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Série Mémoire Master Spécialisé GSE
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Mémoire Master Spécialisé GSE. Renforcement de l'alimentation en eau potable de la ville de Daloa à partir du barrage de Buyo en Côte d'Ivoire / Kouassi Paul DIE
Titre de série : Mémoire Master Spécialisé GSE Titre : Renforcement de l'alimentation en eau potable de la ville de Daloa à partir du barrage de Buyo en Côte d'Ivoire Type de document : texte imprimé Auteurs : Kouassi Paul DIE Année de publication : 2006 Importance : 91p. Langues : Français (fre) Résumé : L'alimentation en eau potable des communautés revêt une importance capitale. Elle permet de satisfaire les besoins domestiques, industriels, scolaires, hospitaliers et industriels de la ville, partant du bien être de la population.
Ce qui n'est pas le cas de cette importante ville du pays tant par sa population que par les infrastructures et activités qu'elle regorge. En effet, alimentée par la Lobo, fleuve hypereutrophe, la station de traitement est saturée et débordée par le coût excessif des réactifs.
Pour mettre fin aux souffrances de la population de cette localité du pays, il a été décidé de chercher une source d'alimentation autre que la Lobo.
Plusieurs études ont été envisagées, en l'occurrence l'alimentation de Daloa par Bouaflé, Guessabo et Buyo.
Finalement, c'est la ville de Buyo qui a été retenue pour renforcer l'alimentation de Daloa par son prestigieux barrage via la ville d'Issia.
La solution technique que nous proposons permettra non seulement d'améliorer les charges à l'exploitation de la SODECI de la ville de Daloa mais aussi à satisfaire toutes les demandes en eau potable de Daloa et des villages situés sur l'axe Buyo-Daloa en passant par Issia sans oublier le renforcement des deux localités déjà desservies dans le futur.
Un tel projet ne serait une réussite qu'à une seule condition: la participation de tous les acteurs de développement impliqués dans le système d'alimentation en eau potable de la ville de Daloa.Mémoire Master Spécialisé GSE. Renforcement de l'alimentation en eau potable de la ville de Daloa à partir du barrage de Buyo en Côte d'Ivoire [texte imprimé] / Kouassi Paul DIE . - 2006 . - 91p.
Langues : Français (fre)
Résumé : L'alimentation en eau potable des communautés revêt une importance capitale. Elle permet de satisfaire les besoins domestiques, industriels, scolaires, hospitaliers et industriels de la ville, partant du bien être de la population.
Ce qui n'est pas le cas de cette importante ville du pays tant par sa population que par les infrastructures et activités qu'elle regorge. En effet, alimentée par la Lobo, fleuve hypereutrophe, la station de traitement est saturée et débordée par le coût excessif des réactifs.
Pour mettre fin aux souffrances de la population de cette localité du pays, il a été décidé de chercher une source d'alimentation autre que la Lobo.
Plusieurs études ont été envisagées, en l'occurrence l'alimentation de Daloa par Bouaflé, Guessabo et Buyo.
Finalement, c'est la ville de Buyo qui a été retenue pour renforcer l'alimentation de Daloa par son prestigieux barrage via la ville d'Issia.
La solution technique que nous proposons permettra non seulement d'améliorer les charges à l'exploitation de la SODECI de la ville de Daloa mais aussi à satisfaire toutes les demandes en eau potable de Daloa et des villages situés sur l'axe Buyo-Daloa en passant par Issia sans oublier le renforcement des deux localités déjà desservies dans le futur.
Un tel projet ne serait une réussite qu'à une seule condition: la participation de tous les acteurs de développement impliqués dans le système d'alimentation en eau potable de la ville de Daloa.Exemplaires
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DieAdobe Acrobat PDF Mémoire Master Spécialisé GSE. Stratégies d'optimisation de la filière de vidange de boues de latrines à Dakar / Elhadji S. Tacko DIONGUE
Titre de série : Mémoire Master Spécialisé GSE Titre : Stratégies d'optimisation de la filière de vidange de boues de latrines à Dakar Type de document : texte imprimé Auteurs : Elhadji S. Tacko DIONGUE Année de publication : 2006 Importance : 102p. Langues : Français (fre) Résumé : Au Sénégal, le réseau collectif d'assainissement ne concerne qu'une faible partie de la population et l'assainissement autonome, utilisé par 70% des ménages, constitue donc le système le plus répandu. Toutefois, la gestion des boues de vidange provenant des ouvrages d'assainissement autonome pose de véritables problèmes notamment au niveau de la collecte et du transport.
L'objectif de cette présente étude est de réfléchir sur les stratégies d'optimisation de la filière de vidange des boues à Dakar, en faisant d'abord un recensement des différents équipements de collecte et de transport existants ; ensuite d'analyser la performance de la filière, d'identifier les difficultés rencontrées par les différents acteurs et de proposer enfin des leviers pour une amélioration des performances de la filière.
Pour atteindre ces objectifs, nous avons mené une recherche documentaire, des enquêtes au niveau des différents acteurs, des visites de terrain et un routage des camions de vidange.
Le profil des acteurs de la GBV est le suivant : l'état à travers l'ONAS et les collectivités locales, les opérateurs privés (vidangeurs mécanique et manuel), les ONG et les populations.
La vidange mécanique est pratiquée par des opérateurs dits formels avec des entreprises de type SARL ou des GIE et des opérateurs individuels, plus nombreux, oeuvrant dans l'informel. Le parc automobile des camions de vidange regroupe près de 96 véhicules recensés composés en majorité de camions pompeurs (83% du parc), de camions hydrocureurs et de quelques tonnes à lisier pour les Communes.
Le routage des camions de vidange nous a montré que les fosses septiques toutes eaux constituaient les ouvrages d'assainissement les plus fréquemment vidangés (65%), puis les fosses dites « perdues » (29%). La fréquence de vidange des fosses observée est de 1 à 3 mois en général et s'explique par la taille des ménages (24 personnes en moyenne), le type de d'habitat, la manière de vidange (vidange incomplète des boues) etc.
Le temps moyen de pompage d'une FS de 10m3 est de 19mn17s correspondant à un débit de 31m3/h ; ce qui montre une faible capacité de pompage des camions.
Le temps de transport des boues observé est élevé : 1h18mn pour la déposante de Bel Air et 51mn pour la déposante de Cambérène. Ceci s'explique principalement par la circulation routière dense ; ce qui a une influence sur la consommation en carburant qui est en moyenne de 7.62 L/rotation. D'où la nécessité de créer des sites de dépotage plus proches ou bien des points d'injection sur le réseau d'EU pour les camions dans les zones de fréquente vidange.
En ce qui concerne la vidange manuelle, elle est le propre des éboueurs appelés « Baay Pelles » et concerne 32% des ménages à Dakar avec un prix variant entre 8000 et 20 000 FCFA. Leur matériel de collecte de la boue est un matériel rudimentaire et ils n'ont aucune protection d'où des risques sanitaires et physiques élevés.
L'analyse économique et financière de la filière montre que le prix moyen de la vidange est de 25 000 FCFA pour un chiffre d'affaires annuel du secteur de 2 246 400 000 FCFA (3.4 Millions d'Euros environ). La reconstitution du compte d'exploitation d'une entreprise de vidange montre que, malgré les charges d'exploitation élevées, les entreprise sont tout à fait rentables et parviennent à faire des bénéfices substantiels. Ainsi, il serait possible pour les entreprises de diminuer le prix de la vidange tout en étant toujours concurrentielles. Un prix de 15 000 FCFA/ est proposé.
Les difficultés rencontrées par les acteurs de la vidange manuelle et mécanique sont de plusieurs ordres et sont liées aux différents intervenants : avec les populations, avec les autorités, en interne (difficultés technique et socio-économique).
Ainsi, pour l'amélioration des performances de la filière, différentes propositions ont été faites :
sur le plan institutionnel : revaloriser le métier de la vidange manuelle, instituer un système de licence pour les camions, renforcer et promouvoir le rôle de l'ONAS, etc. ; sur le plan juridique : réglementer et standardiser la construction des fosses ; sur le plan technique : optimiser les temps d'opération de la vidange, acquisition par les opérateurs de véhicules plus adaptés pour la vidange des boues, développer le circuit d'importation des pièces de rechange des camions ; sur le plan socio-économique : regrouper les opérateurs informels en GIE, encadrer et équiper les vidangeurs manuels.
Enfin, des modules de formation dans les domaines de la technologie des systèmes d'assainissement autonome, des risques sanitaires et environnementaux liés à la GBV, de la création et de la gestion des micro-entreprises ont été proposés.Mémoire Master Spécialisé GSE. Stratégies d'optimisation de la filière de vidange de boues de latrines à Dakar [texte imprimé] / Elhadji S. Tacko DIONGUE . - 2006 . - 102p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Au Sénégal, le réseau collectif d'assainissement ne concerne qu'une faible partie de la population et l'assainissement autonome, utilisé par 70% des ménages, constitue donc le système le plus répandu. Toutefois, la gestion des boues de vidange provenant des ouvrages d'assainissement autonome pose de véritables problèmes notamment au niveau de la collecte et du transport.
L'objectif de cette présente étude est de réfléchir sur les stratégies d'optimisation de la filière de vidange des boues à Dakar, en faisant d'abord un recensement des différents équipements de collecte et de transport existants ; ensuite d'analyser la performance de la filière, d'identifier les difficultés rencontrées par les différents acteurs et de proposer enfin des leviers pour une amélioration des performances de la filière.
