Bienvenue au Centre de Documentation et d'Information de 2iE: Plus de 27422 ouvrages vous sont proposés
Détail de la série
Master d'Ingénierie Génie de l’Eau, de l’Assainissement et des Aménagements Hydro-Agricoles (GEAAH) |
Documents disponibles dans cette série (184)
Faire une suggestion Affiner la rechercheMaster d'Ingénierie Génie de l’Eau, de l’Assainissement et des Aménagements Hydro-Agricoles (GEAAH). Etude technique détaillée pour la réalisation du système d’adduction en eau potable multi villages de Bonzan-Pougouli, Dibien et Djindjerma dans la commune de Koti, dans la région des hauts bassins (Burkina Faso) / Alexandre Lawakilia PARE
Titre de série : Master d'Ingénierie Génie de l’Eau, de l’Assainissement et des Aménagements Hydro-Agricoles (GEAAH) Titre : Etude technique détaillée pour la réalisation du système d’adduction en eau potable multi villages de Bonzan-Pougouli, Dibien et Djindjerma dans la commune de Koti, dans la région des hauts bassins (Burkina Faso) Type de document : texte imprimé Auteurs : Alexandre Lawakilia PARE, Auteur Année de publication : 2024 Importance : 101 p. Langues : Français (fre) Résumé : L’objectif de l’état Burkinabé prescrit dans le Programme National d’Approvisionnement en Eau Potable élaboré en 2016, est d’améliorer le niveau de service d’eau potable en milieu urbain comme rural. En milieu rural la principale source d’eau est souterraine dont le traitement est moins couteux. Compte tenu du contexte hydrogéologique difficile dans certaines localités l’AEP-MV vient solutionner ce problème. C’est dans cette optique que le Ministère de l’Environnement de l’Eau et de l’Assainissement a commandité les études de réalisations de plusieurs systèmes d’AEP dont l’AEP-MV de Bonzan-Pougouli, Dibien et Djindjerma dans la commune de Koti, Région des Hauts Bassins au Burkina Faso. Avec un taux d’accroissement de 1,93% la population totale des trois centres est évaluée à 8348 personnes à l’horizon du projet (2050). 90% de la population sera desservie par le système d’Approvisionnement en Eau Potable et 10% pour les autres systèmes. La demande du jour de point à l’horizon du projet est évaluée à 271 m3/j soit 19,4 m3/h. Pour satisfaire cette demande, il faudra réaliser quatre (04) forages de débit d’exploitation 5 m3/h. Le réservoir sera métallique avec une capacité de 100 m3. L’adduction aura une longueur de 2 670,77 m et la pompe sera de type Grundfos SP 7-27 avec une hauteur manométrique totale de 114,58 m. La source d’énergie sera mixte (champ solaire et groupe électrogène). La distribution se fera de façon gravitaire à partir du réservoir surélevé de 11 m. Elle aura un linéaire total de 27 598,07 m et sera en polyéthylène haute densité. Elle dessert 14 bornes fontaines et 103 branchements particuliers projeté en 2050. Le coût d’investissement total du projet est de cinq cent seize million deux cent cinquante un mille trois cent dix-sept (516 251 317) FCFA. Le mètre cube d’eau sera vendu à cinq cent (500) FCFA. La gestion du système se fera par un contrat d’affermage.
Abstract : The Burkinabe government's objective, as set out in the National Drinking Water Supply Program drawn up in 2016, is to improve the level of drinking water service in both urban and rural areas. In rural areas, the main source of water is underground, which is less expensive to treat. Given the difficult hydrogeological context in certain localities, AEP-MV is the solution to this problem. With this in mind, the Ministry of the Environment, Water and Sanitation has commissioned studies for the construction of several water supply systems, including MV-DWS in Bonzan-Pougouli, Dibien and Djindjerma in the commune of Koti, in the Hauts Bassins region of Burkina Faso. With a growth rate of 1.93%, the total population of the three centers is estimated at 8,348 people by the project horizon (2050). 90% of the population will be served by the drinking water supply system and 10% by the other systems. Point-day demand on the project horizon is estimated at 271 m3/d or 19.4 m3/h. To meet this demand, four (04) boreholes with an operating flow rate of 5 m3/h will need to be drilled. The reservoir will be metal with a capacity of 100 m3. The pipeline will be 2,670.77 m long, and the pump will be a Grundfos SP 7-27 with a total head of 114.58 m. The energy source will be mixed (solar field and generator). Distribution will be by gravity from the 11 m elevated reservoir. It will have a total length of 27,598.07 m and will be made of high-density polyethylene. It will serve 14 standpipes and 103 individual connections planned for 2050. The total investment cost of the project is five hundred and sixteen million two hundred and fifty-one thousand three hundred and seventeen (516,251,317) FCFA. The cubic metre of water will be sold at five hundred (500) FCFA. The system will be managed under a leasing contract.
