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Série Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques
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Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etudes techniques de réalisation du barrage de Wilga dans la Commune de Toécé, Province du Bazèga, Burkina Faso / Pingdwendé Safiatou Lucie ZAGRE
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Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Etudes techniques de réalisation du barrage de Wilga dans la Commune de Toécé, Province du Bazèga, Burkina Faso Type de document : texte imprimé Auteurs : Pingdwendé Safiatou Lucie ZAGRE Année de publication : 2020 Importance : 131 p. Langues : Français (fre) Résumé : Le présent mémoire présente les résultats des « Etudes techniques pour la réalisation du barrage de Wilga, dans la commune de Toécé, province du Bazèga, région du Centre sud, au Burkina Faso ». Ces études rentrent dans le cadre d’une volonté politique de mobiliser l’eau pour satisfaire les besoins des populations en milieu rural. Après avoir délimité le bassin versant à l’aide de modèle numérique de terrain sur ArcGIS, nous avons utilisé les méthodes empiriques d’OSTROM et de CIEH pour l’étude hydrologique. La conception et le dimensionnement ont été faits grâce aux outils (AutoCad et Geoslope) de dessin assisté par ordinateur.
De l’analyse des données, on retient que le barrage sera alimenté par un bassin versant de 67,62 Km2 dont les apports en année décennale sèche sont estimés à 3 643 019 m3. La digue retenue est à noyau étanche avec une hauteur maximale de 6,2 m et une pente de talus amont et aval de 2,5H/1V. Elle est calée à la côte 292,20 m et a une longueur de 1084 m. Le noyau a une largeur en crête de 3 m contre 6 m en base avec une hauteur 4,5 m. Le déversoir est de type radier submersible en position centrale sur une longueur de 100 m en base avec des rampes de 18 m sur chaque rive. La capacité de la retenue à cette côte est 1 132 786 m3. Le bassin de dissipation à ressaut sera de type II. Une prise d’eau d’une conduite en fonte de diamètre nominale de 400 mm permettra d’assurer l’irrigation de 10 ha. Le coût global d’exécution du projet est estimé à 690 928 625 FCFA TTC.
Abstract : This paper presents the results of the "Technical studies for the construction of the Wilga Dam in the commune of Toécé, Bazèga Province, South Central Region, Burkina Faso". These studies fall within the framework of a political will to mobilize water to meet the needs of rural populations. After delimiting the watershed using numerical field models on ArcGIS, we used the empirical methods of OSTROM and CIEH for the hydrological study. The design and dimensioning was done using computer-aided drawing tools (AutoCad and Geoslope).
From the analysis of the data, it can be noted that the dam will be fed by a watershed of 67.62 Km2 with an estimated dry ten-year inflow of 3,643,019 m3. The selected dam has a watertight core with a maximum height of 6.2 m and an upstream and downstream slope of 2.5H/1V. It is wedged at the coast 292.20 m and has a length of 1084 m. The core has a width at the crest of 3 m against 6 m at the base with a height of 4.5 m. The spillway is of the submersible invert type in a central position over a length of 100 m at the base with 18 m ramps on each bank. The capacity of the reservoir at this coast is 1 132 786 m3. The overflow dissipation basin will be of type II. An intake of a cast iron pipe with a nominal diameter of 400 mm will allow the irrigation of 10 ha. The overall cost of the project is estimated at 690 928 625 FCFA (including taxes).Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etudes techniques de réalisation du barrage de Wilga dans la Commune de Toécé, Province du Bazèga, Burkina Faso [texte imprimé] / Pingdwendé Safiatou Lucie ZAGRE . - 2020 . - 131 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Le présent mémoire présente les résultats des « Etudes techniques pour la réalisation du barrage de Wilga, dans la commune de Toécé, province du Bazèga, région du Centre sud, au Burkina Faso ». Ces études rentrent dans le cadre d’une volonté politique de mobiliser l’eau pour satisfaire les besoins des populations en milieu rural. Après avoir délimité le bassin versant à l’aide de modèle numérique de terrain sur ArcGIS, nous avons utilisé les méthodes empiriques d’OSTROM et de CIEH pour l’étude hydrologique. La conception et le dimensionnement ont été faits grâce aux outils (AutoCad et Geoslope) de dessin assisté par ordinateur.
De l’analyse des données, on retient que le barrage sera alimenté par un bassin versant de 67,62 Km2 dont les apports en année décennale sèche sont estimés à 3 643 019 m3. La digue retenue est à noyau étanche avec une hauteur maximale de 6,2 m et une pente de talus amont et aval de 2,5H/1V. Elle est calée à la côte 292,20 m et a une longueur de 1084 m. Le noyau a une largeur en crête de 3 m contre 6 m en base avec une hauteur 4,5 m. Le déversoir est de type radier submersible en position centrale sur une longueur de 100 m en base avec des rampes de 18 m sur chaque rive. La capacité de la retenue à cette côte est 1 132 786 m3. Le bassin de dissipation à ressaut sera de type II. Une prise d’eau d’une conduite en fonte de diamètre nominale de 400 mm permettra d’assurer l’irrigation de 10 ha. Le coût global d’exécution du projet est estimé à 690 928 625 FCFA TTC.
Abstract : This paper presents the results of the "Technical studies for the construction of the Wilga Dam in the commune of Toécé, Bazèga Province, South Central Region, Burkina Faso". These studies fall within the framework of a political will to mobilize water to meet the needs of rural populations. After delimiting the watershed using numerical field models on ArcGIS, we used the empirical methods of OSTROM and CIEH for the hydrological study. The design and dimensioning was done using computer-aided drawing tools (AutoCad and Geoslope).
From the analysis of the data, it can be noted that the dam will be fed by a watershed of 67.62 Km2 with an estimated dry ten-year inflow of 3,643,019 m3. The selected dam has a watertight core with a maximum height of 6.2 m and an upstream and downstream slope of 2.5H/1V. It is wedged at the coast 292.20 m and has a length of 1084 m. The core has a width at the crest of 3 m against 6 m at the base with a height of 4.5 m. The spillway is of the submersible invert type in a central position over a length of 100 m at the base with 18 m ramps on each bank. The capacity of the reservoir at this coast is 1 132 786 m3. The overflow dissipation basin will be of type II. An intake of a cast iron pipe with a nominal diameter of 400 mm will allow the irrigation of 10 ha. The overall cost of the project is estimated at 690 928 625 FCFA (including taxes).Exemplaires
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LucieAdobe Acrobat PDFMémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etudes techniques pour la réhabilitation du barrage de Anekar, commune de Affala, Région de Tahoua, au Niger / Abdoul Azizi ZAIDOU
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Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Etudes techniques pour la réhabilitation du barrage de Anekar, commune de Affala, Région de Tahoua, au Niger Type de document : texte imprimé Auteurs : Abdoul Azizi ZAIDOU Année de publication : 2020 Importance : 133 p. Langues : Français (fre) Résumé : Le présent mémoire présente les résultats des études techniques pour la réhabilitation du barrage à vocation agricole de Anékar, commune de Affala, Région de Tahoua, au Niger. Ce projet de réhabilitation du barrage entre dans le cadre de lutte contre l’insécurité alimentaire et la résilience climatique. Le barrage de Anékar est alimenté par un bassin versant de 826,12 km2 drainant en année décennale sèche 7 882 262,35 m3 d’eau par an, cet apport liquide permet de remplir la cuvette du barrage et la satisfaction des besoins en eau estimée à 6 400 000 m3. Le barrage de Anékar a été construit en 2018 et suite à une crue exceptionnelle en 2019, la digue et l’évacuateur de cure ont été fortement dégradé et le bassin de dissipation a été emporté par l’eau. L’objectif de présente étude est de réaliser une étude technique pour la réhabilitation du barrage afin de permettre aux populations de relancer les activités socioéconomiques. Pour bien faire, un diagnostic du barrage suivi des études des bases ont permis de redimensionner le barrage, assorti un plan d’exécution et un plan de gestion environnemental et social. La digue du barrage de Anékar avant réhabilitation est une digue en terre homogène compacté, de longueur de 693 m y compris l’évacuateur de crue et une largeur en crête de 5 m et d’un mur parapet de 0,5 m. La hauteur de digue est de 9,7m, les pentes des talus amont et aval sont respectivement 1V/3H et 1V/2.5H. le déversoir latéral, le long de 80m est constitué des murets en béton armé. A l’issus de cette étude de réhabilitation, la hauteur de la digue sera maintenue et la construction d’un déversoir poids ont été retenus. La nouvelle digue sera en terre homogène avec une longueur également de 693 m et une hauteur de 9,7 m et une largeur en crête de 5 m calée à la cote 372, 7 m, les pentes des talus amont et aval sont respectivement 1V/2.75H et 1V/2.25H. le déversoir reste en position latérale et sera prolongé sur une longueur de 100 m, avec un bassin de dissipation de type II à l’aval du déversoir. La prise d’eau sera réhabilitée, avec une conduite en fonte de diamètre de 600mm. Le cout du projet s’élève de 642 603 050 FCFA.
Abstract : This paper presents the results of technical studies for the rehabilitation of the Anékar agro-pastoral dam in the commune of Affala, Tahoua Region in Niger. This dam rehabilitation project is part of the fight against food insecurity and climate resilience. The Anékar dam is fed by a watershed of 826.12 km2 draining in a dry ten-year period 7,882,262.35 m3 of water per year. This liquid input allows the filling of the dam basin and the satisfaction of water needs estimated at 6,400,000 m3. The Anékar dam was built in 2018 and following an exceptional flood in 2019, the dike and the spillway were severely degraded and the dissipation basin was washed away by water. The objective of the present study is to carry out a technical study for the rehabilitation of the dam in order to enable the populations to restart socio-economic activities. In order to do so, a diagnosis of the dam followed by the baseline studies have allowed to resize the dam, together with an execution plan and an environmental and social management plan. The Anékar dam before rehabilitation is a dyke made of homogeneous compacted earth, 693 m long including the spillway and a crest width of 5 m and a parapet wall of 0.5 m. The dyke height is 9.7m, the slopes of the upstream and downstream embankments are 1V/3H and 1V/2.5H respectively. The lateral spillway, along 80m is made of reinforced concrete walls. At the end of this rehabilitation study, the height of the embankment will be maintained and the construction of a heavy weir has been retained. The new dike will be made of homogeneous earth with a length also of 693 m and a height of 9.7 m and a crest width of 5 m set at elevation 372.7 m. The slopes of the upstream and downstream embankments are respectively 1V/2.75H and 1V/2.25H. The spillway remains in lateral position and will be extended over a length of 100 m, with a type II dissipation basin downstream of the spillway. The water intake will be rehabilitated, with a cast iron pipe with a diameter of 600mm. The cost of the project is 642,603,050 FCFA.Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etudes techniques pour la réhabilitation du barrage de Anekar, commune de Affala, Région de Tahoua, au Niger [texte imprimé] / Abdoul Azizi ZAIDOU . - 2020 . - 133 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Le présent mémoire présente les résultats des études techniques pour la réhabilitation du barrage à vocation agricole de Anékar, commune de Affala, Région de Tahoua, au Niger. Ce projet de réhabilitation du barrage entre dans le cadre de lutte contre l’insécurité alimentaire et la résilience climatique. Le barrage de Anékar est alimenté par un bassin versant de 826,12 km2 drainant en année décennale sèche 7 882 262,35 m3 d’eau par an, cet apport liquide permet de remplir la cuvette du barrage et la satisfaction des besoins en eau estimée à 6 400 000 m3. Le barrage de Anékar a été construit en 2018 et suite à une crue exceptionnelle en 2019, la digue et l’évacuateur de cure ont été fortement dégradé et le bassin de dissipation a été emporté par l’eau. L’objectif de présente étude est de réaliser une étude technique pour la réhabilitation du barrage afin de permettre aux populations de relancer les activités socioéconomiques. Pour bien faire, un diagnostic du barrage suivi des études des bases ont permis de redimensionner le barrage, assorti un plan d’exécution et un plan de gestion environnemental et social. La digue du barrage de Anékar avant réhabilitation est une digue en terre homogène compacté, de longueur de 693 m y compris l’évacuateur de crue et une largeur en crête de 5 m et d’un mur parapet de 0,5 m. La hauteur de digue est de 9,7m, les pentes des talus amont et aval sont respectivement 1V/3H et 1V/2.5H. le déversoir latéral, le long de 80m est constitué des murets en béton armé. A l’issus de cette étude de réhabilitation, la hauteur de la digue sera maintenue et la construction d’un déversoir poids ont été retenus. La nouvelle digue sera en terre homogène avec une longueur également de 693 m et une hauteur de 9,7 m et une largeur en crête de 5 m calée à la cote 372, 7 m, les pentes des talus amont et aval sont respectivement 1V/2.75H et 1V/2.25H. le déversoir reste en position latérale et sera prolongé sur une longueur de 100 m, avec un bassin de dissipation de type II à l’aval du déversoir. La prise d’eau sera réhabilitée, avec une conduite en fonte de diamètre de 600mm. Le cout du projet s’élève de 642 603 050 FCFA.