Pour atteindre ces objectifs, nous avons mené une recherche documentaire, des enquêtes au niveau des différents acteurs, des visites de terrain et un routage des camions de vidange.
Le profil des acteurs de la GBV est le suivant : l'état à travers l'ONAS et les collectivités locales, les opérateurs privés (vidangeurs mécanique et manuel), les ONG et les populations.
La vidange mécanique est pratiquée par des opérateurs dits formels avec des entreprises de type SARL ou des GIE et des opérateurs individuels, plus nombreux, oeuvrant dans l'informel. Le parc automobile des camions de vidange regroupe près de 96 véhicules recensés composés en majorité de camions pompeurs (83% du parc), de camions hydrocureurs et de quelques tonnes à lisier pour les Communes.
Le routage des camions de vidange nous a montré que les fosses septiques toutes eaux constituaient les ouvrages d'assainissement les plus fréquemment vidangés (65%), puis les fosses dites « perdues » (29%). La fréquence de vidange des fosses observée est de 1 à 3 mois en général et s'explique par la taille des ménages (24 personnes en moyenne), le type de d'habitat, la manière de vidange (vidange incomplète des boues) etc.
Le temps moyen de pompage d'une FS de 10m3 est de 19mn17s correspondant à un débit de 31m3/h ; ce qui montre une faible capacité de pompage des camions.
Le temps de transport des boues observé est élevé : 1h18mn pour la déposante de Bel Air et 51mn pour la déposante de Cambérène. Ceci s'explique principalement par la circulation routière dense ; ce qui a une influence sur la consommation en carburant qui est en moyenne de 7.62 L/rotation. D'où la nécessité de créer des sites de dépotage plus proches ou bien des points d'injection sur le réseau d'EU pour les camions dans les zones de fréquente vidange.
En ce qui concerne la vidange manuelle, elle est le propre des éboueurs appelés « Baay Pelles » et concerne 32% des ménages à Dakar avec un prix variant entre 8000 et 20 000 FCFA. Leur matériel de collecte de la boue est un matériel rudimentaire et ils n'ont aucune protection d'où des risques sanitaires et physiques élevés.
L'analyse économique et financière de la filière montre que le prix moyen de la vidange est de 25 000 FCFA pour un chiffre d'affaires annuel du secteur de 2 246 400 000 FCFA (3.4 Millions d'Euros environ). La reconstitution du compte d'exploitation d'une entreprise de vidange montre que, malgré les charges d'exploitation élevées, les entreprise sont tout à fait rentables et parviennent à faire des bénéfices substantiels. Ainsi, il serait possible pour les entreprises de diminuer le prix de la vidange tout en étant toujours concurrentielles. Un prix de 15 000 FCFA/ est proposé.
Les difficultés rencontrées par les acteurs de la vidange manuelle et mécanique sont de plusieurs ordres et sont liées aux différents intervenants : avec les populations, avec les autorités, en interne (difficultés technique et socio-économique).
Ainsi, pour l'amélioration des performances de la filière, différentes propositions ont été faites :
sur le plan institutionnel : revaloriser le métier de la vidange manuelle, instituer un système de licence pour les camions, renforcer et promouvoir le rôle de l'ONAS, etc. ; sur le plan juridique : réglementer et standardiser la construction des fosses ; sur le plan technique : optimiser les temps d'opération de la vidange, acquisition par les opérateurs de véhicules plus adaptés pour la vidange des boues, développer le circuit d'importation des pièces de rechange des camions ; sur le plan socio-économique : regrouper les opérateurs informels en GIE, encadrer et équiper les vidangeurs manuels.
Enfin, des modules de formation dans les domaines de la technologie des systèmes d'assainissement autonome, des risques sanitaires et environnementaux liés à la GBV, de la création et de la gestion des micro-entreprises ont été proposés.Exemplaires
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DiongueAdobe Acrobat PDF Mémoire Master Spécialisé GSE. Les eaux météoriques dans la ville de Cotonou / Roufaï DJIBRIL BAKARI
Titre de série : Mémoire Master Spécialisé GSE Titre : Les eaux météoriques dans la ville de Cotonou : évaluation qualitative et risques sanitaires liés à leur consommation. Type de document : texte imprimé Auteurs : Roufaï DJIBRIL BAKARI Année de publication : 2006 Importance : 87p. Langues : Français (fre) Résumé : Le travail présenté ici, porte sur les eaux météoriques dans la ville de Cotonou : leur évaluation qualitative et les risques sanitaires liés à leur consommation comme eau de boisson. Cette évaluation a été faite suivant deux axes à savoir :
- un axe physico chimiques qui a pris en compte le dosage des paramètres tels que le pH,
La température, l’oxygène dissous, la conductivité, les ions nitrates, sulfates, ammoniums, bicarbonates et le résidu sec à 105°C ;
- un axe microbiologique où les germes recherchés sont la microflore aérobie mésophile totale, les coliformes totaux et fécaux, les streptocoques fécaux et les clostridium sulfito-réducteurs.
A cet effet, différentes techniques d’analyses ont été utilisées; il s’agit entre autres de la spectrophotométrie pour la physico chimie et la culture des germes sur des milieux de culture spécifique comme le bouillon lactosé au vert brillant pour la microbiologie. Les résultats obtenus au cours de cette étude font état de ce qui suit :
- les plus fortes valeurs des ions sulfates, nitrates et ammonium sont respectivement
3,5mg/L ; 1,2mg/L et 0,08mg/L ;
- celles des germes microbiologiques sont 16 microorganismes par 100ml pour la
microflore aérobie mésophile totale, 02 microorganismes par 100 ml pour clostridiums sulfito-réducteurs et 01 microorganisme par 100 ml pour les coliformes totaux.
Si ces valeurs des différents paramètres sont faibles dans l’ensemble et n’avèrent aucun risque majeur de santé humaine, il convient tout de même de noter que les valeurs de pH qui sont de l’ordre de 3 unité pour les plus bas sont susceptibles d’entraîner des pluies acides capable de causer de sérieux dommages à l’environnement et à la faune aquatique comme par exemple la perte des ressources halieutiques.
Il apparaît claire que ces faibles valeurs de pH et la présence de certains paramètres tels que les nitrates, les sulfates et l’ammonium dans l’eau météorique sont la conséquence d’une pollution atmosphérique intense dû aux émissions gazeuses contenants les NOx et le SO2 qui sortent des pots d’échappement des motos et véhicules qui circulent sans cesse dans la ville de Cotonou. Ce qui repose le problème de qualité du carburant et l’état de ces engins qui servent dans le trafic urbain dans la capitale politique de la République du Bénin.Mémoire Master Spécialisé GSE. Les eaux météoriques dans la ville de Cotonou : évaluation qualitative et risques sanitaires liés à leur consommation. [texte imprimé] / Roufaï DJIBRIL BAKARI . - 2006 . - 87p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Le travail présenté ici, porte sur les eaux météoriques dans la ville de Cotonou : leur évaluation qualitative et les risques sanitaires liés à leur consommation comme eau de boisson. Cette évaluation a été faite suivant deux axes à savoir :
- un axe physico chimiques qui a pris en compte le dosage des paramètres tels que le pH,
La température, l’oxygène dissous, la conductivité, les ions nitrates, sulfates, ammoniums, bicarbonates et le résidu sec à 105°C ;
- un axe microbiologique où les germes recherchés sont la microflore aérobie mésophile totale, les coliformes totaux et fécaux, les streptocoques fécaux et les clostridium sulfito-réducteurs.
A cet effet, différentes techniques d’analyses ont été utilisées; il s’agit entre autres de la spectrophotométrie pour la physico chimie et la culture des germes sur des milieux de culture spécifique comme le bouillon lactosé au vert brillant pour la microbiologie. Les résultats obtenus au cours de cette étude font état de ce qui suit :
- les plus fortes valeurs des ions sulfates, nitrates et ammonium sont respectivement
3,5mg/L ; 1,2mg/L et 0,08mg/L ;
- celles des germes microbiologiques sont 16 microorganismes par 100ml pour la
microflore aérobie mésophile totale, 02 microorganismes par 100 ml pour clostridiums sulfito-réducteurs et 01 microorganisme par 100 ml pour les coliformes totaux.
Si ces valeurs des différents paramètres sont faibles dans l’ensemble et n’avèrent aucun risque majeur de santé humaine, il convient tout de même de noter que les valeurs de pH qui sont de l’ordre de 3 unité pour les plus bas sont susceptibles d’entraîner des pluies acides capable de causer de sérieux dommages à l’environnement et à la faune aquatique comme par exemple la perte des ressources halieutiques.