Master d'Ingénierie Génie de l’Eau, de l’Assainissement et des Aménagements Hydro-Agricoles (GEAAH). Etude technique détaillée pour la réalisation du système d’adduction en eau potable multi villages de Bonzan-Pougouli, Dibien et Djindjerma dans la commune de Koti, dans la région des hauts bassins (Burkina Faso) [texte imprimé] / Alexandre Lawakilia PARE, Auteur . - 2024 . - 101 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : L’objectif de l’état Burkinabé prescrit dans le Programme National d’Approvisionnement en Eau Potable élaboré en 2016, est d’améliorer le niveau de service d’eau potable en milieu urbain comme rural. En milieu rural la principale source d’eau est souterraine dont le traitement est moins couteux. Compte tenu du contexte hydrogéologique difficile dans certaines localités l’AEP-MV vient solutionner ce problème. C’est dans cette optique que le Ministère de l’Environnement de l’Eau et de l’Assainissement a commandité les études de réalisations de plusieurs systèmes d’AEP dont l’AEP-MV de Bonzan-Pougouli, Dibien et Djindjerma dans la commune de Koti, Région des Hauts Bassins au Burkina Faso. Avec un taux d’accroissement de 1,93% la population totale des trois centres est évaluée à 8348 personnes à l’horizon du projet (2050). 90% de la population sera desservie par le système d’Approvisionnement en Eau Potable et 10% pour les autres systèmes. La demande du jour de point à l’horizon du projet est évaluée à 271 m3/j soit 19,4 m3/h. Pour satisfaire cette demande, il faudra réaliser quatre (04) forages de débit d’exploitation 5 m3/h. Le réservoir sera métallique avec une capacité de 100 m3. L’adduction aura une longueur de 2 670,77 m et la pompe sera de type Grundfos SP 7-27 avec une hauteur manométrique totale de 114,58 m. La source d’énergie sera mixte (champ solaire et groupe électrogène). La distribution se fera de façon gravitaire à partir du réservoir surélevé de 11 m. Elle aura un linéaire total de 27 598,07 m et sera en polyéthylène haute densité. Elle dessert 14 bornes fontaines et 103 branchements particuliers projeté en 2050. Le coût d’investissement total du projet est de cinq cent seize million deux cent cinquante un mille trois cent dix-sept (516 251 317) FCFA. Le mètre cube d’eau sera vendu à cinq cent (500) FCFA. La gestion du système se fera par un contrat d’affermage.
Abstract : The Burkinabe government's objective, as set out in the National Drinking Water Supply Program drawn up in 2016, is to improve the level of drinking water service in both urban and rural areas. In rural areas, the main source of water is underground, which is less expensive to treat. Given the difficult hydrogeological context in certain localities, AEP-MV is the solution to this problem. With this in mind, the Ministry of the Environment, Water and Sanitation has commissioned studies for the construction of several water supply systems, including MV-DWS in Bonzan-Pougouli, Dibien and Djindjerma in the commune of Koti, in the Hauts Bassins region of Burkina Faso. With a growth rate of 1.93%, the total population of the three centers is estimated at 8,348 people by the project horizon (2050). 90% of the population will be served by the drinking water supply system and 10% by the other systems. Point-day demand on the project horizon is estimated at 271 m3/d or 19.4 m3/h. To meet this demand, four (04) boreholes with an operating flow rate of 5 m3/h will need to be drilled. The reservoir will be metal with a capacity of 100 m3. The pipeline will be 2,670.77 m long, and the pump will be a Grundfos SP 7-27 with a total head of 114.58 m. The energy source will be mixed (solar field and generator). Distribution will be by gravity from the 11 m elevated reservoir. It will have a total length of 27,598.07 m and will be made of high-density polyethylene. It will serve 14 standpipes and 103 individual connections planned for 2050. The total investment cost of the project is five hundred and sixteen million two hundred and fifty-one thousand three hundred and seventeen (516,251,317) FCFA. The cubic metre of water will be sold at five hundred (500) FCFA. The system will be managed under a leasing contract.