Abstract : This paper presents the results of technical studies for the rehabilitation of the Anékar agro-pastoral dam in the commune of Affala, Tahoua Region in Niger. This dam rehabilitation project is part of the fight against food insecurity and climate resilience. The Anékar dam is fed by a watershed of 826.12 km2 draining in a dry ten-year period 7,882,262.35 m3 of water per year. This liquid input allows the filling of the dam basin and the satisfaction of water needs estimated at 6,400,000 m3. The Anékar dam was built in 2018 and following an exceptional flood in 2019, the dike and the spillway were severely degraded and the dissipation basin was washed away by water. The objective of the present study is to carry out a technical study for the rehabilitation of the dam in order to enable the populations to restart socio-economic activities. In order to do so, a diagnosis of the dam followed by the baseline studies have allowed to resize the dam, together with an execution plan and an environmental and social management plan. The Anékar dam before rehabilitation is a dyke made of homogeneous compacted earth, 693 m long including the spillway and a crest width of 5 m and a parapet wall of 0.5 m. The dyke height is 9.7m, the slopes of the upstream and downstream embankments are 1V/3H and 1V/2.5H respectively. The lateral spillway, along 80m is made of reinforced concrete walls. At the end of this rehabilitation study, the height of the embankment will be maintained and the construction of a heavy weir has been retained. The new dike will be made of homogeneous earth with a length also of 693 m and a height of 9.7 m and a crest width of 5 m set at elevation 372.7 m. The slopes of the upstream and downstream embankments are respectively 1V/2.75H and 1V/2.25H. The spillway remains in lateral position and will be extended over a length of 100 m, with a type II dissipation basin downstream of the spillway. The water intake will be rehabilitated, with a cast iron pipe with a diameter of 600mm. The cost of the project is 642,603,050 FCFA.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
ZaidouAdobe Acrobat PDFMémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Modélisation de la minéralisation couplée a la déshydratation des boues sur les lits de séchage / Gbangbo Rémis KONAN
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Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Modélisation de la minéralisation couplée a la déshydratation des boues sur les lits de séchage Type de document : texte imprimé Auteurs : Gbangbo Rémis KONAN Année de publication : 2020 Importance : 101 p. Langues : Français (fre) Résumé : Les systèmes d'assainissement autonomes restent les principales solutions techniques pour la difficile gestion des excréta dans la plupart des pays en développement de l'Afrique subsaharienne. Parmi les options de traitement des grands volumes de boues de vidange, le système des lits de séchage apparaît comme un choix innovant avec des potentiels positifs pour une gestion efficace, en raison des faibles besoins en énergie, de la réduction des coûts d'exploitation et d'entretien, avec un faible impact sur l’environnement.
Des études antérieures sur la performance des lits de séchage se sont concentrées sur des paramètres tels que l'identification des espèces de macrophytes appropriées, la qualité des biosolides et celle du lexiviat pour la protection de l'environnement. Il y a peu de modèles mathématiques qui ont été établis pour expliquer la minéralisation et la déshydratation des boues. Les modèles existants ne sont pas tout à fait applicables au contexte du climat soudano-sahélien.
Notre travail a donc consisté à développer un modèle mathématique de minéralisation et de déshydratation des boues sur les lits de séchage. Sur la base de l'équation (différentielle) modélisant la minéralisation de la matière organique, nous avons déterminé l’expression de la matière organique dans le temps et l’espace, en utilisant les méthodes de résolution numériques. La vitesse de minéralisation a été déterminée comme étant une fonction de la température et l’humidité.. A partir de la vitesse de minéralisation, nous avons déterminé le taux de minéralisation qui a permis d’achever la résolution de l’équation différentielle modélisant la minéralisation.
Les simulations avec des données expérimentales obtenues à partir de la littérature ont montré que la vitesse de minéralisation est affectée par un facteur de multiplicité de 2,63 lorsque la température augmente de 10 ° C. La valeur de l'erreur quadratique (0,14) et de l'efficience du modèle (0,97) témoignent de la robustesse de cette partie du modèle.
Abstract : On-site Sanitation System (OSS) still remains the principal technical solution for the difficult excreta management situation in most developing countries of Sub-Saharan Africa. Amidst the various treatment options for the large volumes of faecal sludge generated by the OSS, Constructed Wetland (CWL) system appears as a novel technology with positive potentials for effective FS management due to the low energy requirements, reduced operation and maintenance costs, with little environmental impact. Previous studies on the optimisation of the CWL technology have generally focused on parameters such as identification of appropriate macrophyte species, biosolid and effluent quality while little is known of the metrics of dewatering and mineralization mechanisms. This study thus strains to develop a mathematical model for FS mineralization as a function of temperature and moisture content of the CWL system. There are few mathematical models that have been developed to explain the mineralization and dewatering of sludge. Existing models are not entirely applicable to the context of the Sudano-Sahelian climate. Our work consisted of developing a mathematical model of mineralization and dehydration of sludge on drying beds. On the basis of the (differential) equation modeling the mineralization of organic matter, we determined the expression of organic matter in time and space, using numerical resolution methods. The mineralization speed was determined as a function of temperature and humidity. From the mineralization speed, we determined the rate of mineralization that allowed us to complete the resolution of the differential equation modeling the mineralization. Simulation with experimental data from literature revealed a multiplication factor of 2.63 per every 10 °C change in temperature for the rate of FS mineralization. The squared error and efficiency of the simulations were determined to be 0.14 and 0.97 (97%) respectively, and thus reflecting the robustness of the temperature simulation model.Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Modélisation de la minéralisation couplée a la déshydratation des boues sur les lits de séchage [texte imprimé] / Gbangbo Rémis KONAN . - 2020 . - 101 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Les systèmes d'assainissement autonomes restent les principales solutions techniques pour la difficile gestion des excréta dans la plupart des pays en développement de l'Afrique subsaharienne. Parmi les options de traitement des grands volumes de boues de vidange, le système des lits de séchage apparaît comme un choix innovant avec des potentiels positifs pour une gestion efficace, en raison des faibles besoins en énergie, de la réduction des coûts d'exploitation et d'entretien, avec un faible impact sur l’environnement.
Des études antérieures sur la performance des lits de séchage se sont concentrées sur des paramètres tels que l'identification des espèces de macrophytes appropriées, la qualité des biosolides et celle du lexiviat pour la protection de l'environnement. Il y a peu de modèles mathématiques qui ont été établis pour expliquer la minéralisation et la déshydratation des boues. Les modèles existants ne sont pas tout à fait applicables au contexte du climat soudano-sahélien.
Notre travail a donc consisté à développer un modèle mathématique de minéralisation et de déshydratation des boues sur les lits de séchage. Sur la base de l'équation (différentielle) modélisant la minéralisation de la matière organique, nous avons déterminé l’expression de la matière organique dans le temps et l’espace, en utilisant les méthodes de résolution numériques. La vitesse de minéralisation a été déterminée comme étant une fonction de la température et l’humidité.. A partir de la vitesse de minéralisation, nous avons déterminé le taux de minéralisation qui a permis d’achever la résolution de l’équation différentielle modélisant la minéralisation.
Les simulations avec des données expérimentales obtenues à partir de la littérature ont montré que la vitesse de minéralisation est affectée par un facteur de multiplicité de 2,63 lorsque la température augmente de 10 ° C. La valeur de l'erreur quadratique (0,14) et de l'efficience du modèle (0,97) témoignent de la robustesse de cette partie du modèle.
Abstract : On-site Sanitation System (OSS) still remains the principal technical solution for the difficult excreta management situation in most developing countries of Sub-Saharan Africa. Amidst the various treatment options for the large volumes of faecal sludge generated by the OSS, Constructed Wetland (CWL) system appears as a novel technology with positive potentials for effective FS management due to the low energy requirements, reduced operation and maintenance costs, with little environmental impact. Previous studies on the optimisation of the CWL technology have generally focused on parameters such as identification of appropriate macrophyte species, biosolid and effluent quality while little is known of the metrics of dewatering and mineralization mechanisms. This study thus strains to develop a mathematical model for FS mineralization as a function of temperature and moisture content of the CWL system. There are few mathematical models that have been developed to explain the mineralization and dewatering of sludge. Existing models are not entirely applicable to the context of the Sudano-Sahelian climate. Our work consisted of developing a mathematical model of mineralization and dehydration of sludge on drying beds. On the basis of the (differential) equation modeling the mineralization of organic matter, we determined the expression of organic matter in time and space, using numerical resolution methods. The mineralization speed was determined as a function of temperature and humidity. From the mineralization speed, we determined the rate of mineralization that allowed us to complete the resolution of the differential equation modeling the mineralization. Simulation with experimental data from literature revealed a multiplication factor of 2.63 per every 10 °C change in temperature for the rate of FS mineralization. The squared error and efficiency of the simulations were determined to be 0.14 and 0.97 (97%) respectively, and thus reflecting the robustness of the temperature simulation model.Exemplaires
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RemisAdobe Acrobat PDFMémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Contribution à la gestion pérenne des AEPS par le diagnostic et la proposition d’un outil de gestion / Manesomdé IdA BONKOUNGOU
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Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Contribution à la gestion pérenne des AEPS par le diagnostic et la proposition d’un outil de gestion : cas de la commune rurale de Komsilga (province du Kadiogo, région du centre, Burkina Faso) Type de document : texte imprimé Auteurs : Manesomdé IdA BONKOUNGOU Année de publication : 2018 Importance : 131 p. Langues : Français (fre) Résumé : Au Burkina Faso, la Réforme du système de gestion des infrastructures hydrauliques d’alimentation en eau potable en milieux rural et semi urbain n’a pas pu mettre en place de système de suivi technique et financier des AEPS. Mais, la Réforme préconise que les communes sélectionnent, en intercommunalité, un opérateur de type privé pour le suivi technique et financier de plusieurs AEPS/PEA (de 20 à 60 systèmes environ). KOMSILGA est l’une des communes rurales du Burkina Faso dont les cinq AEPS communautaires sont gérés par un fermier (SAWESS). Malheureusement cette gestion est lente et difficile du fait de l’archivage manuel, du manque de plans et des données descriptives des entités spatiales composantes des cinq réseaux. Pour améliorer la connaissance des réseaux et maitriser leur gestion, il est important de connaitre leur fonctionnement et de prévoir leur comportement. Dans notre étude, pour la gestion des cinq AEPS de KOMSILGA, nous avons choisi un modèle de simulation d’écoulement dans les réseaux de distribution, < > pour une modélisation hydraulique qui nous a permis de connaitre les systèmes de distribution des AEPS, de détecter les zones de fonctionnement déficitaire et de connaitre l’état du point particulier sélectionné. Cependant, l’absence des plans réels des AEPS pose un problème de fiabilité des données. Le modèle objet proposé va permettre d’assurer la cohérence, l’intégrité et la fiabilité des données pour un meilleur suivi de la gestion des ouvrages, une pérennisation des ouvrages et un accès durable à l’eau potable des populations.
Abstract : In Burkina Faso the reform of system from hydraulic infrastructure management of drinking water supply in rural and semi-urban environment couldn’t set up of technic and financial consistent from AEPS. But reform recommends that townships select in intercommunity an operator of private or associative type for technic and financial consistent of several AEPS/PEA(approximately twenty to sixty systems). KOMSILGA is ones of rural townships of Burkina Faso which five community AEPS are manage by a farmer (SAWESS). Unfortunately this management is nit and difficult from fact of manual registration, lack of map and descriptive datum of components specials entities of five AEPS network. To improve the knowledge of AEPS network and to control their management, it is important to know their functioning and to anticipate their attitude. In our engineering to make KOMSILGA five AEPS management, we have choosed a model of flow in distributing networks <> for hydraulic modeling which permit us to know AEPS distribution systems, to detect functioning zone in deficit and to know the state of particular point selected. Meanwhile, the lack of real maps of AEPS poses a problem of datum reliability. The object model proposed will permit to assure coherency, integrity and reliability of datum for the best consistent for pieces of work management, pieces of work perpetuation and permanent access to populations drinking water. Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Contribution à la gestion pérenne des AEPS par le diagnostic et la proposition d’un outil de gestion : cas de la commune rurale de Komsilga (province du Kadiogo, région du centre, Burkina Faso) [texte imprimé] / Manesomdé IdA BONKOUNGOU . - 2018 . - 131 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Au Burkina Faso, la Réforme du système de gestion des infrastructures hydrauliques d’alimentation en eau potable en milieux rural et semi urbain n’a pas pu mettre en place de système de suivi technique et financier des AEPS. Mais, la Réforme préconise que les communes sélectionnent, en intercommunalité, un opérateur de type privé pour le suivi technique et financier de plusieurs AEPS/PEA (de 20 à 60 systèmes environ). KOMSILGA est l’une des communes rurales du Burkina Faso dont les cinq AEPS communautaires sont gérés par un fermier (SAWESS). Malheureusement cette gestion est lente et difficile du fait de l’archivage manuel, du manque de plans et des données descriptives des entités spatiales composantes des cinq réseaux. Pour améliorer la connaissance des réseaux et maitriser leur gestion, il est important de connaitre leur fonctionnement et de prévoir leur comportement. Dans notre étude, pour la gestion des cinq AEPS de KOMSILGA, nous avons choisi un modèle de simulation d’écoulement dans les réseaux de distribution, < > pour une modélisation hydraulique qui nous a permis de connaitre les systèmes de distribution des AEPS, de détecter les zones de fonctionnement déficitaire et de connaitre l’état du point particulier sélectionné. Cependant, l’absence des plans réels des AEPS pose un problème de fiabilité des données. Le modèle objet proposé va permettre d’assurer la cohérence, l’intégrité et la fiabilité des données pour un meilleur suivi de la gestion des ouvrages, une pérennisation des ouvrages et un accès durable à l’eau potable des populations.
