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Série Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques
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Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Productivité des aquifères en zone de socle au Burkina Faso / Kébénan Lanzéni BERTÉ
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Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Productivité des aquifères en zone de socle au Burkina Faso : cas de la province de Soum Type de document : texte imprimé Auteurs : Kébénan Lanzéni BERTÉ Année de publication : 2020 Importance : 61 p. Langues : Français (fre) Résumé : Dans la province de Soum, l’essentiel de l’approvisionnement en eau potable de la population est assuré par les eaux souterraines contenues dans les aquifères de socle, qui dans notre cas sont réparties entre les unités géologiques de granites, de roches vertes et de schistes. Cependant, la majorité des forages réalisés dans la province ont une productivité plutôt faible. Ce travail a eu ainsi pour objectif d’améliorer la connaissance sur la productivité des aquifères de socle de la province de Soum. Pour ce faire, des analyses statistiques (analyse statistique descriptive et tableau croisé) des paramètres de productivité, hydrodynamiques, géophysiques ont été réalisées sur 174 forages de la province du Soum suivant les différentes formations géologiques. Il ressort des résultats statistiques que les granites occupent plus de 80 % des forages de la zone d’études, sont plus productifs que les roches vertes et les schistes avec la moyenne de débit des forages de 3,64 m3/h et une transmissivité moyenne de 5,1.10-4m2/s traduisant une productivité plutôt faible à l’instar de la majorité des aquifères des milieux de socle altérés. L’analyse des données géophysiques montre que sur l’ensemble des formations géologiques les types d’anomalies (CCL), les formes d’anomalies (U), les types de sondages (H) sont les plus favorables à l’implantation dans la province avec les meilleurs taux de réussite dans les granites. Mais il faut aussi noter que certaines anomalies ne sont pas à négliger telles que le type d’anomalie (CCE), la forme d’anomalie (W), le type de sondage (KH). Elles semblent donner des résultats plutôt favorables sur les schistes et roches vertes. Enfin, l’étude hydro-chimique révèle que les eaux de ces aquifères respectent les normes de l’OMS avec un faciès bi/carbonaté calcique et magnésien prédominant dans la province.
Abstract : In Soum province, the greatest part of safe water supplying for people is provided by groundwater contained in aquifers who are dominated by granite formations, greenstone and schist formations. However, most of the drilling done in the province has a rather low productivity. This report therefore aims to improve knowledge on the productivity of basement aquifers in the province of Soum. To do this, statistical analyzes of the productivity parameters, hydrodynamics and geophysics parameters were carried out on 174 boreholes in the provinces following the different geological formations. Statistical results show that granites occupy more than 80% of the drill holes in the study area are more productive than green rocks and shales with the average at the rate of drilling of 3.64 m3 / h and the average transmissivity being 5.1. 10-4 m2/s which reflects a rather low productivity as in most environments of the altered base. In addition, the remarks made on the geophysical analysis show that of all the geological formations, the types of anomalies (CCL), the forms of anomalies (L) and the types of boreholes (H) are the most favorable. To the implantation in the province with the best success rates in granite formations. But it should be noted that certain anomalies should not be neglected such as the types of anomalies (CCE), the forms of anomalies (W), the types of boreholes (KH) and seem to give rather favorable results on the shales and green rocks. In addition, the hydrochemical study reveals that the waters of these aquifers meet WHO standards with a bi/carbonate calcium magnesium facies predominant in the province.Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Productivité des aquifères en zone de socle au Burkina Faso : cas de la province de Soum [texte imprimé] / Kébénan Lanzéni BERTÉ . - 2020 . - 61 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Dans la province de Soum, l’essentiel de l’approvisionnement en eau potable de la population est assuré par les eaux souterraines contenues dans les aquifères de socle, qui dans notre cas sont réparties entre les unités géologiques de granites, de roches vertes et de schistes. Cependant, la majorité des forages réalisés dans la province ont une productivité plutôt faible. Ce travail a eu ainsi pour objectif d’améliorer la connaissance sur la productivité des aquifères de socle de la province de Soum. Pour ce faire, des analyses statistiques (analyse statistique descriptive et tableau croisé) des paramètres de productivité, hydrodynamiques, géophysiques ont été réalisées sur 174 forages de la province du Soum suivant les différentes formations géologiques. Il ressort des résultats statistiques que les granites occupent plus de 80 % des forages de la zone d’études, sont plus productifs que les roches vertes et les schistes avec la moyenne de débit des forages de 3,64 m3/h et une transmissivité moyenne de 5,1.10-4m2/s traduisant une productivité plutôt faible à l’instar de la majorité des aquifères des milieux de socle altérés. L’analyse des données géophysiques montre que sur l’ensemble des formations géologiques les types d’anomalies (CCL), les formes d’anomalies (U), les types de sondages (H) sont les plus favorables à l’implantation dans la province avec les meilleurs taux de réussite dans les granites. Mais il faut aussi noter que certaines anomalies ne sont pas à négliger telles que le type d’anomalie (CCE), la forme d’anomalie (W), le type de sondage (KH). Elles semblent donner des résultats plutôt favorables sur les schistes et roches vertes. Enfin, l’étude hydro-chimique révèle que les eaux de ces aquifères respectent les normes de l’OMS avec un faciès bi/carbonaté calcique et magnésien prédominant dans la province.
Abstract : In Soum province, the greatest part of safe water supplying for people is provided by groundwater contained in aquifers who are dominated by granite formations, greenstone and schist formations. However, most of the drilling done in the province has a rather low productivity. This report therefore aims to improve knowledge on the productivity of basement aquifers in the province of Soum. To do this, statistical analyzes of the productivity parameters, hydrodynamics and geophysics parameters were carried out on 174 boreholes in the provinces following the different geological formations. Statistical results show that granites occupy more than 80% of the drill holes in the study area are more productive than green rocks and shales with the average at the rate of drilling of 3.64 m3 / h and the average transmissivity being 5.1. 10-4 m2/s which reflects a rather low productivity as in most environments of the altered base. In addition, the remarks made on the geophysical analysis show that of all the geological formations, the types of anomalies (CCL), the forms of anomalies (L) and the types of boreholes (H) are the most favorable. To the implantation in the province with the best success rates in granite formations. But it should be noted that certain anomalies should not be neglected such as the types of anomalies (CCE), the forms of anomalies (W), the types of boreholes (KH) and seem to give rather favorable results on the shales and green rocks. In addition, the hydrochemical study reveals that the waters of these aquifers meet WHO standards with a bi/carbonate calcium magnesium facies predominant in the province.Exemplaires
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BerteAdobe Acrobat PDFMémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Étude diagnostique du périmètre rizicole de Karfiguela et apport de la nappe superficielle à l’irrigation de complément en campagne humide / Hillary Marie Michelle COMPAORÉ
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Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Étude diagnostique du périmètre rizicole de Karfiguela et apport de la nappe superficielle à l’irrigation de complément en campagne humide Type de document : texte imprimé Auteurs : Hillary Marie Michelle COMPAORÉ Année de publication : 2020 Importance : 134 p. Langues : Français (fre) Résumé : Le secteur agricole est un domaine incontournable de l’économie et de la population burkinabè mais elle est tributaire des aléas climatiques. La tendance pluviométrique régresse tandis que le pays est en situation de déficit sur la gestion durable de la ressource en eau. Le pays a intérêt à augmenter la productivité de sa ressource en eau. L’objectif global de la présente étude s’inscrit dans cette dynamique. L’approche méthodologique adoptée à cet effet a consisté dans un premier temps à réaliser un diagnostic de l’état structurel du périmètre irrigué de Karfiguéla et dans un second temps à caractériser la nappe alluviale dans l’optique de son utilisation comme ressource en eau alternative. Il ressort de cette étude que les infrastructures d’irrigation sont vieilles de 43 et présentent des dégradations prononcées qui nuisent à son efficience. Les ouvrages hydrauliques actuellement sur le périmètre sont fonctionnels à 76 % tandis que les canaux, en béton ordinaire, présentent des rugosités qui rappellent celles des rivières. Cette situation compromet la bonne distribution de l’eau dans le périmètre. L’évaluation de l’état hydrique des cultures, à travers l’indice normalisé de végétation (NDVI), a permis de détecter des cultures en état de stress hydrique pendant que d’autres « se noient ». Les sols du périmètre sont lessivés et très hétérogènes, mais l’analyse granulométrique a permis de dégager trois textures dominantes avec des capacités d’infiltration élevées (6,97 mm/h - 51,65 mm/h) : le limono-argilo-sableux, le limono-sableux et l’argileux. Ils sont très filtrants et présentent aussi des propriétés physico-chimiques assez défavorables à l’agriculture et ont besoin de plus d’amendements. Une analyse corrélative entre l’état hydrique des cultures et les propriétés du sol permet de dire que les cultures en stress hydrique sont généralement localisées sur des sols très filtrants et situés en hauteur tandis que les celles qui « se noient » sont plutôt sur des sols argileux en zone encaissée. Le bilan hydrique est déficitaire mais le déficit est plus élevé pour les parcelles en retard sur le calendrier cultural. L’étude a aussi montré que la nappe alluviale est apte quantitativement et qualitativement à l’irrigation de complément. Les prospections géophysiques révèlent une bonne extension latérale de la nappe et une puissance de l’ordre de 29 m. Sa transmissivité est de l’ordre 10-3 m2/s et son coefficient d’emmagasinement, 10-1. Un pompage à 32,73 m3/h pendant 6 heures dans l’un des ouvrages (B2) n’a pas pu rabattre la nappe à plus de 0,86 m. Ainsi, pour les producteurs respectant le calendrier cultural, la nappe est capable de soutenir l’irrigation pour 5,28 ha de parcelle.
Abstract : Agriculture is an essential sector of the economy and for the population of Burkina Faso. But it depends on climatic hazards. However, the rainfall trend is decreasing and the country is in a deficit situation in the sustainable management of water resources. The country has an interest in increasing the productivity of its water resource. The main objective of this study is part of this dynamic. The methodological approach adopted for this purpose consisted firstly of carrying out a diagnosis of the structural state of the irrigated perimeter of Karfiguéla and secondly in characterizing the alluvial aquifer for its use as an alternative water resource. The study revealed a few structural factors that hamper the perimeter’s productivity. It appears that the irrigation infrastructure is 43 years old and very deteriorated, which affects its efficiency. The hydraulic structures currently on the perimeter are 76% functional and the channels, made of ordinary concrete, have roughness coefficients close to those of beaten earth. This situation compromises the good distribution of water in the perimeter. The Normalized vegetation index (NDVI) assessment of crop water status detected crops under water stress while others, “drown.” The soils of the perimeter are leached and very heterogeneous but the granulometric analysis revealed three dominant textures: sandy clay silt, sandy silt and clayey. With a hydraulic conductivity between 6.97 mm/h and 51.65 mm/h, these soils are very filtering and suffer from a water deficit during the wet campaign. They also have unfavorable physicochemical properties for agriculture and need further amendments. A correlative analysis between the water state of the crops and the properties of the soil was permitting saying that the crops in water stress are located on very filtering soil at high altitude while those which “drown” are rather on clayey soil, in cash zone. The evaluation of the water balance reveals that those who respect the cropping calendar have smaller deficits than that of delays. The study also showed that using alluvial groundwater for supplemental irrigation seems to be a good alternative. Geophysical surveys reveal a good lateral extension of the water table and a power of 29 m around. Its transmissivity is of the order of 10-3 m2/s and its storage coefficient, 10-1. Pumping at 32.73 m3/h for 6 hours in one of the structures (B2) couldn’t reduce the water table to more than 0.86 m. Thus, for farmers who respect the cropping calendar, alluvial groundwater is able to support irrigation for 5.28 ha of rice land.Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Étude diagnostique du périmètre rizicole de Karfiguela et apport de la nappe superficielle à l’irrigation de complément en campagne humide [texte imprimé] / Hillary Marie Michelle COMPAORÉ . - 2020 . - 134 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Le secteur agricole est un domaine incontournable de l’économie et de la population burkinabè mais elle est tributaire des aléas climatiques. La tendance pluviométrique régresse tandis que le pays est en situation de déficit sur la gestion durable de la ressource en eau. Le pays a intérêt à augmenter la productivité de sa ressource en eau. L’objectif global de la présente étude s’inscrit dans cette dynamique. L’approche méthodologique adoptée à cet effet a consisté dans un premier temps à réaliser un diagnostic de l’état structurel du périmètre irrigué de Karfiguéla et dans un second temps à caractériser la nappe alluviale dans l’optique de son utilisation comme ressource en eau alternative. Il ressort de cette étude que les infrastructures d’irrigation sont vieilles de 43 et présentent des dégradations prononcées qui nuisent à son efficience. Les ouvrages hydrauliques actuellement sur le périmètre sont fonctionnels à 76 % tandis que les canaux, en béton ordinaire, présentent des rugosités qui rappellent celles des rivières. Cette situation compromet la bonne distribution de l’eau dans le périmètre. L’évaluation de l’état hydrique des cultures, à travers l’indice normalisé de végétation (NDVI), a permis de détecter des cultures en état de stress hydrique pendant que d’autres « se noient ». Les sols du périmètre sont lessivés et très hétérogènes, mais l’analyse granulométrique a permis de dégager trois textures dominantes avec des capacités d’infiltration élevées (6,97 mm/h - 51,65 mm/h) : le limono-argilo-sableux, le limono-sableux et l’argileux. Ils sont très filtrants et présentent aussi des propriétés physico-chimiques assez défavorables à l’agriculture et ont besoin de plus d’amendements. Une analyse corrélative entre l’état hydrique des cultures et les propriétés du sol permet de dire que les cultures en stress hydrique sont généralement localisées sur des sols très filtrants et situés en hauteur tandis que les celles qui « se noient » sont plutôt sur des sols argileux en zone encaissée. Le bilan hydrique est déficitaire mais le déficit est plus élevé pour les parcelles en retard sur le calendrier cultural. L’étude a aussi montré que la nappe alluviale est apte quantitativement et qualitativement à l’irrigation de complément. Les prospections géophysiques révèlent une bonne extension latérale de la nappe et une puissance de l’ordre de 29 m. Sa transmissivité est de l’ordre 10-3 m2/s et son coefficient d’emmagasinement, 10-1. Un pompage à 32,73 m3/h pendant 6 heures dans l’un des ouvrages (B2) n’a pas pu rabattre la nappe à plus de 0,86 m. Ainsi, pour les producteurs respectant le calendrier cultural, la nappe est capable de soutenir l’irrigation pour 5,28 ha de parcelle.