Il apparaît claire que ces faibles valeurs de pH et la présence de certains paramètres tels que les nitrates, les sulfates et l’ammonium dans l’eau météorique sont la conséquence d’une pollution atmosphérique intense dû aux émissions gazeuses contenants les NOx et le SO2 qui sortent des pots d’échappement des motos et véhicules qui circulent sans cesse dans la ville de Cotonou. Ce qui repose le problème de qualité du carburant et l’état de ces engins qui servent dans le trafic urbain dans la capitale politique de la République du Bénin.Exemplaires
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DjibrilAdobe Acrobat PDF Mémoire Master Spécialisé GSE. Suivi des activités du Projet d’Amélioration de la Gouvernance de l’Eau dans le bassin de la Volta (PAGEV) / Olivier G. HOUNKOU
Titre de série : Mémoire Master Spécialisé GSE Titre : Suivi des activités du Projet d’Amélioration de la Gouvernance de l’Eau dans le bassin de la Volta (PAGEV) : cas de la protection des berges du Nakanbé dans la zone pilote située au Sud Est du Burkina Faso et au Nord du Ghana. Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivier G. HOUNKOU Année de publication : 2006 Importance : 121p. Langues : Français (fre) Résumé : Bien que l’eau soit source de vie, elle peut être aussi source de tension entre les États riverains d’un même cours d’eau ou partageant le même bassin versant. Cela pourrait être le cas du Ghana et du Burkina Faso qui couvrent environ 85% de la superficie du bassin de la Volta et qui voient l’accroissement des besoins en eau potable, en production d’électricité, en pêche et en culture irriguée, mettre une pression énorme sur les ressources du bassin. Cette pression humaine, ajoutée aux variations saisonnière et climatique rendent les ressources du bassin de plus en plus vulnérable et en particulier les ressources en eau rares. C’est pourquoi, le Bureau Régional de l’Afrique de l’Ouest, de l’Union mondiale pour la nature (UICN- BRAO) a initié le projet d’Amélioration de la Gouvernance de l’Eau dans le bassin de la Volta (PAGEV). Ce projet qui met en œuvre un partenariat avec les gouvernements Burkinabé et Ghanéen, est orienté vers la gestion intégrée des ressources en eau du bassin de la Volta Blanche (appelée Nakambé au Burkina Faso). L’objectif à long terme du projet est la gestion équitable et durable du bassin de la Volta à travers une coopération bilatérale. Plusieurs activités ont été menées à cette fin dont les fora consultatifs des communautés de la Volta blanche ayant pour intérêt principal l’adhésion consciente et responsable des populations au processus de la gestion intégrée des ressources en eau ; la restauration des berges et appui à la réhabilitation des petites retenues d’eau. La protection des berges vise à limiter les phénomènes d’érosion et d’ensablement du fleuve qui sévissent dans le bassin par des reboisements des berges. La Gestion Intégrée des Ressources en Eau qui met l’accent sur la nécessité d’aborder la gestion de l’eau sous plusieurs angles à la fois, autant en terme technique (eaux de surface et souterraine) que sous ses diverses facette politique, économique et sociale paraît comme un terme très englobant. Mémoire Master Spécialisé GSE. Suivi des activités du Projet d’Amélioration de la Gouvernance de l’Eau dans le bassin de la Volta (PAGEV) : cas de la protection des berges du Nakanbé dans la zone pilote située au Sud Est du Burkina Faso et au Nord du Ghana. [texte imprimé] / Olivier G. HOUNKOU . - 2006 . - 121p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Bien que l’eau soit source de vie, elle peut être aussi source de tension entre les États riverains d’un même cours d’eau ou partageant le même bassin versant. Cela pourrait être le cas du Ghana et du Burkina Faso qui couvrent environ 85% de la superficie du bassin de la Volta et qui voient l’accroissement des besoins en eau potable, en production d’électricité, en pêche et en culture irriguée, mettre une pression énorme sur les ressources du bassin. Cette pression humaine, ajoutée aux variations saisonnière et climatique rendent les ressources du bassin de plus en plus vulnérable et en particulier les ressources en eau rares. C’est pourquoi, le Bureau Régional de l’Afrique de l’Ouest, de l’Union mondiale pour la nature (UICN- BRAO) a initié le projet d’Amélioration de la Gouvernance de l’Eau dans le bassin de la Volta (PAGEV). Ce projet qui met en œuvre un partenariat avec les gouvernements Burkinabé et Ghanéen, est orienté vers la gestion intégrée des ressources en eau du bassin de la Volta Blanche (appelée Nakambé au Burkina Faso). L’objectif à long terme du projet est la gestion équitable et durable du bassin de la Volta à travers une coopération bilatérale. Plusieurs activités ont été menées à cette fin dont les fora consultatifs des communautés de la Volta blanche ayant pour intérêt principal l’adhésion consciente et responsable des populations au processus de la gestion intégrée des ressources en eau ; la restauration des berges et appui à la réhabilitation des petites retenues d’eau. La protection des berges vise à limiter les phénomènes d’érosion et d’ensablement du fleuve qui sévissent dans le bassin par des reboisements des berges. La Gestion Intégrée des Ressources en Eau qui met l’accent sur la nécessité d’aborder la gestion de l’eau sous plusieurs angles à la fois, autant en terme technique (eaux de surface et souterraine) que sous ses diverses facette politique, économique et sociale paraît comme un terme très englobant. Exemplaires
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HounkouAdobe Acrobat PDF Mémoire Master Spécialisé GSE. Etude comparative de l’approvisionnement en eau potable de deux communautés en zone péri urbaine / Guy Roger KOFFI KOUASSI
Titre de série : Mémoire Master Spécialisé GSE Titre : Etude comparative de l’approvisionnement en eau potable de deux communautés en zone péri urbaine : cas du réseau SODECI (village d’Adiopodoumé km17) et du réseau autonome (site CNRA-CSRS) dans la commune de YOPOUGON-ABIDJAN Type de document : texte imprimé Auteurs : Guy Roger KOFFI KOUASSI Année de publication : 2006 Importance : 61p. Langues : Français (fre) Mémoire Master Spécialisé GSE. Etude comparative de l’approvisionnement en eau potable de deux communautés en zone péri urbaine : cas du réseau SODECI (village d’Adiopodoumé km17) et du réseau autonome (site CNRA-CSRS) dans la commune de YOPOUGON-ABIDJAN [texte imprimé] / Guy Roger KOFFI KOUASSI . - 2006 . - 61p.
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Koffi kouassiAdobe Acrobat PDF Mémoire Master Spécialisé GSE. Contribution à la gestion des eaux usées et excréta dans la commune de Lomé / Fa-n’dame LENE
Titre de série : Mémoire Master Spécialisé GSE Titre : Contribution à la gestion des eaux usées et excréta dans la commune de Lomé Type de document : texte imprimé Auteurs : Fa-n’dame LENE Année de publication : 2006 Importance : 126p. Langues : Français (fre) Résumé : La commune de Lomé, comme la plupart des villes africaines est confrontée aux problèmes d’AEPA. Cette situation est la conséquence d’une croissance rapide et non maîtrisée de la population urbaine.
Dans notre étude nous nous sommes penchés sur l’Etat des lieux en matière de gestion des eaux et excréta dans la commune de Lomé afin de faire des propositions pour améliorer la situation actuelle.
Ainsi, les enquêtes, les entretiens avec les différents acteurs en assainissement, les visites sur le terrain et la revue bibliographique ont montré que Lomé dispose d’un système d’assainissement collectif (réseau d’égout) et d’assainissement autonome (fosses étanches et fosses septiques). Les enquêtes indiquent que 17% des ménages ne disposent pas d’infrastructures sanitaires, 59% jettent les eaux usées dans les rues et 24% dans les caniveaux.
Les infrastructures de l’assainissement autonome sont construites sans le respect des critères de choix des ouvrages. Ainsi, dans la zone sud lagunaire où la nappe phréatique est à moins de 3m, plusieurs ménages disposent des latrines, favorisant ainsi la pollution des eaux de puits qu’ils utilisent comme source d’AEP.
Le réseau d’égout date de l’époque coloniale et les ouvrages vétustes ne répondent pas aux besoins de la population raccordée. Depuis 1963, aucune extension n’a été faite or la population a accru d’une manière exponentielle. Le réseau est reste alors à l’étape embryonnaire.
Sur le plan institutionnel et réglementaire, le rôle des différents acteurs est flou, ce qui conduit à des conflits de tâches. Aussi, on note l’absence d’un code de l’assainissement.
Pour palier aux problèmes précités, nous proposons alors :
• La redéfinition du cadre institutionnel et réglementaire
• La mise en place d’un projet de réhabilitation et d’extension du réseau d’égout
• La réalisation d’un projet visant à faciliter l’acquisition des ouvrages d’assainissement autonomes aux ménages.
• La mise ne place d’un comité de contrôle et de surveillances en matière d’hygiène dans tous les secteurs.Mémoire Master Spécialisé GSE. Contribution à la gestion des eaux usées et excréta dans la commune de Lomé [texte imprimé] / Fa-n’dame LENE . - 2006 . - 126p.
Langues : Français (fre)
Résumé : La commune de Lomé, comme la plupart des villes africaines est confrontée aux problèmes d’AEPA. Cette situation est la conséquence d’une croissance rapide et non maîtrisée de la population urbaine.
Dans notre étude nous nous sommes penchés sur l’Etat des lieux en matière de gestion des eaux et excréta dans la commune de Lomé afin de faire des propositions pour améliorer la situation actuelle.
Ainsi, les enquêtes, les entretiens avec les différents acteurs en assainissement, les visites sur le terrain et la revue bibliographique ont montré que Lomé dispose d’un système d’assainissement collectif (réseau d’égout) et d’assainissement autonome (fosses étanches et fosses septiques). Les enquêtes indiquent que 17% des ménages ne disposent pas d’infrastructures sanitaires, 59% jettent les eaux usées dans les rues et 24% dans les caniveaux.