Abstract : In Burkina Faso the reform of system from hydraulic infrastructure management of drinking water supply in rural and semi-urban environment couldn’t set up of technic and financial consistent from AEPS. But reform recommends that townships select in intercommunity an operator of private or associative type for technic and financial consistent of several AEPS/PEA(approximately twenty to sixty systems). KOMSILGA is ones of rural townships of Burkina Faso which five community AEPS are manage by a farmer (SAWESS). Unfortunately this management is nit and difficult from fact of manual registration, lack of map and descriptive datum of components specials entities of five AEPS network. To improve the knowledge of AEPS network and to control their management, it is important to know their functioning and to anticipate their attitude. In our engineering to make KOMSILGA five AEPS management, we have choosed a model of flow in distributing networks <> for hydraulic modeling which permit us to know AEPS distribution systems, to detect functioning zone in deficit and to know the state of particular point selected. Meanwhile, the lack of real maps of AEPS poses a problem of datum reliability. The object model proposed will permit to assure coherency, integrity and reliability of datum for the best consistent for pieces of work management, pieces of work perpetuation and permanent access to populations drinking water. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
IdaAdobe Acrobat PDFMémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Diagnostic et proposition de solutions d’amélioration des performances d’un périmètre rizicole : cas du périmètre des pics de Sindou / Nébilma Jérôme BAZONGO
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Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Diagnostic et proposition de solutions d’amélioration des performances d’un périmètre rizicole : cas du périmètre des pics de Sindou Type de document : texte imprimé Auteurs : Nébilma Jérôme BAZONGO Année de publication : 2019 Importance : 125 p. Langues : Français (fre) Résumé : Avec une superficie exploitée de 200 ha, le périmètre des pics de Sindou est confronté aux aléas climatiques telles que les crues brutales et les longues poches de sècheresse. Il a un bassin versant d’une superficie de 25 km², dont une grande partie repose sur le bassin sédimentaire du Kawara-Sindou. Sa nappe d’eau y est fortement captive. Des sources d’eau de 21,6m3/h alimentent le périmètre. Le diagnostic réalisé a permis de faire l’état des lieux du périmètre. Il ressort que la quasi-totalité des ouvrages sont dans un état défectueux. Et l’assainissement y est un véritable problème.
Un projet d’aménagement hydroagricole de 320 ha est proposé pour améliorer les performances du périmètre. Ce projet vise la valorisation de la nappe captive du Kawara-Sindou et la valorisation de l’énergie photovoltaïque et la promotion des systèmes d’irrigation économe d’eau.
Le système d’irrigation adopté est la micro-aspersion avec un débit d’équipement de 1,68 l/s/ha. Son alimentation est gravitaire grâce à un réservoir rectangulaire en béton armé d’une capacité de 24 000 m3. Le réservoir est semi-enterré et son radier est calé à la côte 364 m. Il est alimenté par 30 forages. Chaque forage est équipé d’une pompe immergée ayant un débit nominal 121,97 m3/h et une puissance nominale de 22,45 kW. La centrale solaire dispose d’une puissance minimale de 8,6 MWc en période estivale et permet d’éviter le rejet de 1805 tonnes par an de CO2 dans l’environnement.
Le coût de l’aménagement hydroagricole est de 1 118 402 198 FCFA TTC soit 3 883 341 F CFA/ha, pour une durée de retour sur investissement de deux ans et demi.
Abstract : With a cultivated area of 200 ha, the perimeter of the peaks of Sindou is faced with climatic hazards such as flood brutal and long pockets of drought. It has a catchment area of 25 km², much of which is based on the sedimentary basin of Kawara-Sindou. Its water table is strongly captive. Water sources of 21.6m3/h feed the perimeter. The diagnosis allowed to make the inventory of the perimeter. It appears that almost all the works are in a defective state. And sanitation is a real problem.
A hydro agricultural project of 320 ha is proposed to improve the perimeter performances. This project aims to valorize the captive water table of Kawara-Sindou, photovoltaic energy and water-saving irrigation systems.
The irrigation system adopted, is the micro-sprinkler irrigation with an equipment flow of 1.68 l/s/ha. Its supply is gravity through a rectangular tank in reinforced concrete with a capacity of 24,000 m3. The reservoir is semi-buried and its base is wedged to the coast 364 m. It is fed by 30 boreholes. Each borehole is equipped with a submerged pump with a nominal flow rate of 121.97 m3/h and a nominal power of 22.45 kW. The solar power station has a minimum power of 8.6 MWp in summer. It avoids the release of 1,805 tons per year of CO2 into the environment.
The cost of hydro agricultural development is 1,118,402,198 FCFA or 3,883,341 CFA/ha, for a return on investment of two and a half years.Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Diagnostic et proposition de solutions d’amélioration des performances d’un périmètre rizicole : cas du périmètre des pics de Sindou [texte imprimé] / Nébilma Jérôme BAZONGO . - 2019 . - 125 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Avec une superficie exploitée de 200 ha, le périmètre des pics de Sindou est confronté aux aléas climatiques telles que les crues brutales et les longues poches de sècheresse. Il a un bassin versant d’une superficie de 25 km², dont une grande partie repose sur le bassin sédimentaire du Kawara-Sindou. Sa nappe d’eau y est fortement captive. Des sources d’eau de 21,6m3/h alimentent le périmètre. Le diagnostic réalisé a permis de faire l’état des lieux du périmètre. Il ressort que la quasi-totalité des ouvrages sont dans un état défectueux. Et l’assainissement y est un véritable problème.
Un projet d’aménagement hydroagricole de 320 ha est proposé pour améliorer les performances du périmètre. Ce projet vise la valorisation de la nappe captive du Kawara-Sindou et la valorisation de l’énergie photovoltaïque et la promotion des systèmes d’irrigation économe d’eau.
Le système d’irrigation adopté est la micro-aspersion avec un débit d’équipement de 1,68 l/s/ha. Son alimentation est gravitaire grâce à un réservoir rectangulaire en béton armé d’une capacité de 24 000 m3. Le réservoir est semi-enterré et son radier est calé à la côte 364 m. Il est alimenté par 30 forages. Chaque forage est équipé d’une pompe immergée ayant un débit nominal 121,97 m3/h et une puissance nominale de 22,45 kW. La centrale solaire dispose d’une puissance minimale de 8,6 MWc en période estivale et permet d’éviter le rejet de 1805 tonnes par an de CO2 dans l’environnement.
Le coût de l’aménagement hydroagricole est de 1 118 402 198 FCFA TTC soit 3 883 341 F CFA/ha, pour une durée de retour sur investissement de deux ans et demi.
Abstract : With a cultivated area of 200 ha, the perimeter of the peaks of Sindou is faced with climatic hazards such as flood brutal and long pockets of drought. It has a catchment area of 25 km², much of which is based on the sedimentary basin of Kawara-Sindou. Its water table is strongly captive. Water sources of 21.6m3/h feed the perimeter. The diagnosis allowed to make the inventory of the perimeter. It appears that almost all the works are in a defective state. And sanitation is a real problem.
A hydro agricultural project of 320 ha is proposed to improve the perimeter performances. This project aims to valorize the captive water table of Kawara-Sindou, photovoltaic energy and water-saving irrigation systems.
The irrigation system adopted, is the micro-sprinkler irrigation with an equipment flow of 1.68 l/s/ha. Its supply is gravity through a rectangular tank in reinforced concrete with a capacity of 24,000 m3. The reservoir is semi-buried and its base is wedged to the coast 364 m. It is fed by 30 boreholes. Each borehole is equipped with a submerged pump with a nominal flow rate of 121.97 m3/h and a nominal power of 22.45 kW. The solar power station has a minimum power of 8.6 MWp in summer. It avoids the release of 1,805 tons per year of CO2 into the environment.
The cost of hydro agricultural development is 1,118,402,198 FCFA or 3,883,341 CFA/ha, for a return on investment of two and a half years.Exemplaires
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BazongoAdobe Acrobat PDFMémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Cartographie et fonctionnement des sols du dispositif expérimental de Sanon en fonction de plusieurs systèmes de cultures / Palingba Aimé Marie DOULKOM
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Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Cartographie et fonctionnement des sols du dispositif expérimental de Sanon en fonction de plusieurs systèmes de cultures Type de document : texte imprimé Auteurs : Palingba Aimé Marie DOULKOM Année de publication : 2019 Importance : 85 p. Langues : Français (fre) Résumé : Cette recherche a été menée sur le bassin versant de Sanon situé dans la zone soudano sahélienne au Burkina Faso. C’est une zone qui subit depuis quelques années des aléas climatiques tant sur la répartition de la pluie que sur la dégradation du sol. A cela s’ajoutent les fortes pressions anthropiques.
Sur ce site expérimental, plusieurs mesures de terrain ont été effectuées afin de mieux comprendre la dynamique de l’eau dans le sol. Ainsi, nous avons disposé de trois parcelles (80m2 chacune) équipées d’un même dispositif qui a permis de quantifier les paramètres physiques et hydrodynamiques du sol ainsi que les différents paramètres du bilan (ruissellement, drainage, pluviométrie, infiltration). Ces parcelles sont situées sur des états de surface différents dont deux en zone cultivée (parcelles arachide et mil) et une en zone non cultivée (parcelle latéritique).
Les résultats nous ont permis de savoir que 64% de la superficie du bassin versant se situe en zone argilo sableuse contre 26% en zone graveleuse et 10% en zone argileuse. Par ailleurs, deux cas de figures se présentent. D’une part nous avons les parcelles arachide et mil situées sur la zone argilo sableuse qui présentent une conductivité hydraulique à saturation comprise entre 38.1mm/h et 47.3mm/h ainsi qu’un stock hydrique non négligeable de l’ordre de 112mm à 219mm. La vitesse d’infiltration y est élevée et le drainage au-delà de 90cm varie entre 92mm et 160mm. On note une teneur en eau variant entre 7% et 31%. D’autre part, la parcelle latéritique est peu perméable avec taux d’infiltration de 10.2mm/h et une grande capacité de ruissellement. Le stock d’eau compris entre 48mm et 118mm y est faible et est très vite repris par le phénomène d’évapotranspiration. Le drainage y est quasi nul. De façon générale, la teneur en eau quantifiée entre la surface du sol et la profondeur 80cm est de l’ordre de 2% à 17% et varie dans les 50 premiers centimètres. Elle est quasi constante dans les profondeurs. On observe ainsi des poches de sécheresse qui entrainent souvent un déficit hydrique au niveau des cultures d’où une baisse du rendement agricole. L’évapotranspiration réelle quant à elle est environ 1 à 3 mm/j.
Cela nous a permis de déduire qu’environ 64% du sol du bassin versant peut être consacré à l’agriculture mais les conditions d’occupation du sol doivent être bien considérées. Par ailleurs, la reconstitution du couvert des sols s’avère donc nécessaire pour palier au problème de déficit alimentaire.
Abstract : This research was conducted on the Sanon watershed located in the Sudano Sahelian zone in Burkina Faso. It is an area which undergoes for some years climatic hazards as much on the distribution of the rain as on the degradation of the soil. Added to this are the strong anthropic pressures.
On this experimental site, several field measurements have been made to better understand the dynamics of water in the soil. Thus, we have three plots (80m2 each) equipped with the same device to quantify the physical and hydrodynamic parameters of the soil and the various parameters of the balance sheet (runoff, drainage, rainfall, infiltration). These plots are located on different surface conditions, two of which are in cultivated areas (groundnut plots and millet) and one in non-cultivated areas (lateritic plots).
The results revealed that 64% of the catchment area is sandy clay, 26% in the gravelly zone and 10% in the clay zone. In addition, two situations arise. On the one hand groundnut and millet plots located on the sandy clay area, have a saturation hydraulic conductivity of between 38.1mm / h and 47.3mm / h and a significant water stock of the order of 112mm to 219mm. The rate of infiltration is high and the drainage beyond 90cm varies between 92mm and 160mm. A water content of between 7% and 31% is noted. On the other hand, the lateritic plot is not very permeable with an infiltration rate of 10.2 mm / h and a high runoff capacity. The stock of water between 48mm and 118mm is weak and is quickly taken up by the phenomenon of evapotranspiration. Drainage is almost zero. In general, the quantified water content between the soil surface and the depth 80cm is of the order of 2% to 17% and varies in the first 50 cm. It is almost constant in the depths. There are pockets of drought that often result in a water deficit in crops resulting in a decline in agricultural yield. The actual evapotranspiration is about 1 to 3 mm / d.
This allowed us to deduce that about 64% of the watershed soil can be devoted to agriculture, but land use conditions must be considered. In addition, the restoration of soil cover is therefore necessary to overcome the problem of food deficit.Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Cartographie et fonctionnement des sols du dispositif expérimental de Sanon en fonction de plusieurs systèmes de cultures [texte imprimé] / Palingba Aimé Marie DOULKOM . - 2019 . - 85 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Cette recherche a été menée sur le bassin versant de Sanon situé dans la zone soudano sahélienne au Burkina Faso. C’est une zone qui subit depuis quelques années des aléas climatiques tant sur la répartition de la pluie que sur la dégradation du sol. A cela s’ajoutent les fortes pressions anthropiques.
Sur ce site expérimental, plusieurs mesures de terrain ont été effectuées afin de mieux comprendre la dynamique de l’eau dans le sol. Ainsi, nous avons disposé de trois parcelles (80m2 chacune) équipées d’un même dispositif qui a permis de quantifier les paramètres physiques et hydrodynamiques du sol ainsi que les différents paramètres du bilan (ruissellement, drainage, pluviométrie, infiltration). Ces parcelles sont situées sur des états de surface différents dont deux en zone cultivée (parcelles arachide et mil) et une en zone non cultivée (parcelle latéritique).