Exemplaires(0)
Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
AlexAdobe Acrobat PDF
Titre de série : Master d'Ingénierie Génie de l’Eau, de l’Assainissement et des Aménagements Hydro-Agricoles (GEAAH) Titre : Etude de faisabilité technique de réalisation d’un système d’adduction en eau potable simplifiée dans la localité de Nakaba, commune de Baskouré, province du Kouritenga, région du centre-est, Burkina Faso Type de document : texte imprimé Auteurs : Aboubakar SANOGO, Auteur Année de publication : 2024 Importance : 103 p. Langues : Français (fre) Résumé : Situé dans la commune de Baskouré, province du Kouritenga dans la région du Centre-Est au Burkina Faso, le village de Nakaba fait face à des défis importants en matière d’accès à l’eau potable. Pour remédier à cette situation, un projet d'adduction d'eau potable est envisagé, nécessitant une étude de faisabilité technique préalable. Cette étude propose l'installation d'un forage équipé d'une pompe immergée avec un débit de 9 m³/h. L'eau sera acheminée via une conduite de refoulement en PEHD PN16 DN90 de 3035,8 ml vers un réservoir métallique de forme cylindrique de 80 m³, situé à 10 m de hauteur du sol. Le volume de ce château d'eau est calculé sur la base de la demande journalière de pointe, estimée à 172,95 m³/j. Cette estimation repose sur des consommations spécifiques quotidiennes de 15 l/j/habitant pour les bornes fontaines et 20 l/j/habitant pour les branchements privés, pour une population projetée de 7147 habitants en 2040, ainsi que sur divers coefficients de pointe. Depuis le réservoir, l'eau sera distribuée par un réseau ramifié composé de conduites PEHD PN10, totalisant 16 971,4 ml. Ce réseau permettra de desservir, à terme, 7 bornes fontaines équipées de 3 robinets chacune et 429 branchements privés. Le coût total du projet est estimé à 367 276 558 F CFA. Le système sera alimenté par une combinaison d'énergie photovoltaïque et d'électricité fournie par la SONABEL. Pour la désinfection, le chlore sera utilisé en raison de ses propriétés et de sa facilité d'utilisation. La gestion des infrastructures sera confiée à un opérateur sous contrat d'affermage. Les impacts environnementaux du projet ainsi que les mesures d’atténuation et de bonification seront abordés dans une notice d’impact environnemental. Le prix de vente de l’eau est fixé à 450 F CFA par mètre cube.
Abstract : Located in the commune of Baskouré, Kouritenga province in the Centre-East region of Burkina Faso, the village of Nakaba faces significant challenges in accessing drinking water. To address this issue, a potable water supply project is planned, requiring a preliminary technical feasibility study. This study proposes the installation of a borehole equipped with a submersible pump with a flow rate of 9 m³/h. Water will be conveyed through a PEHD PN16 DN90 pipeline, 3035,8 meters long, to a cylindrical metal reservoir with a capacity of 80 m³, situated 10 meters above the ground. The volume of this water tower is calculated based on the peak daily demand, estimated at 172.95 m³/day. This estimation is based on specific daily consumptions of 15 liters/day per inhabitant for water fountains and 20 liters/day per inhabitant for individual connections, for a projected population of 7147 inhabitants by 2040, along with various peak coefficients. From the reservoir, water will be distributed through a branched network consisting of PEHD PN10 pipes, totaling 16971,4 meters in length. This network will eventually serve 7 water fountains, each equipped with 3 taps, and 429 individual connections. The total cost of the project is estimated at 367 276 558 CFA francs. The system will be powered by a combination of photovoltaic energy and electricity supplied by SONABEL. Chlorine will be used for disinfection due to its properties and ease of use. The management of the infrastructure will be entrusted to an operator under a lease contract. The environmental impacts of the project, along with mitigation and enhancement measures, will be addressed in an environmental impact statement. The price of water will be set at 450 CFA francs per cubic meter.
Master d'Ingénierie Génie de l’Eau, de l’Assainissement et des Aménagements Hydro-Agricoles (GEAAH). Etude de faisabilité technique de réalisation d’un système d’adduction en eau potable simplifiée dans la localité de Nakaba, commune de Baskouré, province du Kouritenga, région du centre-est, Burkina Faso [texte imprimé] / Aboubakar SANOGO, Auteur . - 2024 . - 103 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Situé dans la commune de Baskouré, province du Kouritenga dans la région du Centre-Est au Burkina Faso, le village de Nakaba fait face à des défis importants en matière d’accès à l’eau potable. Pour remédier à cette situation, un projet d'adduction d'eau potable est envisagé, nécessitant une étude de faisabilité technique préalable. Cette étude propose l'installation d'un forage équipé d'une pompe immergée avec un débit de 9 m³/h. L'eau sera acheminée via une conduite de refoulement en PEHD PN16 DN90 de 3035,8 ml vers un réservoir métallique de forme cylindrique de 80 m³, situé à 10 m de hauteur du sol. Le volume de ce château d'eau est calculé sur la base de la demande journalière de pointe, estimée à 172,95 m³/j. Cette estimation repose sur des consommations spécifiques quotidiennes de 15 l/j/habitant pour les bornes fontaines et 20 l/j/habitant pour les branchements privés, pour une population projetée de 7147 habitants en 2040, ainsi que sur divers coefficients de pointe. Depuis le réservoir, l'eau sera distribuée par un réseau ramifié composé de conduites PEHD PN10, totalisant 16 971,4 ml. Ce réseau permettra de desservir, à terme, 7 bornes fontaines équipées de 3 robinets chacune et 429 branchements privés. Le coût total du projet est estimé à 367 276 558 F CFA. Le système sera alimenté par une combinaison d'énergie photovoltaïque et d'électricité fournie par la SONABEL. Pour la désinfection, le chlore sera utilisé en raison de ses propriétés et de sa facilité d'utilisation. La gestion des infrastructures sera confiée à un opérateur sous contrat d'affermage. Les impacts environnementaux du projet ainsi que les mesures d’atténuation et de bonification seront abordés dans une notice d’impact environnemental. Le prix de vente de l’eau est fixé à 450 F CFA par mètre cube.
