisation du choix d'une tour. Type de document : texte imprimé Auteurs : Bi Tra Darius TSE Année de publication : 1993 Importance : 83p. Langues : Français (fre) Résumé : L'analyse critique des tours de refroidissement en service à Ouagadougou est une étude qui a été suggérée par la Société d'Études et Entreprise d'Equipement (SEEE), société dont l'une des activités est l'Etude, l'Installation et la Maintenance d'installations frigorifiques et de conditionnement d'air.
On a constaté qu'à Ouagadougou, les groupes à condenseur à eau recyclée consomment beaucoup l'électricité et l'eau et que les tours de refroidissement sont sujettes à de forte corrosion. Et ce sont ces situations qui ont suscité cette étude qui vise à comparer les performances (rendement, approche, économie d'énergie, ...) mesurées sur les différents sites d'exploitation à celles annoncées par les constructeurs, pour un ensemble de tours de refroidissement fabriquées localement par la SEEE (tours SEEE) ou importées (tours BROCHOT). L'étude vise aussi à comparer les deux types de tours (tour locale et tour importée) afin de recommander la plus performante et à faire des suggestions pour améliorer leurs performances. Enfin l'étude doit permettre de déterminer un seuil technico-économique d'utilisation d'un groupe à condenseur à eau avec tour de refroidissement dans les pays tropicaux chauds.
Pour atteindre ces objectifs nous avons mesuré, sur un échantillon de quatre tours (deux tours SEEE et deux tours BROCHOT), la température du bulbe humide de l'air extérieur, les températures d'entrée et de sortie de l'eau des tours, le pH, la conductivité, le TAC et la dureté totale de l'eau de refroidissement. Les mesures effectuées ont montré que les tours SEEE ont une approche de 6,3°C et un rendement de 36 % contre respectivement 5°C et 64 % annoncés par le constructeur. Quant aux tours BROCHOT on a 4,3°C et 57 % contre respectivement 3°C et 78 %.
Il apparaît que les tours BROCHOT ont des performances, (approche et rendement) plus proches de celles annoncées par le constructeur que les tours SEEE, et en même temps sont plus performantes.
Pour améliorer les performances des tours SEEE, il faut changer le bac de distribution de l'eau sur les clayettes, nettoyer ces dernières, utiliser des algicides tels que le sulfate de cuivre ou l'eau de javel et adopter un mode de refroidissement à contre-courants.
Pour le seuil technico-économique, c'est à partir de 21 000 fg/h, pour du R12 à une température d'évaporation de 0°C et à une température ambiante de 36°C, qu'il devient plus rentable d'utiliser un condenseur à eau avec tour de refroidissement. Mais pour une température ambiante de 43°C, cas des zones tropicales chaudes et sèches comme Ouagadougou, ce seuil est de 11800 fg/h.Mémoire Master d'ingénierie FI3. Analyse critique des tours de refroidissement en service à Ouagadougou propositions d'améliorations et optimisation du choix d'une tour. [texte imprimé] / Bi Tra Darius TSE . - 1993 . - 83p.
Langues : Français (fre)
Résumé : L'analyse critique des tours de refroidissement en service à Ouagadougou est une étude qui a été suggérée par la Société d'Études et Entreprise d'Equipement (SEEE), société dont l'une des activités est l'Etude, l'Installation et la Maintenance d'installations frigorifiques et de conditionnement d'air.
On a constaté qu'à Ouagadougou, les groupes à condenseur à eau recyclée consomment beaucoup l'électricité et l'eau et que les tours de refroidissement sont sujettes à de forte corrosion. Et ce sont ces situations qui ont suscité cette étude qui vise à comparer les performances (rendement, approche, économie d'énergie, ...) mesurées sur les différents sites d'exploitation à celles annoncées par les constructeurs, pour un ensemble de tours de refroidissement fabriquées localement par la SEEE (tours SEEE) ou importées (tours BROCHOT). L'étude vise aussi à comparer les deux types de tours (tour locale et tour importée) afin de recommander la plus performante et à faire des suggestions pour améliorer leurs performances. Enfin l'étude doit permettre de déterminer un seuil technico-économique d'utilisation d'un groupe à condenseur à eau avec tour de refroidissement dans les pays tropicaux chauds.