Les résultats nous ont permis de savoir que 64% de la superficie du bassin versant se situe en zone argilo sableuse contre 26% en zone graveleuse et 10% en zone argileuse. Par ailleurs, deux cas de figures se présentent. D’une part nous avons les parcelles arachide et mil situées sur la zone argilo sableuse qui présentent une conductivité hydraulique à saturation comprise entre 38.1mm/h et 47.3mm/h ainsi qu’un stock hydrique non négligeable de l’ordre de 112mm à 219mm. La vitesse d’infiltration y est élevée et le drainage au-delà de 90cm varie entre 92mm et 160mm. On note une teneur en eau variant entre 7% et 31%. D’autre part, la parcelle latéritique est peu perméable avec taux d’infiltration de 10.2mm/h et une grande capacité de ruissellement. Le stock d’eau compris entre 48mm et 118mm y est faible et est très vite repris par le phénomène d’évapotranspiration. Le drainage y est quasi nul. De façon générale, la teneur en eau quantifiée entre la surface du sol et la profondeur 80cm est de l’ordre de 2% à 17% et varie dans les 50 premiers centimètres. Elle est quasi constante dans les profondeurs. On observe ainsi des poches de sécheresse qui entrainent souvent un déficit hydrique au niveau des cultures d’où une baisse du rendement agricole. L’évapotranspiration réelle quant à elle est environ 1 à 3 mm/j.
Cela nous a permis de déduire qu’environ 64% du sol du bassin versant peut être consacré à l’agriculture mais les conditions d’occupation du sol doivent être bien considérées. Par ailleurs, la reconstitution du couvert des sols s’avère donc nécessaire pour palier au problème de déficit alimentaire.
Abstract : This research was conducted on the Sanon watershed located in the Sudano Sahelian zone in Burkina Faso. It is an area which undergoes for some years climatic hazards as much on the distribution of the rain as on the degradation of the soil. Added to this are the strong anthropic pressures.
On this experimental site, several field measurements have been made to better understand the dynamics of water in the soil. Thus, we have three plots (80m2 each) equipped with the same device to quantify the physical and hydrodynamic parameters of the soil and the various parameters of the balance sheet (runoff, drainage, rainfall, infiltration). These plots are located on different surface conditions, two of which are in cultivated areas (groundnut plots and millet) and one in non-cultivated areas (lateritic plots).
The results revealed that 64% of the catchment area is sandy clay, 26% in the gravelly zone and 10% in the clay zone. In addition, two situations arise. On the one hand groundnut and millet plots located on the sandy clay area, have a saturation hydraulic conductivity of between 38.1mm / h and 47.3mm / h and a significant water stock of the order of 112mm to 219mm. The rate of infiltration is high and the drainage beyond 90cm varies between 92mm and 160mm. A water content of between 7% and 31% is noted. On the other hand, the lateritic plot is not very permeable with an infiltration rate of 10.2 mm / h and a high runoff capacity. The stock of water between 48mm and 118mm is weak and is quickly taken up by the phenomenon of evapotranspiration. Drainage is almost zero. In general, the quantified water content between the soil surface and the depth 80cm is of the order of 2% to 17% and varies in the first 50 cm. It is almost constant in the depths. There are pockets of drought that often result in a water deficit in crops resulting in a decline in agricultural yield. The actual evapotranspiration is about 1 to 3 mm / d.
This allowed us to deduce that about 64% of the watershed soil can be devoted to agriculture, but land use conditions must be considered. In addition, the restoration of soil cover is therefore necessary to overcome the problem of food deficit.Exemplaires
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PalingbaAdobe Acrobat PDFMémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Optimisation de la consommation électrique des pompes des forages du champ captant d’ONO de la ville d’Abidjan, Côte d’Ivoire / Nande Ibrahim KONE
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Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Optimisation de la consommation électrique des pompes des forages du champ captant d’ONO de la ville d’Abidjan, Côte d’Ivoire Type de document : texte imprimé Auteurs : Nande Ibrahim KONE Année de publication : 2019 Importance : 97 p. Langues : Français (fre) Résumé : Le territoire du district d’Abidjan est alimenté en eau potable à partir de trois grands bassins sédimentaires : la nappe d’Abidjan, de Dabou et du Sud-Comoé à Bonoua. L’exploitation de l’eau souterraine de ces nappes est très importante car elle représente plus de 70% de la production nationale en eau potable. Le champ captant d’ONO qui fait partie de la nappe du Sud-Comoé à Bonoua qui été mis en service en 2015, compte au total sept (07) forages. C’est le champ captant le plus éloigné, car les forages refoulent sur une distance de 19.3 km jusqu’à la station de traitement de Bonoua.
Les pompes immergées installées dans ces forages sont seulement de deux types avec une Hauteur Manométrique Totale nominale de 230 m :
- quatre (4) pompes toutes identiques avec un débit nominal de 220 m3/h, et une puissance électrique de 210 kw
- trois (3) pompes toutes identiques avec un débit nominal de 260 m3/h et une puissance électrique de 230 kw.
Cependant, afin de respecter les débits d’exploitation indiqués dans les essais de pompage, il a été installé des diaphragmes sur chaque forage. De façon générale nous avons une augmentation de la consommation électrique. Le champ captant d’ONO a le Ratio de Consommation Spécifique (Wh/ m3) le plus élevé par forage. Conscient du problème, la Société de Distribution d’eau Potable a mis en place un projet pilote d’optimisation de la consommation électrique des forages du champ captant d’ONO.
Ce projet devra permettre de pallier à la consommation élevée des pompes. Il s’agit de refaire une vérification au niveau des conduites de refoulement s’en suit une vérification de la Hauteur Manométrique Totale des pompes existantes et ensuite un nouveau redimensionnement des pompes et faire une proposition de choix de nouveaux équipements. Suite à l’étude réalisée, nous avions à faire des propositions de choix sur les pompes GRUNDFOS. Pour une meilleure optimisation des forages, notre choix s’est porté sur des pompes GRUNDFOS qui sont de types SP 215 avec un Ration de consommation spécifique allant de 588 à 659 Wh/m3.
Avec un investissement de 200 035 169 Francs CFA Hors Taxe pour la fourniture et la pose de nouvelles pompes, notre étude indique une réduction annuelle des charges d’électricité de près 115 153 079 Francs CFA/an.
Abstract : The territory of the Abidjan district is supplied with drinking water from three large sedimentary basins: the aquifer of Abidjan, Dabou and Sud-Comoé in Bonoua. The exploitation of groundwater from these aquifers is very important because it represents more than 70% of national production of drinking water. The ONO catchment field which is part of the Sud-Comoé aquifer at Bonoua which was commissioned in 2015, has a total of seven (07) holes. It is the most distant field, because the boreholes back up a distance of 19.3 km to the Bonoua treatment station. The submersible pumps installed in these boreholes are only of two types with a nominal Total Manometric Height of 230 m:
- Four (4) pumps all identical with a nominal flow rate of 220 m3/h, and an electrical power of 210 kw
- Three (3) pumps all identical with a nominal flow rate of 260 m3/h and an electrical power of 230 kw.
However, in order to respect the operating rates indicated in the pumping tests, diaphragms were installed on each borehole. Generally we have an increase in electricity consumption. The ONO catchment field has the highest Specific Consumption Ratio (Wh / m3) by drilling. Aware of the problem, the Potable Water Distribution Company has set up a pilot project to optimize the power consumption of ONO's well field boreholes.
This project will make it possible to offset the high consumption of the pumps. It is a question of redoing a check at the level of the delivery pipes, followed by a check of the Total Manometric Height of the existing pumps and then a new resizing of the pumps and making a proposal for the choice of new equipment. Following the study, we had to make choices regarding GRUNDFOS pumps. For better optimization of drilling, our choice fell on GRUNDFOS pumps which are SP 215 types with a consumption ration ranging from 597 to 664 Wh / m3.
With an investment of 200,035,169 CFA francs excluding tax for the supply and installation of new pumps, our study indicates an annual reduction in electricity costs of nearly 81,029,967 CFA francs / year.Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Optimisation de la consommation électrique des pompes des forages du champ captant d’ONO de la ville d’Abidjan, Côte d’Ivoire [texte imprimé] / Nande Ibrahim KONE . - 2019 . - 97 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Le territoire du district d’Abidjan est alimenté en eau potable à partir de trois grands bassins sédimentaires : la nappe d’Abidjan, de Dabou et du Sud-Comoé à Bonoua. L’exploitation de l’eau souterraine de ces nappes est très importante car elle représente plus de 70% de la production nationale en eau potable. Le champ captant d’ONO qui fait partie de la nappe du Sud-Comoé à Bonoua qui été mis en service en 2015, compte au total sept (07) forages. C’est le champ captant le plus éloigné, car les forages refoulent sur une distance de 19.3 km jusqu’à la station de traitement de Bonoua.
Les pompes immergées installées dans ces forages sont seulement de deux types avec une Hauteur Manométrique Totale nominale de 230 m :
- quatre (4) pompes toutes identiques avec un débit nominal de 220 m3/h, et une puissance électrique de 210 kw
- trois (3) pompes toutes identiques avec un débit nominal de 260 m3/h et une puissance électrique de 230 kw.
Cependant, afin de respecter les débits d’exploitation indiqués dans les essais de pompage, il a été installé des diaphragmes sur chaque forage. De façon générale nous avons une augmentation de la consommation électrique. Le champ captant d’ONO a le Ratio de Consommation Spécifique (Wh/ m3) le plus élevé par forage. Conscient du problème, la Société de Distribution d’eau Potable a mis en place un projet pilote d’optimisation de la consommation électrique des forages du champ captant d’ONO.
Ce projet devra permettre de pallier à la consommation élevée des pompes. Il s’agit de refaire une vérification au niveau des conduites de refoulement s’en suit une vérification de la Hauteur Manométrique Totale des pompes existantes et ensuite un nouveau redimensionnement des pompes et faire une proposition de choix de nouveaux équipements. Suite à l’étude réalisée, nous avions à faire des propositions de choix sur les pompes GRUNDFOS. Pour une meilleure optimisation des forages, notre choix s’est porté sur des pompes GRUNDFOS qui sont de types SP 215 avec un Ration de consommation spécifique allant de 588 à 659 Wh/m3.
Avec un investissement de 200 035 169 Francs CFA Hors Taxe pour la fourniture et la pose de nouvelles pompes, notre étude indique une réduction annuelle des charges d’électricité de près 115 153 079 Francs CFA/an.
Abstract : The territory of the Abidjan district is supplied with drinking water from three large sedimentary basins: the aquifer of Abidjan, Dabou and Sud-Comoé in Bonoua. The exploitation of groundwater from these aquifers is very important because it represents more than 70% of national production of drinking water. The ONO catchment field which is part of the Sud-Comoé aquifer at Bonoua which was commissioned in 2015, has a total of seven (07) holes. It is the most distant field, because the boreholes back up a distance of 19.3 km to the Bonoua treatment station. The submersible pumps installed in these boreholes are only of two types with a nominal Total Manometric Height of 230 m:
- Four (4) pumps all identical with a nominal flow rate of 220 m3/h, and an electrical power of 210 kw
- Three (3) pumps all identical with a nominal flow rate of 260 m3/h and an electrical power of 230 kw.
However, in order to respect the operating rates indicated in the pumping tests, diaphragms were installed on each borehole. Generally we have an increase in electricity consumption. The ONO catchment field has the highest Specific Consumption Ratio (Wh / m3) by drilling. Aware of the problem, the Potable Water Distribution Company has set up a pilot project to optimize the power consumption of ONO's well field boreholes.
This project will make it possible to offset the high consumption of the pumps. It is a question of redoing a check at the level of the delivery pipes, followed by a check of the Total Manometric Height of the existing pumps and then a new resizing of the pumps and making a proposal for the choice of new equipment. Following the study, we had to make choices regarding GRUNDFOS pumps. For better optimization of drilling, our choice fell on GRUNDFOS pumps which are SP 215 types with a consumption ration ranging from 597 to 664 Wh / m3.
With an investment of 200,035,169 CFA francs excluding tax for the supply and installation of new pumps, our study indicates an annual reduction in electricity costs of nearly 81,029,967 CFA francs / year.Exemplaires
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NandeAdobe Acrobat PDFMémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Modélisation pluie-débit du bassin versant du Mouhoun à Banzon au Burkina Faso / Wend Noaga RAMDE
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Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Modélisation pluie-débit du bassin versant du Mouhoun à Banzon au Burkina Faso : application du modèle hydrologique HEC-HMS Type de document : texte imprimé Auteurs : Wend Noaga RAMDE Année de publication : 2019 Importance : 80 p. Langues : Français (fre) Résumé : Depuis quelques années, les principales stations hydrométriques du Mouhoun au Burkina Faso connaissent d’importantes fluctuations des écoulements sur plusieurs reliées à la combinaison de la modification des états de surface et de l’action de l’Homme. En vue d’une meilleure prise en compte de ses deux facteurs sur l’hydraulicité du fleuve Mouhoun, une modélisation a été initiée sur le bassin versant de Banzon, une des principales stations hydrométriques du fleuve Mouhoun. Le modèle HEC-HMS a été utilisé pour simuler les différentes composantes du bilan hydrologique de ce bassin versant dont la zone d’étude a une superficie de 2788 km² avec une plaine aménagée de plus de 300 ha. Cette modélisation à travers HEC-HMS permet de déterminer les différentes composantes du bilan hydrique. La démarche méthodologique repose sur une simulation des écoulements en faisant une calibration et une validation du modèle en fonction des années selon le pas de temps journalier. Les résultats montrent des coefficients témoignant d’une bonne performance du modèle. Pour le calibrage on a les valeurs suivantes : 0.55
Abstract : For the past few years, the main hydrometric stations in Mouhoun in Burkina Faso have experienced significant fluctuations in flows over several related to the combination of surface texture modification and human action. In order to take better account of its two factors on the hydraulicity of the Mouhoun river, modeling has been initiated on the Banzon watershed, one of the main hydrometric stations of the Mouhoun river. The HEC-HMS model was used to simulate the various components of the hydrological balance of this watershed whose study area has an area of 2,788 km² with a developed plain of more than 300 ha. This modeling through HEC-HMS makes it possible to determine the different components of the water balance.