Abstract : Agriculture is an essential sector of the economy and for the population of Burkina Faso. But it depends on climatic hazards. However, the rainfall trend is decreasing and the country is in a deficit situation in the sustainable management of water resources. The country has an interest in increasing the productivity of its water resource. The main objective of this study is part of this dynamic. The methodological approach adopted for this purpose consisted firstly of carrying out a diagnosis of the structural state of the irrigated perimeter of Karfiguéla and secondly in characterizing the alluvial aquifer for its use as an alternative water resource. The study revealed a few structural factors that hamper the perimeter’s productivity. It appears that the irrigation infrastructure is 43 years old and very deteriorated, which affects its efficiency. The hydraulic structures currently on the perimeter are 76% functional and the channels, made of ordinary concrete, have roughness coefficients close to those of beaten earth. This situation compromises the good distribution of water in the perimeter. The Normalized vegetation index (NDVI) assessment of crop water status detected crops under water stress while others, “drown.” The soils of the perimeter are leached and very heterogeneous but the granulometric analysis revealed three dominant textures: sandy clay silt, sandy silt and clayey. With a hydraulic conductivity between 6.97 mm/h and 51.65 mm/h, these soils are very filtering and suffer from a water deficit during the wet campaign. They also have unfavorable physicochemical properties for agriculture and need further amendments. A correlative analysis between the water state of the crops and the properties of the soil was permitting saying that the crops in water stress are located on very filtering soil at high altitude while those which “drown” are rather on clayey soil, in cash zone. The evaluation of the water balance reveals that those who respect the cropping calendar have smaller deficits than that of delays. The study also showed that using alluvial groundwater for supplemental irrigation seems to be a good alternative. Geophysical surveys reveal a good lateral extension of the water table and a power of 29 m around. Its transmissivity is of the order of 10-3 m2/s and its storage coefficient, 10-1. Pumping at 32.73 m3/h for 6 hours in one of the structures (B2) couldn’t reduce the water table to more than 0.86 m. Thus, for farmers who respect the cropping calendar, alluvial groundwater is able to support irrigation for 5.28 ha of rice land.Exemplaires
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HillaryAdobe Acrobat PDFMémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude d’avant-projet detaillé de l’aménagement d’un périmètre irrigué villageois de 275 ha a Kamani dans la commune de Dinandougou (Mali) / Tidiane DJIRE
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Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Etude d’avant-projet detaillé de l’aménagement d’un périmètre irrigué villageois de 275 ha a Kamani dans la commune de Dinandougou (Mali) Type de document : texte imprimé Auteurs : Tidiane DJIRE Année de publication : 2020 Importance : 130 p. Langues : Français (fre) Résumé : Dans les pays du sahel et plus particulièrement au Mali, l’activité agro-sylvo-pastorale constitue un facteur clé du développement économique. Pour développer ce secteur, il sera donc nécessaire de mettre en place des structures d’exploitations modernes permettant ainsi d’atteindre la sécurité alimentaire et de lutter contre la pauvreté au Mali. L’enjeu principal reste la garantie de la compétitivité de la production agricole, en particulier au niveau du riz par rapport aux importations.
Le présent mémoire a consisté à l’élaboration de l’étude d’Avant-Projet Détaillé de l’aménagement d’un périmètre irrigué villageois de 275 ha à Kamani dans la commune de Dinandougou, entrent dans le cadre du Projet de Renforcement de la Résilience à l’Insécurité Alimentaire au Mali (PRIA-MALI). Pour aboutir aux résultats, une visite de terrain a été effectuée suivi des études techniques et une évaluation d’impacts environnementaux et sociaux. Le débit d’équipement retenu pour le dimensionnement du réseau est de 2.21 l/s/ha avec une main d’eau de 15 l/s. Le sol de la zone est de type argileux-sableux avec une infiltration moyenne de 1.87 mm/h. Le réseau projeté sous irrigation gravitaire comprendra : Une station de pompage équipée de quatre électropompes, alimentant un réseau d’irrigation, composé de deux conduites principales d’une longueur total de 1903.24 m, des canaux secondaires et tertiaires, un drain principal (collecteur existant) de 2763.83 ml, des ouvrages de prises, de franchissements, de régulation de plan d’eau et de prélèvement de débit et des pistes de desserte.
Le cout total du projet s’élève à un milliard cent quatorze millions sept cent quatre-vingt-deux mille cent un (1 114 782 101) FCFA soit quatre millions quatre-vingt-quinze mille neuf cent quatre (4 095 904) FCFA à l’hectare. Nous recommandons pour un bon fonctionnement du réseau de veiller à la mise en œuvre des résultats de la présente étude lors de l’exécution des travaux.
Abstract : In the Sahel countries and more particularly in Mali, agro-sylvo-pastoral activity is a key factor in economic development. To develop this sector, it will therefore be necessary to put in place modern operating structures to achieve food security and fight against poverty in Mali. The main stake remains the guarantee of the competitiveness of agricultural production, in particular at the level of rice compared to imports.
This thesis consisted in the development of the Detailed Pre-Project Study of the development of a village irrigated perimeter of 275 ha in Kamani in the municipality of Dinandougou, within the framework of the Project for the Strengthening of Resilience to Food Insecurity in Mali (PRIA-MALI). To achieve the results, a field visit was carried out followed by technical studies and an assessment of environmental and social impacts. The equipment flow rate selected for the sizing of the network is 2.21 l / s / ha with a water supply of 15 l / s. The soil in the area is clay-sandy with an average infiltration of 1.87 mm / h. The projected network under gravity irrigation will include: A pumping station equipped with four electropumps, supplying an irrigation network, made up of two main pipes with a total length of 1903.24 m, secondary and tertiary canals, a main drain (existing collector ) of 2763.83 ml, works of intakes, crossings, regulation of water body and flow abstraction and service tracks.
The total cost of the project amounts to one billion one hundred and fourteen million seven hundred and eighty-two thousand one hundred and one (1,114,782,101) FCFA or four million ninety-five thousand nine hundred and four (4,095,904) FCFA to per hectare. We recommend for the proper functioning of the network to ensure the implementation of the results of this study during the execution of the works.Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude d’avant-projet detaillé de l’aménagement d’un périmètre irrigué villageois de 275 ha a Kamani dans la commune de Dinandougou (Mali) [texte imprimé] / Tidiane DJIRE . - 2020 . - 130 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Dans les pays du sahel et plus particulièrement au Mali, l’activité agro-sylvo-pastorale constitue un facteur clé du développement économique. Pour développer ce secteur, il sera donc nécessaire de mettre en place des structures d’exploitations modernes permettant ainsi d’atteindre la sécurité alimentaire et de lutter contre la pauvreté au Mali. L’enjeu principal reste la garantie de la compétitivité de la production agricole, en particulier au niveau du riz par rapport aux importations.
Le présent mémoire a consisté à l’élaboration de l’étude d’Avant-Projet Détaillé de l’aménagement d’un périmètre irrigué villageois de 275 ha à Kamani dans la commune de Dinandougou, entrent dans le cadre du Projet de Renforcement de la Résilience à l’Insécurité Alimentaire au Mali (PRIA-MALI). Pour aboutir aux résultats, une visite de terrain a été effectuée suivi des études techniques et une évaluation d’impacts environnementaux et sociaux. Le débit d’équipement retenu pour le dimensionnement du réseau est de 2.21 l/s/ha avec une main d’eau de 15 l/s. Le sol de la zone est de type argileux-sableux avec une infiltration moyenne de 1.87 mm/h. Le réseau projeté sous irrigation gravitaire comprendra : Une station de pompage équipée de quatre électropompes, alimentant un réseau d’irrigation, composé de deux conduites principales d’une longueur total de 1903.24 m, des canaux secondaires et tertiaires, un drain principal (collecteur existant) de 2763.83 ml, des ouvrages de prises, de franchissements, de régulation de plan d’eau et de prélèvement de débit et des pistes de desserte.
Le cout total du projet s’élève à un milliard cent quatorze millions sept cent quatre-vingt-deux mille cent un (1 114 782 101) FCFA soit quatre millions quatre-vingt-quinze mille neuf cent quatre (4 095 904) FCFA à l’hectare. Nous recommandons pour un bon fonctionnement du réseau de veiller à la mise en œuvre des résultats de la présente étude lors de l’exécution des travaux.
Abstract : In the Sahel countries and more particularly in Mali, agro-sylvo-pastoral activity is a key factor in economic development. To develop this sector, it will therefore be necessary to put in place modern operating structures to achieve food security and fight against poverty in Mali. The main stake remains the guarantee of the competitiveness of agricultural production, in particular at the level of rice compared to imports.
This thesis consisted in the development of the Detailed Pre-Project Study of the development of a village irrigated perimeter of 275 ha in Kamani in the municipality of Dinandougou, within the framework of the Project for the Strengthening of Resilience to Food Insecurity in Mali (PRIA-MALI). To achieve the results, a field visit was carried out followed by technical studies and an assessment of environmental and social impacts. The equipment flow rate selected for the sizing of the network is 2.21 l / s / ha with a water supply of 15 l / s. The soil in the area is clay-sandy with an average infiltration of 1.87 mm / h. The projected network under gravity irrigation will include: A pumping station equipped with four electropumps, supplying an irrigation network, made up of two main pipes with a total length of 1903.24 m, secondary and tertiary canals, a main drain (existing collector ) of 2763.83 ml, works of intakes, crossings, regulation of water body and flow abstraction and service tracks.
The total cost of the project amounts to one billion one hundred and fourteen million seven hundred and eighty-two thousand one hundred and one (1,114,782,101) FCFA or four million ninety-five thousand nine hundred and four (4,095,904) FCFA to per hectare. We recommend for the proper functioning of the network to ensure the implementation of the results of this study during the execution of the works.Exemplaires
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TidianeAdobe Acrobat PDFMémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etudes techniques pour la réhabilitation du barrage de la, dans la commune rurale de Sourgou (province du Boulkiemdé, région du centre-ouest), Burkina Faso. / Wendkouni Nina ILBOUDO
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Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Etudes techniques pour la réhabilitation du barrage de la, dans la commune rurale de Sourgou (province du Boulkiemdé, région du centre-ouest), Burkina Faso. Type de document : texte imprimé Auteurs : Wendkouni Nina ILBOUDO Année de publication : 2020 Importance : 112 p. Langues : Français (fre) Résumé : La présente étude porte sur la réhabilitation du barrage de LA, situé dans la province du Boulkiemdé au Burkina Faso. Les études de base (études géotechnique, diagnostique et hydrologique) font ressortir que le barrage de LA, a été construit en 1987 et est constitué d’une digue homogène de longueur 581 m, d’un déversoir latéral naturel de longueur hydraulique 100 m, d’un ouvrage de prise, d’un mur bajoyer et d’une diguette de protection en rive gauche. Les talus de la digue sont érodés et recouverts d’une végétation moyennement dense. Les causes probables de cette dégradation sont le manque d’entretien et la raideur des pentes des talus (1H/1V sur talus aval). Afin de pérenniser l’ouvrage, nous proposons une reconstruction de la digue du barrage avec des pentes de talus amont et aval de 2,5H/1V et 2H/1V, la réalisation d’une diguette de protection en rive droite, la correction de l’ensemble du tapis d’enrochement du chenal et la reconstruction de l’ouvrage de prise. L’ouvrage reconstruit permettra de stocker 3 395 000 m3 d’eau au plan d’eau normal. Les apports évalués à 3 282 362 m3 en année décennale sèche suffiront donc pour remplir la cuvette à 97 %. La morphologie du terrain nous impose à conserver la côte de calage de la digue (niveau fini de crête : 280 m). En considérant cette côte, la revanche libre restante est de 50 cm. Nous proposons donc la mise en place d’un mur parapet de hauteur 50 cm pour renforcer la sécurité hydrologique de l’ouvrage. Un filtre de sable horizontal d’épaisseur 50 cm sera placé au pied aval de la digue afin de collecter les eaux d’infiltration dans le massif et de les évacuer à l’aval. La conduite de l’ouvrage de prise combiné à l’ouvrage de vidange sera en fonte de diamètre nominal 300 mm et permettra l’irrigation d’un périmètre de 20 ha en aval du barrage La réhabilitation du barrage contribuera donc à l’amélioration des conditions de vie de la population de la commune de Sourgou. Cependant, quelques impacts négatifs tels que la pollution de l’environnement par l’utilisation des pesticides ont été relevés. Des mesures d’atténuations ont donc été proposées afin de réduire leur ampleur. Le coût de réhabilitation du barrage y compris le coût de ces atténuations est estimé à 386 256 037 F CFA TTC.
The present study concerns the rehabilitation of LA dam, located in the province of Boulkiemdé, Burkina Faso. Built in 1987, baseline studies (geotechnical, diagnostic and hydrological studies) show that the dam is composed of an homogeneous dike of 581 m, a natural lateral spillway of 100 m, an intake structure, a bank wall and a protection dike on the left bank. The embankments of the dike are eroded and covered with medium dense vegetation. The probable causes of this degradation are the lack of maintenance and the steepness of the slopes of the embankments (1H/1V on the downstream slope). In order to perpetuate the structure, we propose a reconstruction of the dam dike with upstream and downstream slopes of 2.5H/1V and 2H/1V, the construction of a protective dike on the right bank, the correction of the entire riprap mat of the channel and the reconstruction of the intake structure. The reconstructed structure will make it possible to store 3,395,000 m3 of water at the normal water level. The inflows estimated at 3,282,362 m3 in the decennial dry period will therefore be sufficient to fill the basin to 97%. The morphology of the land requires us to preserve the dike's wedge rib (finished crest level: 280 m). Considering that level, the remaining free height is 50 cm. We therefore propose the installation of a 50 cm high parapet wall to reinforce the hydrological safety of the structure. A horizontal sand filter 50 cm thick will be placed at the downstream foot of the dike in order to collect infiltration water in the massif and evacuate it downstream. The intake and discharge pipes will be made of cast iron with a nominal diameter of 300 mm and will enable the irrigation of a 20 ha perimeter downstream of the dam. The rehabilitation of the dam will therefore contribute to the improvement of the living conditions of the population of the Sourgou commune. However, some negative impacts such as environmental pollution through the use of pesticides have been noted. Attenuation measures have therefore been proposed in order to reduce their negative impacts. The cost of rehabilitation of the dam including the cost of those attenuation measures is estimated at 386,256,037 F CFA all taxes included.Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etudes techniques pour la réhabilitation du barrage de la, dans la commune rurale de Sourgou (province du Boulkiemdé, région du centre-ouest), Burkina Faso. [texte imprimé] / Wendkouni Nina ILBOUDO . - 2020 . - 112 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : La présente étude porte sur la réhabilitation du barrage de LA, situé dans la province du Boulkiemdé au Burkina Faso. Les études de base (études géotechnique, diagnostique et hydrologique) font ressortir que le barrage de LA, a été construit en 1987 et est constitué d’une digue homogène de longueur 581 m, d’un déversoir latéral naturel de longueur hydraulique 100 m, d’un ouvrage de prise, d’un mur bajoyer et d’une diguette de protection en rive gauche. Les talus de la digue sont érodés et recouverts d’une végétation moyennement dense. Les causes probables de cette dégradation sont le manque d’entretien et la raideur des pentes des talus (1H/1V sur talus aval). Afin de pérenniser l’ouvrage, nous proposons une reconstruction de la digue du barrage avec des pentes de talus amont et aval de 2,5H/1V et 2H/1V, la réalisation d’une diguette de protection en rive droite, la correction de l’ensemble du tapis d’enrochement du chenal et la reconstruction de l’ouvrage de prise. L’ouvrage reconstruit permettra de stocker 3 395 000 m3 d’eau au plan d’eau normal. Les apports évalués à 3 282 362 m3 en année décennale sèche suffiront donc pour remplir la cuvette à 97 %. La morphologie du terrain nous impose à conserver la côte de calage de la digue (niveau fini de crête : 280 m). En considérant cette côte, la revanche libre restante est de 50 cm. Nous proposons donc la mise en place d’un mur parapet de hauteur 50 cm pour renforcer la sécurité hydrologique de l’ouvrage. Un filtre de sable horizontal d’épaisseur 50 cm sera placé au pied aval de la digue afin de collecter les eaux d’infiltration dans le massif et de les évacuer à l’aval. La conduite de l’ouvrage de prise combiné à l’ouvrage de vidange sera en fonte de diamètre nominal 300 mm et permettra l’irrigation d’un périmètre de 20 ha en aval du barrage La réhabilitation du barrage contribuera donc à l’amélioration des conditions de vie de la population de la commune de Sourgou. Cependant, quelques impacts négatifs tels que la pollution de l’environnement par l’utilisation des pesticides ont été relevés. Des mesures d’atténuations ont donc été proposées afin de réduire leur ampleur. Le coût de réhabilitation du barrage y compris le coût de ces atténuations est estimé à 386 256 037 F CFA TTC.