Les infrastructures de l’assainissement autonome sont construites sans le respect des critères de choix des ouvrages. Ainsi, dans la zone sud lagunaire où la nappe phréatique est à moins de 3m, plusieurs ménages disposent des latrines, favorisant ainsi la pollution des eaux de puits qu’ils utilisent comme source d’AEP.
Le réseau d’égout date de l’époque coloniale et les ouvrages vétustes ne répondent pas aux besoins de la population raccordée. Depuis 1963, aucune extension n’a été faite or la population a accru d’une manière exponentielle. Le réseau est reste alors à l’étape embryonnaire.
Sur le plan institutionnel et réglementaire, le rôle des différents acteurs est flou, ce qui conduit à des conflits de tâches. Aussi, on note l’absence d’un code de l’assainissement.
Pour palier aux problèmes précités, nous proposons alors :
• La redéfinition du cadre institutionnel et réglementaire
• La mise en place d’un projet de réhabilitation et d’extension du réseau d’égout
• La réalisation d’un projet visant à faciliter l’acquisition des ouvrages d’assainissement autonomes aux ménages.
• La mise ne place d’un comité de contrôle et de surveillances en matière d’hygiène dans tous les secteurs.Exemplaires
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LeneAdobe Acrobat PDF Mémoire Master Spécialisé GSE. Caractérisation des boues de vidange et performance de la déposante de Cambérène / Abdoul Aziz NDIAYE
Titre de série : Mémoire Master Spécialisé GSE Titre : Caractérisation des boues de vidange et performance de la déposante de Cambérène Type de document : texte imprimé Auteurs : Abdoul Aziz NDIAYE Année de publication : 2006 Importance : 57p. Langues : Français (fre) Mémoire Master Spécialisé GSE. Caractérisation des boues de vidange et performance de la déposante de Cambérène [texte imprimé] / Abdoul Aziz NDIAYE . - 2006 . - 57p.
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NdiayeAdobe Acrobat PDF Mémoire Master Spécialisé GSE. Défis socioculturels, économiques et financiers pour la mise en œuvre de l’approche EcoSan dans les quartiers périphériques de la ville de Ouagadougou au Burkina Faso / Boukari SALIFOU
Titre de série : Mémoire Master Spécialisé GSE Titre : Défis socioculturels, économiques et financiers pour la mise en œuvre de l’approche EcoSan dans les quartiers périphériques de la ville de Ouagadougou au Burkina Faso : cas du secteur 19 Type de document : texte imprimé Auteurs : Boukari SALIFOU Année de publication : 2006 Importance : 80p. Langues : Français (fre) Résumé : Le concept de l’assainissement écologique est une approche d’assainissement relativement nouvelle, l’assainissement écologique au lieu de considérer les excréta humains comme des déchets à évacuer, cherche plutôt à les recycler en vue de leur réutilisation comme engrais pour les différentes cultures. Cette approche cherche surtout à prévenir la pollution au lieu de lutter contre elle une fois qu’elle est survenue. La présente étude consacrée essentiellement aux aspects socioculturels, économiques et financiers des ménages en vue de la mise en œuvre de l’approche Ecosan dans le secteur 19 de la ville de Ouagadougou, a permis d’aboutir à des résultats significatifs qui contribuent à la compréhension de certains aspects qui peuvent influencer l’acceptation de l’approche par la population.
.De résultats des enquêtes sur le terrain, il a été constaté que :
• Il y a une acceptation de l’approche Ecosan par les populations car elles entrevoient la résolution de certains de leurs problèmes d’assainissement qui n’ont pas trouvé réponse dans les systèmes conventionnels ;
• Les aspects socioculturels des populations concernées ne sont pas un frein à la mise en œuvre de l’approche Ecosan dans les zones concernées ;
• Les populations concernées font partie des défavorisés, elles sont pauvres ;
• La culture de l’épargne monétaire est insuffisamment présente dans les zones concernées de l’étude. Elle constitue une contrainte à la mise en œuvre aisée de l’approche Ecosan, mais reste surmontable.
• La mise en œuvre de l’approche Ecosan est de nature à rendre les milieux sains, à donner un coup de pouce à l’agriculture en lui offrant des engrais de bonne qualité à coût modéré ;
• Il existe avec L’approche Ecosan, un volume d’activités économiques génératrices de revenus (la collecte, la vidange…..) qui s’offre aux acteurs voulant s’y investir.
Mots clés : Assainissement écologique (Ecosan), latrine Ecosan, fertilisants EcosanMémoire Master Spécialisé GSE. Défis socioculturels, économiques et financiers pour la mise en œuvre de l’approche EcoSan dans les quartiers périphériques de la ville de Ouagadougou au Burkina Faso : cas du secteur 19 [texte imprimé] / Boukari SALIFOU . - 2006 . - 80p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Le concept de l’assainissement écologique est une approche d’assainissement relativement nouvelle, l’assainissement écologique au lieu de considérer les excréta humains comme des déchets à évacuer, cherche plutôt à les recycler en vue de leur réutilisation comme engrais pour les différentes cultures. Cette approche cherche surtout à prévenir la pollution au lieu de lutter contre elle une fois qu’elle est survenue. La présente étude consacrée essentiellement aux aspects socioculturels, économiques et financiers des ménages en vue de la mise en œuvre de l’approche Ecosan dans le secteur 19 de la ville de Ouagadougou, a permis d’aboutir à des résultats significatifs qui contribuent à la compréhension de certains aspects qui peuvent influencer l’acceptation de l’approche par la population.
.De résultats des enquêtes sur le terrain, il a été constaté que :
• Il y a une acceptation de l’approche Ecosan par les populations car elles entrevoient la résolution de certains de leurs problèmes d’assainissement qui n’ont pas trouvé réponse dans les systèmes conventionnels ;
• Les aspects socioculturels des populations concernées ne sont pas un frein à la mise en œuvre de l’approche Ecosan dans les zones concernées ;
• Les populations concernées font partie des défavorisés, elles sont pauvres ;
• La culture de l’épargne monétaire est insuffisamment présente dans les zones concernées de l’étude. Elle constitue une contrainte à la mise en œuvre aisée de l’approche Ecosan, mais reste surmontable.
• La mise en œuvre de l’approche Ecosan est de nature à rendre les milieux sains, à donner un coup de pouce à l’agriculture en lui offrant des engrais de bonne qualité à coût modéré ;
• Il existe avec L’approche Ecosan, un volume d’activités économiques génératrices de revenus (la collecte, la vidange…..) qui s’offre aux acteurs voulant s’y investir.
Mots clés : Assainissement écologique (Ecosan), latrine Ecosan, fertilisants EcosanExemplaires
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SalifouAdobe Acrobat PDF Mémoire Master Spécialisé GSE. Optimisation des paramètres de dimensionnement et de suivi des Systèmes d’Approvisionnement en Eau Potable Simplifiés / Adama SAWADOGO
Titre de série : Mémoire Master Spécialisé GSE Titre : Optimisation des paramètres de dimensionnement et de suivi des Systèmes d’Approvisionnement en Eau Potable Simplifiés : « cas des systèmes d’Approvisionnement Simplifiés dans la région du Centre Est, des Hauts Bassins et des Cascades au Burkina Faso Type de document : texte imprimé Auteurs : Adama SAWADOGO Année de publication : 2006 Importance : 261p. Langues : Français (fre) Résumé : L’étude dont le résumé est présenté ci-dessous a été conduite dans les régions du centre Est, des Hauts Bassins et des Cascades et spécifiquement dans des communes rurales du Burkina Faso par Adama SAWADOGO Ingénieur d’Etat en Hydrotechnique, stagiaire en diplôme d’Etude Supérieur Spécialisé(DESS) GENIE Sanitaire et Environnement.
Cette étude a été sous l’encadrement de Monsieur Dénis ZOUNGRANA professionnel des services d’eau potable actuellement enseignant responsable du Post Grade Universitaire du Groupe des écoles EIER - ETSHER ; Monsieur Dieudonné SAWADOGO professionnel des services d’exploitations directeur actuel de l’exploitation de l’Office National de l’Eau et de l’Assainissement, société d’eau du BURKINA-FASO .
Elle reste aussi une œuvre des structures comme le Sahélian agency for water environment and sanitation (SAWES) à OUAGADOUGOU et l’Association pour le développement de l’adduction d’eau potable dans la région de Bobo (ADAE) à BOBO, tous des conseils dans la gestion des systèmes d’adduction d’eau potable simplifiés au Burkina Faso.
L’objectif de l’étude est de déterminer sur la base des données in situ les paramètres visant à optimiser le dimensionnement des AEPS jusque là conçus sans tenir compte du contexte social réel; faire une étude comparée ; produire des critères de conception et de planification adaptés à chaque centre semi-urbains.
L’étude s’insère également dans le cadre plus vaste d’une initiative de recherche globale conduite par le groupe des écoles.
Ses conclusions feront l’objet probable de décideurs et professionnels dans le domaine et dans deux centres d’intérêts.
- La conception et le dimensionnement des systèmes AEPS ;
- La rentabilisation et une planification de ces systèmes en la réalisation de systèmes classiques.
La démarche suivante est suivie dans la mise en œuvre de la présente étude : une recherche documentaire, une reconnaissance des centres semi-urbains étudiés, une collecte et analyse des données au niveau central et des services décentralisés de chaque zone d’étude, ainsi que la collecte de leurs données d’exploitation ; enfin par enquête de ménages et entretien auprès des principaux acteurs de chaque localité dont les principaux résultats ressortent :
1,27% de niveau scolaire supérieur contre 24,O5% de niveau école coranique et 35,44% de non scolarisés s’alimentent à la Borne Fontaine et aux sources alternatives ; un taux de desserte à la Borne Fontaine de 35,44% contre 31,65% aux sources alternatives.