The methodological approach is based on a simulation of flows by calibrating and validating the model according to the years according to the daily time step.
The results show coefficients reflecting a good performance of the model. The following values are available for calibration: 0.55As for the study of the water balance, we note that the actual evapotranspiration represents more than 68% / year or a daily value 2.mm against 5mm / d for the national average. As for the other components, we have a recharge of around 25% and a runoff of around 7%. Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Modélisation pluie-débit du bassin versant du Mouhoun à Banzon au Burkina Faso : application du modèle hydrologique HEC-HMS [texte imprimé] / Wend Noaga RAMDE . - 2019 . - 80 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Depuis quelques années, les principales stations hydrométriques du Mouhoun au Burkina Faso connaissent d’importantes fluctuations des écoulements sur plusieurs reliées à la combinaison de la modification des états de surface et de l’action de l’Homme. En vue d’une meilleure prise en compte de ses deux facteurs sur l’hydraulicité du fleuve Mouhoun, une modélisation a été initiée sur le bassin versant de Banzon, une des principales stations hydrométriques du fleuve Mouhoun. Le modèle HEC-HMS a été utilisé pour simuler les différentes composantes du bilan hydrologique de ce bassin versant dont la zone d’étude a une superficie de 2788 km² avec une plaine aménagée de plus de 300 ha. Cette modélisation à travers HEC-HMS permet de déterminer les différentes composantes du bilan hydrique. La démarche méthodologique repose sur une simulation des écoulements en faisant une calibration et une validation du modèle en fonction des années selon le pas de temps journalier. Les résultats montrent des coefficients témoignant d’une bonne performance du modèle. Pour le calibrage on a les valeurs suivantes : 0.55
Abstract : For the past few years, the main hydrometric stations in Mouhoun in Burkina Faso have experienced significant fluctuations in flows over several related to the combination of surface texture modification and human action. In order to take better account of its two factors on the hydraulicity of the Mouhoun river, modeling has been initiated on the Banzon watershed, one of the main hydrometric stations of the Mouhoun river. The HEC-HMS model was used to simulate the various components of the hydrological balance of this watershed whose study area has an area of 2,788 km² with a developed plain of more than 300 ha. This modeling through HEC-HMS makes it possible to determine the different components of the water balance.
The methodological approach is based on a simulation of flows by calibrating and validating the model according to the years according to the daily time step.
The results show coefficients reflecting a good performance of the model. The following values are available for calibration: 0.55As for the study of the water balance, we note that the actual evapotranspiration represents more than 68% / year or a daily value 2.mm against 5mm / d for the national average. As for the other components, we have a recharge of around 25% and a runoff of around 7%. Exemplaires
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RamdeAdobe Acrobat PDFMémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Proposition de solution d’amélioration des performances d’un périmètre rizicole par la technologie du tube Well / Ousséni SANKARA
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Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Proposition de solution d’amélioration des performances d’un périmètre rizicole par la technologie du tube Well : cas du périmètre irrigue de Bama (Burkina-Faso) Type de document : texte imprimé Auteurs : Ousséni SANKARA Année de publication : 2019 Importance : 66 p. Langues : Français (fre) Résumé : Aménagé en 1974 par la chine Taiwan, le périmètre irrigué de la vallée du kou dans la commune de Bama, est confronté de nos jours à une pénurie d’eau pendant la contre saison. Sur 1260 Ha emblavés, seulement 250 Ha sont cultivés pendant la contre saison. Le périmètre de la vallée du Kou est un aménagement au fil d’un cour d’eau le Kou, affluant du Mouhoun constitué d’un canal d’amenée de 11,20 Km et d’un réseau hydraulique composé d’un canal principal de 10,851 Km de long, de 10 canaux secondaires, de 82 canaux tertiaires et de 420 canaux quaternaires ,de réseaux de drainage et de pistes d’accès. Toutefois la pénurie d’eau entraine des manques à gagner sur les revenus des producteurs. C’est dans cette logique qu’une étude diagnostique a été mené sur le dit périmètre afin d’améliorer ses performances agricoles. Sur l’état des lieux des ouvrages existants, il est à noter que la plupart des ouvrages hydrauliques sont en état relativement bonne sauf le non entretien des canaux et le vol d’équipement comme les modules à masques, vannettes.
En effet cette pénurie d’eau, après analyse est dû en partie au prélèvement anarchique de l’eau le long du canal d’amenée pour l’irrigation de près de 700 Ha de champ, l’installation de près de 150 motopompes, l’ensablement du Kou. Cependant pour pallier au manque d’eau sur la plaine, deux techniques ont été abordé à savoir la technologie du Tube Well pour l’irrigation et la technique d’irrigation par intermittence.
Pour la Technologie du Tube Well, qui est une technique peu encore développé au Burkina, elle nous a permis d’utiliser l’eau de la nappe phréatique pour l’irrigation chez deux producteurs avec des débits de 5,5 l/s à 7, 82 l/s.
Pour ce qui concerne la méthode d’irrigation par intermittente(AWD), une étude comparative a été fait avec la pratique paysanne(PP) en vue d’une bonne gestion de l’eau à la parcelle et l’impact de la méthode AWD sur les paramètres hydriques, le rendement ont été évalués. Cette technique a permis un gain économique sur l’eau de 11 ,54% et au niveau du revenu des producteurs de près de 11 %.
Abstract : Developed in 1974 by China Taiwan, the irrigated perimeter of the kou valley in the municipality of Bama, is now facing a shortage of water during the off-season. Of the 1260 Ha entangled, only 250 Ha are grown during the off-season. The perimeter of the Kou Valley is a development along a riveryard, the Mouhoun consisting of a 11.20 km canal and a hydraulic network consisting of a main canal of 10.851 km long, 10 secondary canals, 82 tertiary canals and 420 pipelines, drainage networks and drainage networks. However, water scarcity leads to shortfalls in producers' incomes. It is with this in mind that a diagnostic study was conducted on the so-called perimeter in order to improve its agricultural performance. On the state of the premises of the existing structures, it should be noted that most hydraulic works are in relatively good condition except for the non-maintenance of the canals and the theft of equipment such as mask modules, vans.
Indeed this water shortage, after analysis is due in part to the removal of water along the canal of brought for irrigation of nearly 700 Ha of field, the installation of nearly 150 motor pumps, the sanding of the Kou. However, to compensate for the lack of water on the plain, two techniques were discussed: Tube Well technology for irrigation and intermittent irrigation technique.
For Well Tube Technology, which is a technique not yet developed in Burkina, it allowed us to use water from the water table for irrigation in two producers with flows of 5.5 l/s to 7. 82 l/s.
With regard to the Intermittent Irrigation Method (AWD), a comparative study was done with the farmer practice (PP) with a view to good water management at the plot and the impact of the AWD method on water parameters, yield was Evaluated. This technique has resulted in an economic gain on water of 11.54% and at the level of producer income of almost 11%.Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Proposition de solution d’amélioration des performances d’un périmètre rizicole par la technologie du tube Well : cas du périmètre irrigue de Bama (Burkina-Faso) [texte imprimé] / Ousséni SANKARA . - 2019 . - 66 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Aménagé en 1974 par la chine Taiwan, le périmètre irrigué de la vallée du kou dans la commune de Bama, est confronté de nos jours à une pénurie d’eau pendant la contre saison. Sur 1260 Ha emblavés, seulement 250 Ha sont cultivés pendant la contre saison. Le périmètre de la vallée du Kou est un aménagement au fil d’un cour d’eau le Kou, affluant du Mouhoun constitué d’un canal d’amenée de 11,20 Km et d’un réseau hydraulique composé d’un canal principal de 10,851 Km de long, de 10 canaux secondaires, de 82 canaux tertiaires et de 420 canaux quaternaires ,de réseaux de drainage et de pistes d’accès. Toutefois la pénurie d’eau entraine des manques à gagner sur les revenus des producteurs. C’est dans cette logique qu’une étude diagnostique a été mené sur le dit périmètre afin d’améliorer ses performances agricoles. Sur l’état des lieux des ouvrages existants, il est à noter que la plupart des ouvrages hydrauliques sont en état relativement bonne sauf le non entretien des canaux et le vol d’équipement comme les modules à masques, vannettes.
En effet cette pénurie d’eau, après analyse est dû en partie au prélèvement anarchique de l’eau le long du canal d’amenée pour l’irrigation de près de 700 Ha de champ, l’installation de près de 150 motopompes, l’ensablement du Kou. Cependant pour pallier au manque d’eau sur la plaine, deux techniques ont été abordé à savoir la technologie du Tube Well pour l’irrigation et la technique d’irrigation par intermittence.
Pour la Technologie du Tube Well, qui est une technique peu encore développé au Burkina, elle nous a permis d’utiliser l’eau de la nappe phréatique pour l’irrigation chez deux producteurs avec des débits de 5,5 l/s à 7, 82 l/s.
Pour ce qui concerne la méthode d’irrigation par intermittente(AWD), une étude comparative a été fait avec la pratique paysanne(PP) en vue d’une bonne gestion de l’eau à la parcelle et l’impact de la méthode AWD sur les paramètres hydriques, le rendement ont été évalués. Cette technique a permis un gain économique sur l’eau de 11 ,54% et au niveau du revenu des producteurs de près de 11 %.
Abstract : Developed in 1974 by China Taiwan, the irrigated perimeter of the kou valley in the municipality of Bama, is now facing a shortage of water during the off-season. Of the 1260 Ha entangled, only 250 Ha are grown during the off-season. The perimeter of the Kou Valley is a development along a riveryard, the Mouhoun consisting of a 11.20 km canal and a hydraulic network consisting of a main canal of 10.851 km long, 10 secondary canals, 82 tertiary canals and 420 pipelines, drainage networks and drainage networks. However, water scarcity leads to shortfalls in producers' incomes. It is with this in mind that a diagnostic study was conducted on the so-called perimeter in order to improve its agricultural performance. On the state of the premises of the existing structures, it should be noted that most hydraulic works are in relatively good condition except for the non-maintenance of the canals and the theft of equipment such as mask modules, vans.
Indeed this water shortage, after analysis is due in part to the removal of water along the canal of brought for irrigation of nearly 700 Ha of field, the installation of nearly 150 motor pumps, the sanding of the Kou. However, to compensate for the lack of water on the plain, two techniques were discussed: Tube Well technology for irrigation and intermittent irrigation technique.
For Well Tube Technology, which is a technique not yet developed in Burkina, it allowed us to use water from the water table for irrigation in two producers with flows of 5.5 l/s to 7. 82 l/s.
With regard to the Intermittent Irrigation Method (AWD), a comparative study was done with the farmer practice (PP) with a view to good water management at the plot and the impact of the AWD method on water parameters, yield was Evaluated. This technique has resulted in an economic gain on water of 11.54% and at the level of producer income of almost 11%.Exemplaires
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OusseniAdobe Acrobat PDFMémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude de la ligne d’évacuation HTA 33kV de la centrale solaire photovoltaïque de Nagreongo-Ziniaré au réseau de la SONABEL / Wendyam Diane Narcelle KABORE
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Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Etude de la ligne d’évacuation HTA 33kV de la centrale solaire photovoltaïque de Nagreongo-Ziniaré au réseau de la SONABEL Type de document : texte imprimé Auteurs : Wendyam Diane Narcelle KABORE Année de publication : 2021 Importance : 98 p. Langues : Français (fre) Résumé : La présente étude porte sur la conception d’une ligne électrique HTA de 33 kV pour l’évacuation de la puissance de la centrale solaire photovoltaïque de 30 MWc de Nagréongo vers un poste de la SONABEL à Ziniaré. Le logiciel Google Earth est l’outil utilisé pour la réalisation du tracé de la ligne afin d’obtenir les différents points d’angle. Dans le processus, c’est le dimensionnement électrique qui a d’abord été fait de façon manuelle avant que les résultats ne soient confirmés avec l’aide du logiciel Neplan. Il est à noter que la ligne est de type double terne, a une longueur de 21 km pour une chute de tension de 4,7%. Ainsi donc nous avons retenu comme conducteur, l’ASTER 228, avec un câble de garde muni de la fibre optique pour assurer une meilleure tenue de la ligne et une télécommunication entre la centrale et le poste. Les isolateurs utilisés seront en verre trempé avec une chaîne constituée de 2 assiettes standard. Chaque chaîne aura une tenue aux chocs de foudre de 140 kN avec une ligne de fuite de 640 mm. Pour le dimensionnement mécanique, nous avons procédé manuellement, ensuite nous avons utilisé une feuille Excel afin de déterminer le nombre de support nécessaire pour tenir la ligne. Puis nous avons utilisé le logiciel CAMELIA pour l’étude complète de la ligne. Nous avons obtenu 25 cantons pour une portée équivalente de 147m, 132 supports métallique tubulaire de 14m de hauteur. Enfin, nous avons abordé également l’identification et l’évaluation des impacts liés aux activités du projet. A cet effet, nous avons proposé des mesures utiles et nécessaire pour atténuer les impacts négatifs, des mesures de surveillance et de suivi ainsi qu’un Plan de Gestion Environnementale et Sociale (PGES). Le coût global est estimé à 1 183 629 541 FCFA.