The present study concerns the rehabilitation of LA dam, located in the province of Boulkiemdé, Burkina Faso. Built in 1987, baseline studies (geotechnical, diagnostic and hydrological studies) show that the dam is composed of an homogeneous dike of 581 m, a natural lateral spillway of 100 m, an intake structure, a bank wall and a protection dike on the left bank. The embankments of the dike are eroded and covered with medium dense vegetation. The probable causes of this degradation are the lack of maintenance and the steepness of the slopes of the embankments (1H/1V on the downstream slope). In order to perpetuate the structure, we propose a reconstruction of the dam dike with upstream and downstream slopes of 2.5H/1V and 2H/1V, the construction of a protective dike on the right bank, the correction of the entire riprap mat of the channel and the reconstruction of the intake structure. The reconstructed structure will make it possible to store 3,395,000 m3 of water at the normal water level. The inflows estimated at 3,282,362 m3 in the decennial dry period will therefore be sufficient to fill the basin to 97%. The morphology of the land requires us to preserve the dike's wedge rib (finished crest level: 280 m). Considering that level, the remaining free height is 50 cm. We therefore propose the installation of a 50 cm high parapet wall to reinforce the hydrological safety of the structure. A horizontal sand filter 50 cm thick will be placed at the downstream foot of the dike in order to collect infiltration water in the massif and evacuate it downstream. The intake and discharge pipes will be made of cast iron with a nominal diameter of 300 mm and will enable the irrigation of a 20 ha perimeter downstream of the dam. The rehabilitation of the dam will therefore contribute to the improvement of the living conditions of the population of the Sourgou commune. However, some negative impacts such as environmental pollution through the use of pesticides have been noted. Attenuation measures have therefore been proposed in order to reduce their negative impacts. The cost of rehabilitation of the dam including the cost of those attenuation measures is estimated at 386,256,037 F CFA all taxes included.Exemplaires
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NinaAdobe Acrobat PDFMémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etudes techniques de construction du barrage de Sigoguin, commune de Koudougou, province du Boulkiemdé (région du centre-ouest au Burkina Faso) / Hamado KABORE
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Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Etudes techniques de construction du barrage de Sigoguin, commune de Koudougou, province du Boulkiemdé (région du centre-ouest au Burkina Faso) Type de document : texte imprimé Auteurs : Hamado KABORE Année de publication : 2020 Importance : 110 p. Langues : Français (fre) Résumé : Dans la dynamique de contribuer au renforcement de la sécurité alimentaire, l’Etat Burkinabè, à travers le Ministère de l’Eau et de l’Assainissement (MEA), mène des actions de mobilisation des eaux de surface à travers la construction et la réhabilitation de barrages sur le territoire national. C’est dans ce cadre que s’inscrit la présente étude, base de décision pour la construction d’un barrage au profit du village de Sigoguin dans la commune de Koudougou.
Le barrage de Sigoguin est situé à l’exutoire d’un bassin versant de 210,51 km2 capable de mobiliser en année quinquennale sèche un volume d’eau de 4 210 200m3. Cette quantité d’eau suffit à remplir la cuvette du barrage dont la capacité de stockage est estimée à 719 038 m3au Plan d’Eau Normal (P.E.N), calée à la côte 275,5 m. A cette côte la superficie du plan d’eau est de 61,75ha.
La digue du barrage est en remblai homogène argileux avec un couronnement latéritique et une crête présentant une côte de 277 m. Elle a une longueur de 856 m et une largeur en crête de 3,5 m. La hauteur maximale est de la digue est de 4,5 m avec des talus amont de 1V/2,5H et aval de 1V/2H de pentes.
Le déversoir en béton de section trapézoïdale centré, est long de 225 m, et est conçu pour évacuer une crue centennale de 231,54m3/s. Il est calé à la côte 275,5 m et à l’aval se trouve un bassin de dissipation à ressaut de type II.
Deux murs bajoyers de 3 m de hauteur servent de jonction entre le déversoir et la digue.
Un ouvrage de prise calé à la côte 274,10 m permet l’irrigation de 5ha à l’aval du barrage.
Le coût de l’ouvrage est évalué à neuf cent dix-neuf millions huit cent vingt-neuf mille neuf cent cinquante-deux(919 829 952) francs CFA (TTC)y compris les impacts du plan de gestion environnemental et social.
Abstract : In order to contribute to the achievement of the objectives of the National Economic and Social Development Plan (PNDES), the State of Burkina Faso, through the General Directorate of Hydraulic Infrastructures (DGIH), carries out surface water mobilization activities with the construction and rehabilitation of dams on its territory. The Sigoguin dam is included in this program.
This paper presents the results of detailed technical studies for the realization of the said dam, located in the commune of Koudougou, in BURKINA FASO.
The Sigoguin Dam is located at the outlet of a 210.51 km2 watershed in which the risk of erosion is negligible. This basin can bring in 1,135,252.21 m3 of water per year. The basin has a surface area of 61.74 ha with a storable volume of 719,038 m3 at the Normal Water Body (NWB).
The Sigoguin dam embankmentis made of homogeneous clayey fill with a lateritic crown and a crest with a 277 m slope. It has a length of 856 m and a crestwidth of 3.5 m. The maximum height is 4.5 m with upstream slopes of 1V/2.5H and downstream slopes of 1V/2H.
The concrete spill way, with a trapezoidal section centered in the middle, is 225 m long, and is designed to discharge a centennial flood of 231.54 m3/s. The spill way is wedged at the 275.5 m shoreline and downstream is a type II overtopping dissipation basin. Two 3 m high bajoyer walls serve as a junction between the spillway and the dyke. An intake structure set at the 274.10 m hillside allows the irrigation of 5 ha downstream of the dam.
The cost of the structure is estimated at nine hundred and ten nine million eight hundred and twenty nine thousand nine hundred and fifty-two(919,829,952) CFA francs (TTC)), including the impacts of the environmental and social management plan.Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etudes techniques de construction du barrage de Sigoguin, commune de Koudougou, province du Boulkiemdé (région du centre-ouest au Burkina Faso) [texte imprimé] / Hamado KABORE . - 2020 . - 110 p.
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Résumé : Dans la dynamique de contribuer au renforcement de la sécurité alimentaire, l’Etat Burkinabè, à travers le Ministère de l’Eau et de l’Assainissement (MEA), mène des actions de mobilisation des eaux de surface à travers la construction et la réhabilitation de barrages sur le territoire national. C’est dans ce cadre que s’inscrit la présente étude, base de décision pour la construction d’un barrage au profit du village de Sigoguin dans la commune de Koudougou.
Le barrage de Sigoguin est situé à l’exutoire d’un bassin versant de 210,51 km2 capable de mobiliser en année quinquennale sèche un volume d’eau de 4 210 200m3. Cette quantité d’eau suffit à remplir la cuvette du barrage dont la capacité de stockage est estimée à 719 038 m3au Plan d’Eau Normal (P.E.N), calée à la côte 275,5 m. A cette côte la superficie du plan d’eau est de 61,75ha.
La digue du barrage est en remblai homogène argileux avec un couronnement latéritique et une crête présentant une côte de 277 m. Elle a une longueur de 856 m et une largeur en crête de 3,5 m. La hauteur maximale est de la digue est de 4,5 m avec des talus amont de 1V/2,5H et aval de 1V/2H de pentes.
Le déversoir en béton de section trapézoïdale centré, est long de 225 m, et est conçu pour évacuer une crue centennale de 231,54m3/s. Il est calé à la côte 275,5 m et à l’aval se trouve un bassin de dissipation à ressaut de type II.
Deux murs bajoyers de 3 m de hauteur servent de jonction entre le déversoir et la digue.
Un ouvrage de prise calé à la côte 274,10 m permet l’irrigation de 5ha à l’aval du barrage.
Le coût de l’ouvrage est évalué à neuf cent dix-neuf millions huit cent vingt-neuf mille neuf cent cinquante-deux(919 829 952) francs CFA (TTC)y compris les impacts du plan de gestion environnemental et social.
Abstract : In order to contribute to the achievement of the objectives of the National Economic and Social Development Plan (PNDES), the State of Burkina Faso, through the General Directorate of Hydraulic Infrastructures (DGIH), carries out surface water mobilization activities with the construction and rehabilitation of dams on its territory. The Sigoguin dam is included in this program.
This paper presents the results of detailed technical studies for the realization of the said dam, located in the commune of Koudougou, in BURKINA FASO.
The Sigoguin Dam is located at the outlet of a 210.51 km2 watershed in which the risk of erosion is negligible. This basin can bring in 1,135,252.21 m3 of water per year. The basin has a surface area of 61.74 ha with a storable volume of 719,038 m3 at the Normal Water Body (NWB).
The Sigoguin dam embankmentis made of homogeneous clayey fill with a lateritic crown and a crest with a 277 m slope. It has a length of 856 m and a crestwidth of 3.5 m. The maximum height is 4.5 m with upstream slopes of 1V/2.5H and downstream slopes of 1V/2H.
The concrete spill way, with a trapezoidal section centered in the middle, is 225 m long, and is designed to discharge a centennial flood of 231.54 m3/s. The spill way is wedged at the 275.5 m shoreline and downstream is a type II overtopping dissipation basin. Two 3 m high bajoyer walls serve as a junction between the spillway and the dyke. An intake structure set at the 274.10 m hillside allows the irrigation of 5 ha downstream of the dam.
The cost of the structure is estimated at nine hundred and ten nine million eight hundred and twenty nine thousand nine hundred and fifty-two(919,829,952) CFA francs (TTC)), including the impacts of the environmental and social management plan.Exemplaires
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HamadoAdobe Acrobat PDFMémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Optimisation de la gestion des bassins de collecte des eaux de ruissellement pour l’irrigation de complément au sahel burkinabè / Hakimou Benedicte Boinzemwende KINDO
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Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Optimisation de la gestion des bassins de collecte des eaux de ruissellement pour l’irrigation de complément au sahel burkinabè Type de document : texte imprimé Auteurs : Hakimou Benedicte Boinzemwende KINDO Année de publication : 2020 Importance : 80 p. Langues : Français (fre) Résumé : Cette étude a été menée dans la province du Bam située en zone sahélienne Burkinabè pour évaluer les conditions d’utilisation des bassins de collecte des eaux de ruissellement (BCER) permettant d’obtenir une gestion efficiente de la ressource en eau. L’approche méthodologique adoptée est essentiellement basée sur une étude statistique des chroniques de pluie afin d’établir un bilan hydrique sur le BCER en fonction du type de campagne et des besoins en eau de la culture. Les résultats ont montré que les séries chronologiques présentent une forte variabilité défavorable à l’agriculture. Les tests statistiques mettent en évidence une rupture sur la chronique des pluies annuelles de Ouahigouya dans le Yatenga se situant en 2006 et segmentant les données de pluies en deux parties : de 1988 à 2006 avec une moyenne des pluies de 643,41 mm et de 2007 à 2018 avec une moyenne des pluies de 831,93 mm Aucune rupture n’a été détectée sur la série de trente années de Kongoussi. Les zones de Ouahigouya et Kongoussi ont connu respectivement des périodes modérément à très sèches sur 17 années sur 100 et sur 14 années sur 100 ; contre seulement 6 années sur 100 et 7 années sur 100 pour des périodes extrêmement humides. Le bilan hydrique au niveau du BCER reste positif sur l’ensemble des années pour une exploitation de 0,2 ha d’emblavure en maïs. En conditions défavorables l’aire de captage minimal nécessaire pour remplir le BCER à 1/2 de sa capacité est de 2,74 ha, de 4,09 ha pour le remplir au 3/4 de capacité et de 5,45 ha pour le remplir totalement à la période de semis. La surface irrigable en condition d’eau limitée pour une utilisation optimale du BCER est de 0,85 ha en cas de remplissage au 1/2 de la capacité du BCER de 250 m3.