Abstract : Located in the commune of Baskouré, Kouritenga province in the Centre-East region of Burkina Faso, the village of Nakaba faces significant challenges in accessing drinking water. To address this issue, a potable water supply project is planned, requiring a preliminary technical feasibility study. This study proposes the installation of a borehole equipped with a submersible pump with a flow rate of 9 m³/h. Water will be conveyed through a PEHD PN16 DN90 pipeline, 3035,8 meters long, to a cylindrical metal reservoir with a capacity of 80 m³, situated 10 meters above the ground. The volume of this water tower is calculated based on the peak daily demand, estimated at 172.95 m³/day. This estimation is based on specific daily consumptions of 15 liters/day per inhabitant for water fountains and 20 liters/day per inhabitant for individual connections, for a projected population of 7147 inhabitants by 2040, along with various peak coefficients. From the reservoir, water will be distributed through a branched network consisting of PEHD PN10 pipes, totaling 16971,4 meters in length. This network will eventually serve 7 water fountains, each equipped with 3 taps, and 429 individual connections. The total cost of the project is estimated at 367 276 558 CFA francs. The system will be powered by a combination of photovoltaic energy and electricity supplied by SONABEL. Chlorine will be used for disinfection due to its properties and ease of use. The management of the infrastructure will be entrusted to an operator under a lease contract. The environmental impacts of the project, along with mitigation and enhancement measures, will be addressed in an environmental impact statement. The price of water will be set at 450 CFA francs per cubic meter.
Exemplaires(0)
Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
SanogoAdobe Acrobat PDF
Titre de série : Master d'Ingénierie Génie de l’Eau, de l’Assainissement et des Aménagements Hydro-Agricoles (GEAAH) Titre : Identification des bactéries résistantes aux antibiotiques présentes dans trois stations de la ville de Ouagadougou, Burkina Faso Type de document : texte imprimé Auteurs : Dieudonnée Merveilles SOLAM TALLA NZIKO, Auteur Année de publication : 2024 Importance : 98 p. Langues : Français (fre) Résumé : La résistance aux antibiotiques est une menace mondiale croissante pour la santé publique et l'environnement, exacerbée par l'usage inapproprié des médicaments chez les humains et les animaux. En 2019, plus de 1,2 million de décès ont été attribués à des infections bactériennes résistantes aux antibiotiques, une crise particulièrement préoccupante en Afrique de l'Ouest subsahélienne. Des projections alarmantes indiquent que cette résistance pourrait causer jusqu'à 10 millions de décès annuels d'ici 2050, dépassant même ceux liés au cancer, avec une incidence disproportionnée en Asie et en Afrique. D’où l’intérêt de la présente étude portant sur l'identification des bactéries résistantes aux antibiotiques (BRA) présentes dans les eaux usées de Ouagadougou. Les résultats démontrent que les eaux usées hospitalières du CHU de Tengandogo contiennent les niveaux les plus élevés de BRA, suivies par celles de la STEP de Kossodo et de l'Institut 2iE. Les analyses de l'indice de multirésistance (MAR) révèlent des niveaux de résistance significatifs, particulièrement prononcés dans les eaux hospitalières. Les Enterobacteriaceae prédominent, suivies des Morganellaceae, Yersiniaceae et Erwiniaceae, avec des variations selon les sources et les saisons. En mars, les Enterobacteriaceae représentaient 83,33% des isolats au CHU de Tengandogo, 50% à l'Institut 2iE et 47,06% à Kossodo. En avril, ces chiffres étaient respectivement de 66,67%, 73,68% et 75%. Au cours du mois de mai, les Enterobacteriaceae ont augmenté à 88,89% à Kossodo, 85% à l'Institut 2iE et ont diminué à 60% au CHU de Tengandogo. Les eaux usées hospitalières contenaient les niveaux les plus élevés de bactéries résistantes, avec une concentration moyenne de 20,000 ufc/L. Ces résultats soulignent la nécessité d'une surveillance accrue des eaux usées hospitalières et de l'implémentation de traitements spécifiques pour réduire les bactéries résistantes. Une meilleure compréhension des types et de la dynamique des BRA dans ces environnements permettra de mieux évaluer les risques et d'orienter les stratégies de prévention et de contrôle adaptées.