Les centres AEPS où la vie communautaire est beaucoup ancrée enregistrent plus d’usagers qui vont dans les sources alternatives soit 67% et une moyenne d’environ 30%. Les salariés sont très peu dans les centres semi-urbains soit 15% contre 73% d’agriculteurs. Dans l’estimation de la demande, il faudrait tenir compte de type d’activité et des sources usuelles d’AEP.
Le mode de transport usuel de l’eau est à pieds soit 87,34% contre 6, 33% de la population enquêtée qui utilisent les pousses-pousses dont la pratique est non bien développée. Plusieurs raisons peuvent expliquer le choix de la source usuelle AEP ;
La qualité de l’eau qui reste un des éléments le plus motivant pour le choix de la source soit 45% des enquêtés, 18% choisissent leur source sur la base de la distance à parcourir, 11% par rapport au prix de l’eau et 9% en fonction de la disponibilité.
10,13% de la population alimentent leur bétail à partir de l’eau de la Borne Fontaine. La fluctuation de la consommation horaire au niveau de la Borne Fontaine montre trois (3) points caractéristiques dans la période de la journée 8h -12h (11h), 12h-14h (13), et 14h-20h (19h et 18h).
31% seulement possèdent les latrines. Les dépenses pour l’eau sont comprises entre moins de 2 000 F CFA et plus de 10 000 FCFA dont 6% dépensent moins de 2 000 F CFA, 38% entre 2 000 F CFA et 5 000 F CFA , 44% entre moins de 5 000 F CFA . 69,62% de la population trouve le prix de l’eau cher contre 11,39% qui l’estime bon et abordable, plus de 58% en moyenne considère le prix moyen dans les centres semi urbain ; sinon 100% le considère cher dans les centres de Dorossiamasso et de Sidéradougou. 22.54% de la population sont à plus de 500 m de la BF contre 55.93% sont à moins de 500ml ; la population est beaucoup plus distante de la Borne Fontaine (BF) à Dorossiamasso, Baguéra et à Darsalamy ; 19% en moyenne sont entre 250 ml et 500 ml contre 23,25% entre 500 ml à 1 000 ml et plus 70,89% des enquêtés ont des revenus difficilement estimables contre 13,02% avec moins de 35 000 F CFA/mois 24,15% attendent plus d’une heure à la BF , 37,97% plus de 30 minutes et 5,06% attendent pour un temps négligeable à la BF.
La consommation spécifique varie de 18,28 l/pers/j ; 25,25 ; 20,33 ; 36,84 ; 22,71 ; 38,89 ; 17,11 soit une moyenne de 26,77 l/pers/j et environ 27l/pers/j. Le nombre de ménage moyen par concession est entre 8.17 et 12 et de 5 à 9.3 pers/ménages proche des données de l’Institut National de la Statistique et de la Démographie (INSD) c'est-à-dire 10 personnes par ménage.
Le prix du mètre cube d’eau fluctue entre 153 F CFA et 826 F CFA dans la réalité
La majorité de ces centres fonctionne sans marge bénéficiaire et connaissent des problèmes majeurs en maintenances des équipements.
Le taux d’accroisement de la population est omis dans la décision des investissements ; la planifinication des investissements n’est toujours pas suivie.Mémoire Master Spécialisé GSE. Optimisation des paramètres de dimensionnement et de suivi des Systèmes d’Approvisionnement en Eau Potable Simplifiés : « cas des systèmes d’Approvisionnement Simplifiés dans la région du Centre Est, des Hauts Bassins et des Cascades au Burkina Faso [texte imprimé] / Adama SAWADOGO . - 2006 . - 261p.
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Résumé : L’étude dont le résumé est présenté ci-dessous a été conduite dans les régions du centre Est, des Hauts Bassins et des Cascades et spécifiquement dans des communes rurales du Burkina Faso par Adama SAWADOGO Ingénieur d’Etat en Hydrotechnique, stagiaire en diplôme d’Etude Supérieur Spécialisé(DESS) GENIE Sanitaire et Environnement.
Cette étude a été sous l’encadrement de Monsieur Dénis ZOUNGRANA professionnel des services d’eau potable actuellement enseignant responsable du Post Grade Universitaire du Groupe des écoles EIER - ETSHER ; Monsieur Dieudonné SAWADOGO professionnel des services d’exploitations directeur actuel de l’exploitation de l’Office National de l’Eau et de l’Assainissement, société d’eau du BURKINA-FASO .
Elle reste aussi une œuvre des structures comme le Sahélian agency for water environment and sanitation (SAWES) à OUAGADOUGOU et l’Association pour le développement de l’adduction d’eau potable dans la région de Bobo (ADAE) à BOBO, tous des conseils dans la gestion des systèmes d’adduction d’eau potable simplifiés au Burkina Faso.
L’objectif de l’étude est de déterminer sur la base des données in situ les paramètres visant à optimiser le dimensionnement des AEPS jusque là conçus sans tenir compte du contexte social réel; faire une étude comparée ; produire des critères de conception et de planification adaptés à chaque centre semi-urbains.
L’étude s’insère également dans le cadre plus vaste d’une initiative de recherche globale conduite par le groupe des écoles.
Ses conclusions feront l’objet probable de décideurs et professionnels dans le domaine et dans deux centres d’intérêts.
- La conception et le dimensionnement des systèmes AEPS ;
- La rentabilisation et une planification de ces systèmes en la réalisation de systèmes classiques.
La démarche suivante est suivie dans la mise en œuvre de la présente étude : une recherche documentaire, une reconnaissance des centres semi-urbains étudiés, une collecte et analyse des données au niveau central et des services décentralisés de chaque zone d’étude, ainsi que la collecte de leurs données d’exploitation ; enfin par enquête de ménages et entretien auprès des principaux acteurs de chaque localité dont les principaux résultats ressortent :
1,27% de niveau scolaire supérieur contre 24,O5% de niveau école coranique et 35,44% de non scolarisés s’alimentent à la Borne Fontaine et aux sources alternatives ; un taux de desserte à la Borne Fontaine de 35,44% contre 31,65% aux sources alternatives.
Les centres AEPS où la vie communautaire est beaucoup ancrée enregistrent plus d’usagers qui vont dans les sources alternatives soit 67% et une moyenne d’environ 30%. Les salariés sont très peu dans les centres semi-urbains soit 15% contre 73% d’agriculteurs. Dans l’estimation de la demande, il faudrait tenir compte de type d’activité et des sources usuelles d’AEP.
Le mode de transport usuel de l’eau est à pieds soit 87,34% contre 6, 33% de la population enquêtée qui utilisent les pousses-pousses dont la pratique est non bien développée. Plusieurs raisons peuvent expliquer le choix de la source usuelle AEP ;
La qualité de l’eau qui reste un des éléments le plus motivant pour le choix de la source soit 45% des enquêtés, 18% choisissent leur source sur la base de la distance à parcourir, 11% par rapport au prix de l’eau et 9% en fonction de la disponibilité.
10,13% de la population alimentent leur bétail à partir de l’eau de la Borne Fontaine. La fluctuation de la consommation horaire au niveau de la Borne Fontaine montre trois (3) points caractéristiques dans la période de la journée 8h -12h (11h), 12h-14h (13), et 14h-20h (19h et 18h).
31% seulement possèdent les latrines. Les dépenses pour l’eau sont comprises entre moins de 2 000 F CFA et plus de 10 000 FCFA dont 6% dépensent moins de 2 000 F CFA, 38% entre 2 000 F CFA et 5 000 F CFA , 44% entre moins de 5 000 F CFA . 69,62% de la population trouve le prix de l’eau cher contre 11,39% qui l’estime bon et abordable, plus de 58% en moyenne considère le prix moyen dans les centres semi urbain ; sinon 100% le considère cher dans les centres de Dorossiamasso et de Sidéradougou. 22.54% de la population sont à plus de 500 m de la BF contre 55.93% sont à moins de 500ml ; la population est beaucoup plus distante de la Borne Fontaine (BF) à Dorossiamasso, Baguéra et à Darsalamy ; 19% en moyenne sont entre 250 ml et 500 ml contre 23,25% entre 500 ml à 1 000 ml et plus 70,89% des enquêtés ont des revenus difficilement estimables contre 13,02% avec moins de 35 000 F CFA/mois 24,15% attendent plus d’une heure à la BF , 37,97% plus de 30 minutes et 5,06% attendent pour un temps négligeable à la BF.
La consommation spécifique varie de 18,28 l/pers/j ; 25,25 ; 20,33 ; 36,84 ; 22,71 ; 38,89 ; 17,11 soit une moyenne de 26,77 l/pers/j et environ 27l/pers/j. Le nombre de ménage moyen par concession est entre 8.17 et 12 et de 5 à 9.3 pers/ménages proche des données de l’Institut National de la Statistique et de la Démographie (INSD) c'est-à-dire 10 personnes par ménage.
Le prix du mètre cube d’eau fluctue entre 153 F CFA et 826 F CFA dans la réalité
La majorité de ces centres fonctionne sans marge bénéficiaire et connaissent des problèmes majeurs en maintenances des équipements.