Abstract : This study was carried out in the province of Bam located in the Sahelian zone of Burkina Faso to assess the conditions of use of the runoff harvesting basin (BCER) to achieve effective management of water resources. The methodological approach adopted is essentially based on a statistical study of rainfall chronicles in order to establish a water balance on the runoff harvesting basin according to the type of campaign and the water needs of the crop. The results showed that the time series show a high variability unfavorable to agriculture. Statistical tests highlight a break in the annual rainfall chronicle of Ouahigouya in Yatenga located in 2006 and segmenting the rainfall data into two parts : from 1988 to 2006 with an average rainfall of 643.41 mm and from 2007 in 2018 with an average rainfall of 831.93 mm. No break was detected over the thirty-year series of Kongoussi. The Ouahigouya and Kongoussi areas experienced moderately to very dry periods over 17 out of 100 years and 14 out of 100 years, respectively; and only 6 years out of 100 and 7 years out of 100 for extremely wet periods. The water balance at the runoff harvesting basin remains positive over all years for a 0.2 ha farm with maize sown. Under unfavorable conditions, the minimum catchment area necessary to fill the runoff harvesting basin to 1/2 of its capacity is 2.74 ha, 4.09 ha to fill it to 3/4 of capacity and 5.45 ha for the fill completely during the sowing period. The irrigable area in limited water conditions for optimal using of the BCER is 0.85 ha with maize if it is filled to 1/2 of the BCER's capacity of 250m3 before sowing period.Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Optimisation de la gestion des bassins de collecte des eaux de ruissellement pour l’irrigation de complément au sahel burkinabè [texte imprimé] / Hakimou Benedicte Boinzemwende KINDO . - 2020 . - 80 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Cette étude a été menée dans la province du Bam située en zone sahélienne Burkinabè pour évaluer les conditions d’utilisation des bassins de collecte des eaux de ruissellement (BCER) permettant d’obtenir une gestion efficiente de la ressource en eau. L’approche méthodologique adoptée est essentiellement basée sur une étude statistique des chroniques de pluie afin d’établir un bilan hydrique sur le BCER en fonction du type de campagne et des besoins en eau de la culture. Les résultats ont montré que les séries chronologiques présentent une forte variabilité défavorable à l’agriculture. Les tests statistiques mettent en évidence une rupture sur la chronique des pluies annuelles de Ouahigouya dans le Yatenga se situant en 2006 et segmentant les données de pluies en deux parties : de 1988 à 2006 avec une moyenne des pluies de 643,41 mm et de 2007 à 2018 avec une moyenne des pluies de 831,93 mm Aucune rupture n’a été détectée sur la série de trente années de Kongoussi. Les zones de Ouahigouya et Kongoussi ont connu respectivement des périodes modérément à très sèches sur 17 années sur 100 et sur 14 années sur 100 ; contre seulement 6 années sur 100 et 7 années sur 100 pour des périodes extrêmement humides. Le bilan hydrique au niveau du BCER reste positif sur l’ensemble des années pour une exploitation de 0,2 ha d’emblavure en maïs. En conditions défavorables l’aire de captage minimal nécessaire pour remplir le BCER à 1/2 de sa capacité est de 2,74 ha, de 4,09 ha pour le remplir au 3/4 de capacité et de 5,45 ha pour le remplir totalement à la période de semis. La surface irrigable en condition d’eau limitée pour une utilisation optimale du BCER est de 0,85 ha en cas de remplissage au 1/2 de la capacité du BCER de 250 m3.
Abstract : This study was carried out in the province of Bam located in the Sahelian zone of Burkina Faso to assess the conditions of use of the runoff harvesting basin (BCER) to achieve effective management of water resources. The methodological approach adopted is essentially based on a statistical study of rainfall chronicles in order to establish a water balance on the runoff harvesting basin according to the type of campaign and the water needs of the crop. The results showed that the time series show a high variability unfavorable to agriculture. Statistical tests highlight a break in the annual rainfall chronicle of Ouahigouya in Yatenga located in 2006 and segmenting the rainfall data into two parts : from 1988 to 2006 with an average rainfall of 643.41 mm and from 2007 in 2018 with an average rainfall of 831.93 mm. No break was detected over the thirty-year series of Kongoussi. The Ouahigouya and Kongoussi areas experienced moderately to very dry periods over 17 out of 100 years and 14 out of 100 years, respectively; and only 6 years out of 100 and 7 years out of 100 for extremely wet periods. The water balance at the runoff harvesting basin remains positive over all years for a 0.2 ha farm with maize sown. Under unfavorable conditions, the minimum catchment area necessary to fill the runoff harvesting basin to 1/2 of its capacity is 2.74 ha, 4.09 ha to fill it to 3/4 of capacity and 5.45 ha for the fill completely during the sowing period. The irrigable area in limited water conditions for optimal using of the BCER is 0.85 ha with maize if it is filled to 1/2 of the BCER's capacity of 250m3 before sowing period.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
KindoAdobe Acrobat PDFMémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Information climatique et calculs de rendement sur parcelle expérimentale dans la province du Bam / Amina MAHAMAN LAMINOU AMADOU
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Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Information climatique et calculs de rendement sur parcelle expérimentale dans la province du Bam Type de document : texte imprimé Auteurs : Amina MAHAMAN LAMINOU AMADOU Année de publication : 2020 Importance : 90 p. Langues : Français (fre) Résumé : Le changement climatique figure au nombre des questions importantes en ce début du XXI éme siècle. En effet, il a un impact direct sur plusieurs secteurs, notamment le secteur agricole. La présente étude qui s’inscrit dans le cadre du Projet Irrigation de Complément et Information Climatique (PICIC), propose des stratégies d’adaptation pour réduire la vulnérabilité des producteurs sahéliens. Les caractéristiques climatiques de la saison (début, fin, longueur) ont été calculées à partir des pluies journalières de la station de Ouahigouya sur la période 1989 à 2018 ensuite la prévision de ces caractéristiques a été établie en utilisant les modèles régionaux RACMO, REMO et CCLM4 sur la période de 2020 à 2050 selon deux scénarios à savoir RCP4.5 et RCP8.5. Les résultats présentent une très forte variabilité des écarts autour des dates de début de saison, par contre les dates de fin des saisons varient moins.
L’analyse des informations collectées lors de notre enquête, ressort que les paysans utilisent plus leurs techniques endogènes basés sur l’événement pluvieux (44%), la tradition (17%), la croyance (19%) et la phénologie de certains arbres (7%) pour la prévision saisonnière, au détriment de l’information climatique (12%). Les producteurs souhaitent recevoir comme informations, le début de l’hivernage (83%), la durée de la saison des pluies (7%) et les informations journalières (4%) au cours du mois d’Avril pour la préparation de la campagne agricole. Afin de leur fournir ces informations, nous nous sommes basés sur le critère de Sivakumar pour établir un calendrier des dates de début et fin de saison. Aussi, sur les 15 producteurs participant à l’expérimentation, seuls deux (2) ont pu mener à terme l’expérimentation. Le site de Sakou a obtenu le rendement le plus élevé (1,1t/ha) sur la parcelle irriguée contre 0,02t/ha.
Abstract : Climate change is one of the important issues at the start of the 21st century. Indeed, it has a direct impact on several sectors, notably the agricultural sector. To allow producers to adapt to the variability of the rainy seasons in Burkina Faso. This study, which is part of the Complementary Irrigation and Climate Information Project (PICIC), proposes adaptation strategies to reduce the vulnerability of Sahelian producers. The climatic characteristics of the season (beginning, end, length) were calculated from the daily rains of the Ouahigouya station over the period 1989 to 2018 then the forecast of these characteristics was established using the regional models RACMO, REMO and CCLM4 over the period from 2020 to 2050 according to two climate scenarios RCP4.5 and RCP8.5. The results show a very high variability in the differences around the start dates of the season, on the other hand the end dates of the seasons vary less.
The analysis of the information collected during our survey shows that the farmers use their endogenous techniques more based on the rainy event (44%), the tradition (17%), the belief (19%) and the phenology of certain trees. (7%) for seasonal forecasting, to the detriment of climate information (12%). Producers wish to receive as information the start of wintering (83%), the duration of the rainy season (7%) and daily information (4%) during the month of April for the preparation of the campaign agricultural. In order to provide them with this information, we used Sivakumar's criteria to establish a calendar of the start and end dates of the season. Also, of the 15 producers participating in the experiment, only two (2) were able to complete the experiment. The Sakou site obtained the highest yield (1.1 t / ha) on the irrigated plot against 0.02 t / ha.Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Information climatique et calculs de rendement sur parcelle expérimentale dans la province du Bam [texte imprimé] / Amina MAHAMAN LAMINOU AMADOU . - 2020 . - 90 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Le changement climatique figure au nombre des questions importantes en ce début du XXI éme siècle. En effet, il a un impact direct sur plusieurs secteurs, notamment le secteur agricole. La présente étude qui s’inscrit dans le cadre du Projet Irrigation de Complément et Information Climatique (PICIC), propose des stratégies d’adaptation pour réduire la vulnérabilité des producteurs sahéliens. Les caractéristiques climatiques de la saison (début, fin, longueur) ont été calculées à partir des pluies journalières de la station de Ouahigouya sur la période 1989 à 2018 ensuite la prévision de ces caractéristiques a été établie en utilisant les modèles régionaux RACMO, REMO et CCLM4 sur la période de 2020 à 2050 selon deux scénarios à savoir RCP4.5 et RCP8.5. Les résultats présentent une très forte variabilité des écarts autour des dates de début de saison, par contre les dates de fin des saisons varient moins.
L’analyse des informations collectées lors de notre enquête, ressort que les paysans utilisent plus leurs techniques endogènes basés sur l’événement pluvieux (44%), la tradition (17%), la croyance (19%) et la phénologie de certains arbres (7%) pour la prévision saisonnière, au détriment de l’information climatique (12%). Les producteurs souhaitent recevoir comme informations, le début de l’hivernage (83%), la durée de la saison des pluies (7%) et les informations journalières (4%) au cours du mois d’Avril pour la préparation de la campagne agricole. Afin de leur fournir ces informations, nous nous sommes basés sur le critère de Sivakumar pour établir un calendrier des dates de début et fin de saison. Aussi, sur les 15 producteurs participant à l’expérimentation, seuls deux (2) ont pu mener à terme l’expérimentation. Le site de Sakou a obtenu le rendement le plus élevé (1,1t/ha) sur la parcelle irriguée contre 0,02t/ha.
Abstract : Climate change is one of the important issues at the start of the 21st century. Indeed, it has a direct impact on several sectors, notably the agricultural sector. To allow producers to adapt to the variability of the rainy seasons in Burkina Faso. This study, which is part of the Complementary Irrigation and Climate Information Project (PICIC), proposes adaptation strategies to reduce the vulnerability of Sahelian producers. The climatic characteristics of the season (beginning, end, length) were calculated from the daily rains of the Ouahigouya station over the period 1989 to 2018 then the forecast of these characteristics was established using the regional models RACMO, REMO and CCLM4 over the period from 2020 to 2050 according to two climate scenarios RCP4.5 and RCP8.5. The results show a very high variability in the differences around the start dates of the season, on the other hand the end dates of the seasons vary less.
The analysis of the information collected during our survey shows that the farmers use their endogenous techniques more based on the rainy event (44%), the tradition (17%), the belief (19%) and the phenology of certain trees. (7%) for seasonal forecasting, to the detriment of climate information (12%). Producers wish to receive as information the start of wintering (83%), the duration of the rainy season (7%) and daily information (4%) during the month of April for the preparation of the campaign agricultural. In order to provide them with this information, we used Sivakumar's criteria to establish a calendar of the start and end dates of the season. Also, of the 15 producers participating in the experiment, only two (2) were able to complete the experiment. The Sakou site obtained the highest yield (1.1 t / ha) on the irrigated plot against 0.02 t / ha.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
LaminouAdobe Acrobat PDFMémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Étude technique du système de drainage des eaux pluviales de la centralité secondaire de tanghin, commune de Ouagadougou / Abdoul Raboukia Ousmane OUEDRAOGO
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Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Étude technique du système de drainage des eaux pluviales de la centralité secondaire de tanghin, commune de Ouagadougou : étude d’avant projet détaillé du drain de Tanghin Type de document : texte imprimé Auteurs : Abdoul Raboukia Ousmane OUEDRAOGO Année de publication : 2020 Importance : 89 p. Langues : Français (fre) Résumé : La présente étude concerne un projet d‘assainissement pluvial localisé dans la ville de Ouagadougou, au Burkina Faso. Elle s’inscrit dans le cadre de la lutte contre les inondations dans cette ville, particulièrement dans la centralité secondaire de Tanghin. Ce mémoire porte sur l’étude technique du système de drainage des eaux pluviales dans ce quartier : il s’agit de l’aménagement du marigot de Tanghin. L’urbanisation accélérée et incontrôlée qui est dû à la croissance démographique galopante de la population est une des causes qui justifie le manque d’ouvrage de gestion des eaux pluvial dans cette centralité. D’où la naissance d’inondation récurrente dans ce quartier. La démarche méthodologique a d’abord consisté à effectuer un diagnostic de l’état actuel du canal avant de procéder à des études hydrologiques et hydrauliques pour le dimensionnement (conception) du canal et des ouvrages de franchissement. À l’issue de l’étude, la superficie du bassin versant est estimée à 10.08 km². Nous l’avons subdivisé en 14 sous bassins avec comme exutoire les ouvrages franchissement le long du canal. La longueur totale de notre canal fait 4.8km et il sera réalisé en béton armé de section trapézoïdal. Nous avons dimensionné notre ouvrage en prenant trois périodes de retour pour la pluie journalière maximale (il s’agit 92.3, 118.2 et 129.1) mm pour une période de retour respectivement de 10, 50 et 100 ans). Le calcul des débits a été effectuer avec la méthode rationnelle et celle de caquot. En tête et en fin du canal, nous avons respectivement comme débit 18 m3/s et de 89.6 m3/s. Ainsi nous avons retenu un dalot à sortie dénoyée de 4 ouvertures et de dimensions 3 x 2.5 m2 qui a été dimensionner pour le franchissement au niveau de la RN3. Une évaluation de l’impact de la réalisation des travaux sur l’environnement du projet est également jointe au dimensionnement, ainsi que des recommandations pour un fonctionnement optimal des ouvrages. Le coût de réalisation des ouvrages pour l’aménagement du drain s’élève à environ 1 902 925 563 Fcfa.