Abstract : Antibiotic resistance is a growing global threat to public health and the environment, exacerbated by the inappropriate use of these medications in humans and animals. In 2019, more than 1.2 million deaths were attributed to antibiotic-resistant bacterial infections, a particularly alarming crisis in sub-Saharan West Africa. Alarming projections indicate that this resistance could cause up to 10 million annual deaths by 2050, surpassing those related to cancer, with a disproportionate incidence in Asia and Africa. This study focuses on the identification and characterization of antibiotic-resistant bacteria (ARB) present in the wastewater of three sewage treatment plants (STPs): Kossodo, the 2iE Institute, and the Tengandogo University Hospital Center (CHU). The results show that hospital wastewater from the CHU Tengandogo harbors the highest levels of ARB, followed by the STP of Kossodo and the 2iE Institute. Analyses of the multiple antibiotic resistance (MAR) index reveal significant resistance levels, particularly pronounced in hospital wastewater. Enterobacteriaceae predominated, followed by Morganellaceae, Yersiniaceae, and Erwiniaceae, with variations according to sources and seasons. In March, Enterobacteriaceae accounted for 83.33% of isolates at CHU Tengandogo, 50% at the 2iE Institute, and 47.06% at Kossodo. In April, these figures were respectively 66.67%, 73.68%, and 75%. In May, Enterobacteriaceae increased to 88.89% at Kossodo, 85% at the 2iE Institute, and decreased to 60% at CHU Tengandogo. Morganellaceae were highly present in Kossodo in March (41.18%) but decreased in April and May, while at the 2iE Institute, they accounted for about 10% of isolates in April and May. These results underline the urgency of continuous surveillance and effective management of ARB in wastewater to protect public health and the environment. A better understanding of the types and dynamics of ARB in these environments will allow for better risk assessment and guide appropriate prevention and control strategies.
Master d'Ingénierie Génie de l’Eau, de l’Assainissement et des Aménagements Hydro-Agricoles (GEAAH). Identification des bactéries résistantes aux antibiotiques présentes dans trois stations de la ville de Ouagadougou, Burkina Faso [texte imprimé] / Dieudonnée Merveilles SOLAM TALLA NZIKO, Auteur . - 2024 . - 98 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : La résistance aux antibiotiques est une menace mondiale croissante pour la santé publique et l'environnement, exacerbée par l'usage inapproprié des médicaments chez les humains et les animaux. En 2019, plus de 1,2 million de décès ont été attribués à des infections bactériennes résistantes aux antibiotiques, une crise particulièrement préoccupante en Afrique de l'Ouest subsahélienne. Des projections alarmantes indiquent que cette résistance pourrait causer jusqu'à 10 millions de décès annuels d'ici 2050, dépassant même ceux liés au cancer, avec une incidence disproportionnée en Asie et en Afrique. D’où l’intérêt de la présente étude portant sur l'identification des bactéries résistantes aux antibiotiques (BRA) présentes dans les eaux usées de Ouagadougou. Les résultats démontrent que les eaux usées hospitalières du CHU de Tengandogo contiennent les niveaux les plus élevés de BRA, suivies par celles de la STEP de Kossodo et de l'Institut 2iE. Les analyses de l'indice de multirésistance (MAR) révèlent des niveaux de résistance significatifs, particulièrement prononcés dans les eaux hospitalières. Les Enterobacteriaceae prédominent, suivies des Morganellaceae, Yersiniaceae et Erwiniaceae, avec des variations selon les sources et les saisons. En mars, les Enterobacteriaceae représentaient 83,33% des isolats au CHU de Tengandogo, 50% à l'Institut 2iE et 47,06% à Kossodo. En avril, ces chiffres étaient respectivement de 66,67%, 73,68% et 75%. Au cours du mois de mai, les Enterobacteriaceae ont augmenté à 88,89% à Kossodo, 85% à l'Institut 2iE et ont diminué à 60% au CHU de Tengandogo. Les eaux usées hospitalières contenaient les niveaux les plus élevés de bactéries résistantes, avec une concentration moyenne de 20,000 ufc/L. Ces résultats soulignent la nécessité d'une surveillance accrue des eaux usées hospitalières et de l'implémentation de traitements spécifiques pour réduire les bactéries résistantes. Une meilleure compréhension des types et de la dynamique des BRA dans ces environnements permettra de mieux évaluer les risques et d'orienter les stratégies de prévention et de contrôle adaptées.
Abstract : Antibiotic resistance is a growing global threat to public health and the environment, exacerbated by the inappropriate use of these medications in humans and animals. In 2019, more than 1.2 million deaths were attributed to antibiotic-resistant bacterial infections, a particularly alarming crisis in sub-Saharan West Africa. Alarming projections indicate that this resistance could cause up to 10 million annual deaths by 2050, surpassing those related to cancer, with a disproportionate incidence in Asia and Africa. This study focuses on the identification and characterization of antibiotic-resistant bacteria (ARB) present in the wastewater of three sewage treatment plants (STPs): Kossodo, the 2iE Institute, and the Tengandogo University Hospital Center (CHU). The results show that hospital wastewater from the CHU Tengandogo harbors the highest levels of ARB, followed by the STP of Kossodo and the 2iE Institute. Analyses of the multiple antibiotic resistance (MAR) index reveal significant resistance levels, particularly pronounced in hospital wastewater. Enterobacteriaceae predominated, followed by Morganellaceae, Yersiniaceae, and Erwiniaceae, with variations according to sources and seasons. In March, Enterobacteriaceae accounted for 83.33% of isolates at CHU Tengandogo, 50% at the 2iE Institute, and 47.06% at Kossodo. In April, these figures were respectively 66.67%, 73.68%, and 75%. In May, Enterobacteriaceae increased to 88.89% at Kossodo, 85% at the 2iE Institute, and decreased to 60% at CHU Tengandogo. Morganellaceae were highly present in Kossodo in March (41.18%) but decreased in April and May, while at the 2iE Institute, they accounted for about 10% of isolates in April and May. These results underline the urgency of continuous surveillance and effective management of ARB in wastewater to protect public health and the environment. A better understanding of the types and dynamics of ARB in these environments will allow for better risk assessment and guide appropriate prevention and control strategies.