Abstract : Our work relates to the study of the design of a 33 Kv HTA power line for the evacuation of the power of the 30MWp photovoltaic solar power plant to a SONABEL station in Ziniaré. We used the Google Earth software to draw the line in order to obtain our different angle points. First, we did the electric sizing manually, then we used the Neplan software to confirm the results. The line is double circuit with a length of 21km for a voltage drop of 4.7%. So, we have chosen as conductor, the ASTER 228, with a guard cable fitted with optical fiber to ensure a better line performance and telecommunication between the station and the substation. For the mechanic sizing, we have used first an excel sheet in order to determine the number of supports needed to hold the line then, we have used the CAMELIA software for the complete study of the line. We obtained 25 cantons for an equivalent span of 147m, 132 tubular metal supports 14 m high. Finally, we also approached the identification and assessment of the impacts linked to the project activities. To this purpose, we have proposed useful and necessary measures to mitigate the negative impacts, monitoring and follow-up measures as well as an Environmental and Social Management Plan (ESMP). Our project has a whole amount of 1,183,629,541.00 FCFA.Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude de la ligne d’évacuation HTA 33kV de la centrale solaire photovoltaïque de Nagreongo-Ziniaré au réseau de la SONABEL [texte imprimé] / Wendyam Diane Narcelle KABORE . - 2021 . - 98 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : La présente étude porte sur la conception d’une ligne électrique HTA de 33 kV pour l’évacuation de la puissance de la centrale solaire photovoltaïque de 30 MWc de Nagréongo vers un poste de la SONABEL à Ziniaré. Le logiciel Google Earth est l’outil utilisé pour la réalisation du tracé de la ligne afin d’obtenir les différents points d’angle. Dans le processus, c’est le dimensionnement électrique qui a d’abord été fait de façon manuelle avant que les résultats ne soient confirmés avec l’aide du logiciel Neplan. Il est à noter que la ligne est de type double terne, a une longueur de 21 km pour une chute de tension de 4,7%. Ainsi donc nous avons retenu comme conducteur, l’ASTER 228, avec un câble de garde muni de la fibre optique pour assurer une meilleure tenue de la ligne et une télécommunication entre la centrale et le poste. Les isolateurs utilisés seront en verre trempé avec une chaîne constituée de 2 assiettes standard. Chaque chaîne aura une tenue aux chocs de foudre de 140 kN avec une ligne de fuite de 640 mm. Pour le dimensionnement mécanique, nous avons procédé manuellement, ensuite nous avons utilisé une feuille Excel afin de déterminer le nombre de support nécessaire pour tenir la ligne. Puis nous avons utilisé le logiciel CAMELIA pour l’étude complète de la ligne. Nous avons obtenu 25 cantons pour une portée équivalente de 147m, 132 supports métallique tubulaire de 14m de hauteur. Enfin, nous avons abordé également l’identification et l’évaluation des impacts liés aux activités du projet. A cet effet, nous avons proposé des mesures utiles et nécessaire pour atténuer les impacts négatifs, des mesures de surveillance et de suivi ainsi qu’un Plan de Gestion Environnementale et Sociale (PGES). Le coût global est estimé à 1 183 629 541 FCFA.
Abstract : Our work relates to the study of the design of a 33 Kv HTA power line for the evacuation of the power of the 30MWp photovoltaic solar power plant to a SONABEL station in Ziniaré. We used the Google Earth software to draw the line in order to obtain our different angle points. First, we did the electric sizing manually, then we used the Neplan software to confirm the results. The line is double circuit with a length of 21km for a voltage drop of 4.7%. So, we have chosen as conductor, the ASTER 228, with a guard cable fitted with optical fiber to ensure a better line performance and telecommunication between the station and the substation. For the mechanic sizing, we have used first an excel sheet in order to determine the number of supports needed to hold the line then, we have used the CAMELIA software for the complete study of the line. We obtained 25 cantons for an equivalent span of 147m, 132 tubular metal supports 14 m high. Finally, we also approached the identification and assessment of the impacts linked to the project activities. To this purpose, we have proposed useful and necessary measures to mitigate the negative impacts, monitoring and follow-up measures as well as an Environmental and Social Management Plan (ESMP). Our project has a whole amount of 1,183,629,541.00 FCFA.Exemplaires
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DianeAdobe Acrobat PDFMémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Paramètres hydrodynamiques du sol, facteurs de croissance et de rendement sous irrigation de corchorus olitorius / Damba Olivier BEDOUM DJERANE
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Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Paramètres hydrodynamiques du sol, facteurs de croissance et de rendement sous irrigation de corchorus olitorius Type de document : texte imprimé Auteurs : Damba Olivier BEDOUM DJERANE Année de publication : 2021 Importance : 94 p. Langues : Français (fre) Résumé : La surexploitation du bois et des produits non ligneux dans les pays soudano-sahéliens d'Afrique de l'Ouest suscite une grande inquiétude. Pour une exploitation durable et pour contribuer à la pérennisation des forêts, "l’Association Au Secours Mon Arbre" (ASMA, une association à but non lucratif) a débuté un chantier de recherche sur la détermination des paramètres culturaux des plantes de la zone tropicale africaine. La présente étude s'est consacrée à la détermination de paramètres hydrodynamiques du sol des lysimètres (bacs utilisés pour réaliser l’étude) ; à la détermination du coefficient cultural et des paramètres de croissance sous irrigation du Corchorus Olitorius. Il s’agit d’une plante herbacée utilisée comme légume-feuilles mucilagineux. Pour obtenir le Kc de la plante, trois étapes ont été entreprises. Tout d'abord, une station météorologique a fourni les valeurs l'évapotranspiration de référence ET0. Deuxièmement, pour vérifier scientifiquement les résultats, l'expérience fait tourner neuf (9) lysimètres (sept utilisés pour l’étude et deux comme témoins) pour déterminer l'évapotranspiration maximale de la culture ETM. Enfin, la définition ETMloc = Kc*ET0 a été appliquée après la transformation de l'ETM en ETMlocalisé. Les résultats ont montré que le sol des lysimètres est de type sableux argilo-limoneux avec un taux de matière organique de 8,66 ± 1,12% ; un pH de 8,62 ± 0,13 ; une densité apparente sèche de 1,26 ± 0,04(g/cm3) et une porosité de l’ordre 53%. Il ressort également des résultats que le Corchorus Olitorius de la famille des Malvaceae a une durée de 70 jours de cycle. Le coefficient cultural est de 0,44 ± 0,013 en phase initial, 0,47 ± 0,004 en phase de croissance et les phases de maturité et de récolte sont respectivement de 0,61 ± 0,035 ; 0,58 ± 0,048 avec des intervalles de confiance de 95%. La hauteur moyenne du Corchorus Olitorius est environ de 42,34 ± 22,56 cm, le diamètre au collet est en moyenne de 44 ± 2 mm et avec une profondeur racinaire qui est de 28 cm. Ces résultats offrent la possibilité d'une production efficace du Corchorus Olitorius sous irrigation, et contribueront non seulement à sa pérennisation mais aussi au développement de l’irrigation forestière. Nous recommandons pour plus de certitudes, de faire une autre étude en pleine saison sèche et en saison pluvieuse pour identifier s’il y a lieu des différences significatives.
Abstract : The over-exploitation of wood and non-timber products in the Sudano-Sahelian countries of West Africa is of great concern. In order to ensure sustainable exploitation and to contribute to the perpetuation of the forests, the "Association Au Secours Mon Arbre" (ASMA, a non-profit association) has started a research project on the determination of the cultural parameters of plants in the African tropical zone. The present study was devoted to the determination of hydrodynamic parameters of the soil of the lysimeters (tanks used to carry out the study); to the determination of the cultural coefficient and the growth parameters under irrigation of Corchorus Olitorius. This is an herbaceous plant used as a mucilaginous leafy vegetable. To obtain the Kc of the plant, three steps were undertaken. First, a meteorological station provided the reference evapotranspiration values ET0. Second, to scientifically verify the results, the experiment runs nine (9) lysimeters (seven used for the study and two as controls) to determine the maximum evapotranspiration of the ETM crop. Finally, the definition of ETMloc = Kc*ET0 was applied after the transformation of ETM to ETMloc. The results showed that the lysimeter soil is a sandy clay loam type with an organic matter content of 8.66 ± 1.12%; a pH of 8.62 ± 0.13; a dry bulk density of 1.26 ± 0.04(g/cm3) and a porosity of about 53%. The results also show that Corchorus Olitorius of the Malvaceae family has a cycle length of 70 days. The cultural coefficient is 0.44 ± 0.013 in the initial phase, 0.47 ± 0.004 in the growth phase and the maturity and harvest phases are respectively 0.61 ± 0.035; 0.58 ± 0.048 with 95% confidence intervals. The average height of Corchorus Olitorius is about 42.34 ± 22.56 cm, the diameter at the collar is on average 44 ± 2 mm and with a root depth that is 28 cm. These results offer the possibility of an efficient production of Corchorus Olitorius under irrigation, and will contribute not only to its perpetuation but also to the development of forest irrigation. For greater certainty, we recommend another study in the dry and rainy seasons to identify any significant differences.Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Paramètres hydrodynamiques du sol, facteurs de croissance et de rendement sous irrigation de corchorus olitorius [texte imprimé] / Damba Olivier BEDOUM DJERANE . - 2021 . - 94 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : La surexploitation du bois et des produits non ligneux dans les pays soudano-sahéliens d'Afrique de l'Ouest suscite une grande inquiétude. Pour une exploitation durable et pour contribuer à la pérennisation des forêts, "l’Association Au Secours Mon Arbre" (ASMA, une association à but non lucratif) a débuté un chantier de recherche sur la détermination des paramètres culturaux des plantes de la zone tropicale africaine. La présente étude s'est consacrée à la détermination de paramètres hydrodynamiques du sol des lysimètres (bacs utilisés pour réaliser l’étude) ; à la détermination du coefficient cultural et des paramètres de croissance sous irrigation du Corchorus Olitorius. Il s’agit d’une plante herbacée utilisée comme légume-feuilles mucilagineux. Pour obtenir le Kc de la plante, trois étapes ont été entreprises. Tout d'abord, une station météorologique a fourni les valeurs l'évapotranspiration de référence ET0. Deuxièmement, pour vérifier scientifiquement les résultats, l'expérience fait tourner neuf (9) lysimètres (sept utilisés pour l’étude et deux comme témoins) pour déterminer l'évapotranspiration maximale de la culture ETM. Enfin, la définition ETMloc = Kc*ET0 a été appliquée après la transformation de l'ETM en ETMlocalisé. Les résultats ont montré que le sol des lysimètres est de type sableux argilo-limoneux avec un taux de matière organique de 8,66 ± 1,12% ; un pH de 8,62 ± 0,13 ; une densité apparente sèche de 1,26 ± 0,04(g/cm3) et une porosité de l’ordre 53%. Il ressort également des résultats que le Corchorus Olitorius de la famille des Malvaceae a une durée de 70 jours de cycle. Le coefficient cultural est de 0,44 ± 0,013 en phase initial, 0,47 ± 0,004 en phase de croissance et les phases de maturité et de récolte sont respectivement de 0,61 ± 0,035 ; 0,58 ± 0,048 avec des intervalles de confiance de 95%. La hauteur moyenne du Corchorus Olitorius est environ de 42,34 ± 22,56 cm, le diamètre au collet est en moyenne de 44 ± 2 mm et avec une profondeur racinaire qui est de 28 cm. Ces résultats offrent la possibilité d'une production efficace du Corchorus Olitorius sous irrigation, et contribueront non seulement à sa pérennisation mais aussi au développement de l’irrigation forestière. Nous recommandons pour plus de certitudes, de faire une autre étude en pleine saison sèche et en saison pluvieuse pour identifier s’il y a lieu des différences significatives.