Abstract : This study concerns a stormwater sanitation project located in the city of Ouagadougou, Burkina Faso. It is part of the fight against flooding in this city, particularly in the secondary centre of Tanghin. This thesis deals with the technical study of the rainwater drainage system in this district: it concerns the development of the marigot of Tanghin. Accelerated and uncontrolled urbanisation due to galloping population growth is one of the causes that justifies the lack of rainwater management works in this centrality. Hence the recurrent flooding in this district. The methodological approach consisted first of all in carrying out a diagnosis of the current state of the canal before carrying out hydrological and hydraulic studies for the dimensioning (design) of the canal and the crossing works. At the end of the study, the surface area of the catchment area was estimated at 10.08 km². It was subdivided into 14 sub-basins with the crossing structures along the canal as an outlet. The total length of our canal is 4.8 km and it will be made of reinforced concrete with a trapezoidal section. We have dimensioned our structure taking three return periods for the maximum daily rainfall (92.3, 118.2 and 129.1 mm for a return period of 10, 50 and 100 years respectively). The flow rates were calculated using the rational and caquot method. At the head and at the end of the canal, we have 18 m3/s and 89.6 m3/s respectively. Thus we have chosen a gutter with a dewatered outlet with 4 openings and dimensions of 3 x 2.5 m² which has been dimensioned for the crossing at the level of the RN3. An assessment of the impact of the works on the project environment is also included in the design, as well as recommendations for optimal operation of the works. The cost of building the works for the development of the drain amounts to approximately 1,902,925,563 Fcfa.Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Étude technique du système de drainage des eaux pluviales de la centralité secondaire de tanghin, commune de Ouagadougou : étude d’avant projet détaillé du drain de Tanghin [texte imprimé] / Abdoul Raboukia Ousmane OUEDRAOGO . - 2020 . - 89 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : La présente étude concerne un projet d‘assainissement pluvial localisé dans la ville de Ouagadougou, au Burkina Faso. Elle s’inscrit dans le cadre de la lutte contre les inondations dans cette ville, particulièrement dans la centralité secondaire de Tanghin. Ce mémoire porte sur l’étude technique du système de drainage des eaux pluviales dans ce quartier : il s’agit de l’aménagement du marigot de Tanghin. L’urbanisation accélérée et incontrôlée qui est dû à la croissance démographique galopante de la population est une des causes qui justifie le manque d’ouvrage de gestion des eaux pluvial dans cette centralité. D’où la naissance d’inondation récurrente dans ce quartier. La démarche méthodologique a d’abord consisté à effectuer un diagnostic de l’état actuel du canal avant de procéder à des études hydrologiques et hydrauliques pour le dimensionnement (conception) du canal et des ouvrages de franchissement. À l’issue de l’étude, la superficie du bassin versant est estimée à 10.08 km². Nous l’avons subdivisé en 14 sous bassins avec comme exutoire les ouvrages franchissement le long du canal. La longueur totale de notre canal fait 4.8km et il sera réalisé en béton armé de section trapézoïdal. Nous avons dimensionné notre ouvrage en prenant trois périodes de retour pour la pluie journalière maximale (il s’agit 92.3, 118.2 et 129.1) mm pour une période de retour respectivement de 10, 50 et 100 ans). Le calcul des débits a été effectuer avec la méthode rationnelle et celle de caquot. En tête et en fin du canal, nous avons respectivement comme débit 18 m3/s et de 89.6 m3/s. Ainsi nous avons retenu un dalot à sortie dénoyée de 4 ouvertures et de dimensions 3 x 2.5 m2 qui a été dimensionner pour le franchissement au niveau de la RN3. Une évaluation de l’impact de la réalisation des travaux sur l’environnement du projet est également jointe au dimensionnement, ainsi que des recommandations pour un fonctionnement optimal des ouvrages. Le coût de réalisation des ouvrages pour l’aménagement du drain s’élève à environ 1 902 925 563 Fcfa.
Abstract : This study concerns a stormwater sanitation project located in the city of Ouagadougou, Burkina Faso. It is part of the fight against flooding in this city, particularly in the secondary centre of Tanghin. This thesis deals with the technical study of the rainwater drainage system in this district: it concerns the development of the marigot of Tanghin. Accelerated and uncontrolled urbanisation due to galloping population growth is one of the causes that justifies the lack of rainwater management works in this centrality. Hence the recurrent flooding in this district. The methodological approach consisted first of all in carrying out a diagnosis of the current state of the canal before carrying out hydrological and hydraulic studies for the dimensioning (design) of the canal and the crossing works. At the end of the study, the surface area of the catchment area was estimated at 10.08 km². It was subdivided into 14 sub-basins with the crossing structures along the canal as an outlet. The total length of our canal is 4.8 km and it will be made of reinforced concrete with a trapezoidal section. We have dimensioned our structure taking three return periods for the maximum daily rainfall (92.3, 118.2 and 129.1 mm for a return period of 10, 50 and 100 years respectively). The flow rates were calculated using the rational and caquot method. At the head and at the end of the canal, we have 18 m3/s and 89.6 m3/s respectively. Thus we have chosen a gutter with a dewatered outlet with 4 openings and dimensions of 3 x 2.5 m² which has been dimensioned for the crossing at the level of the RN3. An assessment of the impact of the works on the project environment is also included in the design, as well as recommendations for optimal operation of the works. The cost of building the works for the development of the drain amounts to approximately 1,902,925,563 Fcfa.Exemplaires
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AbdoulAdobe Acrobat PDF
PlanAdobe Acrobat PDFMémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Caractérisation hydrogéologique d’un aquifère en zone de socle altère : cas du bassin versant de Wedbila dans les régions du centre et du centre sud au Burkina Faso / Bépouguin Augustin Clément OUEDRAOGO
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Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Caractérisation hydrogéologique d’un aquifère en zone de socle altère : cas du bassin versant de Wedbila dans les régions du centre et du centre sud au Burkina Faso Type de document : texte imprimé Auteurs : Bépouguin Augustin Clément OUEDRAOGO Année de publication : 2020 Importance : 88 p. Langues : Français (fre) Résumé : Les eaux de surface deviennent de plus en plus insuffisantes pour les pays arides et semi-arides pour des raisons de croissance démographique et économique ; de changement des modes de consommation et des effets de changement climatique. Pour pallier cela ; d’autres sources d’eau doivent être envisagées d’où la tendance accrue vers les ressources en eau souterraine. Cependant les connaissances sur cette ressource sont peu nombreuses et insuffisantes pour mieux la cerner d’où cette étude de caractérisation hydrogéologique de la frange altérée du bassin de Wedbila d’une superficie de 150 km2. Il est à cheval entre les régions du Centre et du Centre Sud du Burkina. La méthodologie adoptée pour la caractérisation est une étude géologique et hydrodynamique. Dans le cadre de cette étude, il nous a été donné de réaliser des tomographies de résistivité électrique (TRE) dont onze (11) profils électriques, des Slug tests sur dix (10) micro-piézomètres et des essais de puits simplifiés CIEH sur cinq (05) puits à grand diamètre.
Les conclusions de cette étude montrent que la partie altérée a une épaisseur entre 15 à 35 mètres et est recouverte en partie de cuirasse. Cette épaisseur connait une augmentation à l’amont du seuil d’épandage 1. L’altération enregistre des transmissivités faibles et moyennes (10-9 à 10-4 m2/s). Pour la productivité, les essais de puits nous ont montrés que trois (03) puits sont classés dans l’hydraulique villageoise, un (01) dans l’hydraulique agricole et un (01) dans l’hydraulique urbaine en se référant au classement CIEH avec des débits spécifiques de 6,27.10-3 à 1,21 m3/h/m et des productivités allant de 2,92.10-3 à 1.46 m3/h.
Abstract : Surface water is becoming increasingly scarce in arid and semi-arid countries due to population and economic growth, changing consumption patterns and the effects of climate change. To mitigate this; alternative sources of water must be considered, hence the increasing trend towards groundwater resources. However, the knowledge on this resource is few and insufficient to better understand it, hence this hydrogeological characterization study of the weathered portion of the Wedbila basin with an area of 150 km2. It straddles the central and south-central regions of Burkina Faso. The methodology adopted for the characterization is a geological and hydrodynamic study. Within the framework of this study, we were given the opportunity to carry out Electrical Resistivity Tomography (ERT) including eleven (11) electrical profiles, Slug tests on ten (10) micro-piezometers and CIEH simplified well tests on five (05) large diameter wells.
The conclusions of this study show that the weathered part has a thickness between 15 and 35 meters and is partially covered in part by iron crust. This thickness increases upstream of the weir 1. The alteration records low and medium transmissivities (10-9 to 10-4 m2/s). For the productivity, the well tests showed us that tree (03) wells are classified in village water supply, one (01) in agricultural hydraulics and one (01) in urban hydraulics by referring to the CIEH classification with specific flow rates of 6.27.10-3 to 1.21 m3/h/m and productivities ranging from 2.92.10-3 to 1.46 m3/h.Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Caractérisation hydrogéologique d’un aquifère en zone de socle altère : cas du bassin versant de Wedbila dans les régions du centre et du centre sud au Burkina Faso [texte imprimé] / Bépouguin Augustin Clément OUEDRAOGO . - 2020 . - 88 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Les eaux de surface deviennent de plus en plus insuffisantes pour les pays arides et semi-arides pour des raisons de croissance démographique et économique ; de changement des modes de consommation et des effets de changement climatique. Pour pallier cela ; d’autres sources d’eau doivent être envisagées d’où la tendance accrue vers les ressources en eau souterraine. Cependant les connaissances sur cette ressource sont peu nombreuses et insuffisantes pour mieux la cerner d’où cette étude de caractérisation hydrogéologique de la frange altérée du bassin de Wedbila d’une superficie de 150 km2. Il est à cheval entre les régions du Centre et du Centre Sud du Burkina. La méthodologie adoptée pour la caractérisation est une étude géologique et hydrodynamique. Dans le cadre de cette étude, il nous a été donné de réaliser des tomographies de résistivité électrique (TRE) dont onze (11) profils électriques, des Slug tests sur dix (10) micro-piézomètres et des essais de puits simplifiés CIEH sur cinq (05) puits à grand diamètre.
Les conclusions de cette étude montrent que la partie altérée a une épaisseur entre 15 à 35 mètres et est recouverte en partie de cuirasse. Cette épaisseur connait une augmentation à l’amont du seuil d’épandage 1. L’altération enregistre des transmissivités faibles et moyennes (10-9 à 10-4 m2/s). Pour la productivité, les essais de puits nous ont montrés que trois (03) puits sont classés dans l’hydraulique villageoise, un (01) dans l’hydraulique agricole et un (01) dans l’hydraulique urbaine en se référant au classement CIEH avec des débits spécifiques de 6,27.10-3 à 1,21 m3/h/m et des productivités allant de 2,92.10-3 à 1.46 m3/h.
Abstract : Surface water is becoming increasingly scarce in arid and semi-arid countries due to population and economic growth, changing consumption patterns and the effects of climate change. To mitigate this; alternative sources of water must be considered, hence the increasing trend towards groundwater resources. However, the knowledge on this resource is few and insufficient to better understand it, hence this hydrogeological characterization study of the weathered portion of the Wedbila basin with an area of 150 km2. It straddles the central and south-central regions of Burkina Faso. The methodology adopted for the characterization is a geological and hydrodynamic study. Within the framework of this study, we were given the opportunity to carry out Electrical Resistivity Tomography (ERT) including eleven (11) electrical profiles, Slug tests on ten (10) micro-piezometers and CIEH simplified well tests on five (05) large diameter wells.
The conclusions of this study show that the weathered part has a thickness between 15 and 35 meters and is partially covered in part by iron crust. This thickness increases upstream of the weir 1. The alteration records low and medium transmissivities (10-9 to 10-4 m2/s). For the productivity, the well tests showed us that tree (03) wells are classified in village water supply, one (01) in agricultural hydraulics and one (01) in urban hydraulics by referring to the CIEH classification with specific flow rates of 6.27.10-3 to 1.21 m3/h/m and productivities ranging from 2.92.10-3 to 1.46 m3/h.Exemplaires
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ClementAdobe Acrobat PDFMémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etudes techniques pour la réalisation du barrage de Kougouya koko, commune de Bassi, province du Zondoma, région du nord au Burkina Faso / Hamidou OUEDRAOGO
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Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Etudes techniques pour la réalisation du barrage de Kougouya koko, commune de Bassi, province du Zondoma, région du nord au Burkina Faso Type de document : texte imprimé Auteurs : Hamidou OUEDRAOGO Année de publication : 2020 Importance : 133 p. Langues : Français (fre) Résumé : Le présent mémoire présente les résultats des études techniques pour la construction du barrage de Tougouya Koko. Ce projet entre dans le cadre des constructions et réhabilitations de divers barrages dans plusieurs régions du Burkina entreprises par le Ministère de l’Eau et de l‘Assainissement (MEA) conformément à la politique nationale en matière de sécurité alimentaire et de réduction de la pauvreté en milieu rural. Cette étude a pour but de réaliser des études techniques pour la construction du barrage de Tougouya Koko. Pour ce faire, des études de base sont effectuées afin de permettre le dimensionnement d’une digue, d’un évacuateur de crue, des ouvrages annexes et la mise en place d’un plan de gestion environnementale et sociale. Le site choisi est alimenté par un bassin versant de 321,31 km2, recevant une pluie moyenne annuelle de 667,42 mm et drainant en moyenne 8,32 millions m3 d’eau par an. L’étude projette pour ce site, la construction d’un barrage long de 1076 m (déversoir y compris) avec une largeur en crête de 4,00 m calée à la côte 313,30 m. Les talus ont une pente de 2,5H/1V et sont protégés par du perré sec. L’évacuateur de crue est un déversoir de type poids en béton cyclopéen à section trapézoïdale, callé à la côte 311,50 m, positionné en rive droite et ayant une longueur de 110 m. Cette côte du déversoir engendre un plan d’eau de 511,74 ha et un volume d’environ 6 millions de m3. En aval du déversoir se trouve un bassin de dissipation à ressaut de 4 m de long. Un ouvrage de prise sera construit afin de rendre l’eau disponible en aval pour les besoins agricoles. L’eau disponible permettra l’aménagement de 100 ha de cultures maraichères. Le coût des travaux est de 1 071 127 423 francs CFA Hors Taxes.
La mise en œuvre du plan de gestion environnementale et sociale est estimée à 263 870 500 francs CFA Hors taxes, soit un coût global du projet estimé à 1 334 997 923 francs CFA Hors Taxes.