Exemplaires(0)
Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
SolamAdobe Acrobat PDF
Titre de série : Master d'Ingénierie Génie de l’Eau, de l’Assainissement et des Aménagements Hydro-Agricoles (GEAAH) Titre : Analyse des facteurs d’intensification de l’utilisation des bassins de collecte des eaux de ruissellement (BCER) dans les provinces du Bazéga, du Kadiogo et de l’Oubritenga au Burkina Faso Type de document : texte imprimé Auteurs : Hamady Mamadou SY, Auteur Année de publication : 2024 Importance : 59 p. Langues : Français (fre) Résumé : L'irrigation de complément consiste à pallier les déficits hydriques des cultures pluviales, en leur fournissant des apports d'eau lorsque les pluies naturelles sont insuffisantes. Cette pratique vise à garantir une croissance optimale des planteset à stabiliser les rendements agricoles, même en cas de précipitations irrégulières. Pour cela, des bassins de collecte des eaux de ruissellement sont construits et revêtus aux profits des bénéficiaires pour la pratique de l’irrigation de complément des cultures céréalières. Cette présente étude a pour objectif d’analyser les facteurs d’intensification de l’utilisation des bassins de collectes des eaux de ruissellement (BCER) dans les provinces du Bazéga, du Kadiogo et de l’Oubritenga. Pour l’analyse, 223 producteurs bénéficiaires du BCER ont été sélectionnés. Les résultats de l’estimation du modèle Tobit montrent que les principaux facteurs qui influencent positivement et significativement l’intensification de l’utilisation des BCER sont : les caractéristiques socioéconomiques telles que la pratique de l’élevage (P-value = 0,035) et l’accès à la terre par héritage (P-value =0,057). De plus, les caractéristiques des bassins, notamment la protection du bassin par une clôture métallique (P-value = 0,051), le revêtement avec du perrés secs ou perrés maçonnés (P-value = 0,020), la durée de rétention de l’eau par le bassin (P-value = 0.000), la production maraichère (P-value = 0,094) et l’accès aux services supports (P-value = 0,099) et la perception de l’innovation qui est la perception de la facilité d’utilisation (P-value = 0,002). Pour une mise à l’échelle afin que les producteurs intensifient son utilisation, ces facteurs sont des leviers à renforcer pour motiver les potentiels utilisateurs. Les études futures pourront s’intéresser à évaluer l’impact des BCER sur la sécurité alimentaire.
Abstract : Supplemental irrigation is used to compensate for water deficits in rain-fed crops, by supplying water when natural rainfall is insufficient. The aim is to guarantee optimum plant growth and stabilize crop yields, even in the event of irregular rainfall. To this end, runoff collection basins are built and lined for the benefit of beneficiaries for the practice of supplemental irrigation of cereal crops. The aim of this study is to analyze the factors that intensify the use of runoff collection basins (BCER) in the provinces of Bazéga, Kadiogo and Oubritenga. For the analysis, 223 BCER beneficiary producers were selected. The results of the Tobit model estimation show that the main factors that positively and significantly influence the intensification of BCER use are: socio-economic characteristics such as the practice of animal husbandry (P-value = 0.035) and access to land through inheritance (P-value =0.057). In addition, pond characteristics, such as protection of the pond by a metal fence (P-value = 0.051), lining with dry or masonry riprap (P-value = 0.020), duration of water retention by the pond (P-value = 0.000), market-garden production (P-value = 0.094) and access to support services (P-value = 0.099) and the perception of innovation, which is the perception of ease of use (P-value = 0.002). These factors need to be reinforced to motivate potential users, so that they can be scaled up and used more intensively by growers. Future studies could focus on assessing the impact of BCERs on food security.