Le taux d’accroisement de la population est omis dans la décision des investissements ; la planifinication des investissements n’est toujours pas suivie.Exemplaires
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SawadogoAdobe Acrobat PDF Mémoire Master Spécialisé GSE. Etude d’impact environnemental et social du projet d’aménagement des trois barrages urbains de Ouagadougou / Fatoumata Binta SIDIBE
Titre de série : Mémoire Master Spécialisé GSE Titre : Etude d’impact environnemental et social du projet d’aménagement des trois barrages urbains de Ouagadougou Type de document : texte imprimé Auteurs : Fatoumata Binta SIDIBE Année de publication : 2006 Importance : 86p. Langues : Français (fre) Résumé : La ville de Ouagadougou est devenue de nos jours un carrefour pour les différentes rencontres des politiques de la sous région. Elle se doit ainsi de présenter une image digne d’une capitale de la sous région. En même temps qu’un souci de beauté, les différents projets de développement visent à assainir le cadre de vie des populations urbaines. L’abandon des trois barrages autrefois utilisés par l’ONEA (Office Nationale de l’Eau et de l’Assainissement) pour l’alimentation en eau potable a pour conséquence la prolifération des déchets tout au tour des plans d’eau. La situation géographique de ces barrages amène les autorités administratives à trouver une solution pour les rendre utiles au développement de la ville. L’aménagement des berges des trois barrages urbains de Ouagadougou a été donc conçu pour apporter des solutions à des problèmes bien précis tels que :
o l’inondation récurrente faisant parfois de nombreuses victimes ;
o l’état précaire de l’hygiène observé autour de ces barrages installés en plein cœur de la ville.
Le présent projet d’aménagement des berges des trois barrages, vise une mise en valeur des plans d’eau à travers la réalisation d’infrastructures à caractère socio-économique et touristique. Il a été subdivisé en plusieurs sous projets qui peuvent être regroupés suivant trois catégories à savoir:
o Aquaculture ;
o Tourisme, sport et loisir (équipements, attractions…) ;
o Commerce et affaire.
La présente étude a pour objectif d'analyser la faisabilité environnementale de ce projet d’aménagement. Il vise à identifier et évaluer les différents impacts à travers une méthodologie spécifique, afin de ressortir les mesures d’atténuations pour un bon suivi environnemental du projet durant son cycle de vie.
Cette étude a permis de ressortir les principaux impacts suivants :
o la création de nombreux emplois ;
o les retombées économiques importantes pour la ville de Ouagadougou ;
o l’augmentation du chiffre d’affaire pour les entreprises et les commerçants ;
o l’augmentation des revenus des travailleurs ;
o la perte de la biodiversité ;
o les risques de maladies pulmonaires, MST / SIDA et d’accidents de circulation,
o le risque de dépravation de mœurs et coutumes ;
o la frustration des populations qui seront déplacées.
Des mesures conséquentes ont été proposées pour atténuer les impacts négatifs et renforcer les impacts positifs. Il s’agit essentiellement de :
o la mise en place d’un système de gestion adéquat des déchets liquides et solides provenant des chantiers et des infrastructures pendant leur exploitation ;
o une révision régulière des engins d’aménagement ;
la mise en de préservation des ressources naturelles, mais surtout de garantir la pérennité des résultats en termes d’acquis environnementaux et sociaux, une fois le projet terminé.Mémoire Master Spécialisé GSE. Etude d’impact environnemental et social du projet d’aménagement des trois barrages urbains de Ouagadougou [texte imprimé] / Fatoumata Binta SIDIBE . - 2006 . - 86p.
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Résumé : La ville de Ouagadougou est devenue de nos jours un carrefour pour les différentes rencontres des politiques de la sous région. Elle se doit ainsi de présenter une image digne d’une capitale de la sous région. En même temps qu’un souci de beauté, les différents projets de développement visent à assainir le cadre de vie des populations urbaines. L’abandon des trois barrages autrefois utilisés par l’ONEA (Office Nationale de l’Eau et de l’Assainissement) pour l’alimentation en eau potable a pour conséquence la prolifération des déchets tout au tour des plans d’eau. La situation géographique de ces barrages amène les autorités administratives à trouver une solution pour les rendre utiles au développement de la ville. L’aménagement des berges des trois barrages urbains de Ouagadougou a été donc conçu pour apporter des solutions à des problèmes bien précis tels que :
o l’inondation récurrente faisant parfois de nombreuses victimes ;
o l’état précaire de l’hygiène observé autour de ces barrages installés en plein cœur de la ville.
Le présent projet d’aménagement des berges des trois barrages, vise une mise en valeur des plans d’eau à travers la réalisation d’infrastructures à caractère socio-économique et touristique. Il a été subdivisé en plusieurs sous projets qui peuvent être regroupés suivant trois catégories à savoir:
o Aquaculture ;
o Tourisme, sport et loisir (équipements, attractions…) ;
o Commerce et affaire.
La présente étude a pour objectif d'analyser la faisabilité environnementale de ce projet d’aménagement. Il vise à identifier et évaluer les différents impacts à travers une méthodologie spécifique, afin de ressortir les mesures d’atténuations pour un bon suivi environnemental du projet durant son cycle de vie.
Cette étude a permis de ressortir les principaux impacts suivants :
o la création de nombreux emplois ;
o les retombées économiques importantes pour la ville de Ouagadougou ;
o l’augmentation du chiffre d’affaire pour les entreprises et les commerçants ;
o l’augmentation des revenus des travailleurs ;
o la perte de la biodiversité ;
o les risques de maladies pulmonaires, MST / SIDA et d’accidents de circulation,
o le risque de dépravation de mœurs et coutumes ;
o la frustration des populations qui seront déplacées.
Des mesures conséquentes ont été proposées pour atténuer les impacts négatifs et renforcer les impacts positifs. Il s’agit essentiellement de :
o la mise en place d’un système de gestion adéquat des déchets liquides et solides provenant des chantiers et des infrastructures pendant leur exploitation ;
o une révision régulière des engins d’aménagement ;
la mise en de préservation des ressources naturelles, mais surtout de garantir la pérennité des résultats en termes d’acquis environnementaux et sociaux, une fois le projet terminé.Exemplaires
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BintaAdobe Acrobat PDF Mémoire Master Spécialisé GSE. Revalorisation des déchets solides plastiques à la zone industrielle de Yopougon / Bétio SILUE
Titre de série : Mémoire Master Spécialisé GSE Titre : Revalorisation des déchets solides plastiques à la zone industrielle de Yopougon : description du processus et risques sanitaires liés à la réutilisation des eaux usées industrielles Type de document : texte imprimé Auteurs : Bétio SILUE Année de publication : 2006 Importance : 69p. Langues : Français (fre) Résumé : Les matières plastiques sont devenues indissociables de notre vie quotidienne. Du maillot de bain aux pare-chocs automobiles en passant par l’emballage, l’agriculture, l’électroménager, la construction, les objets de loisir, le plastique est partout.
De toutes les matières plastiques, les sacs et emballages plastiques sont les plus redoutables pour l’environnement.
Aussi, plusieurs options sont-elles envisageables pour réduire l’impact négatif des déchets sur l’environnement. Ces options peuvent être regroupées dans une stratégie que nous dénommons « les trois R du déchet plastique » ; Réduire-Réutiliser-Recycler.
La réutilisation et le recyclage sont catalysés une filière informelle de revalorisation des déchets plastiques. A la zone industrielle, un quartier de la commune de Yopougon, située à Abidjan, capitale économique de la Côte d’Ivoire, les acteurs de la filière de revalorisation des déchets plastiques utilisent les eaux usées industrielles pour laver les déchets plastiques.
L’objectif général de cette étude est d’élucider et documenter cette activité de revalorisation de déchets solides plastiques, effectuée en utilisant les eaux usées rejetées à l’exutoire du réseau d’eaux usées d’une zone industrielle et d’évaluer les risques potentiels associés à cette activité. Les objectifs spécifiques sont : (i)- Documenter la revalorisation des déchets solides plastiques dans le monde, la réutilisation des eaux usées industrielles et les risques sanitaires associés à ces activités ; (ii)- Documenter l’activité de revalorisation des sachets plastiques à la sortie de la zone industrielle (source des déchets, nettoyage, commercialisation et coûts) ; (iii)- Documenter les risques sanitaires et l’état de santé des acteurs (risques sanitaires potentiels, problèmes de santé associés et recours aux soins) ; (iv)- Proposer des solutions pour améliorer l’activité de revalorisation des déchets plastiques et atténuer les risques sanitaires de l’activité pour les populations.
L’approche générale adoptée a été transdisciplinaire avec notamment une démarche qualitative (sociologique) marquée par les observations et les entretiens semi-dirigés, une démarche cartographique, une démarche microbiologique, sans oublier la revue de littérature facilitée par l’internet.
A la fin de l’étude des solutions ont été proposées pour (i)- améliorer l’activité de revalorisation des déchets solides plastiques et (ii)- atténuer les risques sanitaires de l’activité pour les populations.Mémoire Master Spécialisé GSE. Revalorisation des déchets solides plastiques à la zone industrielle de Yopougon : description du processus et risques sanitaires liés à la réutilisation des eaux usées industrielles [texte imprimé] / Bétio SILUE . - 2006 . - 69p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Les matières plastiques sont devenues indissociables de notre vie quotidienne. Du maillot de bain aux pare-chocs automobiles en passant par l’emballage, l’agriculture, l’électroménager, la construction, les objets de loisir, le plastique est partout.