Abstract : This brief outlines the results of the technical studies for the construction of the Tougouya Koko dam. This project is part of the construction and rehabilitation of various dams in several regions of Burkina undertaken by the Water and Sanitation Department in accordance with the national policy on food security and poverty reduction in rural areas. The purpose of this study is to carry out the technical studies for the construction of Tougouya Koko dam. To achieve this goal, basic studies are carried out in order to allow the designing of a dike, a spillway, ancillary works and the implementation of an environmental and social management plan. The chosen site is fed by a catchment area of 321.31 km2, receiving an average annual rainfall of 667.42 mm and draining an average of 8.32 million m3 of water per year. This study is planning to equip the site with a dam 1076 m long (including the spillway) with a crest width of 4 m set at the 313.30 m shoreline. The embankments have a slope of 2,5H/1V and are protected by dry drilling. The spillway is a trapezoidal cross-section weight spillway type made of cyclopean concrete with a length of 110 m, positioned on the right bank, wedged to the 311.50 m hillside. This height of the spillway generates a body of water of 511.74 ha and a volume of approximately 6 million m3. Downstream of the spillway there is a 4 m wide overflow dissipation basin. An intake structure will be built to make the water available downstream for agricultural purposes. The available water will allow the development of 100 ha of market gardening. The cost of the works is 1 071 127 423 francs excluding taxes. The implementation of the environmental and social management plan is estimated at 263,870,500 CFA francs excluding tax, giving a total project cost estimated at 1,334,997,923 CFA francs excluding tax.Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etudes techniques pour la réalisation du barrage de Kougouya koko, commune de Bassi, province du Zondoma, région du nord au Burkina Faso [texte imprimé] / Hamidou OUEDRAOGO . - 2020 . - 133 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Le présent mémoire présente les résultats des études techniques pour la construction du barrage de Tougouya Koko. Ce projet entre dans le cadre des constructions et réhabilitations de divers barrages dans plusieurs régions du Burkina entreprises par le Ministère de l’Eau et de l‘Assainissement (MEA) conformément à la politique nationale en matière de sécurité alimentaire et de réduction de la pauvreté en milieu rural. Cette étude a pour but de réaliser des études techniques pour la construction du barrage de Tougouya Koko. Pour ce faire, des études de base sont effectuées afin de permettre le dimensionnement d’une digue, d’un évacuateur de crue, des ouvrages annexes et la mise en place d’un plan de gestion environnementale et sociale. Le site choisi est alimenté par un bassin versant de 321,31 km2, recevant une pluie moyenne annuelle de 667,42 mm et drainant en moyenne 8,32 millions m3 d’eau par an. L’étude projette pour ce site, la construction d’un barrage long de 1076 m (déversoir y compris) avec une largeur en crête de 4,00 m calée à la côte 313,30 m. Les talus ont une pente de 2,5H/1V et sont protégés par du perré sec. L’évacuateur de crue est un déversoir de type poids en béton cyclopéen à section trapézoïdale, callé à la côte 311,50 m, positionné en rive droite et ayant une longueur de 110 m. Cette côte du déversoir engendre un plan d’eau de 511,74 ha et un volume d’environ 6 millions de m3. En aval du déversoir se trouve un bassin de dissipation à ressaut de 4 m de long. Un ouvrage de prise sera construit afin de rendre l’eau disponible en aval pour les besoins agricoles. L’eau disponible permettra l’aménagement de 100 ha de cultures maraichères. Le coût des travaux est de 1 071 127 423 francs CFA Hors Taxes.
La mise en œuvre du plan de gestion environnementale et sociale est estimée à 263 870 500 francs CFA Hors taxes, soit un coût global du projet estimé à 1 334 997 923 francs CFA Hors Taxes.
Abstract : This brief outlines the results of the technical studies for the construction of the Tougouya Koko dam. This project is part of the construction and rehabilitation of various dams in several regions of Burkina undertaken by the Water and Sanitation Department in accordance with the national policy on food security and poverty reduction in rural areas. The purpose of this study is to carry out the technical studies for the construction of Tougouya Koko dam. To achieve this goal, basic studies are carried out in order to allow the designing of a dike, a spillway, ancillary works and the implementation of an environmental and social management plan. The chosen site is fed by a catchment area of 321.31 km2, receiving an average annual rainfall of 667.42 mm and draining an average of 8.32 million m3 of water per year. This study is planning to equip the site with a dam 1076 m long (including the spillway) with a crest width of 4 m set at the 313.30 m shoreline. The embankments have a slope of 2,5H/1V and are protected by dry drilling. The spillway is a trapezoidal cross-section weight spillway type made of cyclopean concrete with a length of 110 m, positioned on the right bank, wedged to the 311.50 m hillside. This height of the spillway generates a body of water of 511.74 ha and a volume of approximately 6 million m3. Downstream of the spillway there is a 4 m wide overflow dissipation basin. An intake structure will be built to make the water available downstream for agricultural purposes. The available water will allow the development of 100 ha of market gardening. The cost of the works is 1 071 127 423 francs excluding taxes. The implementation of the environmental and social management plan is estimated at 263,870,500 CFA francs excluding tax, giving a total project cost estimated at 1,334,997,923 CFA francs excluding tax.Exemplaires
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HamidouAdobe Acrobat PDFMémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude diagnostic et d’extension d’un aménagement hydro-agricole / Sakinatou OUEDRAOGO
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Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Etude diagnostic et d’extension d’un aménagement hydro-agricole : cas du périmètre irrigue de Nabyon situé dans le nord de la Côte d’Ivoire Type de document : texte imprimé Auteurs : Sakinatou OUEDRAOGO Année de publication : 2020 Importance : 160 p. Langues : Français (fre) Résumé : Le présent mémoire basé sur l’étude diagnostic et d’extension du périmètre irrigué de kafiné, situé au nord de la Cote d’Ivoire, entre dans le cadre d’un vaste Programme National d’Investissement Agricole (PNIA), qui vise l’émergence des aménagements et la pérennisation des infrastructures hydro-agricoles au nord de la cote d’ivoire. Sur le site, il est prévu principalement, la pratique de la riziculture en double saison. Le projet vise d’une part, le diagnostic de l’aménagement de 100 ha existant, qui rencontre ces dernières années, des contraintes d’exploitation liées à la détérioration des infrastructures. D’autre part, il vise la réalisation de l’extension sur une superficie de 320 ha à la limite aval. Pour ce faire, un état de lieux des infrastructures en place a été effectué, suivi, des mesures dimensionnelles de certains ouvrages comme les canaux principaux rive gauche et droite, avec respectivement une largeur en base de 1,3 et 1,15 m. A l’issus de ce diagnostic, des actions à mener en vue de la réhabilitation ont été proposées. Concernant, l’extension, une étude de base sur la topographie, la capacité du barrage, la pédologie etc. a été réalisée pour confirmer, la faisabilité et l’aptitude du sol pour l’irrigation du riz. Le périmètre est irrigué de façon gravitaire et subdivisé en deux blocs de part et d’autre du drain principal, long de 14000 ml. Le barrage, avec une capacité utile de 18millions m3, permet de satisfaire convenablement les besoins en eau de toute la superficie projetée. Le débit d’équipement retenu est de 3,32 l/s/ha avec une main d’eau de 30l/s. Le réseau d’irrigation est ainsi dimensionné, avec un découpage parcellaire allant de 0,5 à 1 ha, alimenté par des canaux principaux de type trapézoïdal, de largeur b comprise entre 0,4 et 1,3 m et des canaux secondaires de 30 cm en base. Le réseau de drainage projeté est constitué, des drains secondaires et des drains latéraux. Le drain principal a été redimensionné pour faciliter son reprofilage. A l’issu de cette étude, une évaluation d’impacts environnementaux et sociaux ainsi que des recommandations sur la gestion ont été faites pour améliorer l’exploitation du périmètre. Le cout global du projet s’élève à 9 221 834FCFA par hectare pour la réhabilitation et 16 220 104 FCFA par hectare pour l’extension du périmètre.
Abstract : The present thesis based on the diagnostic study and extension of the irrigated perimeter of kafiné, located in the north of Ivory coast, is part of a vast National Agricultural Investment Program (PNIA), which aims at the emergence of developments and the perpetuation of hydro-agricultural infrastructures in the north of Ivory Coast. On the site, it’s mainly planned to practice rice cultivation in double season. The project aims, on the one hand, to diagnose the development of 100 ha of existing land, which in recent years has encountered operating constraints related to the deterioration of infrastructure. On the other hand, it aims at the realization of the extension over an area of 320 ha at the downstream limit. To this end, an inventory of the infrastructures in place was carried out, followed by dimensional measurements of certain structures such as the main canals on the left and right banks, with a base width of 1.3 and 1.15 m respectively. At the end of this diagnosis, actions to be carried out with a view to rehabilitation were proposed. Concerning the extension, a basic study on the topography, the capacity of the dam, the pedology, etc. was carried out to confirm the feasibility and suitability of the soil for rice irrigation. The perimeter is irrigated by gravity and subdivided into two blocks on either side of the main drain, 14000 ml long. The dam, with a useful capacity of 18million m3, allows to adequately satisfy the water needs of the entire projected area. The flow rate of the retained equipment is 3.32 l/s/ha with a water hand of 30l/s. The irrigation network is thus dimensioned, with a plot size ranging from 0.5 to 1 ha, supplied by main canals of trapezoidal type, width b between 0.4 and 1.3 m and secondary canals of 30 cm at the base. The projected drainage network is made up of secondary and lateral drains. The main drain has been resized to facilitate its reprofiling. At the end of this study, an environmental and social impact assessment and management recommendations were made to improve the operation of the perimeter. The overall cost of the project amounts to 9 221 834FCFA/ha for the rehabilitation and 16 220 104 FCFA/ha for the extension.Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude diagnostic et d’extension d’un aménagement hydro-agricole : cas du périmètre irrigue de Nabyon situé dans le nord de la Côte d’Ivoire [texte imprimé] / Sakinatou OUEDRAOGO . - 2020 . - 160 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Le présent mémoire basé sur l’étude diagnostic et d’extension du périmètre irrigué de kafiné, situé au nord de la Cote d’Ivoire, entre dans le cadre d’un vaste Programme National d’Investissement Agricole (PNIA), qui vise l’émergence des aménagements et la pérennisation des infrastructures hydro-agricoles au nord de la cote d’ivoire. Sur le site, il est prévu principalement, la pratique de la riziculture en double saison. Le projet vise d’une part, le diagnostic de l’aménagement de 100 ha existant, qui rencontre ces dernières années, des contraintes d’exploitation liées à la détérioration des infrastructures. D’autre part, il vise la réalisation de l’extension sur une superficie de 320 ha à la limite aval. Pour ce faire, un état de lieux des infrastructures en place a été effectué, suivi, des mesures dimensionnelles de certains ouvrages comme les canaux principaux rive gauche et droite, avec respectivement une largeur en base de 1,3 et 1,15 m. A l’issus de ce diagnostic, des actions à mener en vue de la réhabilitation ont été proposées. Concernant, l’extension, une étude de base sur la topographie, la capacité du barrage, la pédologie etc. a été réalisée pour confirmer, la faisabilité et l’aptitude du sol pour l’irrigation du riz. Le périmètre est irrigué de façon gravitaire et subdivisé en deux blocs de part et d’autre du drain principal, long de 14000 ml. Le barrage, avec une capacité utile de 18millions m3, permet de satisfaire convenablement les besoins en eau de toute la superficie projetée. Le débit d’équipement retenu est de 3,32 l/s/ha avec une main d’eau de 30l/s. Le réseau d’irrigation est ainsi dimensionné, avec un découpage parcellaire allant de 0,5 à 1 ha, alimenté par des canaux principaux de type trapézoïdal, de largeur b comprise entre 0,4 et 1,3 m et des canaux secondaires de 30 cm en base. Le réseau de drainage projeté est constitué, des drains secondaires et des drains latéraux. Le drain principal a été redimensionné pour faciliter son reprofilage. A l’issu de cette étude, une évaluation d’impacts environnementaux et sociaux ainsi que des recommandations sur la gestion ont été faites pour améliorer l’exploitation du périmètre. Le cout global du projet s’élève à 9 221 834FCFA par hectare pour la réhabilitation et 16 220 104 FCFA par hectare pour l’extension du périmètre.
Abstract : The present thesis based on the diagnostic study and extension of the irrigated perimeter of kafiné, located in the north of Ivory coast, is part of a vast National Agricultural Investment Program (PNIA), which aims at the emergence of developments and the perpetuation of hydro-agricultural infrastructures in the north of Ivory Coast. On the site, it’s mainly planned to practice rice cultivation in double season. The project aims, on the one hand, to diagnose the development of 100 ha of existing land, which in recent years has encountered operating constraints related to the deterioration of infrastructure. On the other hand, it aims at the realization of the extension over an area of 320 ha at the downstream limit. To this end, an inventory of the infrastructures in place was carried out, followed by dimensional measurements of certain structures such as the main canals on the left and right banks, with a base width of 1.3 and 1.15 m respectively. At the end of this diagnosis, actions to be carried out with a view to rehabilitation were proposed. Concerning the extension, a basic study on the topography, the capacity of the dam, the pedology, etc. was carried out to confirm the feasibility and suitability of the soil for rice irrigation. The perimeter is irrigated by gravity and subdivided into two blocks on either side of the main drain, 14000 ml long. The dam, with a useful capacity of 18million m3, allows to adequately satisfy the water needs of the entire projected area. The flow rate of the retained equipment is 3.32 l/s/ha with a water hand of 30l/s. The irrigation network is thus dimensioned, with a plot size ranging from 0.5 to 1 ha, supplied by main canals of trapezoidal type, width b between 0.4 and 1.3 m and secondary canals of 30 cm at the base. The projected drainage network is made up of secondary and lateral drains. The main drain has been resized to facilitate its reprofiling. At the end of this study, an environmental and social impact assessment and management recommendations were made to improve the operation of the perimeter. The overall cost of the project amounts to 9 221 834FCFA/ha for the rehabilitation and 16 220 104 FCFA/ha for the extension.Exemplaires
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SakinatouAdobe Acrobat PDFMémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Avant-Projet Détaillé pour la réalisation du système d’Adduction d’Eau Potable Simplifiée (AEPS) : Cas du village de Bonzon, commune de Solenzo, province de Banwa, région de la Boucle du Mouhoun (BURKINA FASO) / Abdoul Aziz SAWADOGO
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Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Avant-Projet Détaillé pour la réalisation du système d’Adduction d’Eau Potable Simplifiée (AEPS) : Cas du village de Bonzon, commune de Solenzo, province de Banwa, région de la Boucle du Mouhoun (BURKINA FASO) Type de document : texte imprimé Auteurs : Abdoul Aziz SAWADOGO Année de publication : 2020 Importance : 105 p. Langues : Français (fre) Résumé : Bonzon, village situé dans la province de Banwa et dans la commune de Solenzo, connait des problèmes liés à un accès adéquat à l’eau potable. Le taux d’accès actuel à l’eau potable est de 12%. Le village est actuellement alimenté par deux (02) forages équipés de pompe à motricité humaine dont un (01) institutionnel et des puits (traditionnels et modernes). La population en 2020 est estimée à 8256 habitants. Pour contribuer à l’amélioration de l’alimentation en eau potable de cette localité, il est prévu la réalisation d’études techniques détaillées en vue de la mise en œuvre d’un système approprié d’approvisionnement en eau potable. Le présent mémoire dont le thème est : « Avant-Projet Détaillé pour la réalisation du système d’Adduction d’Eau Potable Simplifié (AEPS) : Cas du village de Bonzon, commune de Solenzo, province de Banwa, région de la Boucle du Mouhoun » vise la réalisation de ce projet. Le système va desservir le centre de Bonzon à l’horizon 2040. La population à desservir est estimée à 10 408 habitants qui représente 80% de la population projeté en 2040. La source d’alimentation en eau est un ensemble de quatre (04) forages ayant chacun un débit d’exploitation de 5 m3/h avec une HMT de 88 m. A partir du forage le refoulement de l’eau sera assuré par une pompe immergée Grundfos SP 8A-18 avec l’énergie photovoltaïque pour source principale d’énergie et l’énergie thermique en relais. La conduite de refoulement est en PVC PN16 avec un diamètre nominal de 90mm. La distribution se fera de façon gravitaire à partir d’un château d’eau métallique de 75 m3. Les points de desserte seront constitués de dix (10) bornes fontaines. Les diamètres de ces tuyauteries de distribution varient de 110 mm à 50 mm avec une longueur cumulée des canalisations d’environ 3,85 kilomètres. La pression de service est de 5 mCE. Le coût global des travaux est estimé à trois cent trente-huit millions cent soixante-dix mille huit cent quatre-vingt-dix (338 170 890) F CFA TTC.