Master d'Ingénierie Génie de l’Eau, de l’Assainissement et des Aménagements Hydro-Agricoles (GEAAH). Analyse des facteurs d’intensification de l’utilisation des bassins de collecte des eaux de ruissellement (BCER) dans les provinces du Bazéga, du Kadiogo et de l’Oubritenga au Burkina Faso [texte imprimé] / Hamady Mamadou SY, Auteur . - 2024 . - 59 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : L'irrigation de complément consiste à pallier les déficits hydriques des cultures pluviales, en leur fournissant des apports d'eau lorsque les pluies naturelles sont insuffisantes. Cette pratique vise à garantir une croissance optimale des planteset à stabiliser les rendements agricoles, même en cas de précipitations irrégulières. Pour cela, des bassins de collecte des eaux de ruissellement sont construits et revêtus aux profits des bénéficiaires pour la pratique de l’irrigation de complément des cultures céréalières. Cette présente étude a pour objectif d’analyser les facteurs d’intensification de l’utilisation des bassins de collectes des eaux de ruissellement (BCER) dans les provinces du Bazéga, du Kadiogo et de l’Oubritenga. Pour l’analyse, 223 producteurs bénéficiaires du BCER ont été sélectionnés. Les résultats de l’estimation du modèle Tobit montrent que les principaux facteurs qui influencent positivement et significativement l’intensification de l’utilisation des BCER sont : les caractéristiques socioéconomiques telles que la pratique de l’élevage (P-value = 0,035) et l’accès à la terre par héritage (P-value =0,057). De plus, les caractéristiques des bassins, notamment la protection du bassin par une clôture métallique (P-value = 0,051), le revêtement avec du perrés secs ou perrés maçonnés (P-value = 0,020), la durée de rétention de l’eau par le bassin (P-value = 0.000), la production maraichère (P-value = 0,094) et l’accès aux services supports (P-value = 0,099) et la perception de l’innovation qui est la perception de la facilité d’utilisation (P-value = 0,002). Pour une mise à l’échelle afin que les producteurs intensifient son utilisation, ces facteurs sont des leviers à renforcer pour motiver les potentiels utilisateurs. Les études futures pourront s’intéresser à évaluer l’impact des BCER sur la sécurité alimentaire.
Abstract : Supplemental irrigation is used to compensate for water deficits in rain-fed crops, by supplying water when natural rainfall is insufficient. The aim is to guarantee optimum plant growth and stabilize crop yields, even in the event of irregular rainfall. To this end, runoff collection basins are built and lined for the benefit of beneficiaries for the practice of supplemental irrigation of cereal crops. The aim of this study is to analyze the factors that intensify the use of runoff collection basins (BCER) in the provinces of Bazéga, Kadiogo and Oubritenga. For the analysis, 223 BCER beneficiary producers were selected. The results of the Tobit model estimation show that the main factors that positively and significantly influence the intensification of BCER use are: socio-economic characteristics such as the practice of animal husbandry (P-value = 0.035) and access to land through inheritance (P-value =0.057). In addition, pond characteristics, such as protection of the pond by a metal fence (P-value = 0.051), lining with dry or masonry riprap (P-value = 0.020), duration of water retention by the pond (P-value = 0.000), market-garden production (P-value = 0.094) and access to support services (P-value = 0.099) and the perception of innovation, which is the perception of ease of use (P-value = 0.002). These factors need to be reinforced to motivate potential users, so that they can be scaled up and used more intensively by growers. Future studies could focus on assessing the impact of BCERs on food security.
Exemplaires(0)
Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
SyAdobe Acrobat PDF
Titre de série : Master d'Ingénierie Génie de l’Eau, de l’Assainissement et des Aménagements Hydro-Agricoles (GEAAH) Titre : Étude technique du système d’Approvisionnement en Eau Potable de la cité immobilière SONATUR, quartier Silmiougou, arrondissement 8 de la ville de Ouagadougou Type de document : texte imprimé Auteurs : Godefroy Antoine Lawakôo TOE, Auteur Année de publication : 2024 Importance : 108 p. Langues : Français (fre) Résumé : De nos jours, les habitants de la ville de Ouagadougou sont confrontés à un problème persistant d’accès à des logements décents, en raison de la croissance démographique galopante et des revenus limités des ménages. Afin de remédier à cette situation, des promoteurs immobiliers tels que la Société Nationale d’Aménagement des Terrains urbains (SONATUR) procède à la construction de cités à usage d’habitation en périphérie de la ville, comme c’est le cas pour le projet en cours de la cité immobilière dans le quartier Silmiougou, arrondissement 8 de la ville de Ouagadougou, cela pour répondre à la demande sans cesse grandissante. La SONATUR a sollicité l’Office National de l’Eau et de l’Assainissement (ONEA) pour mener cette étude d’approvisionnement en eau potable en raison du partenariat qui lie les deux sociétés d’État. L’étude que nous avons menée au sein de la Direction de maîtrise d’ouvrage (DMO se concentre sur l’alimentation en eau potable des futurs habitants de la cité de Silmiougou. Pour ce faire, l’option retenue est l’extension du réseau d’eau potable de la ville vers ce quartier. Une conduite de 4282,11 m est prévue pour le raccordement optimal de la nouvelle cité, avec principalement des branchements privés pour les points de desserte. Avec une population estimée à 20 608 habitants d’ici à la fin du projet, les besoins journaliers moyens totaux en eau sont estimés à 1351 m3/j pour un débit de pointe de 37 l/s. Le réseau proposé est de type maillé, s’étendant sur une longueur de 53 429,5 m. Les coûts des travaux pour alimenter la nouvelle cité sont évalués à neuf cent soixante-deux millions cent vingt-deux mille sept cent quatre-vingt-quatre (962 122 784) FCFA TTC.