Pour atteindre ces objectifs nous avons mesuré, sur un échantillon de quatre tours (deux tours SEEE et deux tours BROCHOT), la température du bulbe humide de l'air extérieur, les températures d'entrée et de sortie de l'eau des tours, le pH, la conductivité, le TAC et la dureté totale de l'eau de refroidissement. Les mesures effectuées ont montré que les tours SEEE ont une approche de 6,3°C et un rendement de 36 % contre respectivement 5°C et 64 % annoncés par le constructeur. Quant aux tours BROCHOT on a 4,3°C et 57 % contre respectivement 3°C et 78 %.
Il apparaît que les tours BROCHOT ont des performances, (approche et rendement) plus proches de celles annoncées par le constructeur que les tours SEEE, et en même temps sont plus performantes.
Pour améliorer les performances des tours SEEE, il faut changer le bac de distribution de l'eau sur les clayettes, nettoyer ces dernières, utiliser des algicides tels que le sulfate de cuivre ou l'eau de javel et adopter un mode de refroidissement à contre-courants.
Pour le seuil technico-économique, c'est à partir de 21 000 fg/h, pour du R12 à une température d'évaporation de 0°C et à une température ambiante de 36°C, qu'il devient plus rentable d'utiliser un condenseur à eau avec tour de refroidissement. Mais pour une température ambiante de 43°C, cas des zones tropicales chaudes et sèches comme Ouagadougou, ce seuil est de 11800 fg/h.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité TSE BI Tra Darius//0214 M. 0214 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Documents Disponible Documents numériques
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Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie FI3 Titre : Analyse des études géotechniques et vérifications du dimensionnement du château d’eau et de la bâche de stockage du site RA du projet AEP de la ville de Ouagadougou à partir du barrage de Ziga Type de document : texte imprimé Auteurs : Donatien Benoît BINGUIMATCHI Année de publication : 2005 Importance : 112p. Langues : Français (fre) Résumé : Ce mémoire rédigé dans le cadre de notre mémoire de fin d’étude, et qui porte sur les ouvrages de génie civil (château d’eau et bâche semi-enterrée) du projet d’approvisionnement en eau potable de la ville de Ouagadougou à partir du barrage de Ziga, particulièrement les ouvrages du site RA au secteur 22 de la ville de Ouagadougou, vise deux aspects :
? L’aspect Géotechnique : dont le but est de ressortir à partir des essais effectués sur le site :
o La nature et le niveau d’assise des sols de fondations ;
o La coupe géotechnique de l’emprise des ouvrages ;
o La contrainte admissible du sol qad ;
o Les tassements prévisibles sous les différents ouvrages et les précautions à observer ;
? L’aspect Vérification de calcul structure : qui donne une méthodologie manuelle de dimensionnement des châteaux d’eau surélevé et des bâches de stockage semi-enterrée, basée sur des approches empiriques. Les résultats sont ensuite comparés aux résultats de calculs effectués avec le logiciel EFFEL, spécifique pour le dimensionnement de ces ouvrages spéciaux.Mémoire Master d'ingénierie FI3. Analyse des études géotechniques et vérifications du dimensionnement du château d’eau et de la bâche de stockage du site RA du projet AEP de la ville de Ouagadougou à partir du barrage de Ziga [texte imprimé] / Donatien Benoît BINGUIMATCHI . - 2005 . - 112p.
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Résumé : Ce mémoire rédigé dans le cadre de notre mémoire de fin d’étude, et qui porte sur les ouvrages de génie civil (château d’eau et bâche semi-enterrée) du projet d’approvisionnement en eau potable de la ville de Ouagadougou à partir du barrage de Ziga, particulièrement les ouvrages du site RA au secteur 22 de la ville de Ouagadougou, vise deux aspects :
? L’aspect Géotechnique : dont le but est de ressortir à partir des essais effectués sur le site :
o La nature et le niveau d’assise des sols de fondations ;
o La coupe géotechnique de l’emprise des ouvrages ;
o La contrainte admissible du sol qad ;
o Les tassements prévisibles sous les différents ouvrages et les précautions à observer ;
? L’aspect Vérification de calcul structure : qui donne une méthodologie manuelle de dimensionnement des châteaux d’eau surélevé et des bâches de stockage semi-enterrée, basée sur des approches empiriques. Les résultats sont ensuite comparés aux résultats de calculs effectués avec le logiciel EFFEL, spécifique pour le dimensionnement de ces ouvrages spéciaux.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité BINGUIMATCHI Donatien Benoît//0611 M. 0611 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Documents Disponible Documents numériques
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