Abstract : Bonzon, a village located in the province of Banwa and in the municipality of Solenzo, is experiencing problems related to adequate access to drinking water. The actual access rate to drinking water is 12%. The village is currently supplied by two (02) boreholes equipped with human-powered pumps including one (01) institutional and wells (traditional and modern). The population in 2020 is estimated at 8,256 inhabitants. To help improve the drinking water supply in this locality, detailed technical studies are planned for the implementation of an appropriate drinking water supply system. This thesis, the theme of which is: “Detailed Pre-Project for the realization of the Simplified Drinking Water Supply System (AEPS): Case of the village of Bonzon, municipality of Solenzo, province of Banwa, region of Boucle du Mouhoun” Is aimed at the realization of this project. The system will serve the center of Bonzon by 2040. The population to be served is estimated at 10,408 inhabitants, which represents 80% of the population projected in 2040. The water supply source is a set of four (04) boreholes with an operating flow of 5m3/h with an HMT of 88m. From the borehole, the water will be delivered by a Grundfos SP 8A-18 submersible pump with photovoltaic energy as the main source of energy and thermal energy as a relay. The discharge line is made of PVC PN16 with a nominal diameter of 90mm. The distribution will be done by gravity from a 75 m3 metallic water tower. The service points will consist of ten (10) standpipes. The diameters of these distribution pipes vary from 110 mm to 50 mm with a cumulative length of the pipes of approximately 3, 85 kilometers. The working pressure is 05 mWC. The overall cost of the work is estimated at three hundred and thirty-eight million one hundred and seventy thousand eight hundred and ninety (338 170 890) F CFA including tax.Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Avant-Projet Détaillé pour la réalisation du système d’Adduction d’Eau Potable Simplifiée (AEPS) : Cas du village de Bonzon, commune de Solenzo, province de Banwa, région de la Boucle du Mouhoun (BURKINA FASO) [texte imprimé] / Abdoul Aziz SAWADOGO . - 2020 . - 105 p.
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Résumé : Bonzon, village situé dans la province de Banwa et dans la commune de Solenzo, connait des problèmes liés à un accès adéquat à l’eau potable. Le taux d’accès actuel à l’eau potable est de 12%. Le village est actuellement alimenté par deux (02) forages équipés de pompe à motricité humaine dont un (01) institutionnel et des puits (traditionnels et modernes). La population en 2020 est estimée à 8256 habitants. Pour contribuer à l’amélioration de l’alimentation en eau potable de cette localité, il est prévu la réalisation d’études techniques détaillées en vue de la mise en œuvre d’un système approprié d’approvisionnement en eau potable. Le présent mémoire dont le thème est : « Avant-Projet Détaillé pour la réalisation du système d’Adduction d’Eau Potable Simplifié (AEPS) : Cas du village de Bonzon, commune de Solenzo, province de Banwa, région de la Boucle du Mouhoun » vise la réalisation de ce projet. Le système va desservir le centre de Bonzon à l’horizon 2040. La population à desservir est estimée à 10 408 habitants qui représente 80% de la population projeté en 2040. La source d’alimentation en eau est un ensemble de quatre (04) forages ayant chacun un débit d’exploitation de 5 m3/h avec une HMT de 88 m. A partir du forage le refoulement de l’eau sera assuré par une pompe immergée Grundfos SP 8A-18 avec l’énergie photovoltaïque pour source principale d’énergie et l’énergie thermique en relais. La conduite de refoulement est en PVC PN16 avec un diamètre nominal de 90mm. La distribution se fera de façon gravitaire à partir d’un château d’eau métallique de 75 m3. Les points de desserte seront constitués de dix (10) bornes fontaines. Les diamètres de ces tuyauteries de distribution varient de 110 mm à 50 mm avec une longueur cumulée des canalisations d’environ 3,85 kilomètres. La pression de service est de 5 mCE. Le coût global des travaux est estimé à trois cent trente-huit millions cent soixante-dix mille huit cent quatre-vingt-dix (338 170 890) F CFA TTC.
Abstract : Bonzon, a village located in the province of Banwa and in the municipality of Solenzo, is experiencing problems related to adequate access to drinking water. The actual access rate to drinking water is 12%. The village is currently supplied by two (02) boreholes equipped with human-powered pumps including one (01) institutional and wells (traditional and modern). The population in 2020 is estimated at 8,256 inhabitants. To help improve the drinking water supply in this locality, detailed technical studies are planned for the implementation of an appropriate drinking water supply system. This thesis, the theme of which is: “Detailed Pre-Project for the realization of the Simplified Drinking Water Supply System (AEPS): Case of the village of Bonzon, municipality of Solenzo, province of Banwa, region of Boucle du Mouhoun” Is aimed at the realization of this project. The system will serve the center of Bonzon by 2040. The population to be served is estimated at 10,408 inhabitants, which represents 80% of the population projected in 2040. The water supply source is a set of four (04) boreholes with an operating flow of 5m3/h with an HMT of 88m. From the borehole, the water will be delivered by a Grundfos SP 8A-18 submersible pump with photovoltaic energy as the main source of energy and thermal energy as a relay. The discharge line is made of PVC PN16 with a nominal diameter of 90mm. The distribution will be done by gravity from a 75 m3 metallic water tower. The service points will consist of ten (10) standpipes. The diameters of these distribution pipes vary from 110 mm to 50 mm with a cumulative length of the pipes of approximately 3, 85 kilometers. The working pressure is 05 mWC. The overall cost of the work is estimated at three hundred and thirty-eight million one hundred and seventy thousand eight hundred and ninety (338 170 890) F CFA including tax.Exemplaires
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AzizAdobe Acrobat PDFMémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Evaluation des dépôts sédimentaires et valorisation du barrage de Kamboinsin / Adama TAPSOBA
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Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Evaluation des dépôts sédimentaires et valorisation du barrage de Kamboinsin Type de document : texte imprimé Auteurs : Adama TAPSOBA Année de publication : 2020 Importance : 72 p. Langues : Français (fre) Résumé : Cette présente étude a été effectuée dans la région du Centre au Burkina Faso au niveau du bassin versant de Kamboinsin. Ce barrage tout comme les autres connaissent d’énormes difficultés liées à l’importance de la dégradation continue des sols avec comme conséquences un envasement et un ensablement de la retenue entraînant une diminution très importante de la capacité de stockage de la retenue. L’une des conséquences est la difficulté que rencontrent les populations exploitant cette retenue n’arrivent plus à conduire correctement leurs activités agricoles. En vue d’une meilleure connaissance fonctionnement de cet ouvrage hydraulique, notre thématique a été initiée. La démarche méthodologique utilisée pour mener cette étude a consisté à procéder à des études topographiques à travers plusieurs bathymétries, hydrologiques pour estimer les dépôts sédimentaires et proposer des solutions de réhabilitation.
Les résultats révèlent qu’entre 2008 et 2020, la capacité de la retenue a diminué de l’ordre de 272 927 m3 soit une réduction annuelle de 22 744 m3. Cette valeur moyenne est légèrement supérieure aux valeurs obtenues par les formules empiriques de GOTTSCHALK (239 257 m3), GRESILLON (266 328 m3) et de KARAMBIRI (165 899 m3). Le barrage a ainsi perdu 44,2% de sa capacité initiale de 1983. Cette réduction entraine annuellement des inondations des habitations et du site K1 de 2iE.
Cet envasement est dû principalement aux activités anthropiques comme en témoigne la démarche proposée par la méthode RUSLE.
Face à ce constat, nous avons formulé un certain nombre de propositions en vue de réduire ce comblement de la retenue. Les principales mesures s’orientent essentiellement sur la mise en place d’une ceinture d’arbres et de gabions légèrement à la côte au-dessus du plan d’eau normal afin de limiter l’envasement. Il faudra aussi réorganiser les maraichers en les positionnant hors de la bande de servitude du cours d’eau et d’installer des ouvrages d’épandage de crues. Le coût total de ses propositions est estimé à 1 718 475 000 de FCFA.
Abstract : This study was carried out in the Centre region of Burkina Faso in the Kamboinsin catchment area. This dam as well as the others are experiencing enormous difficulties due to the extent of the continuous soil degradation with the consequences of silting and silting up of the reservoir leading to a very important decrease in the storage capacity of the reservoir. One of the consequences is the difficulty for the populations exploiting this reservoir to carry out their agricultural activities properly. In order to better understand the functioning of this hydraulic work, our theme was initiated. The methodological approach used to conduct this study consisted in carrying out topographical studies across several bathymetries and hydrological studies to estimate the sedimentary deposits and propose rehabilitation solutions.
The results reveal that between 2008 and 2020, the capacity of the reservoir decreased by 272,927m3, i.e. an annual reduction of 22,744 m3. This average value is slightly higher than the values obtained by the empirical formulas of GOTTSCHALK (239,257m3), GRESILLON (266,328 m3) and KARAMBIRI (165,899 m3). The dam has thus lost 44.2% of its initial capacity of 1983. This reduction leads to annual flooding of dwellings and the K1 site of 2iE.
This silting is mainly due to anthropic activities as shown by the approach proposed by the RUSLE method.
Faced with this observation, we have formulated a certain number of proposals in order to reduce this filling of the reservoir. The main measures are mainly oriented towards the installation of a belt of trees and gabions slightly to the coast above the normal water level in order to limit silting. It will also be necessary to reorganise the market gardeners by positioning them outside the watercourse easement band and to install flood spreading structures. The total cost of these proposals is estimated at FCFA 1,718,475,000 (3 436 950 $).Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Evaluation des dépôts sédimentaires et valorisation du barrage de Kamboinsin [texte imprimé] / Adama TAPSOBA . - 2020 . - 72 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Cette présente étude a été effectuée dans la région du Centre au Burkina Faso au niveau du bassin versant de Kamboinsin. Ce barrage tout comme les autres connaissent d’énormes difficultés liées à l’importance de la dégradation continue des sols avec comme conséquences un envasement et un ensablement de la retenue entraînant une diminution très importante de la capacité de stockage de la retenue. L’une des conséquences est la difficulté que rencontrent les populations exploitant cette retenue n’arrivent plus à conduire correctement leurs activités agricoles. En vue d’une meilleure connaissance fonctionnement de cet ouvrage hydraulique, notre thématique a été initiée. La démarche méthodologique utilisée pour mener cette étude a consisté à procéder à des études topographiques à travers plusieurs bathymétries, hydrologiques pour estimer les dépôts sédimentaires et proposer des solutions de réhabilitation.
Les résultats révèlent qu’entre 2008 et 2020, la capacité de la retenue a diminué de l’ordre de 272 927 m3 soit une réduction annuelle de 22 744 m3. Cette valeur moyenne est légèrement supérieure aux valeurs obtenues par les formules empiriques de GOTTSCHALK (239 257 m3), GRESILLON (266 328 m3) et de KARAMBIRI (165 899 m3). Le barrage a ainsi perdu 44,2% de sa capacité initiale de 1983. Cette réduction entraine annuellement des inondations des habitations et du site K1 de 2iE.
Cet envasement est dû principalement aux activités anthropiques comme en témoigne la démarche proposée par la méthode RUSLE.
Face à ce constat, nous avons formulé un certain nombre de propositions en vue de réduire ce comblement de la retenue. Les principales mesures s’orientent essentiellement sur la mise en place d’une ceinture d’arbres et de gabions légèrement à la côte au-dessus du plan d’eau normal afin de limiter l’envasement. Il faudra aussi réorganiser les maraichers en les positionnant hors de la bande de servitude du cours d’eau et d’installer des ouvrages d’épandage de crues. Le coût total de ses propositions est estimé à 1 718 475 000 de FCFA.
Abstract : This study was carried out in the Centre region of Burkina Faso in the Kamboinsin catchment area. This dam as well as the others are experiencing enormous difficulties due to the extent of the continuous soil degradation with the consequences of silting and silting up of the reservoir leading to a very important decrease in the storage capacity of the reservoir. One of the consequences is the difficulty for the populations exploiting this reservoir to carry out their agricultural activities properly. In order to better understand the functioning of this hydraulic work, our theme was initiated. The methodological approach used to conduct this study consisted in carrying out topographical studies across several bathymetries and hydrological studies to estimate the sedimentary deposits and propose rehabilitation solutions.
The results reveal that between 2008 and 2020, the capacity of the reservoir decreased by 272,927m3, i.e. an annual reduction of 22,744 m3. This average value is slightly higher than the values obtained by the empirical formulas of GOTTSCHALK (239,257m3), GRESILLON (266,328 m3) and KARAMBIRI (165,899 m3). The dam has thus lost 44.2% of its initial capacity of 1983. This reduction leads to annual flooding of dwellings and the K1 site of 2iE.
This silting is mainly due to anthropic activities as shown by the approach proposed by the RUSLE method.
Faced with this observation, we have formulated a certain number of proposals in order to reduce this filling of the reservoir. The main measures are mainly oriented towards the installation of a belt of trees and gabions slightly to the coast above the normal water level in order to limit silting. It will also be necessary to reorganise the market gardeners by positioning them outside the watercourse easement band and to install flood spreading structures. The total cost of these proposals is estimated at FCFA 1,718,475,000 (3 436 950 $).Exemplaires
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AdamaAdobe Acrobat PDFMémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Étude comparative de trois (03) types de déversoirs (trapézoïdal ; voile contrefort ; pk Weir) : cas du barrage de Toumousseni Commune de Banfora, Province de la Comoé, Région des Cascades (Burkina Faso) / Victor TIENDREBEGO
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Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Étude comparative de trois (03) types de déversoirs (trapézoïdal ; voile contrefort ; pk Weir) : cas du barrage de Toumousseni Commune de Banfora, Province de la Comoé, Région des Cascades (Burkina Faso) Type de document : texte imprimé Auteurs : Victor TIENDREBEGO Année de publication : 2020 Importance : 139 p. Langues : Français (fre) Résumé : Toumousseni est une localité de la Commune de Banfora, Province de la Comoé, Région des Cascades. Le contexte climatique dans la zone bien que nettement meilleur par rapport à certaines localités du pays (1024 mm d’eau par an) reste difficile. Les activités socioéconomiques et particulièrement le secteur agropastoral souffrent non seulement de l’insuffisance et de la mauvaise répartition des pluies en saison pluvieuse mais aussi du manque d’ouvrage de stockage d’eau pendant la période sèche. Les autorités politiques essaient par leur programme de pallier au plan national à cette insuffisance de la ressource à travers la construction de barrages. Le présent projet d’étude faisant l’objet de mémoire de fin d’étude s’inscrit dans cette logique. Ce projet s’est donné pour objectif de réaliser une étude comparative de trois variantes de déversoirs (trapézoïdal, voile contrefort, PK Weir) en vue de choisir la variante de déversoir qui assure au mieux la sécurité et la durabilité de l’ouvrage et optimise les coûts du projet. Le dimensionnement et la conception du barrage se sont fait selon les normes et méthodologies proposé par la FAO (document crues et apports et petit barrage).