Abstract : Nowadays, the inhabitants of the city of Ouagadougou are faced with a persistent problem of access to decent housing, due to the galloping demographic growth and limited household incomes. To remedy the situation, real estate developers such as the National Company for Urban Land Development (SONATUR) are constructing residential complexes on the outskirts of the city, as in the case of the ongoing project for the real estate complex in the Silmiougou District, the 8th administrative district of the city of Ouagadougou. SONATUR has solicited the National Water and Sanitation Office (ONEA) to conduct this study on water supply as part of a partnership between the two state-owned companies. The study we have conducted within the Project Management office (PMO) focuses on the water supply for the future inhabitants of the Silmiougou complex. To do so, the option selected is the extension of the city’s water supply network to serve this area. A pipeline of 4282.11 m is planned for the optimal connection of the new complex, with primarily private connections planned for the water service points. With a population estimated to reach 20,608 inhabitants by the end of the project, the average total daily water demand is estimated to be 1351 m3/day for a peak flow of 37 l/s. The proposed network is of mesh type, covering a distance of 53,429.5 m. The estimated cost of the works to supply water to the new complex is nine hundred sixty-two million one hundred twenty-two thousand seven hundred eighty-four (962,122,784) CFA francs, including tax.
Master d'Ingénierie Génie de l’Eau, de l’Assainissement et des Aménagements Hydro-Agricoles (GEAAH). Étude technique du système d’Approvisionnement en Eau Potable de la cité immobilière SONATUR, quartier Silmiougou, arrondissement 8 de la ville de Ouagadougou [texte imprimé] / Godefroy Antoine Lawakôo TOE, Auteur . - 2024 . - 108 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : De nos jours, les habitants de la ville de Ouagadougou sont confrontés à un problème persistant d’accès à des logements décents, en raison de la croissance démographique galopante et des revenus limités des ménages. Afin de remédier à cette situation, des promoteurs immobiliers tels que la Société Nationale d’Aménagement des Terrains urbains (SONATUR) procède à la construction de cités à usage d’habitation en périphérie de la ville, comme c’est le cas pour le projet en cours de la cité immobilière dans le quartier Silmiougou, arrondissement 8 de la ville de Ouagadougou, cela pour répondre à la demande sans cesse grandissante. La SONATUR a sollicité l’Office National de l’Eau et de l’Assainissement (ONEA) pour mener cette étude d’approvisionnement en eau potable en raison du partenariat qui lie les deux sociétés d’État. L’étude que nous avons menée au sein de la Direction de maîtrise d’ouvrage (DMO se concentre sur l’alimentation en eau potable des futurs habitants de la cité de Silmiougou. Pour ce faire, l’option retenue est l’extension du réseau d’eau potable de la ville vers ce quartier. Une conduite de 4282,11 m est prévue pour le raccordement optimal de la nouvelle cité, avec principalement des branchements privés pour les points de desserte. Avec une population estimée à 20 608 habitants d’ici à la fin du projet, les besoins journaliers moyens totaux en eau sont estimés à 1351 m3/j pour un débit de pointe de 37 l/s. Le réseau proposé est de type maillé, s’étendant sur une longueur de 53 429,5 m. Les coûts des travaux pour alimenter la nouvelle cité sont évalués à neuf cent soixante-deux millions cent vingt-deux mille sept cent quatre-vingt-quatre (962 122 784) FCFA TTC.
Abstract : Nowadays, the inhabitants of the city of Ouagadougou are faced with a persistent problem of access to decent housing, due to the galloping demographic growth and limited household incomes. To remedy the situation, real estate developers such as the National Company for Urban Land Development (SONATUR) are constructing residential complexes on the outskirts of the city, as in the case of the ongoing project for the real estate complex in the Silmiougou District, the 8th administrative district of the city of Ouagadougou. SONATUR has solicited the National Water and Sanitation Office (ONEA) to conduct this study on water supply as part of a partnership between the two state-owned companies. The study we have conducted within the Project Management office (PMO) focuses on the water supply for the future inhabitants of the Silmiougou complex. To do so, the option selected is the extension of the city’s water supply network to serve this area. A pipeline of 4282.11 m is planned for the optimal connection of the new complex, with primarily private connections planned for the water service points. With a population estimated to reach 20,608 inhabitants by the end of the project, the average total daily water demand is estimated to be 1351 m3/day for a peak flow of 37 l/s. The proposed network is of mesh type, covering a distance of 53,429.5 m. The estimated cost of the works to supply water to the new complex is nine hundred sixty-two million one hundred twenty-two thousand seven hundred eighty-four (962,122,784) CFA francs, including tax.
Réservation
Réserver ce document
Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité TOE((God-Anto//Lawakô3865o M. 3865 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Documents Disponible Documents numériques
ToeAdobe Acrobat PDF
Permalink
Permalink
Permalink
Permalink
Permalink
Permalink
Permalink
Permalink
Permalink
Permalink