De toutes les matières plastiques, les sacs et emballages plastiques sont les plus redoutables pour l’environnement.
Aussi, plusieurs options sont-elles envisageables pour réduire l’impact négatif des déchets sur l’environnement. Ces options peuvent être regroupées dans une stratégie que nous dénommons « les trois R du déchet plastique » ; Réduire-Réutiliser-Recycler.
La réutilisation et le recyclage sont catalysés une filière informelle de revalorisation des déchets plastiques. A la zone industrielle, un quartier de la commune de Yopougon, située à Abidjan, capitale économique de la Côte d’Ivoire, les acteurs de la filière de revalorisation des déchets plastiques utilisent les eaux usées industrielles pour laver les déchets plastiques.
L’objectif général de cette étude est d’élucider et documenter cette activité de revalorisation de déchets solides plastiques, effectuée en utilisant les eaux usées rejetées à l’exutoire du réseau d’eaux usées d’une zone industrielle et d’évaluer les risques potentiels associés à cette activité. Les objectifs spécifiques sont : (i)- Documenter la revalorisation des déchets solides plastiques dans le monde, la réutilisation des eaux usées industrielles et les risques sanitaires associés à ces activités ; (ii)- Documenter l’activité de revalorisation des sachets plastiques à la sortie de la zone industrielle (source des déchets, nettoyage, commercialisation et coûts) ; (iii)- Documenter les risques sanitaires et l’état de santé des acteurs (risques sanitaires potentiels, problèmes de santé associés et recours aux soins) ; (iv)- Proposer des solutions pour améliorer l’activité de revalorisation des déchets plastiques et atténuer les risques sanitaires de l’activité pour les populations.
L’approche générale adoptée a été transdisciplinaire avec notamment une démarche qualitative (sociologique) marquée par les observations et les entretiens semi-dirigés, une démarche cartographique, une démarche microbiologique, sans oublier la revue de littérature facilitée par l’internet.
A la fin de l’étude des solutions ont été proposées pour (i)- améliorer l’activité de revalorisation des déchets solides plastiques et (ii)- atténuer les risques sanitaires de l’activité pour les populations.Exemplaires
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SilueAdobe Acrobat PDF Mémoire Master Spécialisé GSE. Etat des lieux de la valorisation des déchets d’élevage et des boues de vidange en zone urbaine et périurbaine de Ouagadougou (Burkina Faso) / K. Narcisse SOMDA
Titre de série : Mémoire Master Spécialisé GSE Titre : Etat des lieux de la valorisation des déchets d’élevage et des boues de vidange en zone urbaine et périurbaine de Ouagadougou (Burkina Faso) Type de document : texte imprimé Auteurs : K. Narcisse SOMDA Année de publication : 2006 Importance : 68p. Langues : Français (fre) Résumé : la valorisation des déchets d’élevage et des boues de vidange, il a été noté un manque de cadre permanent de concertation entre les acteurs, quand bien même des démarches sporadiques ont été timidement initiées. Pour ce faire, l’approche innovante de planification de la gestion des boues de vidange (Koanda, 2006) fixe les bases de la concertation entre parties prenantes (décideurs, planificateurs, usagers…).
Des solutions relatives d’une part au traitement des boues de vidange manuelle et des déchets d’élevage par co-compostage et, d’autre part au traitement par lagunage et des lits de séchage des boues mécaniquement vidangées, ont été proposées. La sensibilisation de la frange de la population toujours réfractaire à la valorisation des boues en agriculture a été recommandée. Enfin, la revente des déchets traités à des prix déjouant la concurrence des engrais chimiques est préconisée. La combinaison de toutes ces actions permettra d’atteindre l’autosuffisance alimentaire et, par ricochet, faire gagner un peu plus d’argent à nos populations.Mémoire Master Spécialisé GSE. Etat des lieux de la valorisation des déchets d’élevage et des boues de vidange en zone urbaine et périurbaine de Ouagadougou (Burkina Faso) [texte imprimé] / K. Narcisse SOMDA . - 2006 . - 68p.
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Résumé : la valorisation des déchets d’élevage et des boues de vidange, il a été noté un manque de cadre permanent de concertation entre les acteurs, quand bien même des démarches sporadiques ont été timidement initiées. Pour ce faire, l’approche innovante de planification de la gestion des boues de vidange (Koanda, 2006) fixe les bases de la concertation entre parties prenantes (décideurs, planificateurs, usagers…).
Des solutions relatives d’une part au traitement des boues de vidange manuelle et des déchets d’élevage par co-compostage et, d’autre part au traitement par lagunage et des lits de séchage des boues mécaniquement vidangées, ont été proposées. La sensibilisation de la frange de la population toujours réfractaire à la valorisation des boues en agriculture a été recommandée. Enfin, la revente des déchets traités à des prix déjouant la concurrence des engrais chimiques est préconisée. La combinaison de toutes ces actions permettra d’atteindre l’autosuffisance alimentaire et, par ricochet, faire gagner un peu plus d’argent à nos populations.Exemplaires
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Somda K.Adobe Acrobat PDF Mémoire Master Spécialisé GSE. Analyse du marché de la vidange mécanique dans les villes moyennes et conditions de réussite de l’entreprenariat privé. Etude de cas de Sokodé au Togo / Tetouehaki TCHONDA
Titre de série : Mémoire Master Spécialisé GSE Titre : Analyse du marché de la vidange mécanique dans les villes moyennes et conditions de réussite de l’entreprenariat privé. Etude de cas de Sokodé au Togo Type de document : texte imprimé Auteurs : Tetouehaki TCHONDA Année de publication : 2006 Importance : 94p. Langues : Français (fre) Résumé : Dans la ville de Sokodé au Togo ; les concessions dans toute la totalité sont disposent de systèmes d’assainissement autonomes non raccordés à un réseau d’égout. Ces ouvrages quand ils sont remplis doivent être vidangés. L’absence d’un service permanent , le tarif élevé du service de vidange, le déversement anarchique des boues dans la nature, l’utilisation des boues non hygiénisées dans l’agriculture sont là les problèmes rencontrés par la population de la ville de Sokodé.
L’objectif de ce travail est de montrer qu’une entreprise privée ou une association peur être un instrument des gestion durable des boues de vidange dans la ville Sokodé et d’établir les conditions pour valider cette hypothèse.
La définition du profil de l’opérateur, la mise en place du cadre institutionnel et réglementaire, l’aménagement d’un site de dépotage, sont les éléments nécessaire pour la viabilité de l’activité de vidange.
L’analyse économique à montré que les ménages payaient un tarif moyen de 18 000 F CFA pour la vidange mécanique et que la majorité considère ce tarif excessif. La maîtrise de tous les paramètres économique liés au bon fonctionnement de l’entreprise (entreprise multiservice) devrai permettre de fixer un prix de la vidange abordable aux ménages de même que les tarif des services d’eau et de transport de matériaux
Le traitement des boues de vidange en vue de son utilisation dans l’agriculture est prévu.Mémoire Master Spécialisé GSE. Analyse du marché de la vidange mécanique dans les villes moyennes et conditions de réussite de l’entreprenariat privé. Etude de cas de Sokodé au Togo [texte imprimé] / Tetouehaki TCHONDA . - 2006 . - 94p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Dans la ville de Sokodé au Togo ; les concessions dans toute la totalité sont disposent de systèmes d’assainissement autonomes non raccordés à un réseau d’égout. Ces ouvrages quand ils sont remplis doivent être vidangés. L’absence d’un service permanent , le tarif élevé du service de vidange, le déversement anarchique des boues dans la nature, l’utilisation des boues non hygiénisées dans l’agriculture sont là les problèmes rencontrés par la population de la ville de Sokodé.
L’objectif de ce travail est de montrer qu’une entreprise privée ou une association peur être un instrument des gestion durable des boues de vidange dans la ville Sokodé et d’établir les conditions pour valider cette hypothèse.
La définition du profil de l’opérateur, la mise en place du cadre institutionnel et réglementaire, l’aménagement d’un site de dépotage, sont les éléments nécessaire pour la viabilité de l’activité de vidange.
L’analyse économique à montré que les ménages payaient un tarif moyen de 18 000 F CFA pour la vidange mécanique et que la majorité considère ce tarif excessif. La maîtrise de tous les paramètres économique liés au bon fonctionnement de l’entreprise (entreprise multiservice) devrai permettre de fixer un prix de la vidange abordable aux ménages de même que les tarif des services d’eau et de transport de matériaux
Le traitement des boues de vidange en vue de son utilisation dans l’agriculture est prévu.Exemplaires
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TchondaAdobe Acrobat PDF Mémoire Master Spécialisé GSE. Diagnostic des systèmes d’AEPA à Bougouni et Mopti au Mali / Aliou Sékou TOURE
Titre de série : Mémoire Master Spécialisé GSE Titre : Diagnostic des systèmes d’AEPA à Bougouni et Mopti au Mali : état des lieux et étude des possibilités de promotion des Postes de distribution collective (PDC) pour la desserte en eau des populations pauvres de ces localités. Type de document : texte imprimé Auteurs : Aliou Sékou TOURE Année de publication : 2006 Importance : 102p. Langues : Français (fre) Résumé : Les communes de Mopti et Bougouni comme la plupart des communes au Mali rencontrent des difficultés à assurer ses devoirs de gérant de la cité, comme stipulé par la loi portant sur la décentralisation de 1993. On note par exemple l’absence d’un document fixant le cadre de la gestion de l’approvisionnement en eau potable et l’assainissement. Ce rapport, initié par l’Institut International de l’Eau et l’Environnement (2iE), avec l’appui financier le l’Union Européenne (UE) et technique de l’Energie du Mali (EDM), vise à contribuer à l’amélioration des conditions d’accès à l’eau potable dans les communes de Mopti et Bougouni, par la mise en place de Postes de distribution collective (PDC) pour la desserte en eau des populations démunies des localités concernées.