Le barrage de Toumousseni dimensionné pour une crue centennale de 226 m3 /s est alimenté par un bassin versant de 147.08 km2 qui mobilise en année décennale sèche 12 millions de m3 d’eau. Cela permet le remplissage de la cuvette du barrage et la satisfaction des différents besoins par campagne estimés à 2,6 millions de m3. La digue en remblai homogène à une hauteur maximale de 5,9 m pour une longueur de 951 m. L’étude comparative des déversoirs a permis de retenir le déversoir PK Weir ou en « touches de piano » pour la construction du barrage de Toumousseni. Le coût de mise en œuvre du projet est évalué à un milliard cent cinquante-deux millions trois cent soixante mille centre quatre-vingt-quatre (1 152 360 184) francs CFA TTC.
Abstract : Toumousseni is a locality in the commune of Banfora, Comoé province, Cascades Region. The climatic context in the area, although much better than in some localities of the country (1024 mm of water per year), remains difficult. Socio-economic activities and particularly the agro-pastoral sector suffer not only from the insufficient and poor distribution of rainfall during the rainy season but also from the lack of water storage facilities during the dry period. Through their program, the political authorities are trying to compensate at the national level for this lack of resources through the construction of dams. The present study project, which is the subject of an end-of-study thesis, is part of this logic. The objective of this project is to carry out a comparative study between three variants of spillways (trapezoidal, sail buttress, PK Weir) in order to choose the variant of spillway that best ensures the safety and durability of the structure and optimizes the costs of the project. The development of the dam was carried out in accordance with the standards and methodologies proposed by the FAO (floods and inflows and small dam document).
The Toumousseni dam, designed for a centennial flood of 226 m3 /s, is fed by a catchment area of 147.08 km2, which mobilizes 12 million m3 of water per year in a dry ten-year period. This allows the filling of the basin of the dam and the satisfaction of the various needs per campaign estimated at 2.6 million m3. The dyke is made of homogeneous fill at a maximum height of 5.9 m for a length of 951 m. The comparative study of the spillways made it possible to retain the PK Weir or "piano keys" spillway for the construction of the Toumousseni dam. The cost of implementation of the project is estimated at one billion one hundred and fifty-two million three hundred and sixty thousand center eighty-four (1 152 360 184) francs CFA TTC.Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Étude comparative de trois (03) types de déversoirs (trapézoïdal ; voile contrefort ; pk Weir) : cas du barrage de Toumousseni Commune de Banfora, Province de la Comoé, Région des Cascades (Burkina Faso) [texte imprimé] / Victor TIENDREBEGO . - 2020 . - 139 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Toumousseni est une localité de la Commune de Banfora, Province de la Comoé, Région des Cascades. Le contexte climatique dans la zone bien que nettement meilleur par rapport à certaines localités du pays (1024 mm d’eau par an) reste difficile. Les activités socioéconomiques et particulièrement le secteur agropastoral souffrent non seulement de l’insuffisance et de la mauvaise répartition des pluies en saison pluvieuse mais aussi du manque d’ouvrage de stockage d’eau pendant la période sèche. Les autorités politiques essaient par leur programme de pallier au plan national à cette insuffisance de la ressource à travers la construction de barrages. Le présent projet d’étude faisant l’objet de mémoire de fin d’étude s’inscrit dans cette logique. Ce projet s’est donné pour objectif de réaliser une étude comparative de trois variantes de déversoirs (trapézoïdal, voile contrefort, PK Weir) en vue de choisir la variante de déversoir qui assure au mieux la sécurité et la durabilité de l’ouvrage et optimise les coûts du projet. Le dimensionnement et la conception du barrage se sont fait selon les normes et méthodologies proposé par la FAO (document crues et apports et petit barrage).
Le barrage de Toumousseni dimensionné pour une crue centennale de 226 m3 /s est alimenté par un bassin versant de 147.08 km2 qui mobilise en année décennale sèche 12 millions de m3 d’eau. Cela permet le remplissage de la cuvette du barrage et la satisfaction des différents besoins par campagne estimés à 2,6 millions de m3. La digue en remblai homogène à une hauteur maximale de 5,9 m pour une longueur de 951 m. L’étude comparative des déversoirs a permis de retenir le déversoir PK Weir ou en « touches de piano » pour la construction du barrage de Toumousseni. Le coût de mise en œuvre du projet est évalué à un milliard cent cinquante-deux millions trois cent soixante mille centre quatre-vingt-quatre (1 152 360 184) francs CFA TTC.
Abstract : Toumousseni is a locality in the commune of Banfora, Comoé province, Cascades Region. The climatic context in the area, although much better than in some localities of the country (1024 mm of water per year), remains difficult. Socio-economic activities and particularly the agro-pastoral sector suffer not only from the insufficient and poor distribution of rainfall during the rainy season but also from the lack of water storage facilities during the dry period. Through their program, the political authorities are trying to compensate at the national level for this lack of resources through the construction of dams. The present study project, which is the subject of an end-of-study thesis, is part of this logic. The objective of this project is to carry out a comparative study between three variants of spillways (trapezoidal, sail buttress, PK Weir) in order to choose the variant of spillway that best ensures the safety and durability of the structure and optimizes the costs of the project. The development of the dam was carried out in accordance with the standards and methodologies proposed by the FAO (floods and inflows and small dam document).
The Toumousseni dam, designed for a centennial flood of 226 m3 /s, is fed by a catchment area of 147.08 km2, which mobilizes 12 million m3 of water per year in a dry ten-year period. This allows the filling of the basin of the dam and the satisfaction of the various needs per campaign estimated at 2.6 million m3. The dyke is made of homogeneous fill at a maximum height of 5.9 m for a length of 951 m. The comparative study of the spillways made it possible to retain the PK Weir or "piano keys" spillway for the construction of the Toumousseni dam. The cost of implementation of the project is estimated at one billion one hundred and fifty-two million three hundred and sixty thousand center eighty-four (1 152 360 184) francs CFA TTC.Exemplaires
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VictorAdobe Acrobat PDFMémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude comparative de solutions de revêtements imperméables de bassins de collecte des eaux de ruissellement / Taryam Farida Sabrina WILY
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Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Etude comparative de solutions de revêtements imperméables de bassins de collecte des eaux de ruissellement Type de document : texte imprimé Auteurs : Taryam Farida Sabrina WILY Année de publication : 2020 Importance : 82 p. Langues : Français (fre) Résumé : Assurer la sécurité alimentaire, par amélioration des rendements des cultures, nécessite de maitriser la ressource en eau. Face à l’irrégularité pluviométrique rencontrée au sahel, les Bassins de Collecte des Eaux de Ruissellement (BCER) se présentent comme l’innovation recherché par les agriculteurs.
Le BCER étant une technique de conservation des eaux pour produire efficacement, présente des pertes d’eau par infiltration. Dans l’objectif de réduire ces pertes, cette étude dans le cadre du Projet Irrigation de Complément et Information Climatique se voudrait de présenter, en expérimentant, des solutions à adopter pour minimiser les pertes d’eau par infiltration des BCER. Ces solutions permettront aux bassins de jouer efficacement le rôle de retenue d’eau, qui leur est dédié, en faveur du bon développement agricole.
La présente étude a été menée au Burkina Faso, dans la ville de Ouagadougou, à Kamboisse. Elle a été réalisée sur 09 micros bassins identiques et imperméabilisés de trois types de revêtements : l’argile, le bitume et le plastique. Elle consistait à évaluer, en fonction du matériau utilisé, les pertes d’eau par infiltration des bassins tout en intégrant des facteurs tels que la pluviométrie et l’évaporation. Outre les mesures de perméabilité, les critères de comparaison visés par l’étude étaient la disponibilité et le prix de chaque type de revêtement ; le plus facile à installer et le plus durable.
Les résultats obtenus donnent une infiltration moyenne de 6.72mm/h pour le revêtement plastique ; 12.03mm/h pour le bitume et 13.08mm/h pour l’argile. Des enquêtes menées ont révélé le plastique comme matériau le plus disponible à Ouagadougou, suivi du bitume puis de l’argile. Pour la réalisation d’un des micro-bassins identiques, le prix des différents revêtements pour le même type de micro-bassin s’évalue à 14.175 F CFA pour l’argile, 8.925 F CFA pour le plastique et à 56.825 F CFA pour le bitume. Des essaies antérieures ont montrés que le plastique résiste moins au temps et nécessite un renouvellement tandis que le bitume et l’argile ont été évaluées comme durables. Le plastique et l’argile sont facile à revêtir tandis que le bitume semble être le revêtement le plus complexe à réaliser.
Abstract : Ensuring food security, by improving crop yields, requires mastering water resources. Faced with the rainfall irregularity encountered in the Sahel, the Basins for Collecting Runoff Water (BCER) are presented as the innovation sought by farmers.
Since BCER is a water conservation technique for efficient production, it loses water through infiltration. With the aim of reducing these losses, this study within the framework of the Complementary Irrigation and Climate Information Project would like to present, by experimenting, solutions to be adopted to minimize water losses by infiltration of BCERs. These solutions will enable the basins to effectively play the role of water retention, which is dedicated to them, in favor of good agricultural development.
The present study was carried out in Burkina Faso, in the city of Ouagadougou, in Kamboisse. It was carried out on 09 identical micro basins waterproofed with three types of coatings: clay, bitumen and plastic. It consisted in evaluating, depending on the material used, the water losses by infiltration of the basins while integrating factors such as rainfall and evaporation. In addition to permeability measurements, the benchmarks targeted by the study were the availability and price of each type of coating; the easiest to install and the most durable.
The results obtained give an average infiltration of 6.72mm/h for the plastic coating; 12.03mm/h for bitumen and 13.08mm/h for clay. Investigations revealed plastic as the most available material in Ouagadougou, followed by bitumen and then clay. The waterproofing of identical micro-BCERs for the experiment is estimated at 14.175 F CFA for clay, 8.925 F CFA for plastic and 56.825 F CFA for bitumen. Previous trials have shown that plastic is less resistant to time and requires renewal, while bitumen and clay have been rated as durable. Plastic and clay are easy to coat while bitumen appears to be the most complex coating to make.Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude comparative de solutions de revêtements imperméables de bassins de collecte des eaux de ruissellement [texte imprimé] / Taryam Farida Sabrina WILY . - 2020 . - 82 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Assurer la sécurité alimentaire, par amélioration des rendements des cultures, nécessite de maitriser la ressource en eau. Face à l’irrégularité pluviométrique rencontrée au sahel, les Bassins de Collecte des Eaux de Ruissellement (BCER) se présentent comme l’innovation recherché par les agriculteurs.
Le BCER étant une technique de conservation des eaux pour produire efficacement, présente des pertes d’eau par infiltration. Dans l’objectif de réduire ces pertes, cette étude dans le cadre du Projet Irrigation de Complément et Information Climatique se voudrait de présenter, en expérimentant, des solutions à adopter pour minimiser les pertes d’eau par infiltration des BCER. Ces solutions permettront aux bassins de jouer efficacement le rôle de retenue d’eau, qui leur est dédié, en faveur du bon développement agricole.
La présente étude a été menée au Burkina Faso, dans la ville de Ouagadougou, à Kamboisse. Elle a été réalisée sur 09 micros bassins identiques et imperméabilisés de trois types de revêtements : l’argile, le bitume et le plastique. Elle consistait à évaluer, en fonction du matériau utilisé, les pertes d’eau par infiltration des bassins tout en intégrant des facteurs tels que la pluviométrie et l’évaporation. Outre les mesures de perméabilité, les critères de comparaison visés par l’étude étaient la disponibilité et le prix de chaque type de revêtement ; le plus facile à installer et le plus durable.
Les résultats obtenus donnent une infiltration moyenne de 6.72mm/h pour le revêtement plastique ; 12.03mm/h pour le bitume et 13.08mm/h pour l’argile. Des enquêtes menées ont révélé le plastique comme matériau le plus disponible à Ouagadougou, suivi du bitume puis de l’argile. Pour la réalisation d’un des micro-bassins identiques, le prix des différents revêtements pour le même type de micro-bassin s’évalue à 14.175 F CFA pour l’argile, 8.925 F CFA pour le plastique et à 56.825 F CFA pour le bitume. Des essaies antérieures ont montrés que le plastique résiste moins au temps et nécessite un renouvellement tandis que le bitume et l’argile ont été évaluées comme durables. Le plastique et l’argile sont facile à revêtir tandis que le bitume semble être le revêtement le plus complexe à réaliser.
Abstract : Ensuring food security, by improving crop yields, requires mastering water resources. Faced with the rainfall irregularity encountered in the Sahel, the Basins for Collecting Runoff Water (BCER) are presented as the innovation sought by farmers.
Since BCER is a water conservation technique for efficient production, it loses water through infiltration. With the aim of reducing these losses, this study within the framework of the Complementary Irrigation and Climate Information Project would like to present, by experimenting, solutions to be adopted to minimize water losses by infiltration of BCERs. These solutions will enable the basins to effectively play the role of water retention, which is dedicated to them, in favor of good agricultural development.
The present study was carried out in Burkina Faso, in the city of Ouagadougou, in Kamboisse. It was carried out on 09 identical micro basins waterproofed with three types of coatings: clay, bitumen and plastic. It consisted in evaluating, depending on the material used, the water losses by infiltration of the basins while integrating factors such as rainfall and evaporation. In addition to permeability measurements, the benchmarks targeted by the study were the availability and price of each type of coating; the easiest to install and the most durable.
The results obtained give an average infiltration of 6.72mm/h for the plastic coating; 12.03mm/h for bitumen and 13.08mm/h for clay. Investigations revealed plastic as the most available material in Ouagadougou, followed by bitumen and then clay. The waterproofing of identical micro-BCERs for the experiment is estimated at 14.175 F CFA for clay, 8.925 F CFA for plastic and 56.825 F CFA for bitumen. Previous trials have shown that plastic is less resistant to time and requires renewal, while bitumen and clay have been rated as durable. Plastic and clay are easy to coat while bitumen appears to be the most complex coating to make.Exemplaires
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