Abstract : The over-exploitation of wood and non-timber products in the Sudano-Sahelian countries of West Africa is of great concern. In order to ensure sustainable exploitation and to contribute to the perpetuation of the forests, the "Association Au Secours Mon Arbre" (ASMA, a non-profit association) has started a research project on the determination of the cultural parameters of plants in the African tropical zone. The present study was devoted to the determination of hydrodynamic parameters of the soil of the lysimeters (tanks used to carry out the study); to the determination of the cultural coefficient and the growth parameters under irrigation of Corchorus Olitorius. This is an herbaceous plant used as a mucilaginous leafy vegetable. To obtain the Kc of the plant, three steps were undertaken. First, a meteorological station provided the reference evapotranspiration values ET0. Second, to scientifically verify the results, the experiment runs nine (9) lysimeters (seven used for the study and two as controls) to determine the maximum evapotranspiration of the ETM crop. Finally, the definition of ETMloc = Kc*ET0 was applied after the transformation of ETM to ETMloc. The results showed that the lysimeter soil is a sandy clay loam type with an organic matter content of 8.66 ± 1.12%; a pH of 8.62 ± 0.13; a dry bulk density of 1.26 ± 0.04(g/cm3) and a porosity of about 53%. The results also show that Corchorus Olitorius of the Malvaceae family has a cycle length of 70 days. The cultural coefficient is 0.44 ± 0.013 in the initial phase, 0.47 ± 0.004 in the growth phase and the maturity and harvest phases are respectively 0.61 ± 0.035; 0.58 ± 0.048 with 95% confidence intervals. The average height of Corchorus Olitorius is about 42.34 ± 22.56 cm, the diameter at the collar is on average 44 ± 2 mm and with a root depth that is 28 cm. These results offer the possibility of an efficient production of Corchorus Olitorius under irrigation, and will contribute not only to its perpetuation but also to the development of forest irrigation. For greater certainty, we recommend another study in the dry and rainy seasons to identify any significant differences.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
OlivierAdobe Acrobat PDFMémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etudes techniques pour la réhabilitation d’un barrage avec possibilité d’installation de microcentrale hydro-électrique / Christian Dorian BOUA
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Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Etudes techniques pour la réhabilitation d’un barrage avec possibilité d’installation de microcentrale hydro-électrique : cas du barrage de Kobré, province du Koulpélogo, région Centre-Est (Burkina Faso). Type de document : texte imprimé Auteurs : Christian Dorian BOUA Année de publication : 2021 Importance : 143 p. Langues : Français (fre) Résumé : Dans la dynamique de contribuer à l’atteinte de ces objectifs de développement dans le secteur de l’eau, l’Etat à travers la Direction Général des Infrastructures Hydrauliques (DGIH) mène des activités de mobilisation d’eau de surface avec la construction et réhabilitation des grands et petits barrages sur le territoire national. En dehors des grands barrages consacrés à la production d’énergie, de petites centrales hydro-électriques peuvent aussi être intégrées aux projets de construction et de réhabilitation des petits barrages pour l’électrification en zone rurale mais aussi pour l’irrigation au niveau des périmètres aménagés. Le barrage de Kobré est l’un des sites retenus pour les études commanditées par la DGIH dans ce cadre. Ce travail vise donc à faire une proposition technique afin de la comparer avec celle du bureau d’étude retenu pour le choix de l’option optimal. Afin de mener à bien ce travail nous avons d’abord procéder à une étude de diagnostic, études topographiques et géotechniques, hydrologiques et terminer par le dimensionnement des ouvrages. Comme résultat au niveau du diagnostic, nous avons eu à constater que certains ouvrages comme la digue, le chenal et le déversoir étaient détruit d’où une nécessité d’être réhabilités ; cette étude a permis donc de proposer un nouvel axe en aval de l’ancienne, ce qui donne une capacité de 1 249 267 m3. Pour des apports liquides annuels du bassin estimé à 1 476 348 m3, permettant de satisfaire les besoins en eau des populations et de l’irrigation estimés à 581 904 m3 pour un aménagement de 15ha. Nous avons opté pour une digue homogène en remblai argileux longue de 1059 m et muni d’un drain horizontal. L’évacuateur de crue est composé d’un déversoir poids en position central de 30 m de long. Ce barrage réhabilité possèdera également à l’aval une microcentrale dont la puissance électrique est estimée à 110,21 KWh/jr. Les besoins à l’horizon du projet (2050) étant estimés à 386,57 KWh/jr on a un taux de couverture électrique de 28,51%. Le cout global approximatif s’élève à neuf cent soixante-quatorze millions cinq cent quatre-seize mille quatre cent cinquante-cinq (974 596 465) francs CFA (TTC), prenant en compte le plan de gestion environnemental et social des impacts.
Abstract : The National Water Development Program (PNAH) aims to contribute to the fight against poverty and energy deficit in Burkina Faso. The aim of this work was to study the reconstruction of the Kobré dam following the rupture of the spillway and the degradation of the dike in 2010, But in view of the major energy challenge in recent years that Burkina Faso has been facing, we thought it wise to set up a hydroelectric system to evaluate its performance.
To achieve this objective, we proposed a site for the reconstruction of the dam. Next, we proposed a design and sizing of the dike, floodway and associated works, and then dimensioning a micro central.
As a result, the new dam will have a capacity of 1,079,791 m3. Annual contributions from the basin are estimated at 1,249,267m3, enough to fill the dam and meet the different needs per season estimated at 581,904 m3. The dike is homogeneous in clay fill 1059 m long and equipped with a horizontal drain. The spillway consists of a central weight spillway 30 m long. It is possible to install 15 ha per campaign. This dam also has downstream agricultural plots with an electricity capacity of 110.21 kWh/jr and the project’s expected requirements (2050) estimated at 386.57 kWh/jr, or an electricity coverage rate of 29.5%. A committee has been proposed for a better management of infrastructures whose overall approximate cost is estimated as nine hundred and seventy-four million five hundred and sixteen thousand four hundred and fifty-five (974,596,465) CFA francs (including taxes), taking into account the environmental and social impact management plan.Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etudes techniques pour la réhabilitation d’un barrage avec possibilité d’installation de microcentrale hydro-électrique : cas du barrage de Kobré, province du Koulpélogo, région Centre-Est (Burkina Faso). [texte imprimé] / Christian Dorian BOUA . - 2021 . - 143 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Dans la dynamique de contribuer à l’atteinte de ces objectifs de développement dans le secteur de l’eau, l’Etat à travers la Direction Général des Infrastructures Hydrauliques (DGIH) mène des activités de mobilisation d’eau de surface avec la construction et réhabilitation des grands et petits barrages sur le territoire national. En dehors des grands barrages consacrés à la production d’énergie, de petites centrales hydro-électriques peuvent aussi être intégrées aux projets de construction et de réhabilitation des petits barrages pour l’électrification en zone rurale mais aussi pour l’irrigation au niveau des périmètres aménagés. Le barrage de Kobré est l’un des sites retenus pour les études commanditées par la DGIH dans ce cadre. Ce travail vise donc à faire une proposition technique afin de la comparer avec celle du bureau d’étude retenu pour le choix de l’option optimal. Afin de mener à bien ce travail nous avons d’abord procéder à une étude de diagnostic, études topographiques et géotechniques, hydrologiques et terminer par le dimensionnement des ouvrages. Comme résultat au niveau du diagnostic, nous avons eu à constater que certains ouvrages comme la digue, le chenal et le déversoir étaient détruit d’où une nécessité d’être réhabilités ; cette étude a permis donc de proposer un nouvel axe en aval de l’ancienne, ce qui donne une capacité de 1 249 267 m3. Pour des apports liquides annuels du bassin estimé à 1 476 348 m3, permettant de satisfaire les besoins en eau des populations et de l’irrigation estimés à 581 904 m3 pour un aménagement de 15ha. Nous avons opté pour une digue homogène en remblai argileux longue de 1059 m et muni d’un drain horizontal. L’évacuateur de crue est composé d’un déversoir poids en position central de 30 m de long. Ce barrage réhabilité possèdera également à l’aval une microcentrale dont la puissance électrique est estimée à 110,21 KWh/jr. Les besoins à l’horizon du projet (2050) étant estimés à 386,57 KWh/jr on a un taux de couverture électrique de 28,51%. Le cout global approximatif s’élève à neuf cent soixante-quatorze millions cinq cent quatre-seize mille quatre cent cinquante-cinq (974 596 465) francs CFA (TTC), prenant en compte le plan de gestion environnemental et social des impacts.
Abstract : The National Water Development Program (PNAH) aims to contribute to the fight against poverty and energy deficit in Burkina Faso. The aim of this work was to study the reconstruction of the Kobré dam following the rupture of the spillway and the degradation of the dike in 2010, But in view of the major energy challenge in recent years that Burkina Faso has been facing, we thought it wise to set up a hydroelectric system to evaluate its performance.
To achieve this objective, we proposed a site for the reconstruction of the dam. Next, we proposed a design and sizing of the dike, floodway and associated works, and then dimensioning a micro central.
As a result, the new dam will have a capacity of 1,079,791 m3. Annual contributions from the basin are estimated at 1,249,267m3, enough to fill the dam and meet the different needs per season estimated at 581,904 m3. The dike is homogeneous in clay fill 1059 m long and equipped with a horizontal drain. The spillway consists of a central weight spillway 30 m long. It is possible to install 15 ha per campaign. This dam also has downstream agricultural plots with an electricity capacity of 110.21 kWh/jr and the project’s expected requirements (2050) estimated at 386.57 kWh/jr, or an electricity coverage rate of 29.5%. A committee has been proposed for a better management of infrastructures whose overall approximate cost is estimated as nine hundred and seventy-four million five hundred and sixteen thousand four hundred and fifty-five (974,596,465) CFA francs (including taxes), taking into account the environmental and social impact management plan.Exemplaires
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BouaAdobe Acrobat PDFMémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude de renforcement et de réhabilitation de la nouvelle station de traitement de Goudel 4 (Niamey, Niger) / Abdoul Wahab DAOUDA TONDI
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Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Etude de renforcement et de réhabilitation de la nouvelle station de traitement de Goudel 4 (Niamey, Niger) Type de document : texte imprimé Auteurs : Abdoul Wahab DAOUDA TONDI Année de publication : 2021 Importance : 84 p. Langues : Français (fre) Résumé : La ville de Niamey, située dans la région du Sahel au Niger connaît un déficit dans sa production en eau potable, en raison de sa forte croissance démographique. Aujourd’hui, la capacité nominale de production des infrastructures hydrauliques existantes est répartie entre l’usine de Yantala avec une capacité de production de 30 000 m3/jr et l’usine de Goudel (1, 2, 3) avec une capacité nominale de production de 85 000 m3/jr. La Société d’Exploitation des Eaux du Niger (SEEN) confirme le taux d’accès à l’eau potable d’environ 80% ; ce taux n’est pas satisfaisant et est loin de garantir les besoins de la ville de Niamey. L’évaluation des besoins en eau à l’horizon 2033 a permis de déterminer un besoin de 153 903 m3/jr pour une population de 2 352 146 habitants. Pour pallier aux défaillances relevées, la construction d’une nouvelle station de traitement plus performante a été préconisée. L’étude technique du projet a permis de déterminer une nouvelle capacité de production de 40 000 m3/j et une technologie de traitement plus performante. Ainsi une nouvelle station de traitement d’eau traitée sera construite tout en conservant celles qui existent déjà. Cette nouvelle conception est également assortie d’un plan de gestion des boues et eaux de traitement qui permettra de préserver l’environnement. Mon apport dans ce projet sera de faire une évaluation des besoins en eau de la population à l’horizon du projet afin de pouvoir justifier les 40 000 m3/j de production de la nouvelle station de traitement de Goudel 4.
Abstract : The city of Niamey, located in the Sahel region in Niger, is experiencing a deficit in its drinking water production, due to its strong demographic growth. Today the nominal production capacity of the existing hydraulic infrastructures is distributed between the Yantala treatment plant with a capacity of 30 000 m3/h and the Goudel treatment plant (1, 2, 3) with a capacity of 85 000 m3/day. The Niger water company confirms the access rate to drinking water of about 80%, this rate is not satisfactory and is far from guaranteeing the needs of the city of Niamey. The evaluation of water needs by 2033 made it possible to determine a need of 153 903 m3/day for a population of 2 352 146 hbts. To overcome the failure noted, the construction of a new treatment station was recommended. The technical study of the project made it possible to determine a new production capacity of 40 000 m3/day and more efficient treatment technology. This new design is also accompanied by a sludge and treatment water management plan which will help to preserve the environment. My contribution in this project will be to make an assessment of the water needs of the population at the project horizon in order to be able to justify the 40 000 m3/day of production of the new treatment station of Goudel 4.Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude de renforcement et de réhabilitation de la nouvelle station de traitement de Goudel 4 (Niamey, Niger) [texte imprimé] / Abdoul Wahab DAOUDA TONDI . - 2021 . - 84 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : La ville de Niamey, située dans la région du Sahel au Niger connaît un déficit dans sa production en eau potable, en raison de sa forte croissance démographique. Aujourd’hui, la capacité nominale de production des infrastructures hydrauliques existantes est répartie entre l’usine de Yantala avec une capacité de production de 30 000 m3/jr et l’usine de Goudel (1, 2, 3) avec une capacité nominale de production de 85 000 m3/jr. La Société d’Exploitation des Eaux du Niger (SEEN) confirme le taux d’accès à l’eau potable d’environ 80% ; ce taux n’est pas satisfaisant et est loin de garantir les besoins de la ville de Niamey. L’évaluation des besoins en eau à l’horizon 2033 a permis de déterminer un besoin de 153 903 m3/jr pour une population de 2 352 146 habitants. Pour pallier aux défaillances relevées, la construction d’une nouvelle station de traitement plus performante a été préconisée. L’étude technique du projet a permis de déterminer une nouvelle capacité de production de 40 000 m3/j et une technologie de traitement plus performante. Ainsi une nouvelle station de traitement d’eau traitée sera construite tout en conservant celles qui existent déjà. Cette nouvelle conception est également assortie d’un plan de gestion des boues et eaux de traitement qui permettra de préserver l’environnement. Mon apport dans ce projet sera de faire une évaluation des besoins en eau de la population à l’horizon du projet afin de pouvoir justifier les 40 000 m3/j de production de la nouvelle station de traitement de Goudel 4.