Pour atteindre les objectifs qui ont été assignés à l’étude, il a été adopté une approche participative, basée sur les observations de terrain, des enquêtes auprès des ménages et des entretiens avec les acteurs impliqués dans le secteur de l’eau et l’assainissement.
Il ressort des observations et l’analyse des résultats de l’étude, que malgré le peu de moyens des municipalités et des habitants des communes, il existe une réelle mobilisation de ces derniers pour une amélioration de la situation actuelle, qui se caractérise par une mauvaise couverture des villes par le réseau d’eau potable sanctionnée un nombre insuffisant de branchements particuliers et bornes fontaines.
Les propositions qui ont été faites, comprennent la mise en place des postes de distribution collective, pour les populations démunies ayant un accès difficile à l’eau potable. Une autre action portera sur la mise en place des comités de gestion des ouvrages, afin de faciliter le bon fonctionnement des installations. Enfin, il est recommandé de redynamiser les comités de gestion, et les ériger en plate forme de concertation pour les acteurs impliqués dans la gestion urbaine.
Nous souhaitons que la concrétisation de ces projets, permette aux villes de Mopti et Bougouni, deux exemples à suivre en matière d’approvisionnement en eau potable à partir de postes de distribution collective au Mali et dans les Pays du tiers Monde.Mémoire Master Spécialisé GSE. Diagnostic des systèmes d’AEPA à Bougouni et Mopti au Mali : état des lieux et étude des possibilités de promotion des Postes de distribution collective (PDC) pour la desserte en eau des populations pauvres de ces localités. [texte imprimé] / Aliou Sékou TOURE . - 2006 . - 102p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Les communes de Mopti et Bougouni comme la plupart des communes au Mali rencontrent des difficultés à assurer ses devoirs de gérant de la cité, comme stipulé par la loi portant sur la décentralisation de 1993. On note par exemple l’absence d’un document fixant le cadre de la gestion de l’approvisionnement en eau potable et l’assainissement. Ce rapport, initié par l’Institut International de l’Eau et l’Environnement (2iE), avec l’appui financier le l’Union Européenne (UE) et technique de l’Energie du Mali (EDM), vise à contribuer à l’amélioration des conditions d’accès à l’eau potable dans les communes de Mopti et Bougouni, par la mise en place de Postes de distribution collective (PDC) pour la desserte en eau des populations démunies des localités concernées.
Pour atteindre les objectifs qui ont été assignés à l’étude, il a été adopté une approche participative, basée sur les observations de terrain, des enquêtes auprès des ménages et des entretiens avec les acteurs impliqués dans le secteur de l’eau et l’assainissement.
Il ressort des observations et l’analyse des résultats de l’étude, que malgré le peu de moyens des municipalités et des habitants des communes, il existe une réelle mobilisation de ces derniers pour une amélioration de la situation actuelle, qui se caractérise par une mauvaise couverture des villes par le réseau d’eau potable sanctionnée un nombre insuffisant de branchements particuliers et bornes fontaines.
Les propositions qui ont été faites, comprennent la mise en place des postes de distribution collective, pour les populations démunies ayant un accès difficile à l’eau potable. Une autre action portera sur la mise en place des comités de gestion des ouvrages, afin de faciliter le bon fonctionnement des installations. Enfin, il est recommandé de redynamiser les comités de gestion, et les ériger en plate forme de concertation pour les acteurs impliqués dans la gestion urbaine.
Nous souhaitons que la concrétisation de ces projets, permette aux villes de Mopti et Bougouni, deux exemples à suivre en matière d’approvisionnement en eau potable à partir de postes de distribution collective au Mali et dans les Pays du tiers Monde.Exemplaires
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ToureAdobe Acrobat PDF Mémoire Master Spécialisé GSE. Etude de la qualité des boissons simples et complexes de fabrication artisanale proposées à la clientèle dans la restauration de type informel (cas des restaurants du circuit informel de la ville de Ouagadougou) / Salamata MIWENDE
Titre de série : Mémoire Master Spécialisé GSE Titre : Etude de la qualité des boissons simples et complexes de fabrication artisanale proposées à la clientèle dans la restauration de type informel (cas des restaurants du circuit informel de la ville de Ouagadougou) Type de document : texte imprimé Auteurs : Salamata MIWENDE Année de publication : 1998 Importance : 77p. Langues : Français (fre) Résumé : L'étude de la qualité des boissons simples et complexes de fabrication artisanale proposées dans les restaurants de type informel de la ville de Ouagadougou nous a été proposée par le CNESA (Centre National de l'Education pour la Santé), ex DESA (Direction de l'Education pour la Santé et l'Assainissement ).
Du 02 Avril au 06 Mai 1998, cinq restaurants de type informel ont donc fait l'objet de prélèvements d'échantillons à raison de 2 à 3 restaurants par semaine.
Nous avons procédé à des analyses physico-chimiques et microbiologiques des boissons pendant ces six semaines.
II ressort de ces analyses que ces boissons peuvent être sources de maladies infectieuses car elles contiennent de nombreux germes pathogènes que nous avons essayé de mettre en évidence à travers des indicateurs tels que les Coliformes fécaux, les Coliformes totaux, les Streptocoques fécaux, les Staphylocoques pathogènes, les germes totaux, les levures et les moisissures.
Ces résultats s'expliquent surtout par un manque d'hygiène de la part des restaurateurs car la plupart des germes trouvés sont d'origine fécale; ces boissons étant souillées lors des nombreuses opérations telles que le transport de l'eau, son stockage, la fabrication des boissons, le service aux clients etc..
Ainsi, des mesures d'hygiène préventive ont été proposées à l'intention des autorités sanitaires, des restaurateurs et des clients dans le but de sensibiliser toutes les composantes de la société sur de meilleures pratiques d'hygiène.
L'étude conduite pourra donc contribuer à améliorer la santé des populations par la prise de mesures d'hygiène en vue d'éviter des maladies susceptibles d'être transmises par ces boissons.
Il aurait été souhaitable que nous puissions effectuer nos analyses sur un plus grand nombre de restaurants et sur une période plus longue. Cependant, la durée impartie à notre travail nous a obligés à limiter nos ambitions.
Par ailleurs, il aurait été intéressant d'aller plus loin dans le domaine de l'identification des germes, ce qui ne peut être fait que par un laboratoire spécialisé en microbiologie alimentaire.Mémoire Master Spécialisé GSE. Etude de la qualité des boissons simples et complexes de fabrication artisanale proposées à la clientèle dans la restauration de type informel (cas des restaurants du circuit informel de la ville de Ouagadougou) [texte imprimé] / Salamata MIWENDE . - 1998 . - 77p.
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Résumé : L'étude de la qualité des boissons simples et complexes de fabrication artisanale proposées dans les restaurants de type informel de la ville de Ouagadougou nous a été proposée par le CNESA (Centre National de l'Education pour la Santé), ex DESA (Direction de l'Education pour la Santé et l'Assainissement ).
Du 02 Avril au 06 Mai 1998, cinq restaurants de type informel ont donc fait l'objet de prélèvements d'échantillons à raison de 2 à 3 restaurants par semaine.
Nous avons procédé à des analyses physico-chimiques et microbiologiques des boissons pendant ces six semaines.
II ressort de ces analyses que ces boissons peuvent être sources de maladies infectieuses car elles contiennent de nombreux germes pathogènes que nous avons essayé de mettre en évidence à travers des indicateurs tels que les Coliformes fécaux, les Coliformes totaux, les Streptocoques fécaux, les Staphylocoques pathogènes, les germes totaux, les levures et les moisissures.
Ces résultats s'expliquent surtout par un manque d'hygiène de la part des restaurateurs car la plupart des germes trouvés sont d'origine fécale; ces boissons étant souillées lors des nombreuses opérations telles que le transport de l'eau, son stockage, la fabrication des boissons, le service aux clients etc..
Ainsi, des mesures d'hygiène préventive ont été proposées à l'intention des autorités sanitaires, des restaurateurs et des clients dans le but de sensibiliser toutes les composantes de la société sur de meilleures pratiques d'hygiène.
L'étude conduite pourra donc contribuer à améliorer la santé des populations par la prise de mesures d'hygiène en vue d'éviter des maladies susceptibles d'être transmises par ces boissons.
Il aurait été souhaitable que nous puissions effectuer nos analyses sur un plus grand nombre de restaurants et sur une période plus longue. Cependant, la durée impartie à notre travail nous a obligés à limiter nos ambitions.
Par ailleurs, il aurait été intéressant d'aller plus loin dans le domaine de l'identification des germes, ce qui ne peut être fait que par un laboratoire spécialisé en microbiologie alimentaire.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité MIWENDE Salamata//0351 M. 0351 Monographie Bibliothèque CDI-Ouaga Documents Disponible Documents numériques
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