Abstract : The city of Niamey, located in the Sahel region in Niger, is experiencing a deficit in its drinking water production, due to its strong demographic growth. Today the nominal production capacity of the existing hydraulic infrastructures is distributed between the Yantala treatment plant with a capacity of 30 000 m3/h and the Goudel treatment plant (1, 2, 3) with a capacity of 85 000 m3/day. The Niger water company confirms the access rate to drinking water of about 80%, this rate is not satisfactory and is far from guaranteeing the needs of the city of Niamey. The evaluation of water needs by 2033 made it possible to determine a need of 153 903 m3/day for a population of 2 352 146 hbts. To overcome the failure noted, the construction of a new treatment station was recommended. The technical study of the project made it possible to determine a new production capacity of 40 000 m3/day and more efficient treatment technology. This new design is also accompanied by a sludge and treatment water management plan which will help to preserve the environment. My contribution in this project will be to make an assessment of the water needs of the population at the project horizon in order to be able to justify the 40 000 m3/day of production of the new treatment station of Goudel 4.Exemplaires
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WahabAdobe Acrobat PDFMémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude technique pour la construction du barrage de Lantaga, dans la commune de Pilimpikou, province du Passoré, région du nord (Burkina Faso) / Yengou Regis Martial LANKOANDE
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Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Etude technique pour la construction du barrage de Lantaga, dans la commune de Pilimpikou, province du Passoré, région du nord (Burkina Faso) Type de document : texte imprimé Auteurs : Yengou Regis Martial LANKOANDE Année de publication : 2021 Importance : 132 p. Langues : Français (fre) Résumé : Le présent mémoire présente les résultats de l’étude technique pour la construction du barrage de Lantaga dans la commune de Pilimpikou, province du Passoré, région du Nord du Burkina Faso. Ce projet émane du ministère en charge de l’eau à travers la Direction Générale des Infrastructures Hydrauliques (DGIH) qui a lancé en 2020 des études complémentaires de réalisation et/ou de réhabilitation de retenues d’eau dans treize (13) régions parmi lesquelles la réalisation d’une retenue d’eau à Lantaga. Le but recherché est de développer durablement un secteur agro-sylvo-pastoral, faunique et halieutique productif et résilient.
Afin d’atteindre cet objectif, nous avons effectué la conception hydraulique et le dimensionnement de la digue, de l’évacuateur de crue et des ouvrages annexes. Ainsi, il en ressort que le site du barrage de Lantaga est alimenté par un bassin versant de 70,4 km2 avec des apports en année décennale sèche évalués à 1 407 760,0 m3. Ces apports seront stockés par la retenue qui aura une capacité de 1 767 007 m3 (cumulant les apports liquides et les dépôts solides). La digue en remblai homogène argileux munie d’un drain horizontal aura une hauteur maximale de 6,5 m et une longueur de 500,3 m. L’évacuateur de crue est un déversoir poids trapézoïdal long de 90 m placé en position latérale en rive gauche et a été conçu pour évacuer une crue de projet de 156,64 m3/s. L’eau stockée servira à l’alimentation d’un périmètre irrigué évalué à 30 ha, à la consommation domestique et à celle du cheptel. Le périmètre irrigué sera alimenté à partir d’un ouvrage de prise et de vidange de 350 mm de diamètre, calé à la côte 307,85 m. Le coût de réalisation du projet est estimé à un milliard neuf millions huit cent quatre-vingt-onze mille huit cent vingt-trois (1 009 891 823) francs CFA TTC.
Abstract : This thesis presents the results of the technical study for the construction of the Lantaga dam in the commune of Pilimpikou, Passoré province, North region of Burkina Faso. This project emanates from the ministry in charge of water through the General Direction of Hydraulic Infrastructures (DGIH) which launched in 2020 complementary studies for the realization and/or rehabilitation of water reservoirs in thirteen (13) regions among which the realization of a water reservoir in Lantaga. The aim is to develop a sustainable, productive and resilient agro-sylvo-pastoral, wildlife and fisheries sector.
In order to achieve this objective, we carried out the hydraulic design and the dimensioning of the dam, the spillway and the ancillary structures. Thus, it emerges that the site of the Lantaga dam is fed by a catchment area of 70.4 km2 with inflows in a dry decennial year evaluated at 1,407,760 m3. These inflows will be stored by the reservoir, which will have a capacity of 1,767,007 m3 (combining liquid inflows and solid deposits). The homogeneous clay embankment with a horizontal drain will have a maximum height of 6.5 m and a length of 500.3 m. The spillway is a 90 m long trapezoidal weighted spillway placed in a lateral position on the left bank and has been designed to discharge a design flood of 156.64 m3/s. The stored water will be used to supply an irrigated perimeter estimated at 30 ha, for domestic consumption and for livestock. The irrigated perimeter will be supplied from an intake and discharge structure of 350 mm diameter, set at 307.85 m. The cost of the project is estimated at one billion nine million eight hundred ninety-one thousand eight hundred and twenty-three (1,009,891,823) CFA francs including tax.Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude technique pour la construction du barrage de Lantaga, dans la commune de Pilimpikou, province du Passoré, région du nord (Burkina Faso) [texte imprimé] / Yengou Regis Martial LANKOANDE . - 2021 . - 132 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Le présent mémoire présente les résultats de l’étude technique pour la construction du barrage de Lantaga dans la commune de Pilimpikou, province du Passoré, région du Nord du Burkina Faso. Ce projet émane du ministère en charge de l’eau à travers la Direction Générale des Infrastructures Hydrauliques (DGIH) qui a lancé en 2020 des études complémentaires de réalisation et/ou de réhabilitation de retenues d’eau dans treize (13) régions parmi lesquelles la réalisation d’une retenue d’eau à Lantaga. Le but recherché est de développer durablement un secteur agro-sylvo-pastoral, faunique et halieutique productif et résilient.
Afin d’atteindre cet objectif, nous avons effectué la conception hydraulique et le dimensionnement de la digue, de l’évacuateur de crue et des ouvrages annexes. Ainsi, il en ressort que le site du barrage de Lantaga est alimenté par un bassin versant de 70,4 km2 avec des apports en année décennale sèche évalués à 1 407 760,0 m3. Ces apports seront stockés par la retenue qui aura une capacité de 1 767 007 m3 (cumulant les apports liquides et les dépôts solides). La digue en remblai homogène argileux munie d’un drain horizontal aura une hauteur maximale de 6,5 m et une longueur de 500,3 m. L’évacuateur de crue est un déversoir poids trapézoïdal long de 90 m placé en position latérale en rive gauche et a été conçu pour évacuer une crue de projet de 156,64 m3/s. L’eau stockée servira à l’alimentation d’un périmètre irrigué évalué à 30 ha, à la consommation domestique et à celle du cheptel. Le périmètre irrigué sera alimenté à partir d’un ouvrage de prise et de vidange de 350 mm de diamètre, calé à la côte 307,85 m. Le coût de réalisation du projet est estimé à un milliard neuf millions huit cent quatre-vingt-onze mille huit cent vingt-trois (1 009 891 823) francs CFA TTC.
Abstract : This thesis presents the results of the technical study for the construction of the Lantaga dam in the commune of Pilimpikou, Passoré province, North region of Burkina Faso. This project emanates from the ministry in charge of water through the General Direction of Hydraulic Infrastructures (DGIH) which launched in 2020 complementary studies for the realization and/or rehabilitation of water reservoirs in thirteen (13) regions among which the realization of a water reservoir in Lantaga. The aim is to develop a sustainable, productive and resilient agro-sylvo-pastoral, wildlife and fisheries sector.
In order to achieve this objective, we carried out the hydraulic design and the dimensioning of the dam, the spillway and the ancillary structures. Thus, it emerges that the site of the Lantaga dam is fed by a catchment area of 70.4 km2 with inflows in a dry decennial year evaluated at 1,407,760 m3. These inflows will be stored by the reservoir, which will have a capacity of 1,767,007 m3 (combining liquid inflows and solid deposits). The homogeneous clay embankment with a horizontal drain will have a maximum height of 6.5 m and a length of 500.3 m. The spillway is a 90 m long trapezoidal weighted spillway placed in a lateral position on the left bank and has been designed to discharge a design flood of 156.64 m3/s. The stored water will be used to supply an irrigated perimeter estimated at 30 ha, for domestic consumption and for livestock. The irrigated perimeter will be supplied from an intake and discharge structure of 350 mm diameter, set at 307.85 m. The cost of the project is estimated at one billion nine million eight hundred ninety-one thousand eight hundred and twenty-three (1,009,891,823) CFA francs including tax.Exemplaires
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RegisAdobe Acrobat PDFMémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude de l’APD du barrage de Dendire, région de Tillabéry au Niger / Mabrouka MAHAMAT DJAMAL
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Titre de série : Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques Titre : Etude de l’APD du barrage de Dendire, région de Tillabéry au Niger Type de document : texte imprimé Auteurs : Mabrouka MAHAMAT DJAMAL Année de publication : 2021 Importance : 79 p. Langues : Français (fre) Résumé : Le présent projet de fin de cycle de Master s’inscrit dans le cadre de la mobilisation des eaux de surface du Niger et traite de l’étude de conception d’un barrage à vocation agro-pastorale dans la commune d’Ouro Guéladjo, région de Tillabéri au Niger.
La cuvette du barrage se situe à l’exutoire de Dendiré du bassin versant de Goroubi d’une superficie de 14977 km². La digue est naturelle formée par une chaine de collines tout au long de la cuvette mais une partie d’environ 30 mètres est en remblai latéritique. Quant au déversoir, situé entre les deux collines est frontal, conçu en béton pour évacuer une crue de deux cent ans de 869,55 m3/s. il est calé à la coté de 206,3 m et ayant une longueur de 290 m. l’ouvrage de prise vidange est conçu pour un éventuel aménagement d’un périmètre à l’aval du barrage et est calé à la côte 203,4 m. les simulations ont permis d’estimer les superficies irrigables à 450 hectares.
La capacité de stockage du barrage est de 9 175 000 m3 d’eau au PEN couvrant les besoins de 14737 personnes, 64 386 têtes de bétails (40l/jr/tête) et l’irrigation de 450 ha dont 200 ha de maraichage en contre saison et 250 hectares de cultures vivrières (maïs et mil) en saison pluvieuse. Le choix des cultures est fait en tenant compte des habitudes des populations locales.
Le coût du projet s’élève à 1 913 912 500 F CFA toutes taxes comprises (TTC).
Abstract : This final Master’s degree project is part of the gathering Niger’s surface waters and discusses the design study of a dam for agro-pastoral use in the town of Ouro Guéladjo region Tillaberi Niger.
The basin of the dam is located at the outlet of Dendiré at the catchment basin of Goroubi and has an area of 14 977 km². The embankment consists of a natural hills chain throughout the basin but some 30 meters is in lateritic backfill. As for the spillway, located between the two hills, is frontal, concrete designed to drain off a twice-a-century flood of 869, 55 m3 /s. It’s propped up to 206,3 m and having a length of 290 m. the water intake structure is designed for a possible development of an area downstream of the dam and is propped up to 203.4 m . Simulations enabled to estimate the irrigable area to 450 hectares.
The dam's storage capacity is 9 175 000 m3 of water at PEN (full water level) covering the needs of 14 737 people, 64 386 heads of cattle (40l / day / head) and the irrigation of 450 hectares including 200 hectares for truck farming in counter-season and 250 hectares for food-producing cultures (maize and millet) in the rainy season. Crop choice is made taking into account the habits of local people.
The project cost amounts to 1 913 912 500 FCFA including all taxes (TTC).Mémoire Master d'ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Etude de l’APD du barrage de Dendire, région de Tillabéry au Niger [texte imprimé] / Mabrouka MAHAMAT DJAMAL . - 2021 . - 79 p.
Langues : Français (fre)
Résumé : Le présent projet de fin de cycle de Master s’inscrit dans le cadre de la mobilisation des eaux de surface du Niger et traite de l’étude de conception d’un barrage à vocation agro-pastorale dans la commune d’Ouro Guéladjo, région de Tillabéri au Niger.
La cuvette du barrage se situe à l’exutoire de Dendiré du bassin versant de Goroubi d’une superficie de 14977 km². La digue est naturelle formée par une chaine de collines tout au long de la cuvette mais une partie d’environ 30 mètres est en remblai latéritique. Quant au déversoir, situé entre les deux collines est frontal, conçu en béton pour évacuer une crue de deux cent ans de 869,55 m3/s. il est calé à la coté de 206,3 m et ayant une longueur de 290 m. l’ouvrage de prise vidange est conçu pour un éventuel aménagement d’un périmètre à l’aval du barrage et est calé à la côte 203,4 m. les simulations ont permis d’estimer les superficies irrigables à 450 hectares.
La capacité de stockage du barrage est de 9 175 000 m3 d’eau au PEN couvrant les besoins de 14737 personnes, 64 386 têtes de bétails (40l/jr/tête) et l’irrigation de 450 ha dont 200 ha de maraichage en contre saison et 250 hectares de cultures vivrières (maïs et mil) en saison pluvieuse. Le choix des cultures est fait en tenant compte des habitudes des populations locales.
Le coût du projet s’élève à 1 913 912 500 F CFA toutes taxes comprises (TTC).
Abstract : This final Master’s degree project is part of the gathering Niger’s surface waters and discusses the design study of a dam for agro-pastoral use in the town of Ouro Guéladjo region Tillaberi Niger.
The basin of the dam is located at the outlet of Dendiré at the catchment basin of Goroubi and has an area of 14 977 km². The embankment consists of a natural hills chain throughout the basin but some 30 meters is in lateritic backfill. As for the spillway, located between the two hills, is frontal, concrete designed to drain off a twice-a-century flood of 869, 55 m3 /s. It’s propped up to 206,3 m and having a length of 290 m. the water intake structure is designed for a possible development of an area downstream of the dam and is propped up to 203.4 m . Simulations enabled to estimate the irrigable area to 450 hectares.
The dam's storage capacity is 9 175 000 m3 of water at PEN (full water level) covering the needs of 14 737 people, 64 386 heads of cattle (40l / day / head) and the irrigation of 450 hectares including 200 hectares for truck farming in counter-season and 250 hectares for food-producing cultures (maize and millet) in the rainy season. Crop choice is made taking into account the habits of local people.
The project cost amounts to 1 913 912 500 FCFA including all taxes (TTC).Exemplaires
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